Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 142 J'aime
  • 9 Commentaires

Tal ma meilleure amie

Chapitre 1

La soirée orientale

Lesbienne
Je m’appelle Carmen, mais tout le monde m’appelle Caramel à cause de ma jolie couleur de peau métissée. Je suis une jeune femme de 21 ans, 1m70 pour 65 kilos, j’ai une belle poitrine héritée de ma Brésilienne de mère, et un très joli fessier bien rebondi. J’avoue être très fière de mon corps, mais croyez-le ou non, je suis monstrueusement timide. J’ai très peur d’approcher les gens, et ce, depuis toute petite. Les filles au lycée me traitaient de sainte-ni-touche, ne comprenant pas qu’une fille avec un physique comme le mien soit aussi timide. Mais bon, je m’en fichais, je n’avais pas besoin d’elles. J’avais une seule vraie amie, Tal, ma meilleure amie jusqu’à présent.

Tal est une jolie fille comme moi, mais avec ce petit plus des belles femmes du Moyen-Orient. Je l’admire beaucoup. Elle est très ouverte aux gens et respire de gaieté. Au début, j’étais intimidée par sa jovialité, mais elle avait su me détendre.Elle a des montagnes de mecs qui la draguent, mais ne m’a jamais vraiment parlé d’un potentiel fiancé ou même petit ami. Je n’étais pas en reste sur le nombre de mes prétendants, mais je suis trop timide pour oser quoi que ce soit.
Ce soir, un peu comme tous les samedis, Tal m’avait convaincue de l’accompagner à une fête chez l’un de ses amis de la fac. J’allais encore me retrouver seule pendant 3/4 d’heure avant qu’elle ne vienne me retrouver, mais je laisserai faire comme d’habitude, et la ramènerai un peu bourrée à mon appartement. 21h32 à ma montre. Fallait que je prenne le volant, Tal m’attendait sûrement déjà.
— Alors, on va où ce soir ?— Chez Marwan. Un ami. C’est son anniversaire, donc il organise une fête dans la maison de ses parents.— Ah bon ? Un ami ? Vu comment t’es habillée sexy, t’es sûre que c’est juste pour l’anniv’ d’un ami ?— T’as raison, j’ai porté cette robe parce qu’elle est facile à retirer ! répliqua-t-elle avant de rigoler.
Je la dévisage un moment, surprise par cette réponse à laquelle je ne m’attendais pas, puis démarre en rigolant à mon tour. À peine arrivées, Tal disparaît quand elle se met à saluer tout le monde. J’pars me prendre un verre de je ne sais trop quoi et m’asseoir dans un coin. Il y a vraiment beaucoup de monde, mais la maison est grande, donc on ne se sent pas très étouffés. Au bout d’une quarantaine de minutes, Tal vient me retrouver pour me dit-elle, l’aider à se changer. On monte dans une chambre, et elle m’explique que le cadeau qu’elle a réservé à Marwan est de danser pour lui, donc il y aura un mini-spectacle de danse orientale pendant une dizaine de minutes.
— Depuis quand tu fais de la danse orientale toi ?— Eh ben, faut croire qu’il y a encore un tas de choses que tu sais pas sur moi, chérie. Et puis, je te signale que j’ai des origines han !— Mdrr, j’aimerais bien voir ça.— T’inquiète, tu seras à la première loge. Il faudra que je te vois pour pas trop être stressée.
Je finis de l’aider à s’habiller, mettre tous les accessoires et maquillage. Je la trouve encore plus belle, je l’admire sous toutes les coutures. Sa grosse poitrine est soutenue par un soutien bleu nuit très décoré. Son ventre plat avec un peu d’abdos est découvert. Ses longues jambes se voient à travers le voile transparent les recouvrant. Lorsqu’elle me voit en train de la détailler, elle me fait un sourire que je ne lui connaissais pas. Je souris, gênée.

Elle descend en premier pendant que je reste à ranger les affaires derrière nous. Dans les escaliers, je croise un super beau mec qui me dévisage et me mate un peu. Gênée, je rougis. Il me retient par le bras et me colle à lui. Il me regarde droit dans les yeux, mais je baisse la tête. J’entends une fille crier derrière lui et en profite pour m’en aller. Lorsque j’arrive devant l’estrade improvisée, je vois une Tal tétanisée par la peur. Je lui fais signe de la main et elle se calme d’un coup. Les lumières s’éteignent et la musique commence.
La musique commence et tout le monde se tait. Tal est très concentrée au début et tremble un peu. Elle exécute ses mouvements avec beaucoup de fluidité et de précision. Lorsque la musique accélère, je me mets à battre des mains en rythme, vite suivie par le reste des spectateurs. Elle sourit et se lâche un peu plus. Elle me regarde en dansant et ne me quitte plus. Elle est très sensuelle et me fait des sourires qui me réchauffent le cœur. C’est comme s’il n’y avait qu’elle et moi. Je ne sais pas ce qui se passe, mais c’était à la fois bizarre et plaisant... voire excitant. C’est un peu égocentrique de le dire, mais c’est comme si elle ne dansait plus pour Marwan, mais pour moi. Je la regardais se déhancher, hypnotisée par le mouvement de ses fesses, de ses hanches, de ses seins... Je sens des frissons au niveau de mon bas-ventre... qu’est-ce qui m’arrive ? Je suis en train de mater ma meilleure amie et ça me fait de drôles de sensations...
Je suis surprise par les applaudissements qui résonnent. Tal a fini de danser. Je m’en vais prendre à nouveau un verre au bar pour me sortir ces bêtises de la tête. Le garçon de tout à l’heure y est déjà et me tend un verre. Je le prends en souriant et le bois cul sec. C’était de la vodka-orange, mais avec plus de vodka que de jus d’orange on dirait. Ça me brûle un peu la gorge. On est vite dérangés par une fille qui vient en lui criant dessus. C’est sa copine apparemment. Et elle n’est pas d’accord avec le fait que son mec flirte avec d’autres filles. Tout le monde nous regarde.
— Et toi la pétasse, surtout ne te gêne pas ! me crie-t-elle. Alors comme ça, tu dragues les mecs des autres sans vergogne, comme une chienne. Je sais même pas pourquoi tu traînes avec elle, Tal. C’est qu’une traînée. Tu mérites mieux comme amie...
Quand elle se met à me traiter de tous les noms de putes, je m’éloigne, rouge de honte. Que des connards ces mecs ! Voilà que je me fais traiter d’allumeuse alors que je n’ai rien fait. Et Tal qui n’a rien dit pour me défendre...
Après que Tal ait dit au revoir à tout le monde, on s’en va. Je me sentais monstrueusement mal à l’aise. Je démarre en trombe, furieuse contre ce mec et contre Tal de ne pas m’avoir défendue contre cette fille qu’elle connaissait visiblement. Arrivées à mon appartement, je me dirige directement dans ma chambre.
— Allez, oublie cette histoire. C’est rien ça. Cette meuf, elle est complètement folle. Oublie ce qu’elle t’a dit...— C’est facile à dire. J’ai rien fait moi, c’est lui qui est venu me parler. J’ai rien demandé à personne bordel ! dis-je au bord des larmes. — Bah, t’avais que...— Là, tu retrouves ta langue, dis-moi ! Quand cette fille m’a traitée de tous les noms, t’as rien dit ! Quand elle t’a demandé pourquoi tu étais amie avec quelqu’un comme moi, t’as rien dit non plus ! Franchement, Tal, t’as même pas dit un mot...! criais-je en lui faisant face.— T’as raison... excuse-moi. C’est juste que quand tout ça s’est passé, j’étais un peu ailleurs...— C’est tout ce que t’as à dire ?!
Elle soupire et se débarrasse de son sac à main. Elle réfléchit comme pour savoir par quoi commencer. J’ai hâte de savoir quelles excuses elle pourrait bien me donner.
— En fait, tout à l’heure, quand je dansais, je sais pas, il y a un truc bizarre qui s’est passé. Je te regardais me regarder danser et je me suis sentie hyperbien... tes yeux sur moi étaient si... c’était tellement intense que pour ne pas perdre ça, j’ai dansé comme s’il n’y avait que toi et moi. Donc quand je suis venue te rejoindre au bar et que j’ai trouvé cette scène, j’étais complètement perdue et j’ai pas su réagir...
Alors je n’étais pas la seule à avoir ressenti ça... elle aussi avait senti cette tension entre nous pendant qu’elle dansait. Mes frissons dans le ventre reviennent d’un coup et je décolère de suite. Elle s’approche de moi et essuie du bout des doigts mes larmes.
— T’es ma meilleure amie Caramel, et je te défendrai toujours. Mais là, je sais pas, tu m’as... tu m’as fait perdre mes moyens.
Sa voix est rauque en disant ces derniers mots. Elle me regarde tendrement dans les yeux et descend sa main dans mon coup, d’un geste se voulant caressant. Je frissonne. Elle continue sa caresse, et descend sur le haut de ma poitrine. Je ne sais pas quoi faire, je suis tétanisée. Je baisse les yeux, sûrement toute écarlate. La respiration de Tal se fait lourde, elle tremble un peu. Qu’est-ce qu’elle a ? Quel est ce regard sur ma poitrine ? Dans un éclair de lucidité, je me dégage et recule.
— Qu’est-ce que tu fais...?
Elle ne me répond pas et avance toujours vers moi. Je recule tout de même, déboussolée, et me retrouve dos au mur de ma chambre... merde. Elle approche, souriante, avec dans le regard, quelque chose de différent. Je ne la reconnais pas. Que va-t-elle faire ? J’ai un peu peur et ferme les yeux sans plus pouvoir bouger.Lorsqu’elle arrive près de moi, je sens son souffle sur mon visage.
— Ouvre les yeux, chérie. N’aie pas peur, ce n’est que moi, dit-elle en me caressant le bras.

Je sens sa main chaude sur mon bras. Mon cœur bat vite. Mes poils se hérissent des pieds à la tête. Pourquoi mon corps réagit-il ainsi ?J’ouvre les yeux et me perds dans les siens. Je la regarde... elle est belle. Ses yeux, ses cheveux, son nez, sa bouche... ses lèvres... ses dents, qui se dévoilent dans un sourire.
— T’as vu comment tu regardes mes lèvres ? Toi aussi tu en as envie...— Non...— Si...
Tout se passe très vite... Je n’ai pas le temps de riposter une seconde fois que ses lèvres se posent sur les miennes, en me secouant d’une vive décharge électrique.
Diffuse en direct !
Regarder son live