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La Tanière du Loup

Chapitre 2

César

Zoophilie
Le lendemain matin, d’un pas décidé, Emilie se rend aux écuries et entre dans le box de César. Celui-ci la connait par cœur et il se fait docile aux caresses habituelles qu’elle lui prodigue avec amour ; mais ses mains ont aujourd’hui d’autres destinations. Elle commence par les porter vers ses couilles, sorte de boules de pétanque qu’elle soupèse et qu’elle fait balloter doucement. Elle a déjà vu celles de son père, un jour ou par derrière elle l’a surpris en train de chevaucher sa mère dans la buanderie, beaucoup plus petites mais bien pendantes. Elle aperçoit la bite du cheval sortir petit à petit de son fourreau et elle décide de s’en occuper et le branle d’un geste pas très assuré bien qu’elle obtienne une érection comparable à celle d’une saillie ; elle admire ce corps long, épais, dur et tout en continuant de le masturber approche ses lèvres de la colonne, les fait glisser de haut en bas et retour puis sort sa langue et goutte avec envie à ce chibre au moins 4 fois plus long et plus gros que celui de son père ; le gland ne lui parait pas très appétissant et pour aujourd’hui elle préfère s’abstenir de le prendre en bouche, d’ailleurs le pourrait-elle, tant il lui semble gros ?Emilie s’écarte du cheval, vient devant lui et enlève sa petite culotte ; son abricot semble plus gonflé que d’habitude, elle en écarte les lèvres, le sent bien humide et le présente face aux naseaux de César qui le renifle elle voit sa bite se tendre vers le haut pour retomber plusieurs fois de suite comme lorsqu’il sentait le vagin de la jument, mais il hennit, se cabre et Emilie préfère en rester là pour aujourd’hui.Le lendemain elle retourne vers le box de l’étalon et dès qu’elle le caresse elle s’aperçoit que son pénis se met à bander à sa grande satisfaction ; ce matin elle n’a pas mis de petite culotte et à la pensée de revoir César sa chatte est déjà bien trempée, elle la présente comme hier sous ses naseaux, la réaction du cheval est tout de suite visible, sa bite est tendue comme jamais.Emilie la prend en main et décide de frotter le gland contre sa vulve et son clitoris ce qui la transporte déjà au paradis du sexe ; elle entreprend de coordonner les mouvements de masturbation et ceux contre sa chatte, elle plonge bientôt dans un état second et quelques minutes plus tard une jouissance longue et incontrôlable lui parcourt le corps de la tête aux pieds. Si le cheval reste muet, Emilie émet des petits grognements qui vont du grave à l’aigüe en passant par toutes les notes de la gamme. Elle continue néanmoins à masturber le cheval lequel apprécie puisqu’il se met à gicler des flots de sperme qui lui aspergent le ventre, la chatte et les cuisses ; elle se demande si ces jets puissants vont s’arrêter et revenu au calme la bite de César se rétracte aussitôt et rentre dans son fourreauéElle est toute étourdie, ces deux jouissances lui semblent inespérées, mais les instants qu’elle vient de vivre sont pour longtemps gravés dans sa mémoire.Elle se voit frotter son clitoris et sa chatte inondés de sperme, porte ses doigts trempés à ses narines et à sa bouche, les lèche pour connaitre le goût de ce lait curieux, ça n’est ni bon ni mauvais et elle continue de s’abreuver de ce nectar. Il y a des flaques de sperme par terre, Emilie entreprend de nettoyer la litière de César pour que ses parents ne s’aperçoivent de rien.Elle remonte dans sa chambre, fait sa toilette et descend faire le ménage comme sa mère le lui a demandé.La fréquence des visites d’Emilie dans le box de César va inévitablement provoquer la découverte de leurs séances zoophiles. Un matin, son père entre dans l’écurie alors qu’elle se masturbe avec la bite de César en érection. Elle l’aperçoit, pétrifiée, reste figée sur place, son père l’approche doucement et lui dit :— Emilie, ma chérie, je vois qu’on ne s’ennuie pas !Elle est toute étonnée de la réaction décontractée de son père et ne sait trop quoi lui répondre, elle le voit s’approcher encore et lui dit sur le même ton :— Continue, que je vois comment tu t’y prends !— Mais papa, c’est tout ce que tu trouves à me dire ?— Que veux-tu que je te dise ? Si tu m’en avais parlé avant j’aurais pu te donner quelques conseils, mais je vois que c’est trop tard !— Tu m’aurais conseillé au lieu de m’engueuler ?— Si je te l’avais interdit tu serais revenu de toute façon, non ?— C’est possible, oui !— Alors, laisses-moi te regarder faire.— Papa, ta venue m’a fait perdre mes moyens pour aujourd’hui, je préfère que l’on revienne une autre fois.— Comme tu voudras ma chérie !Elle voit son père se toucher la braguette, sans doute pour remettre en place sa bite en érection. Ce geste anodin et peu élégant ranime chez Emilie la tension sexuelle qui l’avait quittée et un instant elle a la tentation de s’approcher de son père pour lui caresser sa queue comme elle vient de le faire avec César. Mais sa pudeur et sa timidité refont surface et elle renonce, d’autant que prise d’un soudain remord, elle se dit que c’est la propriété de sa Maman. Yann, lui, ne pense pas tout à fait la même chose: la vue de sa fille nue, la chatte soumise aux caresses de la bite de l’étalon lui a donné des envies incestueuses et il souhaite secrètement qu’Emilie se rapproche de lui pour le branler et qui sait peut-être en profiter pour la baiser comme il en avait rêvé bien souvent. Finalement l’un et l’autre vont se séparer remettant à plus tard leurs désirs communs étant certains qu’un jour viendra où leurs voeux seront  exhaussés.
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