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Takoyaki

Chapitre 1

Entrée à Kagoshima

Erotique
7:00 – Je sentais les premiers rayons du soleil réchauffer ma peau, comme pour faire honneur au surnom de mon pays. Après un peu plus d’une heure de route en transports en commun depuis ma petite ville de Makurazaki, je me retrouvai, bien en avance, devant les hauts murs de pierre de l’université de Kagoshima. Malgré une scolarité pas toujours réussie, j’ai obtenu mon Daigakenyugakehigun et donc mon droit d’entrée dans cette université de l’extrême sud de l’île. Ce n’est pas la plus réputée mais celle privilégiée par les familles méridionales modestes qui ne peuvent loger leurs enfants à Kyoto ou dans la capitale. Je profitais de la petite brise et de la douce lumière qui inondait de plus en plus lorsque je fus sorti de ma torpeur. — "Kojirooooooooo !" J’ouvris les yeux et je vis Hogara venir vers moi en courant, suivi par Satoko qui marchait. Hogara Omoshiroi est mon ami d’enfance. Un peu plus vieux que moi, cheveux orange hirsutes et toujours joyeux et à faire rire son monde. On se connait depuis très jeune et avons fait notre lycée ensemble après son redoublement de première année. Satoko est tout son contraire. Sa timidité, cachée par une coupe au bol de cheveux sombres aux reflets bleutés et ses lunettes n’a d’égale que sa sagesse et son intelligence. Je l’ai connu au lycée et j’ai beaucoup d’admiration pour lui. Arrivé à ma hauteur, il me salua à son tour puis remonta ses lunettes de son majeur. — "Ça y est les gars ! On est à l’université !!!" s’enchanta Hogara.en gigotant dans tous les sens.— "Pas trop long la route ?" me demanda bien plus calmement Satoko, dont les parents l’avaient amené avec Hogara.— "Content d’être arrivé en tout cas"— "Non mais regardez moi toutes ces filles magnifiques !" s’extasia alors Hogara en regardant le flot d’étudiants en uniforme, comme nous, affluer au porche d’entrée. Et c’est vrai qu’on ne savait plus où donner de la tête devant toutes ces filles plus belles les unes que les autres qui passaient devant nous. Une tout particulièrement aimanta mon regard. Ses cheveux bleus mi-longs enrobaient son visage d’ange et son corps était sublimé par ses longues socquettes blanches, sa jupe plissées, son chemisier cintré et sa cravate aux couleurs de l’école qui oscillait entre ses deux seins de taille moyenne. Nous décidâmes de suivre le mouvement lorsque l’on entendit des ricanements derrière nous. Ce furent trois filles qui rigolaient ou, semble-t-il plutôt, se moquaient de nous. — "Y a un problème ?" s’énerva Hogara, vexé.— "Tu ne dois pas savoir qui on est pour nous parler comme ça, Strawberry !" répondit d’un ton sévère la blonde du milieu dont les couettes en spirale atterrissaient sur son opulente poitrine qui était à deux doigt de faire exploser son chemisier.— "Comment ça Strawberry ?" demanda-t-il alors, calmé par le regard perçant de la fille.— "On dirait qu’Ichigo vient de ranger son Zanpakuto…" renchérit sa copine à sa droite, au carré châtain clair et à la poitrine qui tenait la comparaison avec celle de son amie.
Mon ami Hogara était totalement décontenancé, ne comprenant rien et ce fut Satoko qui l’éclaira. — "C’est dans Bleach, tu as la même coiffure que le héros, Ichigo, et son sabre est un zanpakuto" expliqua-t-il très calmement, remontant à nouveau sa monture de son majeur.— "Ah… Je vois qu’il y en a au moins un de réfléchi" lança alors la troisième, une brune plus fine et aux seins plus discrets, aux cheveux longs et à la beauté froide, avant de renchérir.— "On est les représentantes des élèves, et on aime juste bien taquiner les petits nouveaux… Et il vaut mieux être avec nous que contre nous… On va quand même se présenter…" L’animosité ambiante était alors retombée et les trois déléguées se présentèrent alors. — "Voici Reika Kitami, Reona Morimoto et moi-même, Mari Kurihara" exposa la brune montrant ses amies de l’autre extrémité à elle. Nous nous présentâmes à notre tour et nous prirent congés d’elles pour nous diriger vers le rassemblement des nouveaux élèves. On se retrouva entassés dans un grand hall et après un mouvement de foule, je me retrouvai immobilisé entre mes deux amis et surtout contre le dos d’une fille dont la chevelure azur me chatouillait le nez. "Serait-ce cette fille ?" me demandai-je intérieurement. A cette pensée, je sentis mon sexe commencer à tendre mon pantalon de coton et s’écraser contre son fessier. Je priai pour que la taille plutôt modeste de mon sexe soit pour une fois plutôt un avantage que mon habituel complexe et qu’elle ne sente rien. Un nouveau mouvement de foule me poussa en avant et je l’agrippai alors par les épaules pour éviter de tomber et surtout l’entrainer dans ma chute. Elle se retourna suite à l’instantané pardon qui sortit de ma bouche et me sourit comme pour me montrer qu’elle ne m’en voulait pas. Je pus alors m’assurer que c’est bien celle que j’avais remarqué quelques minutes plus tôt. Cela devint ensuite plus calme et la réunion d’accueil démarra. Le doyen pris le micro pour bafouiller les éternelles qualités de son institution avant de laisser la place aux représentantes des élèves. Nous reconnûmes évidemment Reona toujours entourée de Reika et Mari. Elles donnèrent les directives de la vie dans l’université, arguant que leur porte était toujours ouverte en cas de souci. Ce fut ensuite au tour des professeurs de se présenter et ce fut le responsable des profs qui conclut la présentation. C’était un professeur de mathématiques qui venait d’arriver cette année et, vu le brouhaha féminin qui monta dans l’assemblée à son arrivée, celui qui se présenta comme s’appelant Aoi Akuma ne laissait pas la gente féminine indifférente. Il était fin et élancé, brun, et c’est surtout son regard d’un bleu profond que les verres de ses lunettes ne pouvaient atténuer qui semblait faire son effet. Il fut donc le dernier à quitter l’estrade de présentation et nous purent alors retrouver le bon air extérieur et surtout plus de mobilité en attendant notre premier cours qui allait démarrer une heure plus tard. — "Bonjour…" Je me retournai alors vers la petite voix fluette qui venait de nous saluer. — "Bonjour !" répondis-je, accompagné par mes deux acolytes, reconnaissant la fille contre qui j’étais collé contre mon gré juste avant.— "Je me présente, Megumi Suteki, et voici mon amie Hideaki Nadeshiko ! Apparemment, nous allons passer l’année ensemble donc autant faire connaissance !"— "Moi, c’est Hogara, et voici Satoko Shizuka et Kojiro Osoroshi" nous présenta alors mon joyeux ami, surement enflammé par le fait d’être salué par des filles. Nous discutâmes alors, et Megumi, ayant eu sa grande sœur dans cette même université, nous donna divers conseils et nous racontas les petites histoires et légendes urbaines du lieu. Elle nous conseilla surtout de nous méfier des trois déléguées des élèves et nous raconta notamment le mythe du Takoyaki. Ce serait un esprit démoniaque scellé et enterré il y a des millénaires en ces lieux et qui se serait éveillé lors de la construction de l’université. Il hanterait désormais ces murs, selon les versions, en tant qu’entité maléfique à l’apparence humaine ou en parasitant une personne. Ce serait, dans les deux cas, un esprit lubrique auquel personne ne pourrait résister et qui propagerait la luxure dans l’université. — "Mais bon, ça ne reste qu’une légende comme tant d’autre, ce n’est là que pour le folklore et pour attirer les curieux ici !" conclut Megumi, amusée. Cet échange avec Megumi et Hideaki nous permit de patienter jusqu’à notre premier cours qui allait maintenant commencer. On se retrouva assez haut dans l’amphi, pensant être tranquilles lorsque nos deux accompagnatrices soupirèrent de dépit. On comprit assez vite pourquoi et elles nous le confirmèrent lorsqu’elles nous expliquèrent qui venait de s’asseoir derrière nous. — "J’ai le malheur de vous présenter Chikara Takeru et son sbire Buso Kiodai… C’est leur quatrième première année et ce sont autant les cancres que les terreurs de Kagoshima." chuchota Megumi— "Comment vous les connaissez ?" demanda Satoko remontant pour la Nième fois ses lunettes.— "Ils étaient avec ma sœur lors de sa première année et ils sont aussi connu entre ces murs que dans la ville…" expliqua-t-elle alors. Et évidemment, ce sont eux qui lancèrent des sifflement et commentaires malsains à l’entrée de Mme Terumi, notre première professeure, et nouvelle ici, au centre de l’hémicycle. Heureusement, ce ne fut qu’un cours d’introduction car impossible pour nous de suivre avec les deux comparses de derrière dont les commentaires devenaient de plus en plus irrespectueux. Le reste de la journée, les premiers jours et premières semaines se passaient plutôt bien, que ce soit la journée en cours ou le soir à l’internat. Nous restâmes la plupart du temps tous les cinq, évitant autant que possible Chikara et Buso et faisant attention de ne pas froisser les trois déléguées. Mon désir pour Megumi se faisait lui de plus en plus intense mais je n’osais pas l’aborder. Un soir, alors que nous nous baladions dans les allées du campus avec Megumi et Hogara, Hideaki et Satoko préférant parfaire leurs révisions, nous vîmes à la sortie d’un virage Mme Terumi qui semblait acculée par les deux terreurs. Je fus pris de peur puis légèrement d’excitation lorsque Megumi se blottit contre moi. — "On doit faire quelque chose !" nous dit discrètement Hogara.— "Attends un peu, ils ne font rien de mal pour le moment…" répondis-je, un peu poltron.— "Mais tu les entends ?" ajouta-t-il. Et il est vrai que la situation et leurs invectives alternées ne laissaient pas de doute sur leurs intentions… — "Alors Mme Terumi, on se plait bien à Kagoshima ?"— "Ça fait quatre ans qu’on est en putain de première année donc va falloir nous mettre des bonnes notes, d’accord ?"— "Sinon, tu sais ce qui va t’arriver ma petite Keiko ?" Elle était pétrifiée et ne répondait pas plus qu’elle ne bougeait. — "Je suis sûr que c’est une petite cochonne notre prof, t’en penses quoi Buso ?"— "Oui, ça se voit, regarde là ! Je suis sûr qu’elle n’attend qu’une chose, c’est qu’on lui offre nos bites à sucer"— "Allez, on va te montrer qu’on est de gentils garçons et qu’il faudra être gentille avec nous en retour… Allez, mets-toi à genoux petite sal… Putaaaaaaain !!! Qui a fait ça ?!" Je ne me rendis compte qu’au moment où Chikara se tourna vers moi que je venais instinctivement de lui balancer à la tronche le premier truc qui m’était passé sous la main. Je me figeai alors de peur, Megumi collée contre moi et Hogara pas plus fier. — "T’as de la chance Salope… Mais ce n’est que partie remise… Je vais plutôt aller exploser cet enfoiré !" Chikara et Buso se dirigèrent alors vers nous, enragés, laissant Keiko Terumi s’échapper. Et à la vue de leur stature et de la nôtre, je ne donnais pas cher de notre peau. Je demandai à Megumi de s’échapper mais elle refusa. J’avais le sentiment que ça allait vraiment mal finir pour nous. — "Qu’est-ce qu’il se passe ici ?!" Tous les regards se tournèrent vers M. Akuma, le professeur principal qui venait d’arriver, certainement alerté par Mme Terumi. Il nous sauva probablement la vie car les deux cancres arrêtèrent de se diriger vers nous. Non pas qu’ils s’étaient calmés, apeurés par l’arrivée du professeur, mais ils en avaient maintenant après lui. Rien ne semblait donc les arrêter. M. Akuma ne sourcillait pas, même lorsque Chikara arriva à sa hauteur et déclencha un violent coup de poing qui aurait eu raison de moi. Mais, aussi incroyable que cela puisse paraitre, Aoi Akuma l’arrêta instantanément de la paume de sa main, puis referma ses doigts sur le poing de son agresseur avant de lui tordre le poignet jusqu’à le mettre à genoux de douleur. C’était maintenant Buso qui se retrouvait pétrifié de peur, son camarade et chef pliant sous la douleur de cet homme pourtant fluet. M. Akuma saisit son téléphone de l’autre main, écrit un message et quelques minutes après, les trois responsables des élèves, surement destinataires du message, arrivèrent sur les lieux. M. Akuma leur expliqua tout et leur demanda de tout noter et de mettre en place la procédure d’exclusion pour Buso et Chikara. Il lâcha son emprise sur ce dernier et leur signifia de préparer leurs affaires pour quitter immédiatement l’établissement et qu’il valait mieux qu’il ne les revoit pas. Il nous demanda si tout allait bien, ce que nous lui confirmâmes, demandant également des nouvelles de Mme Terumi. Ce professeur avait définitivement une stature incroyable. J’étais réellement impressionné et admiratif et vu ses yeux écarquillés, mon ami semblait dans le même état. Et à la vue des tétons qui pointaient sous le chemisier des quatre filles alors présentes, elles étaient tout aussi charmées, à leur façon. Reika, Reona et Mari semblaient vraiment avoir perdu leur aplomb et ne se firent pas prier lorsque M. Akuma leur demanda de les suivre. Ils s’éloignèrent et nous allions repartir vers nos chambres lorsque Megumi vit la montre argentée au cadran bleu qu’il avait dû perdre en stoppant le coup de poing. — "Il faut aller lui rendre !" dit Megumi.— "Donne, je vais les rattraper et lui rendre ! Retournez vous coucher, il faut se remettre de nos émotions." lui proposai-je— "D’accord… Et… Kojiro…"— "Oui ?"— "Tu as été super courageux !"— "Merci Megumi !" souris-je. Je m’empressai alors d’essayer de les rattraper, le cœur léger après ce que venait de me dire Megumi, qui repartait avec Hogara à l’internat. Je finis par retrouver leur trace les voyant entrer dans le gymnase. Je finis par y arriver à mon tour et j’entrai discrètement pour ne pas déranger une éventuelle réunion. Je passai devant les vestiaires et arrivai à l’entrée du terrain central qui était éclairé. Je regardai par le carreau de la double porte qui permettait d’y accéder et je vis Reika, Reona et Mari, quasiment face à moi, à genoux et mains dans le dos. Je fus stupéfait de voir ça et encore une fois, également gagné par une forme d’excitation. Elles étaient tantôt lèvres mordillées, tantôt bouche ouverte, laissant leur salive couler le long de leur menton et atterrir sur leur chemisier, les yeux fixés sur M. Akuma, de trois quarts dos à moi, qui déboutonnait très lentement sa chemise. Leurs seins devenaient de plus en plus visibles par la transparence grandissante de leur chemisier et leurs tétons tendus ne laissait pas de doute sur leur état d’excitation. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, je n’arrivais pas à réfléchir et ne savait pas comment réagir, ce qui n’était pas le cas de mon sexe qui tendait complètement le tissu de mon pantalon. M. Akuma était alors torse nu, les trois filles, toujours à genoux, écartaient leurs cuisses d’excitation, me laissant admirer leur culotte de coton blanc. C’est alors que deux nouvelles personnes au cheveux rouges, nues, arrivèrent aux côtés de notre professeur.
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