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Sylvie la petite soeur de mon épouse

Chapitre 1

Inceste
SYLVIE LA PETITE SŒUR DE MON EPOUSE
Quand cette histoire s’est passée, j’étais en couple avec Bernadette depuis trois ans ?Sylvie sa petite sœur doit venir passer un mois de vacances en juillet.Je me rappelle de cette gamine, il y a un peu plus de deux ans, c’était une minette boutonneuse, avec un caractère exécrable, elle n’était jamais contente de son sort, toujours à critiquer.Quand Bernadette a proposé à sa sœur de venir passer ce mois de vacances chez nous, je n’étais pas trop d’accord, mais pour faire plaisir à mon épouse, j’ai accepté.Je suis allé chercher ma belle-sœur à la gare ce jour, le train arrive, je suis sur le quai à l’attendre.Quelques personnes descendent dont une jeune fille avec un sac à dos, qui se dirige vers moi, je ne reconnais difficilement la fille qui m’embrasse en me disant bonjour par mon prénom, je la regarde assez surpris…Devant moi, j’ai une bien jolie jeune minette blonde comme sa sœur, pas très grande mais terriblement excitante malgré son jeune âge, je ne reconnais pas la gamine que j’ai connu il y a quelques années.En arrivant, Bernadette lui présente sa chambre, elle désire prendre une douche, car huit heures de train par cette chaleur, c’est assez fatiguant.Après s’être installée puis reposée, elle descend pour déjeuner, là je la regarde très surpris, la belle est habillée d’un petit short rose assez court et très moulant, je peux distinguer le dessin bombé et la fente de son sexe à travers le tissu.Elle a mis un petit haut de couleur claire, ses petits seins en libertés que je distingue clairement tendent le textile, ses petits tétons bruns semblent vouloir le traverser.Bernadette la regarde avec insistance sans rien dire, mais je vois à son regard qu’elle n’apprécie pas trop la tenue provocante de la petite sœur.
En fin de semaine mon épouse qui a pris ses vacances reçoit un appel téléphonique de son chef, lui demandant si elle pouvait le dépanner en venant travailler pendant trois jours à partir de demain pour remplacer une collègue malade.Ma chérie est contrariée d’interrompre ses vacances d’autant que Sylvie est là, pour moi aussi, cette situation ne m’enchante pas trop de rester seul avec cette minette dont j’ai de biens mauvais souvenirs.La journée je reste avec la gamine, qui une fois sa sœur partie, fait tout pour m’aguicher et se faire remarquer.Le midi quand nous déjeunons sur les transats au bord de la piscine, elle se dispose toujours en face de moi, bien souvent en jupette, elle fait en sorte de me montrer ses dessous en croisant et décroisant ses jambes et en me regardant avec un petit sourire.Comme elle ne met pratiquement jamais de sous-vêtement, j’ai bien souvent son jeune et impertinent sexe sous les yeux.Le matin, avant de déjeuner, nous le passons au bord et dans la piscine, la mignonne est bien souvent seins nus avec de mini bikini.Elle se rend bien compte que ces provocations, ne me laissent pas indifférent, mon short cache difficilement les érections que me donne cette nénette en chaleur.
Quand mon épouse rentre elle devient beaucoup plus raisonnable?Ce soir mon épouse doit rentrer assez tard, car elle a du travail en retard qu’elle doit effectuer en urgence.Après avoir dîné et regardé la télévision, la petite m’a une nouvelle fois fait admirer ses trésors et nous nous couchons.
Le lendemain matin, mon épouse vient de partir travailler, c’est son dernier jour, je fais la grasse matinée.On toque à ma porte, c’est Sylvie, qui me demande si on peut discuter.Elle est devant moi, avec pour seul vêtement une nuisette transparente qui lui arrive à mi- fesses, elle s’assied en tailleur sur le lit, ses cuisses grandes ouvertes me laissant voir sa petite chatte bien grasse et entièrement épilée.Mon regard est accroché à l’entrecuisse de cette gamine qui ne me laisse pas insensible, mieux cela me donne des idées interdites…Ce n’est pas possible pensais-je, cette petite salope va me faire craquer…Elle me parle, je ne l’écoute qu’à moitié, attiré, par ce que j’ai devant mes yeux et en me demandant comment faire pour résister à ces tentations malsaines mais oh combien excitantes.Sylvie a bien vu mon trouble et mes yeux qui vont de son entre cuisses à ses nichons, elle ouvre un peu plus ses jambes, son sexe s’écarte légèrement me laissant entrevoir la chair rosée de son intimité.Elle me dit qu’elle a un peu froid et me demande si je peux lui faire une place dans le lit, sans attendre ma réponse, elle ouvre le drap découvrant ma nudité, qui est sans équivoque, elle se met à côté de moi en me regardant avec un petit sourire.Tu as l’air en forme me dit-elle, je sens la chaleur me monter au visage.Je plaisante dit-elle en me prenant par le cou, je sens ses jeunes seins qui frottent contre mon torse, elle m’embrasse dans le cou tandis que sa main se faufile sous les draps pour prendre ma queue en érection.Je la regarde gêné et surpris, en me laissant faire, la minette fait coulisser sa main sur mon membre bien bandé, je souffle, elle me demande si j’aime ce qu’elle me fait.Je ne réponds pas, et baisse la tête, c’est alors qu’écartant les draps, elle se positionne à genoux et prend ma bite qu’elle continue de branler avec sa main tout en la faisant coulisser dans sa bouche.Pendant qu’elle me pompe, je ne peux résister à l’envie de prendre ses jeunes seins qui sont devant mes yeux, mes mains les palpent et les caressent, ses tétons se dressent sous les attouchements.J’ai très envie de goûter à cette moulette, je me positionne entre ses cuisses, j’écarte son abricot avec mes doigts, je découvre cette chair rose et humide pour y insérer ma langue, son goût est délicieux.Après l’avoir butiné un bon moment, elle me relève la tête et m’embrasse à pleine bouche tout en caressant ma bite en érection.Elle me regarde en me disant qu’elle a envie que je la prenne, je lui réponds que je suis marié à sa sœur et que c’est impossible.Elle me dit qu’elle souhaite connaître le plaisir que je donne à sa sœur, je la regarde un peu surpris, en pensant qu’elle a dû nous espionner quand nous faisons l’amour.Elle se positionne alors devant moi, écartant ses cuisses au maximum, elle me demande avec un certain aplomb de l’enfiler, vas-y me dit-elle, je ne suis plus pucelle et je prends la pilule, tu verras tu ne le regretteras pas.Selon les dires de mes copains, je suis bonne, comme ça tu auras eu les deux frangines...Tout se bouscule dans ma tête, je tremble et suis en sueur, ma queue me fait mal tellement je bande.Cette chatte ouverte devant mes yeux m’attire, je ne peux résister plus longtemps, je me positionne dans cette fourche, je présente mon gland à l’entrée de sa vulve, et m’insère lentement dans le corps de ma petite belle-sœur.Une fois bien planté au fond de son ventre, je la regarde dans les yeux hésitant à poursuivre, c’est elle qui remuant ses fesses m’encourage à poursuivre, elle m’incite également de la voix.Pendant que je lui laboure le vagin, la mignonne crie en gesticulant en me demandant de bien la bourrer.Après l’avoir bien besogner, et l’avoir fait jouir, ne pouvant me retenir plus longtemps, j’explose en plusieurs jets dans ce minou .Je m’écroule sur elle, nous restons un bon moment emboîté l’un dans l’autre, savourant ce plaisir interdit mais au combien enivrant.Nous nous séparons en reprenant nos esprits, Sylvie m’embrasse sur la bouche en me disant un timide merci.Elle me regarde alors dans les yeux et me demande si elle baise aussi bien que sa sœur.Je ne réponds pas, pour toute réponse, nous avons fait l’amour sous toutes ses formes et dans toutes les positions tout au long de la journée.Ce qui m’a le plus surpris c’est quand la gamine s’est positionnée à quatre pattes sur le canapé du salon, son petit cul bien cambré la tête dans les coussins.Elle a alors bien écarté ses fesses avec ses mains et m’a demandé de lui pénétrer son petit trou.Pendant que je limais son étroit conduit, la petite criait en me demandant d’aller plus profond, elle voulait disait-elle que je lui explose son cul…J’ai pris un énorme plaisir, d’autant que sa sœur n’a jamais accepté cette pénétration car elle a peur dit-elle de souffrir…Le soir venu nous sommes tous les deux épuisés, prétextant aux yeux de mon épouse cocufiée, avoir nagé une bonne partie de l’après-midi.
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