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À table

Chapitre 1

Trash
Après cette première mise en jambe, j’ordonnai à Laudine d’aller préparer à manger avec ce qu’elle pourrait trouver dans les placards. Les trente minutes suivantes fûrent donc passées à la regarder faire, toujours nue et le visage couvert de sperme qui séchait doucement mais sûrement, et je profitai de ce moment pour réfléchir à la suite. L’objectif était clair : 5 jours étant une durée beaucoup trop courte pour s’amuser, il me fallait trouver le moyen de la briser suffisamment pour que cette aventure continue même quand cette maison ne serait plus à disposition, et si la tâche s’annonçait difficile, il était vrai que Laudine s’était montrée étonnamment docile au cours de la journée.
Je fus tiré de mes réflexions par la voix de cette dernière qui m’annonça que le repas était prêt d’un ton presque trivial.
— Tu as deux assiettes dans les mains. observai-je.— Oui ? m’interrogea Laudine sans avoir l’air de comprendre ce qui clochait.
Je me permis donc d’éclaircir la situation :
— Regarde ton cou, tu n’es qu’une petite chienne à mes yeux, qu’est-ce qui te fait croire que tu t’apprêtai à manger à table avec moi ?
Elle baissa les yeux sur son collier tout en balbutiant :
— Je... — Je rien du tout, je ne t’ai pas donné le droit de répondre. la coupais-je.
À présent debout face à elle, je pointai du doigt la gamelle de mon chien qui traînait sur le sol de la cuisine.
— La voilà ton assiette.
À ces mots, je vis son visage se décomposer, ses yeux me supplier, mais sa bouche rester fermée, sans doute par peur d’une nouvelle punition. Décidément, elle avait l’air faite pour ce rôle.

Je surenchéris :
— Dépêche toi de vider le contenu de ton assiette dans ta gamelle, tu mangeras à mes pieds.
Elle s’exécuta, toujours en silence, et réussit tant bien que mal à vider son assiette de pâtes dans la gamelle verte.
Elle me regarda alors d’un air suppliant, comme pour me demander une dernière fois de ne pas lui infliger cette humiliation, mais cette grimace ne fit qu’embraser le feu qui prenait déjà naissance dans mon bas-ventre.
Assis sur le banc, face à la table, je lui fis signe d’apporter sa gamelle à mes pieds. Voyant qu’elle n’avait pas l’air de savoir comment s’y prendre, j’ajoutai :
— Et à quatre pattes, comme une vraie chienne.
Avant d’entamer ce qui s’annonçait comme le plus beau repas de ma vie.

Après cinq minutes à tenter de me concentrer sur la nourriture, je finis par céder :
— Tu n’as pas l’air d’apprécier ton repas ? lui lançais-je, moqueur.

Malheureusement pour elle, Laudine eu la mauvaise idée de répondre sur un ton sarcastique.
— Non, sérieux ? lança-t-elle.

Son regard se bloqua sur le mien quand elle comprit l’erreur qu’elle venait de faire, mais plutôt que de la punir brutalement, je décidai d’opter pour une solution bien plus vicieuse. Si elle n’appréciait pas son repas tel quel, j’allais lui donner de quoi se délecter.
— Mince, pourquoi ça ? Est-ce que tes pâtes manquent de goût ? — Je...— Peut-être qu’il te faut de quoi relever le tout ? » suggérais-je avant de baisser la tête vers sa gamelle et d’y cracher un beau paquet de salive.— Qu’est-ce que tu...
Sa protestation fut coupée par sa deuxième gifle de la journée, tout aussi soudaine que la première.
— Tu fermes ta gueule, et tu fais ce que je t’ordonne, c’est compris ? — Ou... Oui Maître.— Bonne chienne, maintenant mange, et montre-moi comme tu apprécies.
Quel plaisir ce fût de la voir grimacer, à quatre pattes, s’efforçant de donner l’illusion qu’elle appréciait son repas. Seulement comme toutes les bonnes choses, la satisfaction laissa très rapidement place à un besoin incontrôlable d’en faire plus, d’aller plus loin.
D’un mouvement de pied, j’écartai donc sa tête de sa gamelle avant de relever son visage de ma main droite.
— Toujours pas convaincue par ton repas ? — Si ! C’est délicieux ! tenta-t-elle de prononcer avec enthousiasme. — Je ne décèle pas encore la gratitude que j’aimerais voir sur ton visage, heureusement pour toi : j’ai une idée qui ravivera sûrement ta reconnaissance envers ton maître. Lève-toi.
Bien trop heureuse d’enfin quitter sa position humiliante, Laudine sauta sur ses deux jambes.
— J’aurais aimé le faire moi-même, mais tu n’as pas eu l’air d’apprécier mon intervention alors, comme on dit, on est jamais mieux servi que par soi-même !
Tout en terminant ma phrase, je tirai sa gamelle encore à moitié pleine jusqu’entre ses jambes. C’est probablement à cet instant qu’elle comprit ce qui allait se passer, alors qu’elle allait protester, je la coupai en ordonnant d’un ton strict.
— Accroupie.
Au bord des larmes, elle s’exécuta avant de relever la tête.
— Maintenant pisse.
Il lui fallut dix bonnes secondes pour se décider, dix secondes qui parurent interminables tant tout mon corps bouillonnait à l’idée de la voir s’humilier de la sorte. Après avoir fait son deuil de sa dignité pour la journée, elle finit par se laisser aller et un premier jet d’urine vint compléter son repas. Très vite, la gamelle fut noyée dans une marre jaunâtre qui débordait également de tous les côtés, inondant le carrelage.
Quand elle finit par s’arrêter, je fis un pas vers elle pour caresser sa tête comme on le ferait à un animal de compagnie.
— Qui c’est la gentille chienne ? dis-je d’un ton joueur.

Elle n’osait même plus me regarder.
— C’est toi la gentille chienne, et comme tu as été bien obéissante, tu as gagné le droit de te régaler. Mange.
La tête toujours baissée, elle se mit à quatre pattes à nouveau, approcha sa tête de la gamelle avant d’esquisser une grimace qui semblait très sincère.
À ses yeux, l’odeur d’urine et l’humiliation étaient sûrement insupportables, à mes yeux elles en étaient d’autant plus délicieuses.
Timidement, elle se mit à laper le contenu de la gamelle, tout en ponctuant chaque mouvement d’une onomatopée dégoûtée.
— Sois reconnaissante, il peut toujours t’arriver pire si tu te montres encore ingrate. lui lançais-je comme un avertissement.

En réalité, ce spectacle était déjà plus que ce qu’il me fallait pour être au bord de l’implosion et, ne tenant plus, je me mis à genoux pour me branler à quelques centimètres de son visage.
Alors qu’elle relevait la tête pour voir ce à quoi je m’adonnais, ma main gauche fit pression sur le haut de son crâne et plongea son visage dans sa gamelle.Après quelques secondes j’eus pitié de sa respiration et, alors que je la ressortais en la tenant par les cheveux, ce dernier dégoulinait d’urine, et probablement de quelques larmes également.J’ordonnai alors :
— Tu as sali le carrelage avec ta pisse, mauvaise chienne, lèche.
Probablement à deux doigts d’une sorte de transe et sans plus avoir aucune conscience de ses actions, elle entreprit de lécher la flaque de pisse sur le sol.
Cette vision divine eut raison de moi et, voyant sa langue racler le marre jaunâtre, j’explosai. Après quelques secondes passées à apprécier le moment et alors que Laudine me regardait comme pour me demander « Et maintenant ? », j’eus la présence d’esprit d’aller chercher mon téléphone, qui filmait toujours la scène, pour zoomer sur le mélange d’urine et de sperme qui s’étalait sur le sol avant d’ordonner :— Tu n’as pas fini de nettoyer, dépêche toi salope.
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