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Tant que ça reste en famille

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Adèle, âgée de 34 ans, mère abandonnée et qui vit avec son fils Pierre depuis maintenant 5 ans.
Divorcée , j’ai la garde de mon fils qui maintenant a 18 1/2 ans.
J’ai une bonne situation ce qui me permet de l’élever correctement.
Mon histoire a commencé il y a maintenant 6 mois.Il venait de fêter ses 18 ans et comme tous les garçons de son âge, il lui arrivait d’avoir des petites
copines.
Un soir en rentrant du travail, je le découvrais assis devant la télé avec sa petite copine de l’époque qui s’appellait Laurence, il me demanda si elle pouvait rester dîner et dormir à la maison, n’y voyant aucun
inconvénient, j’ai accepté.
Après le dîner, je les ai laissés et allais me coucher, fatiguée par une dure journée.
Au milieu de la nuit comme à mon habitude, j’ai eu des problèmes d’insomnie, je me suis levée pour aller
boire un verre et prendre un cachet dans la salle de bain.
Lorsque je suis entrée dans la salle de bain, j’ai constaté que sa porte était entrebâillée et qu’il y avait
une petite lumière qui venait de sa chambre.

Etonnée qu’il ne soit pas encore endormi à cette heure tardive de la nuit, j’ai voulu aller lui demander
pourquoi il ne dormait pas encore.Mais lorsque je me suis approchée de la porte, j’ai entendu des gémissements, je me suis arrêtée nette.
Par l’entrebâillement, je le voyais en train de baiser Laurence, c’est vrai que j’avais oublié qu’elle
dormait à la maison cette nuit.Laurence était assise à califourchon sur mon fils et il la tenait par les fesses et tous deux rythmaient en
cadence.J’avoue être un peu troublée par cette vision assez érotique et très sensuelle.
Je ne l’avais pas remarqué de suite à cause du peu de lumière provenant de la veilleuse mais il n’était pas
en train de la baiser mais plutôt de la sodomiser car sa queue était plantée dans son cul, et quel cul, il
savait les choisir ses copines.Je les observais encore un petit moment, plus par curiosité qu’autre chose, car je n’avais jamais pratiqué
la sodomie.Je les laissais ensuite, retournant me coucher non sans avoir eu des pensées troublantes sur ce que je
venais de voir.Le lendemain soir, pendant le repas, nous avons discuté de choses et d’autres, de nos journées respectives,
de son avenir, des études qu’il veut faire et de ses intentions vis à vis de Laurence, et à ce propos je lui ai
dit que j’avais entendu leurs ébats la nuit dernière. A c’la, il rétorqua en disant avec un petit sourire que
je ne les avais pas qu’entendu mais vu aussi.Cette remarque me fit rougir ; il m’avoua qu’il avait fait exprès de laisser la porte entre ouverte
connaissant mes insomnies et qu’il m’a vu les observer à travers le miroir de son armoire et que cela l’
avait excité encore plus.« Tu n’as pas honte de me dire ça ? »« Pas du tout, c’est la stricte vérité, et toi qu’en as-tu pensé ? »
Essayant de garder le contrôle de moi-même pour ne pas lui montrer que j’étais un peu gênée par la
question.« J’ai trouvé cela très beau, 2 personnes qui font l’amour est très sensuel »« Cela ne t’a pas un peu excitée toi aussi ? »J’ai vu que la conversation prenait une mauvaise tournure, alors je me suis levée cherchant à débarrasser
la table en espérant qu’il s’en irait vaquer à ses occupations.J’étais donc en train de faire la vaisselle quand je sentis ses mains se poser sur mes hanches, je portais un
jogging rouge et un petit haut à bretelles noir en coton qui s’arrêtait juste au dessus du nombril.
« Qu’est ce que tu fais ? »« Rien de spécial, mais tu n’as pas répondu à ma question, avoue que cela t’a excité au moins un peu, tu
n’as pas eu beaucoup d’amants ces temps-ci, cela doit te manquer un peu quand même, non ! »
« Oui c’est vrai cela m’a un peu troublée, voilà tu as eu ta réponse, laisse moi maintenant terminer de
faire la vaisselle ».
Ses mains sont peu à peu remontées, caressant mon ventre, pour ensuite passer sous mon petit haut et
venir attraper mes seins.
« Que fais-tu, arrête ça tout de suite »Sans m’écouter, il continua ses caresses sur mes seins, jouant avec mes tétons que je sentis durcir malgré
moi.
Coincée entre lui et l’évier, je ne pouvais bouger, je ne savais plus ce qu’il m’arrivait ; mon fils était en
train de me caresser les seins, une situation que je n’aurais jamais imaginée même dans mes pires
cauchemars.J’étais partagée entre arrêter cet acte tabou et celui de me laisser aller à faire quelque chose d’inavouable
mais tellement excitant.C’est lui qui a, en quelque sorte, pris la décision pour moi lorsque sa main gauche a délaissé mon sein et
est descendue, passant la barrière de l’élastique de mon jogging pour arriver entre mes cuisses.« Mais tu mouilles maman ? »
Sa déclaration a brisé définitivement mes dernières volontés, j’ai compris alors que je ne pouvais plus
faire marche arrière et me suis donc laissée aller, telle une poupée de chiffon dans les bras de mon fils.Je basculais ma tête en arrière et pour la première fois, nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser
torride, je sentais son sexe durcir contre mes fesses, notre baiser sembla durer une éternité, j’avais
l’impression que le temps s’était arrêté, je me disais que si c’était un rêve, que jamais je ne me réveille et
que si c’était la réalité, que jamais je ne m’endorme.C’est une fois de plus lui qui m’a fait redescendre sur terre, il a reculé, m’entraînant avec lui, m’a
allongée sur la table de la cuisine, il a ensuite remonté mon haut au dessus de mes seins et à commencé à
me les lécher en mordillant les tétons, j’ai eu un orgasme foudroyant, qui a duré plus d’une minute,
jamais je n’avais ressenti quelque chose de si intense, j’avais l’impression d’avoir perdu connaissance
tellement j’ai joui.Ne me laissant pas un instant de répit, il me retourna et baissa mon jogging à mes pieds, j’étais
complètement dans les vaps, et je le voyais qui dégrafait son jean et baissait son boxer pour faire
apparaître une queue, celle là même qui hier soir était dans les fesses de Laurence.Je me demandais à quelle sauce j’allais être mangée, trop fatiguée pour esquisser le moindre mouvement,
j’étais là le cul à l’air, offerte à mon bourreau de fils.Sans prévenir, il me pénétra de force, je poussais un cri mélangé à un gémissement, il me baisa avec
beaucoup de conviction et de force, j’avais l’impression d’être une chienne, de me sentir sale, d’être une
mère indigne qui baise avec son fils et pourtant je me surprends à aimer cela.
Cette queue qui va et vient me procure le plus grand bien.
Comment peut-on ressentir cela dans de tels moments.(C’est la question que je me pose encore à l’heure actuelle, est-ce que le sexe est plus fort que les liens
familiaux ?).
Quoiqu’il en soit à chaque pénétration, je gémissais de plus en plus fort, c’était tellement bon.
Il m’a redressée pour que je prenne appui sur mes bras afin qu’il puisse saisir mes seins tout en
continuant à me besogner.
Il a ensuite malaxé mes fesses en les écartant, en les triturant dans tous les sens ; il a même insinué un
doigt dans mon cul, mais il a senti que je me contractais à son contact, le retirant de suite il a continué à
me baiser.
Je ne me rappelle plus combien d’orgasmes j’ai eu avant qu’il ne jouisse, je pensais que c’était fini pour ce
soir, qu’il avait eu satisfaction, j’étais loin d’imaginer la suite.Malgré qu’il ait joui, sa queue n’avait pas tout à fait débandé (sûrement du à la force de la jeunesse), moi
étalée sur la table comme un pantin essayant de reprendre tant bien que mal mon souffle, toujours cul à
l’air avec le surplus du sperme de mon fils qui dégoulinait le long de mes jambes.Prétextant me nettoyer un peu, il récupérait le surplus et me le déposa sur l’anus au passage, et sans crier
gare, il me sodomisa, trop fatiguée pour voir venir la chose, j’ai ressenti la pénétration comme un viol,
essayant de me débattre et en lui disant d’arrêter mais il me plaquait fermement sur la table et j’ai du
subir ses assauts pendant plus de 20 min.La douleur était intense mais au bout d’une dizaine de minutes, elle laissa place à des gémissements et je
me surprenais à la fin à couiner comme une chienne en chaleur et à en redemander, il me souria en
disant qu’il savait que j’allais apprécier, il a continué à me sodomiser jusqu’à jouir dans mes entrailles.
J’ai du perdre connaissance, puisque je me suis réveillée le lendemain dans mon lit, en espérant avoir
rêvé de tout cela, mais mon cul endolori et le sperme séché sur les draps et mes cuisses m’ont convaincue
de la réalité des choses.

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