Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 82 J'aime
  • 7 Commentaires

La Tanière du Loup

Chapitre 6

Zoophilie
Emilie continue à se rendre dans le box de César à intervalles réguliers accompagnée soit de son père, soit de sa mère. Lorsqu’elle est avec sa mère elles se partagent le gâteau et c’est soit l’une soit l’autre qui profite de la bite du cheval. Lorsque c’est avec son père, elle le suce régulièrement pendant que le pénis du cheval lui ramone la chatte et celui-ci apprécie énormément la complicité de sa fille à qui il offre généreusement le fruit de son éjaculation.
Mais un matin alors que Maryse et sa fille se rendent à l’écurie, elles entendent derrière elles la clochette du collier de Toby qui s’approche : habituellement Toby est attaché à sa niche sur le côté ombragé de la maison et celui-ci a donc dû se détacher. Toby est le genre de bâtard improbable, un Rantanplan de Lucky Luke éxilé en Haute-Provence,  au poil ras blanc tacheté de roux et de noir, et pour ne rien arranger il a un œil vert et l’autre marron ! Ce n’est en rien un chien de garde, bien qu’il soit assez agressif avec les étrangers ; Yann et Maryse l’avait recueilli il y a 5 ou 6 ans alors qu’il s’était perdu.
Maryse demande à sa fille si elle ne préfère pas aujourd’hui se concentrer sur le chien dont elle n’a pas encore essayé les bienfaits. Sans hésiter une seconde Emilie est d’accord et elles se dirigent vers la grange là où Emilie avait surpris ses parents en train de baiser avec Toby.
Le chien leur emboîte le pas joyeusement en se léchant les babines et en remuant la queue;  pas si idiot qu’il en a l’air, il a sans doute deviné qu’il allait bientôt se régaler avec ces deux femelles en chaleur et il doit même se dire que cette fois il va pouvoir s’en payer deux pour le prix d’une, ce qui ne lui est jamais arrivé.
Maryse, experte en la matière, dirige les opérations et demande à sa fille de caresser doucement Toby et de diriger sa main vers son fourreau qui cache pour le moment une petite bite rose clair toute molle ; ce faisant elle soulève sa jupe et dévoile sans culotte devant le museau du chien sa chatte dont elle écarte les grandes lèvres ; celui-ci ne se fait pas prier et commence, à grands coups de langue, à lécher le vagin de Maryse et se régale des effluves qu’elle dégage ; Emilie quant à elle branle le pénis de Toby qui commence à prendre forme et couleur ; déjà de petites gouttes de sperme quasi transparent giclent de son tube à intervalles irréguliers et aident la main d’Emilie à coulisser plus agréablement sur le sexe ; sa taille grossit considérablement au point qu’Emilie constate qu’il est plus long que celui de Rémy; si physiquement Toby est loin dêtre une bête de concours, sa bite pourrait bien remporter quelques médailles.
Sa mère lui demande alors de le sucer, Emilie n’hésite pas une seconde et compare tout de suite la différence entre le pénis de son père et celui du chien : l’engin semble plus rugueux et le sperme plus liquide avec un goût assez neutre indéfinissable ; Toby semble un peu déboussolé, ces deux belles lui font perdre sa concentration et tout à coup il leur échappe et se couche à deux mètres se léchant la bite, alors que personne ne lui a demandé de réfléchir.
A force de caresses et de persuasion elles finissent par le remettre dans le droit chemin, mais cette fois c’est vers la chatte d’Emilie que vont ses léchouilles ; celle-ci s’allonge sur le dos, écarte bien les cuisses et profite pour la première fois des largesses de la langue de Toby et dit à sa mère :
— Maman c’est bien meilleur que quand c’est toi ou Papa qui me lèche, sa langue est si large !— Merci Emilie, c’est sympa, arrive à bafouiller Maryse qui a englouti la bite de Toby en mode gorge profonde.
Emilie soulève ses fesses, les cuisses largement ouvertes de façon à ce qu’apparaisse devant le museau du chien la rosace de son cul que celui-ci s’empresse d’inclure à ses mouvements de langues. Une petite minute plus tard Emilie n’en peut plus et se met à quatre pattes suppliant sa mère de lui enfiler la bite de Toby ; la chair chaude et gluante du chien pénètre dans le vagin et déclenche chez Emilie des grognements d’abord sourds, puis lorsqu’il s’affaire de plus en plus rapidement en investissant complètement son intimité, ils deviennent plus aigües et plus forts. Et là tout à coup Toby s’arrête ; l’entrée de la chatte d’Emilie est largement bloquée par une boule écarlate qui écarte ses grandes lèvres au maximum ; quelques gouttes de son sperme ont toutefois réussi à s’échapper avant la fermeture totale de son vagin et maculent ses cuisses. C‘est la première fois qu’elle se trouve dans cette situation et elle s’en inquiète auprès de sa mère.
Celle-ci lui explique de ne pas paniquer, que cela peut durer plus ou moins longtemps, mais que de toute façon la bite du chien finit toujours par ressortir ; Emilie ressent les soubresauts du gros mandrin qui la possède qui accompagnent les petites giclées de sperme qui peu à peu remplissent le peu d’espace qui reste dans sa grotte ; Maryse voit sa fille se trémousser, ses fesses vont de droite et de gauche, la bouche ouverte elle cherche sa respiration, elle semble perdre pied, ses cris étouffés deviennent plus aigus, les dents serrées elle arrive à articuler :
— Maman, je jouis, je jouis...c’est bon... !
Toby, stoïque reste noué à Emilie et ne semble pas apprécier plus que ça le fait de l’avoir amené à l’orgasme. Un homme bomberait le torse, aurait le sourire niais du macho fier de son exploit, dirait béatement « t’as vu ce dont je suis capable » ; Toby lui, se dit tout simplement qu’il vient de faire son boulot de reproducteur.
Insensiblement sa boule semble vouloir coulisser vers l’extérieur, doucement mais sûrement ; et d’un seul coup elle s’échappe libérant un trop plein de sperme qui coule à terre ; dans un dernier hommage le chien vient nettoyer la vulve d’Emilie la laissant groggy, demi-consciente, exténuée. Maryse, elle, est à la fois heureuse pour Emilie et frustrée de n’avoir été que spectatrice, elle aurait bien voulu elle aussi prendre son pied au lieu de se caresser, mais ce n’est que partie remise.
Alors qu’elle relève Emilie, Toby lui aussi se relève et contre toute attente s’approche de Maryse dont il connait parfaitement le corps et debout sur ses pattes arrière se frotte le fourreau contre ses cuisses. Immédiatement elle enlève sa robe et présente son corps nu au chien qui, tout heureux se remet à bander comme un chef aidé en cela par Emilie qui le branle doucement ; Maryse s’assied sur une balle de paille et doit faire face à la fougue de Toby qui lui lèche le visage, les seins, sa bite se glissant dans son entre-jambe ; Maryse s’allonge sur le ballot et présente sa chatte grande ouverte devant le sexe du chien écartant les jambes, la bite de Toby pas encore en totale érection pénètre cependant l’antre qu’il connait bien et baise Maryse en missionnaire.
Cependant, contrairement à Emilie, la boule ne se forme pas, sans doute à cause de sa récente saillie, mais il continue ses va et vient sans un moment de répit ce qui amène Maryse vers un orgasme délirant ; le chien se retire et la langue d’Emilie, dans un geste fou, prend la place de la bite du chien et ramone le bord de la cheminée de sa mère pleine du sperme animal. Sans un regard et sans un mot pour ses femelles, Toby repart vers sa niche prendre un repos bien mérité.
La fille termine son travail sur la mère en remontant vers les seins puis vers la bouche lui faire goûter la liqueur bizarre de l’animal. Elles restent un moment inanimées, couchées sur la botte de paille, avant de se ressaisir et de rentrer vers la maison vaquer à leurs occupations.
Diffuse en direct !
Regarder son live