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La tactique de la juge placée

Chapitre unique

L’art du sexe profitable

Orgie / Partouze
Elle vient tout juste de rejoindre sa première affectation comme juge placée auprès du premier président de la cour d’appel de X. Son rôle est de suppléer à toutes les vacances de postes de collègues sur les quatre départements de la cour… Enfin d’essayer… En effet, toutes les juridictions sont, depuis bien des années en sous effectifs chroniques. Ses parachutages s’annoncent donc « sportifs ». Ici il sera question de faire taire un président revendicatif ; là de s’essayer à rattraper des années de retard sur la rédaction des jugements ; ailleurs de compléter au pied levé une juridiction incapable de siéger sans une composition minimum. Autant dire qu’elle sera projetée çà et là selon le bon vouloir du chef de cour.
Elle est consciente des enjeux et se prépare à son premier entretien avec ce haut magistrat de façon toute particulière. Nul besoin de briller par sa connaissance du droit au risque d’humilier le brave homme dont les connaissances ont un considérable retard dû à son âge et à l’éternelle inflation législative. L’essentiel est de plaire au sens le plus primaire du mot. Pour cela, la vêture est importante. Le petit blazer classique est un stéréotype. Le sien, bien cintré, met en évidence la finesse de sa taille et la courbe harmonieuse de ses hanches. Les hauts talons sont l’outil idéal pour compenser sa petite taille et s’assurer une position d’égalité avec son interlocuteur. Bien évidemment, elle choisit une jupe très courte et un chemisier blanc très échancré destinés à laisser deviner l’absence de sous-vêtements et à découvrir un maximum de peau. C’est tout ce qu’elle a trouvé pour dominer à sa façon le vieil homme et s’assurer de sa bienveillance.
Cette stratégie n’est pas nouvelle pour elle. Déjà à la fac de droit, lorsqu’il s’est agi de s’assurer son admission en master, elle s’est rendue, ainsi vêtue, voir le président du jury à son domicile. Il n’a pas mis longtemps à comprendre quel parti en tirer et notre étudiante s’est bientôt retrouvée nue couchée sur son bureau, éperonnée par notre hardi professeur.  Pour éviter tout risque de scandale, elle a été admise parmi les vingt élues, alors que ses résultats ne la plaçaient pas aussi haut. Même démarche à l’oral du concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature ou elle a fort heureusement hérité d’un jury masculin. Tout ceci l’a obligée à accepter quelques soirées aussi gustatives que libidineuses. Qu’importe puisque le but est atteint ! La voici dans la magistrature, et ce n’est qu’un début.
Lorsqu’elle entre dans le vaste bureau du « premier », comme disent ses subordonnés, elle se sent sûre de sa séduction. Il y a là la procureure générale qui, peu sensible à ces artifices, la contemple hostile et renfrognée. Par contre, son alter ego du siège, commence à la déshabiller du regard d’un œil torve. Madame la parquetière en chef dit quelques paroles d’accueil à minima et quitte rapidement la scène. On s’assoit dans de profonds fauteuils bas placés dans un coin de la pièce. Le résultat sur sa tenue est parfait : la minijupe est remontée de deux bons centimètres et dévoile largement ses cuisses. Son décolleté baille au point de laisser quasi complètement voir par l’échancrure sa petite poitrine. Elle serait nue que ce ne serait pas pire. Le vieil homme a les yeux qui lui sortent de la tête. « Pourvu qu’il ne bave pas sur sa chemise » pense-t-elle ; et elle sourit. Suit une conversation d’usage ou elle est questionnée sur ses origines, son expérience juridique, son désir de venir travailler dans ce lieu. Elle répond avec vivacité, se passionne pour ce qu’elle raconte et son corps en mouvement ne cesse de montrer de nouveaux aspects. A un moment, sous prétexte de récupérer une photo de l’ENM dans son sac, elle se lève, se retourne, et présente son joli cul à son interlocuteur qui en hoquète de surprise. Puis elle se rassoit dans un élégant mouvement du corps qui fait encore remonter sa jupe. Il ne lui reste plus qu’à écarter un peu plus les jambes pour qu’il soit évident qu’elle n’a pas non plus de culotte et que son sexe est glabre. Le « premier » ne trouve d’autre solution que de mettre fin au dialogue et de la raccompagner rapidement, avant qu’elle ne se rende vraiment compte de sa sudation et de l’effet produit sur son bas ventre.

La greffière en chef, vers qui elle a été orientée, l’installe dans son bureau à quelques pas de là. Elle est présentée à toute la juridiction lors de l’audience solennelle qui suit son arrivée, sagement revêtue de sa robe noire de magistrate. Elle fait le tour des services, règle les questions administratives la concernant, fait connaissance avec les autres jeunes juges placés. Ils sont ensemble lorsque tombe l’ordonnance d’affectation de tous pour la semaine suivante. Tout le monde est projeté en juridiction sauf elle qui y est mentionnée : « A la disposition du premier président pour diverses tâches ». Les commentaires vont bon train sur cette étonnante lacune alors que le travail ne manque pas. Une mauvaise langue suggère que le premier compte faire « un usage personnel » de sa consœur. Quelques rires ponctuent la scène. Dès le lendemain, une note énigmatique posée sur son bureau la laisse perplexe : « Retrouvez-moi à l’abbaye de Z. Mon chauffeur vous y conduira dans la matinée ». La signature est illisible mais laisse peu de doute sur l’auteur. Lorsqu’elle rejoint enfin le premier dans la charmante abbaye cistercienne, elle le découvre en plein travail sur des plans de rénovation que le gestionnaire du lieu lui montre. Elle comprendra plus tard qu’il use de toute son influence pour obtenir de son ministère des aides financières pour la rénovation, au prétexte d’y accueillir des détenus en aménagement de peine. Mais là n’est pas, pour l’instant, la question. Tout devient plus clair lorsqu’il fait les présentations et surtout lorsqu’il dit d’elle : « Voilà la petite salope dont je t’ai parlé, qui doit pouvoir réaliser nos pires fantasmes ». Puis, se tournant vers elle : « Auriez vous l’amabilité de nous montrer tous vos trésors cachés, chère enfant ? »
Notre petite juge est à la fois étonnée de cette demande directe et décidée de tout faire pour booster sa carrière avec son cul. Elle laisse tomber sa veste puis son frêle chemisier et dénude ainsi son buste. Ses deux petits seins ronds fascinent ses interlocuteurs. Puis sa jupe tombe sur ses pieds, en corole. Elle en sort en quittant ses chaussures par la même occasion et la voici totalement nue, livrée à eux. Sa chatte lisse et fermée, presque nubile, son petit cul rebondi, ses hanches à la fois discrètes et féminines valent la contemplation. Le gestionnaire s’approche, la prend par la main et dit : « Viens on va te faire visiter et te présenter à tout le monde ». Elle se sent soudain angoissée… Qui est tout ce monde qui va pouvoir la contempler ainsi indécente ?
Ils sortent dans la cour du bâtiment moyenâgeux, le contournent par de jolies petites allées dessinées au milieu des massifs de fleurs. Elle a un peu froid. Elle pense à tous ceux qui peuvent la voir ainsi, y compris depuis la route toute proche. Son pas est hésitant. Le premier lui colle une main aux fesses et la fait avancer tout en la pelotant. Elle n’ose résister et avance dans cette position indécente jusqu’au portail de la chapelle. Un brouhaha sonore règne à l’intérieur. Elle s’arrête à nouveau, la peur au ventre. « Tu étais bien plus bravache hier ! » dit le premier. « Ne crains rien, tu vas vraiment exulter aujourd’hui. Tu vas rencontrer les détenus en placement à l’extérieur ici. La majorité n’a pas vu de femme depuis des années. Ils vont se régaler de toi ! » Et il la pousse dans la chapelle…
La voici nue au milieu d’une dizaine d’hommes en bleu de travail qui se taisent soudain. Le silence lourd renforce sa peur. Elle essaie de contrôler ses émotions et évalue la situation. Rien ne peut empêcher la ruée inéluctable des monstres. La seule urgence c’est de s’en sortir sans y laisser trop de plumes, sans trop de violence, sans perdre le contrôle. Elle prend son inspiration et avance crânement au milieu du groupe. Sa chevelure blonde, sa peau laiteuse, sa nudité totale rendent la scène féérique. Les détenus ne cachent pas leur admiration et leur désir, mais ne semblent pas prêts à tout obtenir par la violence. Certains se désintéressent même de ce qui se passe.

La seule stratégie possible est de se laisser faire, de ne pas résister, de leur offrir le plaisir qu’ils souhaitent sans rien leur refuser en usant de douceur et de soumission. Elle avance encore et sent le groupe se refermer autour d’elle. Elle entend le bruit des fermetures éclairs qui se baissent, voit plusieurs sexes émerger. Au loin, près de la porte, elle voit les sourires amusés et sadiques du premier et du gestionnaire. Ne rien lâcher, survivre à tout prix, leur faire payer l’affront. Elle se sent prête… A la grande surprise de tous, elle ferme les yeux, s’isole et commence à se caresser. Elle insiste sur se seins, descend vers son ventre, glisse entre ses cuisses et masse doucement son clitoris. Autour, la majorité des spectateurs se branle doucement en respectant son rythme. Lorsqu’elle est bien humide, elle écarte sa vulve et pénètre dans son vagin. Après s’être vigoureusement excitée, elle se tord et entre ses doigts trempés de cyprine dans son cul qu’elle ramone aussi.
Tous les spectateurs sont médusés… Soudain elle se redresse et dit d’une voix paisible : « Maintenant, je suis à vous. » Tout le monde est calme autour d’elle. Les mains se tendent et commencent à caresser l’objet offert, timidement d’abord puis de plus en plus vigoureusement. Pas un seul point de son corps n’est laissé libre. Son dos, ses fesses, ses seins, son bas ventre bénéficient d’une attention particulière. Mais aussi sa tête, ses joues, sa nuque, ses cuisses, ses mollets, ses pieds, ses bras. Quant à ses mains, elles ont déjà trouvé deux bites à branler. Rapidement sa peau entière devient érogène et elle se tord, s’écarte, se rétracte, vibre, tremble, tressaute, miaule, chouine, telle une chatte en chaleur.

C’est respectueusement qu’ils vont s’unir à elle. Le plus actif va se dénuder pour la prendre dans ses bras et pénétrer sa chatte. Elle savoure le contact de sa peau rude et poilue contre ses seins et son ventre. Lorsqu’il se couche doucement sur le dos en l’emportant dans sa chute, elle se laisse complétement aller. Les premiers mouvements sont exquis et ses jambes s’écartent par réflexe. Un autre protagoniste, à quatre pattes, en profite pour lui entrer sa longue bite dans le cul, devenu très exposé. Celle-ci entre sans problème dans sa rondelle lubrifiée. Un troisième, accroupi vers sa tête, va faire coulisser un petit vit trapu dans sa bouche. Sa langue et ses lèvres se positionnent autour et commencent délicatement à le sucer. Très vite ils trouvent tous trois une cadence commune et commence une agréable partie carrée de sexe. Son cerveau ne contrôle plus rien ; elle se sent totalement érotisée depuis l’épiderme jusqu’au cœur de ses viscères. Les hommes sont excités et peu entrainés et éjaculent rapidement dans un concert de grognements. Elle aussi se laisse aller rapidement et finit ce coït, grâce entre autres au bénéfice des préliminaires, le corps bandé comme un arc, hurlant de plaisir, sous les bravos des spectateurs.
Les épisodes suivants sont un peu différents grâce à quelques accessoires. Un prie dieu d’abord où on l’installe pieds au sol, mains sur le reposoir. Elle y est prise à plusieurs reprises debout en levrette puis à nouveau sodomisée dans la même position. Elle devra, par ailleurs, à quatre pattes sur une estrade, sucer la queue de deux ou trois autres détenus debout. Couchée, le dos sur un épais tapis, ses petits seins vont être sollicités pour une cravate de notaire qui lui laissera le cou couvert de foutre. Lorsqu’elle est trop épuisée, les derniers crachent, en se branlant, leur semence sur elle, étalée au sol. Son corps entier est moulu, mais il est aussi empli d’une terrible émotion. Sa gorge, son utérus, ses intestins, sa peau sont couverts de liqueur séminale. Elle n’est plus qu’une serpillière à foutre heureuse, comblée. Les commentaires des acteurs sont à leur manière élogieux pour la « petite salope de juge ».
Lorsque ses amants sortent de la chapelle et se dispersent bruyamment en riant, les deux bourreaux s’approchent d’elle et l’aident à se relever. Ils la prennent par les deux bras et l’accompagnent à l’extérieur. Arrivés au milieu de la pelouse le premier dit « Tiens, lave-toi, souillon ! » en lui tendant le bout d’un tuyau d’arrosage. Lorsqu’elle appuie sur la commande, un jet puissant surgit. Elle commence à nettoyer sa peau puis s’attaque à une nécessaire toilette intime. Elle finit accroupie pour accéder plus facilement à l’intérieur de son sexe et de ses fesses.  Au loin, un véhicule passe sur la route et ralentit à hauteur de l’abbaye.  Mais ce n’est pas cet éventuel voyeurisme qui la gêne le plus. Ce qu’elle ne supporte pas, c’est le regard de ces deux hommes murs qui, de toute évidence, se régalent depuis le départ de son indignité. Le gestionnaire lui apporte une serviette, bien trop petite pour pouvoir s’en envelopper, avec laquelle elle se sèche comme elle peut. Avec le premier il l’accompagne à nouveau à l’intérieur du bâtiment non sans l’aider de leurs mains obscènes à franchir les différents obstacles.  Elle s’y rhabille et peut enfin accéder aux toilettes.
Le retour en voiture en compagnie du premier se passe en grande partie dans un silence pesant. A leur arrivée à la ville, elle prend son inspiration et lui dit d’une voix forte : « Si tu veux encore te faire jouir, il va falloir que tu en paie le prix, petit bonhomme ! Je veux choisir toutes les tâches qui me seront confiées avant même que tu publie les tableaux de service. Tu devras être dithyrambique dans tes appréciations annuelles. Tu me feras passer devant tout le monde lors des prochaines propositions de promotion. C’est ce qui me permettra d’oublier un peu comment tu me traites, de n’en parler ni à ta famille ni à notre hiérarchie. » Tout est, par la suite, fait selon son désir. En contrepartie, à compter de ce jour, elle n’a plus le droit au moindre vêtement ou sous-vêtement sous sa robe noire de magistrat, de façon à pouvoir s’exhiber quand on lui demande. Les visites à l’abbaye reviennent régulièrement. Quelques collègues magistrates, greffières, employées participent parfois à ces moments intenses et notre petite juge devient leur mentor en sexe collectif. Tout finira par l’intervention de l’inspection des services judiciaires en d’un psychiatre expert qui recommanda l’hospitalisation psychiatrique du premier. Quant à notre petite juge, elle sut tenir sa langue et continua une brillante carrière.
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