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La Tanière du Loup

Chapitre 7

Zoophilie
Ce chapitre ne comporte pas de scènes zoophiles, mais il m’a paru plus cohérent de le laisser dans cette catégorie. Merci pour votre compréhension et bonne lecture.
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Au grand dam des touristes qui ne pourront plus se prendre en photo devant les vagues bleutées des champs de lavande, la récolte s’est terminée aujourd’hui ; la dernière remorque chargée de ce précieux produit a fait un dernier voyage vers la distillerie voisine, la récolte a été bonne à la satisfaction de la famille.
Pour fêter cet évènement Maryse et Emilie ont préparé un bon repas auquel Rémy participe ; la nuit est tombée, il fait encore très chaud, les grillons ont remplacé les cigales, le pastis d’abord, le vin rosé ensuite ont échauffé les esprits.
Emilie, particulièrement éméchée, trouve amusant de raconter à l’assemblée l’épisode avec Rémy près de la rivière avec les chèvres; plutôt que chacun soit choqué, l’alcool provoque d’abord l’hilarité puis une forme d’excitation collective, y compris pour Rémy dont on aurait pu penser qu’il soit ennuyé par le récit d’Emilie qui n’oublie aucun détail. Maryse, pompette elle aussi, demande à Rémy de lui montrer cette bite si longue que sa fille vient de vanter; celui-ci rouge de honte n’ose pas trop bouger, c’est Emilie qui s’approche et fait glisser la braguette de Rémy et sort sa queue en érection et commence à le masturber ; d’un clin d’œil elle invite sa mère à s’approcher ; un regard vers Yann qui acquiesce et elle se précipite en trébuchant pour venir emboucher sa très longue bite.
Emilie regarde son père d’un air gourmand ; elle laisse sa mère et Rémy et se dirige vers lui ; elle manie sa braguette avec la même dextérité et va lui offrir une fellation dont il rêvait ; curieusement Yann et Emilie, s’ils ont eu quelques attouchements sexuels n’ont jamais eu de véritables rapports depuis que Yann l’a dépucelée ; en fait celui-ci a culpabilisé de l’avoir fait et malgré une envie pressante n’a jamais voulu la baiser à nouveau ; il semblerait que ce soir sur l’insistance de sa fille il cède à sa pression.
Rémy, lui, a toujours eu pour Maryse une attirance jamais assouvie, alors qu’il eut été plus logique qu’il se rapproche d’Emilie, mais la chair est ainsi faite ; avoir l’objet de ses fantasmes la tête entre ses cuisses en train de le sucer va bien au-delà de ses vœux les plus hardis.
Dans un accord tacite les deux femmes se dénudent et l’une et l’autre chevauchent leur partenaire, positionne leurs chattes au-dessus des queues respectives et commencent un balai coordonné par des gloussements de satisfaction des deux belles ; les deux hommes sont aux anges.
Rémy d’abord, qui voit Maryse pour qui il avait toujours eu quelques désirs cachés, se dodeliner au-dessus de ses couilles, emmanchée sur sa bite, ses petits seins ballotant à la cadence de ses mouvements, sentant son piston s’enfoncer puis ressortir de cette grotte huilée comme une culasse ; la mère après la fille, ce jeune homme un peu rustre se dit que si le paradis existe, c’est au mas qu’il doit se trouver.
Quant à Yann, il laisse sa fille prendre l’initiative ; dans la même position que sa mère, c’est elle qui prend possession de l’épais sexe de son papa en laissant son corps descendre sur lui puis remonter et reproduire à l’infini ce mouvement bienfaiteur, ses fesses claquent sur ses cuisses, les tétons de ses seins plus lourds que ceux de Maryse frottent son buste à chaque va et vient ; il apprécie aujourd’hui cette chatte chaude et humide alors que la première fois elle lui avait laissé un goût amer.
En avance, Maryse et Rémy ressentent les premiers signaux de la jouissance ; ils se manifestent chez elle par des han, han, han plus perceptibles et par un cri soudain qui déchire la nuit au moment où Rémy décharge en elle à grands jets saccadés son liquide blanchâtre ; les deux amants occasionnels reprennent leur souffle et Maryse décide de se mettre en position 69, chacun suçant ou léchant les effluves de l’autre.
Moins pressée, Emilie a des mouvements plus lents, plus accomplis, elle veut prolonger la sensation de ressentir la queue de son père envahir sa chatte et en profiter au maximum ; son dépucelage lui avait également laissé un goût d’inachevé, cette fois elle veut en jouir alors que l’autre fois elle avait subi ; cette jouissance arrive, furtive d’abord, de plus en plus intense, enfin explosive, ce jeune corps plein d’avenir se déchaîne et son père reprend la main en s’activant comme un fou ; les jets de sperme sont à la hauteur des envies de Yann et arrosent copieusement les parois de cette jeune chatte en devenir.
Une fraîcheur relative s’abat sur la pelouse sous le platane et tout le monde se repli à l’intérieur de la maison, les femmes ayant sommairement remis leur robe ; Yann propose un remontant sous forme d’un digestif pour réchauffer l’atmosphère, s’il en était besoin; sur le canapé Emilie déguste la liqueur en se frottant à Rémy tandis que Maryse en fait autant sur les genoux de son Yann qu’elle a retrouvé. Si l’on fait exception des rapports sexuels qu’elle a eus avec les animaux, c’est en effet la première fois que Maryse « trompe » son mari, même s’il lui a donné son accord ; elle n’en a pas moins ressenti un sentiment de culpabilité à son égard, tout simplement parce qu’elle l’aime.
Emilie qui caresse le torse de Rémy lui demande :
— Tu m’avais bien dit qu’il n’y aurait pas de prochaine fois, je crois que tu t’es trompé ?— C’est vrai, j’avais tort, je le reconnais.— Viens me lécher la chatte, mais avant je vais te mettre à poil, laisse-toi faire.
Elle le déshabille doucement et met à jour un corps élancé, musclé, les avant-bras, les jambes et la figure bronzés alors que le reste est d’un blanc laiteux, contraste assez amusant, caractéristique des ouvriers agricoles ; sa queue ramollie se dodeline avec ses couilles dans son entre-jambe, c’est lui qui enlève la robe d’Emilie et la couche délicatement sur le canapé avant de s’allonger sur elle et descendre vers la chatte de la fille de la femme qu’il vient de baiser ; qui l’aurait cru ? il s’applique à frotter sa langue dans tous les recoins de cette huitre ouverte sous l’œil attendri de Yann et Maryse, qui se caressent tendrement ; ces deux-là se chuchotent on ne sait quel complot mais l’autre couple va bientôt savoir de quoi il s’agit : Maryse se lève, se glisse sous Rémy et engloutit sa queue qui a repris quelques formes et se met à le sucer avidement ; Yann lui, présente la sienne devant la bouche d’Emilie qui la connait bien maintenant et se met à la sucer plus calmement.
Ce mélange des corps improbable accentue chez les uns et les autres les tensions sexuelles déjà tendues ; quelques minutes plus tard Emilie a très envie que la bite de Rémy la perfore et lui dit :
— Rémy, s’il te plait, viens m’enfiler, j’en peux plus !
Sa bite tendue quitte la bouche de Maryse et son gland fait face au gouffre dans lequel il vient insérer sa lampe torche qui commence des mouvements rapides, scrutateurs et conquérants ; Maryse n’a pas bougée et assiste au spectacle avec vue imprenable tandis que Yann s’approche et s’enfonce dans cette chatte qu’il connait comme sa poche. Le corps d’Emilie se cabre, s’affole, se trémousse, quelques jurons, puis se relâche, s’abandonne aux derniers assauts de Rémy qui se retire avant les giclées de sperme qu’Emilie ressent sur son ventre telle une averse d’orage.
Les ongles de Maryse s’incrustent dans les fesses de Yann, signe qu’elle aussi est au bord de l’orgasme qui la guette, c’est chose faite lorsqu’un râle bestial résonne sous la voute de la pièce à vivre.
Un grand silence suit cette fin d’orgie dont les participants se rappelleront longtemps ; les parents d’Emilie montent dans leur chambre ; quelques minutes plus tard Emilie en fait autant prenant une main de Rémy, l’entrainant derrière elle, incrédule ; un peu plus tard et pour la première fois, c’est depuis la chambre des parents qu’on entend le lit d’Emilie grincer.
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