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Tal ma meilleure amie

Chapitre 2

Découvertes et jeux dangereux

Lesbienne
Tal m’embrasse et mon corps se remplit de frissons. J’aimerais bien l’arrêter, mais comment ? Je ne sais pas. Je voudrais parler, mais sa bouche sur la mienne m’en empêche. Je suis crispée, les yeux fermés, paralysée et un peu tremblante. Remarquant que je ne réponds pas à son baiser, elle s’arrête.
— Qu’est-ce qu’il y a ?
Elle est sérieuse qu’elle me pose cette question ? Ma meilleure amie est en train de m’embrasser dans mon appartement, dans ma chambre, sans mon consentement et elle me demande ce qui se passe.Mais je ne lui dis rien de tout ça...
— Pourquoi tu m’embrasses Tal ? — C’est juste un baiser innocent entre meilleures amies. Beaucoup de gens le font, t’inquiète.— On devrait pas... je ne veux p...— Essaie et si tu ne veux pas, on arrête.
Elle approche sa tête de la mienne et m’embrasse une nouvelle fois. Après quelques secondes, je finis par répondre timidement à son baiser. Elle me suçote les lèvres et je fais pareil. Nos langues se frottent, se caressent. On s’embrasse, elle met ses mains sur ma taille et m’attire plus contre elle. Je mets mes mains sur sa nuque et la lui caresse. Elle me prend la tête pour approfondir notre baiser et je laisse faire. J’aime le goût de sa bouche. J’ai de plus en plus chaud, quand nos seins se touchent et se frottent. Je gémis et je la sens sourire contre mes lèvres. Je me sens excitée. Ce qu’elle me fait m’excite et je me rends compte que c’est en train de devenir plus qu’un baiser innocent.
— Hum Tal, je crois que c’est assez...ça suffit, je ne veux plus, dis-je en m’éloignant.— D’accord, me dit-elle en souriant et un peu à bout de souffle.—... Je vais me doucher.— Oui, je ferais pareil dans ton état.
Je ne sais pas si c’est moi ou cette phrase voulait sous entendre quelque chose.Une fois dans la salle de bain, je m’assois un moment. Je tremble de partout. Tal ne le sait peut-être pas, mais c’est mon premier baiser. J’ai ressenti tellement de sensations en une seule fois que j’ai eu peur. J’ai donc arrêté le baiser. Ce n’était bien sûr pas parce que je ne voulais plus, au contraire. Elle était très sensuelle et douce. Ses lèvres et sa langue dans ma bouche me faisaient le plus grand bien. Mais c’est ma meilleure amie... je dois arrêter d’avoir ce genre de pensée envers elle. De plus, je ne suis pas de ces filles qui aiment les filles... je crois.
Une fois ma douche prise, je me mets un T-shirt et un short très court pour dormir. Tal va se doucher à son tour et j’en profite pour nous faire des croque-monsieur pour calmer nos estomacs et nos ardeurs.
Tal vient me retrouver à la cuisine, vêtue d’un T-shirt aussi et juste d’une culotte.
— Tu veux un croque-monsieur ? Je t’en ai fait un.— Oui oui, volontiers.— Attends, je te le réchauffe.
J’essaie d’atteindre un paquet d’essuie-tout visiblement trop haut pour moi. Tal se propose de m’aider et le fait si vite que je n’ai pas le temps de lui faire de la place. Elle se plaque contre mon dos et récupère le paquet non sans se frotter un peu contre moi. Je sens ses seins sur mes omoplates et en me penchant pour stopper ce contact, j’accentue celui de mes fesses contre son entrejambe. Mon short très court remonte sur mes fesses, qui sont désormais contre sa culotte au niveau de son pubis.
— Voilà ce que tu voulais...— Bah non, j’ai pas fait exprès de...— Je parle du paquet d’essuie-tout.— Oh euh... oui merci...
Elle me le tend et retourne s’asseoir. Je réajuste vite mon short, un peu honteuse. Je la sers et la rejoins à table. Elle me regarde un moment en souriant, je baisse les yeux puis la regarde aussi. On éclate de rire toutes les deux puis commençons à manger en papotant. En mangeant, elle se met du fromage sur le nez et je me moque d’elle. Mais elle s’en débarrasse vite grâce à sa langue. S’il y a une partie de l’anatomie de Tal qui m’avait toujours étonnée, c’est sa langue. Elle a une langue d’une telle longueur, qu’elle pouvait largement toucher son nez, comme maintenant. Je ne pus m’empêcher de la regarder faire en me disant que c’est cette langue qui m’excitait autant, quand elle était dans ma bouche tout à l’heure...
Après une vingtaine de minutes de papotage, nous rangeons tout pour aller nous coucher, après avoir bien sûr brossé nos dents pour chasser l’odeur désagréable du fromage. Comme d’habitude, nous allions dormir ensemble. J’étais à la fois excitée et stressée de savoir comment ça allait se passer. De voir si Tal allait réessayer quelque chose. On se met sous les draps et elle me reparle de la dispute lors de la fête. Apparemment non, elle n’allait plus rien tenter du tout.
— Encore désolée de pas t’avoir défendue tout à l’heure. J’aurais dû. Alice peut être cool, mais c’est surtout une véritable peste.— T’inquiète pas, c’est oublié. J’avais qu’à me défendre moi-même d’abord.— C’est vrai en plus Caramel. Tu devrais arrêter d’être aussi timide.— Je vais y travailler Tal... mais c’est difficile, j’ai toujours été comme ça.— Peut-être, mais il faut que ça change... bon, tu sais quoi ? Comme je suis une bonne amie, je vais t’aider.— Comment ?— Fais-moi un câlin.— Hein ? Sérieux ?— Vas-y !
Je lui tends alors mes bras et elle vient s’y nicher en se mettant au-dessus de moi. Je la serre contre moi pendant plusieurs secondes. J’ai le nez niché dans ses cheveux qui sentent bon le shampooing. Je glisse mes doigts dans sa chevelure et la lui caresse. Au bout d’un instant, elle se relève légèrement. Elle me regarde tendrement droit dans les yeux et se penche pour m’embrasser. Certes, je ne suis pas lesbienne, mais j’avais été tellement excitée tout à l’heure, que je voulais encore revivre ça. Même si c’est ma meilleure amie qui me procure ces sensations. Pour l’heure, je me laisse faire en répondant à son baiser. Mais en même temps, je ne suis pas sûre... je ne sais pas ce que je veux.
— Arrête Tal. Si c’est ça ta méthode, laisse tomber...— Si tu n’en as vraiment pas envie, repousse-moi. Tu dois pouvoir agir comme tu le sens. Sois courageuse. Mais si au contraire, tu restes là... c’est que tu en as envie. C’est ça ma méthode, dit-elle entre deux bisous avant de recommencer à m’embrasser de plus belle.
Est-ce que j’ai seulement vraiment envie d’arrêter ? Je ne pense pas... mais c’est la première fois que je suis aussi proche physiquement de quelqu’un et j’ai quelques réticences.
— Non, arrête...— Bon, écoute Caramel. Arrête de faire la sainte-nitouche parce que si tu n’en avais vraiment pas envie, tes tétons ne seraient pas aussi durs et aussi tendus que maintenant. T’as envie que je continue et plus encore. Montre-le plutôt que de faire semblant du contraire...— OK...
Tal me caresse le ventre par-dessus mon T-shirt. Je l’embrasse, la main dans ses cheveux, j’adore le goût de sa salive... il m’excite. Elle me dit que si j’ai envie qu’elle continue, je dois plus le montrer. Alors je prends sa main et la mets sur mon ventre, à même la peau. C’est ainsi qu’elle me caresse le ventre, je frémis. Elle est si douce. Sa main remonte progressivement jusqu’au-dessous de ma poitrine. Je respire de plus en plus vite. Elle me dit que c’est normal, ce sont les effets d’une forte excitation.
— On t’a déjà caressée comme ça ?— Non...— T’as vraiment jamais fait l’amour ?— Non plus...— Laisse-moi faire chérie, fais-moi confiance.
À ces mots, je savais que Tal ne cherchait plus seulement à m’aider à vaincre ma timidité, mais elle voulait vraiment me faire l’amour. Je lui fais confiance.
Sa main pétrit mon sein, le malaxe. Je sursaute lorsque ses doigts pincent mon téton. Elle le tourne entre son pouce et son index pendant que je lui mords la lèvre d’excitation. Elle râle de plaisir. Elle s’allonge partiellement sur moi en passant une jambe entre les miennes.
Elle s’éloigne de mes lèvres et m’explore le cou de dizaines de baisers et de suçons. Je soupire et gémis doucement. Je me sens me liquéfier tellement c’est bon ce qu’elle me fait. Elle se précipite ensuite sur mon T-shirt qu’elle enlève pour s’occuper de mes seins avec sa bouche. Lorsqu’elle me les lèche, les suce, les mordille, les aspire, je suis aux anges. Je me laisse aller de plus en plus, en passant ma main dans ses cheveux en signe d’encouragement. Je passe ma main dans son dos aussi, mais n’ose pas descendre plus loin. Quand elle continue sa descente en parcourant mon corps de sa langue, je me demande où elle veut en venir. Je lui demande, mais elle ne prend pas la peine de me répondre. Elle se place juste bien entre mes jambes et revient m’embrasser. Cette fois-ci, c’est moi qui attire sa tête à deux mains, comme si elle devait s’échapper.
Sa main réemprunte le chemin qu’avait pris la bouche tout à l’heure et sans avertir, se pose directement sur mon sexe.
— Mmmmmhhhh...
Ce contact me fait frémir. Je suis en train de m’en aller dans une seconde dimension là, je me sens très excitée... La main se met en mouvement autour de mon clitoris et m’arrache de petits cris aigus.
— Han ! Tal... oh mmmh han !— Oui ma chérie, laisse-toi aller. Concentre-toi sur ton plaisir...
Tal me branle vite, masse un de mes seins et lèche l’autre. Je me sens défaillir assez vite par tant de plaisirs reçus en si peu de temps. Je suis secouée par de violents spasmes qui me tétanisent. La présence de Tal entre mes jambes les empêche de se fermer frénétiquement. Je jouis intensément et pousse un long gémissement. Je transpire un peu et respire très fort les yeux clos.
Dans cet état, je ne fais pas attention à Tal qui se relève pour me caresser le corps entier. Je recouvre doucement mes esprits sans qu’elle ne cesse pour autant ses caresses qui deviennent des bisous, le long de l’intérieur de mes cuisses. Je me retrouve entièrement nue lorsqu’elle me retire mon short.
— Qu’est-ce que tu vas faire ? lui demandais-je à peine consciente.
Pour seule réponse, elle fait une grimace en tirant sa langue, qui s’allonge le long de son menton. Elle me donne encore envie de l’embrasser, alors je le fais. Je m’hydrate de sa salive et y prends goût. Je retire à Tal son T-shirt, je passe ma main sur ses gros nichons : qu’ils sont gros et agréables au toucher à la fois ! Je les caresse, les soupèse, les effleure de mes ongles pendant qu’elle gémit un peu dans ma bouche.
— Mmmhhh... j’adore ton initiative chérie, mais je n’en ai pas encore fini avec toi.— Comment ça ? — Ferme les yeux... me chuchote-t-elle en me léchant les lèvres.
Je la sens se déplacer le long de mon corps jusqu’à ce que je sente son souffle sur mon pubis. Oh non... que va-t-elle faire ? Tal commence de petits bisous sur ma toison. Je resserre mes jambes et lui dis que ce qu’elle fait me met mal à l’aise, je trouve ça un peu sale... Elle me dit de la laisser faire, mais je refuse. Alors elle utilise la force : elle prend mes genoux de ses deux mains et m’écarte les jambes. Encore fébrile de mon précédent orgasme, je ne résiste pas bien longtemps. Je n’eus pas le temps de me relever qu’elle plongea sa tête dans mes cuisses, sa langue directement sur mon clitoris.
— Haaannn... oh putaaiiin Taaal...
C’est une tout autre sensation que son doigt tout à l’heure. Sa langue se tortille autour et sur mon clitoris, elle le prend dans sa bouche comme elle le ferait pour une sucette, elle embrasse mes lèvres : c’est merveilleux. Je m’agrippe à mes seins, submergée par le plaisir qu’elle me donne.
Elle me lèche la vulve de haut en bas, avant de s’arrêter à l’entrée de mon vagin où elle fait de petits coups de langue. Au fur et à mesure qu’elle le fait, elle s’enfonce de plus en plus. Après un assez long moment, sa langue durcie se retrouve dans mon vagin, comme le ferait une petite bite. Elle fait des mouvements de va-et-vient avec. Je me remets à trembler à nouveau et à gémir de plus belle, tellement Tal est douée avec sa langue sur ma chatte.
Je suis en train de suffoquer, je m’agrippe à mon lit de plus en plus fort. Je ne suis plus que plaisir, excitation, extase, sexe. Lorsque j’approche de l’orgasme, sa langue se repose sur mon clitoris et elle introduit deux doigts très facilement dans mon antre. Elle y va super vite.
— Haann tes doigts... mmmhhhh oh ta langue ma chériiie... oh tu vas me faire mourir putain... han han han arrêtes stp j’en peux pluuuuss...
Mais elle ne m’écoute pas et redouble d’ardeur. Trente secondes plus tard, je hurle de plaisir. Heureusement, mon appartement est insonorisé, même si je me doute quand même que l’on m’ait entendu dans le voisinage... Je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai du mal à redescendre les étages du paradis saphique dans lequel je me trouve. Ma copine vient se lover contre moi pour m’aider à revenir sur terre, à base de caresses, de baisers du bout des lèvres, de doux regards.
Le brouillard de mes yeux dissipé, je l’embrasse en faisant courir mes mains sur elle. Ses belles fesses attirent mes caresses. Je les lui pétris, les lui griffe, elles sont si fermes et rebondies.
— Mmmhhh Caramel tu vas me faire mouiller encore... mais je veux que tu te reposes.— Hum... d’accord, mais je peux te caresser un tout petit peu ton cul encore stp ? J’en suis tombée amoureuse, je crois.— Hahaha... oui tu peux. Mais pas trop longtemps, je risquerais d’avoir très chaud dans mon entrejambe.
Après quelques minutes, nous nous endormons, nos pieds enchevêtrés. Ses mains sur mes seins et les miennes sur ses fesses.
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