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La Tanière du Loup

Chapitre 8

Zoophilie
Le mas a retrouvé sa quiétude après la fin de la récolte des lavandes et la nuit agitée qui s’en est suivie. Les hommes sont occupés à vérifier et éventuellement réparer le matériel avant de le remiser. Les femmes s’occupent de la propreté de la maison délaissée ces derniers temps pour cause de travaux aux champs.

Rémy regagne son village voisin le soir, Emilie ne lui ayant pas demandé de rester ; la nuit qu’il a passé avec elle dans sa chambre a été au-delà de ce qu’il pouvait espérer et restera gravée dans sa mémoire fragile ; mais il ne lui en veut pas, si le corps d’Emilie est bien plus excitant que celui de Maryse, c’est celui-là qui le fait bander, mais il n’ose pas le lui dire et se réfugie dans la masturbation ou en baisant une chèvre ; le bonheur que sa bite a connu l’autre soir en la baisant, cette même bite le retrouve dans le vagin d’une biquette qui, dans sa tête, est celui de Maryse.

Chez Yann, le blocage qui avait suivi le dépucelage d’Emilie s’est éventé après cette soirée et à la moindre occasion il aime se frotter contre elle, lui caresser ses formes avantageuses, la culbuter dans l’écurie lorsqu’ils rendent visite à César ; lorsque la grosse bite de l’étalon pénètre le corridor serré d’Emilie, celui-ci est déjà largement lubrifié par le sperme de son père. Depuis cette fameuse soirée, il arrive qu’après le diner le couple s’invite chez leur fille et Maryse se demande si pour son mari ce n’est pas une manipulation pour baiser sa fille avec la caution de sa femme.

Maryse doute et dans les histoires de cul le doute est ravageur ; elle essaie de faire parler sa fille quand elles sont seules à la maison, mais Emilie ne mord pas à l’hameçon et pour la déstabiliser elle s’approche d’elle, lui met une main aux fesses, l’autre sur le pubis et cela se termine dans l’une des chambres dans un 69 délirant.

Emilie se complait dans ce trio, son père la baise aussi souvent qu’ils le peuvent, sa mère succombe à ses avances dès qu’elle en manifeste le désir et lorsqu’ils sont tous les trois elle ne ressent pas d’inégalité flagrante entre eux. Son attirance débridée pour le sexe tous azimuts lui donne en fait une certaine supériorité sur ses parents qui, sans s’en rendre compte, subissent petit à petit la domination de leur fille. Elle vient d’acheter sur internet quelques godes divers et variés. Le soir dans sa chambre elle essaie entre autre le gode ceinture et se voit déjà enculer père et mère.

Un client fidèle vient d’acheter une pouliche ; le soir au diner, Yann décrète qu’Emilie l’accompagnera pour aller la livrer à 250 kms du mas. Maryse est à la fois stupéfaite et en colère : en effet depuis toujours c’est Rémy qui accompagne Yann dans ces livraisons, mais elle ne dit rien sachant que Yann ne reviendra pas sur sa décision ; celui-ci a vu que sa femme semblait contrariée dit simplement :

— Il faut bien qu’Emilie apprenne toutes les facettes du métier.

Pour faire bonne mesure, le soir au lit, il la transporte vers les sommets de la jouissance qu’elle n’avait pas connue depuis quelques temps. Alors que son mari s’est endormi, Maryse met en place un plan pour que la journée qui vient soit la plus excitante possible.

Le lendemain matin, aux aurores, l’attelage routier quitte le mas sous les regards de Maryse et de Rémy ; dans le meilleur des cas ils ne seront pas de retour avant la fin de l’après-midi.


Dans les cerveaux pourtant inégaux de ces deux-là germe une petite graine identique qui les transporte au début de l’après-midi lorsque Rémy partira avec le troupeau de chèvres ; mais Maryse ne peut pas attendre et rentre dans la maison en entraînant Rémy derrière elle ; dans la cuisine elle lui dit en s’agenouillant :

— Sors ta bite Rémy, je veux la sucer et te faire bander pour qu’elle atteigne sa putain de longueur !

— Quand je pense à l’autre jour je me demande toujours quand on pourra se toucher à nouveau, vas-y Maryse, suces-moi!

Maryse s’applique à avaler sa queue qui vient d’atteindre le maximum de sa longueur impressionnante, elle lui caresse les couilles, un doigt va même jusqu’à s’enfoncer dans son cul. Rémy n’a jamais connu ça et que ce soit Maryse qui lui prodigue ces jouissances le transporte dans un autre monde ; le convoi de Yann n’a pas fait 15 kms que son sperme jaillit dans la bouche de Maryse qui, surprise, manque de s’étouffer et ils en rigolent tous les deux. Maryse se déshabille et s’allonge sur la table en écartant ses cuisses :

— Viens me lécher Rémy, viens exciter mon clito avec ta langue, viens vite !

Rémy s’exécute et avec l’entrain du mâle qui ne baise pas tous les jours, s’applique à satisfaire les moindres désirs de sa patronne laquelle lui dit :

— Dès que tu banderas à nouveau viens t’enfoncer en moi. Je veux ta longue bite dans ma chatte, fais-moi jouir, putain !

Il ne se fait pas prier et s’empresse de violenter Maryse qui dans un délire de cris et de râles succombe à ce bâton rigide qui l’envoie au paradis avant que son homme n’ait dépassé les 25 kms.

— Maintenant il faut aller bosser, Rémy ! Cet après-midi j’irai avec toi conduire le troupeau et je te réserve une surprise !

Vers ,13:30 Remy ouvre la porte aux chèvres. Maryse le rejoint avec Toby en laisse. Il lui dit, outré :

— Tu ne vas pas emmener Toby, il va foutre le bordel au milieu du troupeau !

— T’inquiètes pas, je le tiens en laisse et il m’obéit au doigt et à l’œil.

— Si c’est ça ta surprise, bravo!

 Rémy ne peut pas savoir, mais Toby a fait de gros progrès depuis qu’il a été recueuilli; très instruit malgré ses airs de demeuré,  il rend hommage tous les jours au dieu des animaux mâles, Actéon, pour lui avoir procuré le gîte, le couvert et le sexe chez ces braves gens où il a appris les bonnes manières. Deux choses le tracassent pourtant:  le jour où il rencontrera une vraie femelle canine, il a peur d’être maladroit et il craint qu’elle ne le rejette parce qu’il n’est pas très beau. Mais aujourd’hui il est tout à fait disponible à rendre service à quiconque le lui demandera et comme il a vu Rémy en colère, il se gardera bien d’aller importuner les chèvres; mais il y pense , non...!, ils ne vont pas lui demander de baiser une chèvre...!, quoique!

En chemin ils discutent de choses et d’autres ; Rémy qui ne semble pas être au courant des pratiques des filles avec Toby, s’embrouille les méninges en se demandant pourquoi Maryse a amené le chien, il a bien pensé qu’il serait sans doute question de baiser une chèvre, mais il reste interrogatif sur la présence du chien ; de toute façon il fera bien tout ce qu’elle lui demandera.

Arrivés au fond d’un vallon encaissé, Rémy siffle deux fois et le troupeau s’éparpille à la recherche de branches basses à grignoter.

Ils s’assoient et Toby vient enfoncer sa truffe entre les cuisses de Maryse ; à peine choqué, Rémy en profite pour soulever le bas de sa robe et vois la truffe de Toby contre son pubis poilu sans culotte ; leurs yeux se croisent et manifestent une tension sexuelle bouillonante ; Maryse a déjà la main sur le pénis de Rémy au travers de son short alors que les boutons de sa robe sautent un à un ; ses mains calleuses compressent ses petits seins puis parcourent ce corps tant désiré et butent sur la langue de Toby qui s’affaire sur le clitoris en émoi :

— Rémy, tu pourrais baiser une chèvre devant moi, je sens que ça va terriblement m’exciter ?

— Je veux bien, mais j’ai envie de toi avant !

— Je serai à toi, je te promets, mais ce sera meilleur quand tu m’auras montré avec biquette, ma chatte sera trempée de mouille.

A contre cœur Rémy se lève, d’un œil il parcourt le troupeau, fait son choix, baisse son short, s’astique la bite un moment, frotte longuement son gland contre la vulve et s’introduit doucement dans le vagin animal. Maryse et Toby se sont approchés ; l’un et l’autre regarde l’engin de Rémy coulisser, Maryse masturbe Toby sa bite monte vite en puissance, elle se baisse pour la sucer un moment sous le regard de Rémy, mais le chien est attiré par le couple qui baise et va lécher le cul de Rémy ainsi que ses couilles et les contours du vagin de la chèvre.

Et pour joindre l’acte à la pensée, il se dresse sur ses pattes arrière, oblige Rémy à se baisser, sa longue bite s’active dans tous les sens entre les fesses de Rémy sans trouver  le trou du cul qui semble être la cible ; Maryse l’a bien compris et vient donner son concours en introduisant le sexe rougeoyant du chien dans sa rosace ; celui-ci veut montrer son désaccord, mais c’est trop tard.

Quel attelage mes amis ! La chèvre encaisse les va et vient de la longue bite de Rémy alors que son anus recueille douloureusement les assauts de l’énorme queue de Toby pendant que Maryse jouit du spectacle qu’elle a involontairement (?) crée. Rémy sent l’éjaculation arriver et dans un sourd grondement libère son sperme dans la vagin caprin ; la biquette ayant ressenti l’arrosage de sa bien innocente grotte quitte le convoi et va se repaître de feuilles d’arbousier.

Toby et Rémy n’en ont pas terminé pour autant ; la boule du chien bloque le canal étroit et interdit tout mouvement à sa bite ; Maryse a pris place sous Rémy et lui pompe le dard ramolli avalant les sucs humains et bestiaux. Elle entend Rémy gémir et la maudire, et lui crier :
Po

— Maryse, tu es une vraie salope !

— Je sais Rémy, mais ne te plains pas, bientôt tu me supplieras de recommencer !

Toby dont le sexe envoie de petites giclées de sperme continues dans le tréfonds du corps de Rémy sent sa boule se rétracter doucement et sa bite jaillir d’un coup de l’antre blessée de Rémy qui pousse un grand soupir de soulagement ; Maryse se demande un instant si elle va joindre la bite du chien à celle de Rémy dans sa bouche, mais finalement renonce.

Rémy se relève et scrute instantanément les alentours vers le troupeau ; rassuré il se rassoie après avoir réajusté son short. Maryse vient poser sa tête sur son épaule et ce geste incite Rémy à lui pardonner tous ses excès. Il lui caresse doucement le visage et tente de lui dire :

— Maryse,  je...,

Mais il se ravise, se lève brusquement et siffle pour rameuter le troupeau et aller vers un autre endroit.

Ils arrivent près de la rivière, là où il était avec Emilie il n’y a pas si longtemps et s’arrête à nouveau ; il sort sa gourde, la propose à Maryse qui boit une gorgée avant d’en boire lui-même une bonne rasade ; leurs yeux se croisent et expriment clairement ce qu’ils ne se disent pas de vive voix ; Toby les regarde d’un air interrogateur ; il se dit qu’il aimerait bien baiser Maryse mais il n’ose pas trop les déranger, depuis qu’il est au mas il a apprît à rester discret

Rémy enhardi caresse les cuisses de Maryse puis ses seins et elle commence à parler doucement :

— Je ne sais pas si tu es au courant, mais cela fait longtemps que je baise avec Toby, à chaque fois avec la présence de Yann, tu le savais ?

— Non, même si une fois une allusion d’Emilie m’avait fait penser que c’était possible !

— Mais Toby ne m’a jamais enculé comme toi tout à l’heure et j’aimerai que ce soit avec toi qu’il le fasse !

— Tu sais, au début ça m’a fait assez mal, tu ne crains pas d’avoir mal ?

— Non, tu n’as qu’à me préparer avec ta langue comme cela si je n’ai pas mal ce sera grâce à toi !

Maryse se met à quatre pattes et immédiatement Toby se lève ; Rémy l’écarte en lui disant de patienter un peu ; il soulève la robe de Maryse qui laisse apparaître sa belle paire de fesses bien charnues, il aventure sa langue en haut de la raie et la descend vers son petit trou qu’il investit de sa langue en pointe et la pénètre telle une petite bite qui trouverait sa place dans ce trou mystérieux ; Maryse apprécie cette insertion qui palpe les points sensibles de l’entrée du cul ; de sa main droite Rémy branle le chien dont l’érection est à son maximum ; Rémy se dit que c’est le moment et il pointe la dard du chien face au trou dilaté ; d’un clin d’œil Toby semble le remercier et d’un mouvement brusque perfore l’anus de la dame ; un grand cri interroge les animaux alentour qui stoppent leurs activités, l’œil aux aguets, puis tout redevient normal sauf pour Toby qui n’a pas arrêter de ramoner le tuyau étroit avant de stopper net, la boule écarlate bloquant toute issue.

Maryse dans un souffle confit à Rémy :

— Putain Rémy, il me déchire le cul !

— Je te l’avais dit, ça fait mal !

— Viens sous moi, je veux sentir ta bite dans ma chatte en même temps que celle de Toby dans mon cul !

A force de contorsions il se glisse sous elle et arrive à introduire son sexe dans la chatte de Maryse; paralysée, elle ne peut faire le moindre geste et c’est lui qui lui bourre la grotte à grands coups de reins ; les deux bites sont côte à côte et se frottent au travers de la membrane qui sépare chatte et anus ; ni l’un ni l’autre n’ont jamais connu une telle situation ; la queue du chien s’échappe, il vient lécher l’excédent de sperme qui dégouline sur les cuisses de la belle et part à quelques mètres se reposer ; quand il se lèche la bite, comme tout à l’heure après Rémy, il n’y trouve pas le même goût qu’habituellement, mais sans que cela le perturbe vraiment.

Libérée, Maryse s’agite à nouveau sur le mât de Rémy, elle s’applique à monter et à descendre de façon à faire durer leur plaisir, ses fesses effleurent ses cuisses à chaque descente, la longueur de sa bite fait durer le mouvement, elle veut la garder le plus longtemps possible dans sa chatte en feu et quelques minutes plus tard il jouit bruyamment et l’inonde son jus qui séchappe du vagin et dégouline sur ses couilles. Maryse fait glisser son corps  le long  de celui de Rémy et sa langue trouve sa bite et ses couilles qu’elle nettoie conscencieusement; curieusement ils ne se sont jamais embrassé, elle rectifie cet oubli en lui faisant goûter son sperme bien chaud.

Rémy se redresse, jette un oeil au troupeau; elle est épuisée et repose sa tête sur les genoux de Rémy ; celui-ci, tout en surveillant le troupeau, lui caresse délicatement les cheveux ; Maryse est sous le charme et se laisse aller, heureuse.

Les meilleures choses ayant une fin, (les autres aussi d’ailleurs), il faut bien prendre le chemin du retour, Rémy dirige le troupeau vers le mas, Maryse à ses côtés, Toby suit en laisse ; Maryse a hésité un moment, mais a finalement cédé à la tentation de prendre la main de Rémy ; celui-ci, surpris un instant, l’a accueillie avec un petit sourire satisfait.

Les chèvres sont rentrées, il va falloir maintenant passer à la traite, le travail reprend comme s’il ne c’était rien passé.

Sa journée terminée, Rémy prend sa mobylette pour rentrer chez lui ; Maryse, ténébreuse,  lui fait un petit signe, le regarde s’éloigner, se retourne et rentre chez elle. Son mari et sa fille peuvent bien rentrer quand ils le veulent, c’est le cadet de ses soucis.




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