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Un système de notation particulier

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Un système de notation particulier ; Chapitre 1==================================
Les personnages :
— Stéphanie : 16 ans, lycéenne en seconde, narratrice de l’histoire. 1m65, 48Kg, blonde aux yeux bleus, porte un 90D— Loïc Leclerc : 38 ans, professeur d’histoire et professeur principal de Stéphanie. 1m75, 75Kg, brun aux yeux vert, sa verge fait 15cm au garrot— Romain Rousseau : 35 ans, professeur de français de Stéphanie. 1m82, 85Kg, brun aux yeux marron, sa queue fait 17cm en érection
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Je regardai ma montre, 15h25. Ouf ! Plus que cinq minutes, bientôt la délivrance.Comme tous les jeudis, je terminais les cours à 15h30, puis allais me défouler en courant dans un parc proche du lycée. Mes affaires de sport étaient bourrées entre les livres dans mon sac, des survêtements, une petite serviette et une culotte de rechange.
"- Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing", ça y était, la sonnerie retentit dans tout l’établissement, et les élèves ne tardèrent pas à quitter les salles de classe.La coutume voulait que lorsque nous passions devant notre prof d’histoire, nous lui dîmes au revoir et lui souhaitâmes un bon weekend, car nous ne le reverrions que le lundi suivant.Alors que je m’apprêtais à répéter à mon tour ce rituel, Leclerc me coupa la parole avant que j’ai pu émettre le moindre son :— "Stéphanie, je voudrais te parler, ne part pas tout de suite"Dans ma tête, ma joie s’estompa. J’espérais que cela ne durerait pas trop longtemps, j’avais hâte de quitter ce bahut pendant les quelques minutes de liberté qui nous étaient données à nous les internes pour m’aérer l’esprit dans le joli parc apprécié des joggeurs de tous âges.
Une fois tous les élèves sortis de la classe, mon prof m’indiqua une table devant son bureau et me dit de m’y installer. Je m’exécutai.Il alla s’asseoir à son bureau, en prenant son temps, ce qui m’exaspéra un peu plus encore.Je remarquai qu’une deuxième chaise avait été installée derrière ce grand bureau démodé en métal peint, je n’y avais même pas fait attention pendant le cours, trop occupée à regarder dehors certainement.
Je sursautai lorsqu’un homme débarqua sans prévenir dans la salle. Mon prof de français. Génial, j’allais surement me faire enguirlander par deux profs, et mes espoirs de jogging s’amenuisaient.
"- Voilà, nous pouvons commencer Loïc" dit Rousseau, en s’asseyant à côté de mon prof d’histoire.Leclerc, était aussi mon prof principal, et recevait donc l’avis de tous les profs que j’avais.Celui-ci s’adressa à moi :"- Stéphanie, on voulait te voir avec Romain, j’imagine que tu sais pourquoi".Sans me laisser répondre il continua :"- Tu as globalement de bonnes notes, mais depuis quelques semaines, nous notons une baisse en français et en histoire".Il était vrai que ces deux matières n’étaient pas mes préférées. Mon truc à moi, c’était les maths et la physique-chimie, ce pourquoi j’avais bien l’intention de faire un bac S. La route était encore longue, n’étant qu’en seconde, et je ne pouvais malheureusement pas mettre de côté des matières que j’aimais moins si je voulais garder une bonne moyenne générale.Mon prof d’histoire continua :"- Tu as pour l’instant 8 de moyenne en français, et 7 en histoire. Ce n’est pas très bon, mais c’est tout à fait rattrapable".Leclerc me paraissait quand même optimiste, cela allait être dur de trouver de la motivation.Rousseau ajouta :"- Loïc a raison, ce n’est pas catastrophique. Et pour ces petites baisses, nous proposons de faire un devoir supplémentaire, assez simple, qui permet de facilement faire remonter la moyenne".Du boulot en plus, génial, me dis-je. Cela ne m’emballait pas vraiment, même si c’était un devoir plus facile que les autres.Il enchaîna :"- Lève-toi s’il te plait, et vient devant le bureau".Je m’exécutai, pensant que mon prof allait me donner une feuille, mais il ajouta :"- Tourne sur toi-même, tu as bien 16 ans ?""- Oui j’ai 16 ans", répondis-je en tournant comme demandé par le prof de français, surprise par cette demande.Les deux collègues me regardaient attentivement. Je portais un chemisier blanc légèrement transparent en haut, qui camouflait un soutien-gorge blanc lui aussi, plutôt classique sans dentelle. En bas je portais un jean slim, et mes jambes se terminaient par des Converse. Pas stylées, mais confortables.A nouveau face à eux je m’arrêtai. L’un dit à l’autre :"- Elle sera parfaite ne penses-tu pas ?— Tout à fait d’accord", répondu mon autre prof, avant de me demander :"- Alors, es-tu d’accord pour faire ce devoir supplémentaire et faire remonter tes moyennes en histoire et en français Stéphanie ?".Ne sachant plus trop quoi penser, je répondis simplement :"- Heu, oui.— Parfait", déclara Loïc.
Les deux hommes se levèrent et vinrent se mettre à mes côtés. Sous mon regard choqué, les deux profs ouvrirent leur pantalon, le baissèrent en même temps que leur caleçon, et commencèrent à se branler. J’étais figée. Je m’étais déjà retrouvée face à un homme nu, mon ex copain, avec qui j’avais fait plusieurs fois l’amour, mais une telle situation était totalement inédite.Loïc, mon prof d’histoire, approcha son sexe en érection près de moi et dit :"- Suce-moi, après tu suceras Romain, c’est ton premier exercice. Ce serait dommage de rater ton devoir dès le début non ?".C’était donc ça le devoir simple que les deux profs me proposaient. Les deux hommes étaient pas mal gaulés, et leurs queues assez existantes je devais dire. Ils avaient raison, si cela avait rapport avec le sexe, le devoir ne devrait pas être très compliqué, il suffirait de se soumettre aux consignes.Je me baissai, caressai le sexe de l’homme mur, et entrepris de lui faire une fellation. Il sembla apprécier, lâchant un soupir."- Ma femme n’a pas une bouche aussi agréable. Je ne me lasserai jamais de ces bouches de jeunettes".Je n’étais donc pas la première à passer par là, ce qui ne m’étonna pas en fait. Je faisais des va et vient avec ma bouche en dévorant le sexe chaud et dur, je voulais m’appliquer pour avoir une bonne note.Romain, mon prof de français, s’approcha de moi la queue bien tendue. Je pris l’organe en main et commença à le branler. Il était plus gros que celui de son collègue. Je lâchai la queue de Loïc pour y goûter. Il fallait que j’ouvre plus la bouche et je ne pourrais pas la prendre aussi loin dans ma bouche celle-là.Pour bien comparer je passais de l’une à l’autre, en les dévorant bien comme il faut. Les deux hommes poussaient des râles de satisfaction, et n’hésitaient pas à me prendre la tête pour que leur sexe s’enfonce jusqu’à ma gorge.
L’excitation montait en moi, la dureté de ces queues y étant pour quelque chose. Je sentais ma chatte mouiller et le bout de mes seins chauffer.Mes deux pervers de profs s’écartèrent."- Elle mérite une bonne note pour cet exercice, tu ne penses pas ?" lança Romain."- Tout à fait d’accord, on peut lui mettre 5 sur 5, elle connait sa géographie".Mon prof d’histoire se rapprocha de moi et commença à ouvrir mon chemisier."- Elle est bien foutue la gamine. Une peau parfaite et une paire de nibards bien formée".Mon haut se retrouva par terre, et les collègues enlevèrent eux aussi leur chemise. Le prof d’histoire n’était pas très musclé, et quelques poils recouvraient son torse. Le prof de français était au contraire bien plus musclé, des abdos bien excitants, mais également bien plus poilu.Des mains viriles se baladaient maintenant sur mon corps, sans vraiment le ménager. Mes seins, mon entre-jambes, mes fesses, on voyait tout de suite ce qui excitait les deux cochons.Loïc déboutonna mon jean pendant que Romain défaisait les lacets de mes chaussures. Celles-ci enlevées, mon pantalon descendit. Je levai une jambe après l’autre pour l’enlever complètement. Au même moment, les profs enlevèrent leurs chaussures et leur pantalon.
J’étais moi-même en sous-vêtements, mon soutien-gorge, une petite culotte assortie blanche en coton, et des socquettes blanches elles aussi. Les deux hommes n’avaient, eux, plus que leurs chaussettes."- Bien, maintenant penches-toi sur cette table" dit Loïc en pointant du doigt la table à laquelle je m’étais installée au début de ce cours particulier.Je m’exécutai à nouveau, et sentis une douleur sur mes fesses. Le salaud était en train de me donner la fessée."- Des bonnes fesses rebondies comme je les aime, ça me donne envie de m’y frotter", lança Romain dans mon dos.Il du joindre les gestes à la parole, car je sentais quelque chose de dur se balader sur mon derrière, et de la chaleur à travers ma culotte. Bout de tissu qui descendit jusqu’au niveau de mes genoux. Deux mains caressèrent mes deux fesses puis les écartèrent. Une verge tapa contre mon entre-jambes, avant de s’engouffrer en moi."- Regarde-moi cette cochonne comme elle mouille, je n’ai même pas à forcer." Je reconnu la voix de Romain, sans être étonnée, le sexe qui s’était glissé dans mon vagin me paraissait plutôt imposant. Son compère ricana.La queue de mon prof de français s’enfonça jusqu’au fond de moi, puis revint sur ses pas avant de me bourrer à nouveau. Je lâchais un gémissement à chaque coup, mon ventre glissant sur la table. L’allure des assauts s’accéléra, ce qui n’était pas pour me déplaire.Mon prof tenait mes fesses et me limait la chatte avec ardeur. Je gémissais de plus en plus fort. La charge s’arrêta, mais je senti rapidement un autre sexe prendre la place. Plus petit mais tout aussi plaisant à sentir en moi. C’était maintenant au tour de mon prof d’histoire de me ramoner. Pendant qu’il me pénétrait avec sa queue, un doigt puis deux s’engagèrent dans mon anus. Mon cul était encore vierge, et j’appréhendais la sodomie. Mon cochon de prof quitta ma chatte et essaya de rentrer dans mon cul. J’essayai de me détendre, mais le sexe avait du mal à rentrer. Il força, ce qui me fit un peu mal. Je poussais des bruits de douleur, mais il insista."- Il faut te laisser faire, sinon tu auras une mauvaise note", ricana Loïc.Je me détendis alors un peu plus, et la queue mûre put entrer en entier. Comme pour mon vagin, les va et vient s’accélérèrent. Je n’avais plus mal et ressentait même une excitation nouvelle. Le buste de l’homme tapait sur mes fesses, c’était bon.Il se retira. Je me retournai, et le vis aller s’allonger sur le grand bureau qui faisait face à ceux plus petits réservés aux élèves."- Viens sur moi, viens t’embrocher sur mon sexe".
J’enlevai ma culotte qui était descendue à mes pieds, puis monta sur le bureau, pour venir me positionner sur l’homme. Je saisis la queue et la branla un peu. Je m’avançai pour me mettre au-dessus de celle-ci, puis descendis en la faisant pénétrer dans ma chatte dont les lèvres extérieures étaient couvertes de cyprine.En lâchant un profond gémissement, je descendis jusqu’à me poser sur le bassin de mon prof.Il m’attira à lui, et nos deux ventres se collèrent. Il caressa mon dos puis dégrafa mon soutien-gorge, qu’il fit glisser et qu’il jeta plus loin dans la classe. Il m’enlaça, et relevant son bassin, il ramona à nouveau ma chatte qui se sentait vide.
J’étais dans une salle de classe de mon lycée, sur un bureau réservé aux enseignants, en train de me faire limer par un prof âgé de plus de vingt ans de plus que moi. Mon regard fut attiré par la fenêtre. Dehors il faisait sombre, et les lampadaires éclairaient la cour. Je me dis qu’il devait être assez tard. Mes copines de l’internat devaient se demander ce que je faisais.Mon cochon de prof d’histoire ne cessait pas de me pénétrer, tandis que je gémissais de plus en plus. Il prit mes seins dans ses mains et suçota mes tétons, ce qui me donna encore plus d’excitation. Pendant ce temps, Romain mon prof de français nous regardait en se branlant.Il eut envie de lui aussi participer à l’action apparemment, car il s’approcha et monta sur le bureau. Je ne le voyais pas car il était derrière moi, mais je sentais ses mains qui parcouraient mon dos et mes fesses. Loïc s’arrêta et me plaqua contre lui, je crus comprendre ce qui allait se passer.Et j’avais raison, Romain était en train de s’occuper de mon cul. La pénétration était plus facile, mais il fallait quand même aider cette belle queue. Au bout de quelques secondes, elle était entrée en entier, et les va et vient commencèrent déjà."- Oh que c’est bon un cul de lycéenne", lâcha-t-il, "elle ne va pas tarder à me faire éjaculer la salope".Loïc recommença ses assauts dans ma chatte. Mes deux trous se faisaient maintenant limer. C’était si bon, si excitant. Je fermais les yeux et me laissais faire, en lâchant de profonds gémissements.L’homme derrière moi accéléra son va et vient."- Oh putain je sens que ça vient. Je vais lui repeindre le cul à cette jeunette. Oooh ouiiiii".Mon prof de français avait enfoncé son sexe au font de mon cul, et je l’avais senti grossir. Je ne sentais pas son sperme couler, mais j’imaginais qu’il devait sortir en grande quantité, l’homme poussant plusieurs gémissements, avant de se retirer.Mon autre prof se dégagea de sous mon corps, se mit debout sur le bureau, et se branla en me regardant. Je sus qu’il allait bientôt jouir lui aussi. Je me mis à genoux, chassa sa vilaine main, et avala sa belle queue bien raide. Je le pompai avec une grande ardeur, en essayant de la prendre en entier. Après plusieurs essais j’y arrivai, sa bite tapait dans ma gorge. J’étais si excitée, je me masturbais en même temps. Mon clito était en feu et je sentais un orgasme venir. Tout en pompant le sexe de mon prof, je m’activai sur mon bouton. Ça venait, que c’était bon. Oh oui, mes jambes se contactèrent violemment et j’arrachai un cri étouffé par le sexe qui était dans ma bouche. C’était si intense. Puis je sentis la queue grossir, Loïc prit ma tête, enfonçant sa verge bien au fond de ma bouche, et je sentis son liquide chaud couler directement dans mon œsophage."- Aaaaaaaah ! Mon dieu que c’est bon ! Tu as raison Romain, elle est trop bonne cette petite pute !".Son collègue, qui s’était rhabillé, sourit.Loïc avait relâché ma tête et je le suçais pour bien nettoyer sa queue et avaler le reste de sperme.Il s’échappa et me jeta un "- Rhabille-toi", lui-même allant récupérer ses vêtements.
Je ramassai mes habits dont mon soutif parti au fond de la classe et me refringuai.Les deux profs me regardaient faire, et discutaient."- Bon, mon cher Romain, je crois que Stéphanie a bien progressé ce soir, et ses efforts doivent être récompensés.— Je suis tout à fait d’accord, je vais lui ajouter un vingt sur vingt dans ses notes, elle l’a mérité.— Moi de même. Bon, il est tard, il va falloir encore prétendre à nos femmes que nous sommes sortis boire un verre", ricana t’il.Les deux hommes sortirent et me laissèrent seule. J’étais satisfaite, mes moyennes d’histoire et de français venaient de remonter très simplement, et je venais d’expérimenter de nouvelles pratiques sexuelles.
Je quittai la salle en éteignant la lumière. Les couloirs étaient complètement vides. Je regagnai l’étage des filles de l’internat, tout le monde dormais. J’avais loupé le dîner, le sperme me suffira pour tenir jusqu’au lendemain matin. Je me mise en pyjama, me glissai sous la couette, et ne tardai pas à m’endormir.
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