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Tante Aline

Chapitre 2

Apprentissage

Inceste
Quand je reprends mes esprits, elle me berce contre sa poitrine en chantonnant ... Nous sommes tous les deux nus, enlacés ...J’ai un téton à portée de bouche, je le prends délicatement, l’aspire, le suce, je retrouve vite la sensation de la tétée, il faut dire que maman me laissait faire quand elle allaitait ma petite sœur, je buvais un peu de son nectar, pas trop pour en laisser suffisamment ... mais les seins d’Aline sont beaucoup plus petits, j’aime bien cette différence, je me pelotonne contre elle et aspire, comme si j’attendais la source, mais elle se met à pousser de petits gémissements en serrant ma tête contre elle, je vois sa main descendre sur son ventre, glisser entre ses cuisses ...Les gémissements redoublent et quasiment instantanément elle est secouée de frissons violents, me serre encore plus ...
— Oh mon bébé, mon chéri comme c’est bon !!
J’ai de nouveau une érection qui s’écrase contre sa cuisse, tout en me maintenant, elle roule au-dessus de moi, je sens son ventre se poser sur le mien, je n’ai pas lâché son sein, tout son corps me recouvre, je pose les mains sur ses fesses, crochetant de mes doigts la chair abondante ...Tout à coup, le téléphone sonne, c’est un appareil qui est situé au rez-de-chaussée, dans le living. Rapidement elle se lève, dévale l’escalier ... Je l’entends parler, sans distinguer le sens de la conversation. Elle m’appelle, j’arrive toujours nu, elle a passé un tablier qui traînait sur une chaise, mais ne l’a pas fermé, je distingue nettement son ventre blanc qui dépasse du tissu, ses cuisses grasses tout aussi blanches, je suis toujours en érection et m’avance vers elle, elle m’attire, m’embrasse brutalement sur la bouche pendant que j’essaie de la caresser, mais elle se recule prestement.
— Ta maman a téléphoné, il faut que tu rentres, tu dois aller faire quelques commissions pour elle, j’ai dit que nous avions fini ...
Elle voit ma déception.
— Ne sois pas triste, je me suis laissé aller à ton affection et au plaisir, mais nous ne pouvons continuer, c’est mieux comme ça, nous nous verrons toujours ici ou chez toi, mais sans aller plus loin ... je t’aime comme mon fils que je n’ai pas et je t’aime comme celui qui m’a donné tant de plaisir ...
Je suis un peu hébété, j’ai du mal à retrouver mes vêtements, je me souviens m’être dévêtu à la salle de bain, je suis prêt, un dernier bisou sur la joue et je rentre à la maison.Je suis frustré et déçu, il faut juste que j’aille chercher du lait à l’épicerie du village, rien d’autre, me faire revenir pour ça ... Mais je suis conscient de m’être absenté un peu trop longtemps, maman m’a juste demandé si tout s’était bien passé ...Quelques jours plus tard, tante Aline vient à la maison, contrairement à son habitude, elle porte un pantalon assez large qui l’affine un peu, mais sans la mouler comme j’aime, avec un vaste chemisier qui ne dévoile rien, elle voit ma déception mais reste enjouée l’air de n’avoir pas remarqué. Je quitte les deux femmes, vais dans ma chambre, me mets nu, je me jette sur le lit et, jouant des images de notre relation intime, me caresse, donnant à mon érection une dureté peu commune, je me caresse les seins, les fesses, imaginant ses mains sur moi ... je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir, elle apparaît
— Ta maman aimerait que tu viennes nous aider à ...
Elle s’est arrêtée de parler, bouche bée devant le spectacle que je lui donne, elle s’approche, s’agenouille et sans un mot me prend dans sa bouche, sa chaleur me donne des sensations inouïes, elle me caresse aussi les fesses, je retire les mains lui laissant toute la place, c’est alors qu’elle passe dans ma raie ..., je m’offre parce que je me caresse souvent cette partie intime, ça me donne un tas de sensations excitantes;Je me dois de dire que c’est maman qui m’a fait découvrir ce plaisir ... depuis toujours, elle me soigne régulièrement quand je suis fiévreux par l’intromission de suppositoires, encore dernièrement, je suis alité, elle vient près de moi, constate que j’ai de la température et part chercher le médicament, le rituel ne change pas, même compte tenu de mes 18 ans. Je dors toujours avec seulement un haut de pyjama, je l’entends revenir, elle me dit de me tourner sur le côté, rejette le drap, sa main repose sur ma fesse, l’écarte, un doigt humide lubrifie mon anus, puis me dit de me détendre, je laisse aller mes sphincters, je sens quelque chose de froid sur ma rondelle, puis l’objet entre en moi, le doigt suit pour éviter le rejet intempestif, ensuite, les deux mains resserrent mes fesses, durant quelques secondes, une petite tape amicale et le drap est replacé ... un baiser sur ma joue et elle sort.
Depuis quelque temps, ce régime a un autre effet que de calmer ma fièvre, ça me fait bander et, pendant qu’elle a toujours son doigt en moi, je sens du liquide s’écouler de ma verge ...Je reviens à Aline qui répète quasiment les gestes de maman, caressant mon anus, le titillant au point que j’en écarte les jambes de plaisir, elle pousse un peu, mais n’a pas vraiment le temps d’aller plus loin, un orgasme violent me secoue, elle prend tout mon sperme dans la bouche, avale ... puis me laissant là se relève.
— Je n’aurais pas dû ...— Arrête, s’il te plaît, tu m’as fait du bien.
Elle sort de ma chambre et je rejoins rapidement les deux femmes, son regard m’évite systématiquement, je passe l’après-midi à les aider, maman voulait replanter des fleurs au jardin.Cet épisode me laisse sur ma faim d’Aline, je suis affamé d’elle, j’en rêve la nuit, le jour ... Il arrive que maman parte pour la journée, elle prend le train et ne rentre pas avant le soir, papa travaille, je saisis l’occasion pour aller chez Aline.
— Bonjour, je suis venu t’aider— Je n’ai pas besoin d’aide, mais tu peux rester un peu
Elle est comme d’habitude, vêtue de son tablier et cette fois pas de combinaison, juste une culotte dont je distingue nettement les contours sous le tissu.
— J’ai beaucoup pensé à toi depuis que tu es venue à la maison dans ma chambre— Moi aussi j’ai pensé à toi, on ne devrait pas.— Je ne suis pas d’accord, tu m’as offert un grand plaisir— Tu es le fils de mon amie, je suis mariée, nous sommes fautifs, nous ne pouvons avoir ces gestes, ni cette relation, cependant ...— Cependant ??— Cependant tu m’attires, je suis excitée rien qu’en pensant à toi
Je me lève brutalement, la serre dans mes bras, par-derrière, lui prends les seins, le ventre, la caresse.
— Non arrête, il ne faut pas
Comme elle me repousse, je heurte une chaise et je tombe à la renverse, sur les fesses et puis le dos, ma tête heurte le sol avec un bruit mat. Elle se précipite
— Oh mon chéri, je ne voulais pas, comment te sens-tu ?
Elle n’essaie pas de me relever mais me couvre de baisers partout sur le visage, mon front ma bouche mes lèvres qu’elle prend avec avidité et passion, elle est à quatre pattes sur mon côté, ma main glisse sur sa cuisse nue, puis rapidement sur son entrejambe, je sens sa moiteur, elle transpire abondamment, son odeur me parvient, elle écarte les genoux, je fais glisser le bord de sa culotte libérant la voie de son sexe qui s’ouvre à ma pénétration, elle gémit sans s’arrêter, je la sens au bord de l’explosion, je suis à l’étroit dans mon short ...D’un coup elle s’écarte de ma bouche, j’ai toujours un doigt en elle, elle recule, à regret, je dois la lâcher.
— Tu ne vas pas rester allongé à terre, lève-toi
Elle me remet debout, elle a les yeux rouges d’être restée penchée en avant. Nous sommes maintenant debout tous les deux, un peu gauches, entre deux attitudes, elle s’inquiète de savoir si je me suis fait mal, je la rassure.
— Viens, nous serons mieux dans mon lit
Nous montons les quelques marches, elle me poussant dans l’escalier.
— Couche-toi sur le dos
Je m’allonge et elle entreprend de me dévêtir, d’abord le t-shirt qu’elle relève avant de le glisser par-dessus ma tête, elle emprisonne mes tétons entre ses lèvres, ses dents, allant de l’un à l’autre, provoquant des frissons qui me remontent jusque dans la tête, puis elle s’attaque à mon short, caressant sur le tissu mon érection qui est un peu à l’étroit, elle me libère enfin me mettant totalement nu, elle garde son tablier et ses sous-vêtements.Remontant vers mon visage, elle attrape mes bras, les pose sur la tête du lit constituée de barreaux.
— Tiens bien les barreaux, ne les lâche pas, ferme les yeux
Elle s’assoit sur moi à califourchon sur mon ventre, ses mains s’attardent sur ma poitrine, ses doigts font tourner et retourner mes mamelons, parfois les pinçant un peu durement, je gémis un peu quand c’est trop fort.
— Tu aimes ?— Oui, mais pas trop fort— Tu verras tu apprendras que ça peut être très bon !
Elle glisse peu à peu, redescend de mon corps, mon ventre est maintenant l’objet de ses caresses.
— Tu es très beau, tu sais, j’aime tes rondeurs, ces petits bourrelets ici et là.
Continuant son exploration, elle évite soigneusement mon sexe, allant directement sur mes jambes, me plie les genoux, caressant ma peau à l’intérieur des cuisses, là où chaque caresse engendre un frisson de plaisir ...
— Tu es tout doux, comme une fille, j’aime beaucoup ...
Je ne dis rien, je déguste ses caresses, mon érection à son comble.Elle relève mes jambes, les posant sur ses épaules, m’obligeant à soulever mes hanches et mon derrière, ses mains descendent me palper, me caresser, remontant des fesses jusqu’en bas des testicules, j’en ai des sensations extraordinaires, le monde n’existe plus qu’autour de ses mains.Après quelques instants de ces moments sublimes, elle me lâche, se retire.
— Tourne-toi à quatre pattes et reprends le barreau.
Je m’exécute.
— Plie les coudes, mets la tête dans l’oreiller, cambre-toi, écarte les cuisses.
Je suis étonné d’obéir si vite à ses "ordres", ses lèvres se posent en haut de mon dos et descendent lentement le long de ma colonne, pendant que ses mains me caressent les flancs, jusqu’aux hanches, ses lèvres arrivent sur le bas de ma colonne vertébrale, je sens sa langue mouillée titiller l’entrée de mon sillon, ses mains écartent un peu puis de plus en plus mes fesses au fur et à mesure de sa progression lui livrant l’accès à mon anus qu’elle lèche d’abord sur tout le pourtour, puis sans langue chaude s’insinue dans ma rondelle, je ne peux m’empêcher de soupirer de plaisir. Elle se déplace alors se positionnant derrière moi, je sens un doigt se poser puis doucement s’insinuer dans mon trou, mon soupir se transforme en gémissement.
— Tu aimes ça ?— Ouiiii— Comment as-tu appris que tu aimes ça ?
Je lui raconte alors la pratique "suppositoire" de maman, je n’omets aucun détail, à partir du moment où mes fesses sont dénudées, je lui explique la main qui ouvre mon derrière, qui fait apparaître mon œillet, qui l’humecte avec un doigt mouillé de salive et puis qui envoyant le suppôt, laisse son doigt dedans quelques instants pour l’empêcher de ressortir ...
— Qu’est-ce que ça te fait ?— Depuis quelque temps, j’ai chaque fois une érection, mais elle ne le sait pas.— Elle ne le voit pas ?— Je suis couché sur le côté, elle ne voit que mes fesses.
Tout en parlant, je me suis détendu et son doigt est entré profondément, du liquide sort de ma verge, elle commence des va-et-vient, j’ai la respiration haletante.Pas besoin de toucher mon pénis, la sensation est si forte que c’est une longue jouissance et soudain un jet sort, violemment projeté par un spasme, je crie mon plaisir et je m’écroule à plat ventre me séparant de ce doigt qui m’a donné un orgasme si fort.Je reprends finalement peu à peu contact avec la réalité, tante Aline s’est allongée près de moi, je réalise soudain qu’elle est toujours habillée et que je ne me suis pas occupé d’elle.Elle se tourne légèrement vers moi
— Tu fais souvent comme ça, te caresser l’anus pour jouir ?— Quasiment chaque fois, j’aime toucher mes fesses et mon trou.— Tu t’es déjà caressé avec un objet ?
Mal à l’aise, je rougis puis finis par répondre
— Au début, c’était juste avec mes doigts, puis un peu à la fois, j’ai utilisé un crayon, puis le manche arrondi d’une cuillère ... j’essaie de savoir jusqu’où je peux entrer, je mesure la longueur, j’ai déjà rentré tout le manche, mais doucement, j’ai trop peur de me blesser.— Tu aimes ça à cause du suppositoire ?— Oui, j’ai toujours eu des sensations de cette façon, un jour j’ai même mis un miroir derrière moi pour regarder, voir comment c’est quand il s’ouvre.
Elle me regarde avec un sourire bizarre, ses yeux sont plissés, comme si elle scrutait à l’intérieur de moi.
— Tu n’as rien d’autre à me dire à propos de ta maman par exemple ?
J’hésite un moment, puis sa main se pose sur mes fesses, les caresse, les palpe. Je lui raconte alors d’autres sources de plaisir, mais j’ai peur qu’elle ne s’écarte de moi.
— Avant, maman me donnait parfois une fessée ...— Pourquoi ?— J’étais parfois trop turbulent et même désobéissant.— Raconte-moi !— Elle m’appelait près d’elle, mes sœurs étaient là aussi, elle s’asseyait sur une chaise, j’étais face à elle, elle me reprochait mes manquements, j’entendais mes sœurs qui ricanaient ...— Et ensuite ?— Je devais retirer mon short et mon slip, les ôter complètement, les poser sur une chaise et attendre qu’elle me dise d’approcher.— Tu attendais dans cette tenue, tu avais honte ?— Oui, je n’aimais pas mais en même temps, je sentais des picotements dans mon ventre— Des picotements ...?— Oui comme quand je sais que je vais avoir du plaisir, l’excitation juste avant.
J’ai senti sa main se crisper sur ma chair, elle prenait plaisir à mon récit et moi, de lui raconter, je sentais revenir mon érection contre le drap.
— Et après que se passait-il ?— Elle me faisait approcher, me mettait sur son côté, me forçait à me coucher en travers de ses genoux et, tout en répétant les raisons de cette fessée, commençait à me claquer sans se presser, caressant parfois juste avant de frapper, puis les coups devenaient plus forts et plus rapides, je commençais à pleurer, à crier, à la supplier ... Quand enfin elle arrêtait, je pouvais me relever, totalement exposé aux regards de mes sœurs, je massais doucement mes fesses, puis je devais rejoindre le coin, face au mur, les mains sur la tête et attendre qu’elle me dise de me rhabiller.— Elle te laissait longtemps comme ça ?— Parfois oui parfois non mais un jour une de ses connaissances est arrivée inopinément avant que je n’aie eu le temps de me rajuster, elle s’est mise à rire, j’ai dû faire volte-face pour récupérer mes vêtements et je l’ai vue qui me regardait, cela m’a fait tout bizarre, j’ai un peu traîné avant de me rhabiller, je voulais qu’elle me regarde encore ...— Elle l’a fait ?— Oui, je me suis caressé après en voyant dans mon souvenir son regard sur moi.— Tu aimes te montrer nu ?— Je ne sais pas vraiment, mais en tout cas je ressens une forme de plaisir. J’aime montrer mes rondeurs, mon petit sexe, j’en suis presque fier ... Je crois qu’on a envie de me toucher, d’ailleurs je sens souvent une main sur mes fesses, par exemple quand il y a de la foule ou quand une connaissance me fait un bisou de bonjour ...
Je bouge un peu pour me remettre sur le dos, mais le drap colle à ma peau, elle rit.
— Va te laver, je vais le changer pendant ce temps-là
Je passe à la salle de bain, me frotte le ventre avec du savon, la verge aussi qui est redevenue molle, je passe derrière, mes fesses et mon petit trou, avec le savon, ça glisse bien, mon doigt entre dedans, j’y entre un deuxième, j’en éprouve un grand plaisir, je pense à Tante Aline, je me demande comment elle ferait pour me donner une fessée. J’arrête là mes caresses, me rince et reviens dans la chambre.
— Rhabille-toi !— Mais ...— Ne discute pas, dépêche-toi !
C’est sans appel, je récupère mes vêtements, passe le t-shirt, enfile slip et short ... puis je retourne près d’elle.
— C’est comme ça avec ta maman ?— Comment comme ça ?— Quand elle te punit, tu viens près d’elle ainsi ?— Oui, elle me fait venir en face d’elle et elle me dit pourquoi elle me punit— Bon, je vais te punir aussi, voilà pourquoi, d’abord, je t’avais dit de ne plus me caresser ou m’embrasser, tu n’as pas obéi.— Mais ...— Tais-toi ! Ensuite, tu t’es empressé de jouir sans penser à moi.— Mais c’est toi qui ...— Tais-toi ! Et enfin parce que tu as toujours quelque chose à dire, même quand je t’ai ordonné de te taire. — ...— Enlève ton short et ton slip !
C’est un ordre que j’exécute bien volontiers, je me dis qu’elle va juste jouer à la fessée.
— Tu as aussi une érection quand elle te fesse ??— Non, c’est-à-dire, la dernière fois, oui.— C’était quand et pourquoi ?— Il y a deux ou trois mois, elle m’a surpris ... — Que faisais-tu ?— Elle était à la salle de bain et je regardais par le trou de la serrure en me caressant, mais elle avait oublié de prendre ses vêtements et elle est revenue très rapidement près de la porte, je n’ai pas eu le temps de partir ... ni de me remettre en ordre— Tu la regardes souvent ?— Heu ... oui au moins une fois par semaine, je sais quand je suis sûr d’être tranquille pour le faire, sauf que maintenant depuis qu’elle m’a pris, elle prend ses précautions, enfin elle prenait, parce que j’ai trouvé un autre moyen de la regarder.— Donc comme ça, tu espionnes ta maman ! Encore une raison pour te punir.— Tu as trouvé un autre moyen, quand je vais lui dire ça ...— Non, je t’en supplie, ne dis rien, je ferai ce que tu voudras, mais ne dis rien.— On verra, en attendant, approche et couche-toi sur mes genoux, que je voie bien tes fesses dodues.
Elle me bascule promptement, me caresse les fesses doucement, tendrement et sans préavis, me donne une petite claque, ouf, elle frappe moins fort que maman ...C’était juste un échauffement, la voilà qui se déchaîne, clac, clac, clac, les coups pleuvent à grande cadence et bien assénés ... je commence à hurler.
— Arrête, je t’en supplie, arrête, ça fait mal
Elle cesse brusquement, je dois avoir le derrière pourpre.
— Je n’ai pas encore fini, mais tu as raison j’ai mal à la main, lève-toi !
Elle se redresse aussi, m’empoigne le poignet et me plaque face au mur. Puis se baissant elle ramasse une de ses savates et recommence à me frapper, ça fait plus mal que la main encore.Je me mets à pleurer doucement, sans crier, juste un gémissement à chaque coup reçu.Elle s’arrête enfin, me dirige vers le coin.
— Tu restes là jusqu’à mon retour !
Elle sort de la chambre, je l’entends descendre, aller et venir dans la maison, puis elle remonte, passe à la salle de bain, et reviens dans la chambre, je l’entends se mettre sur le lit.
— Tourne-toi, c’est fini ... non reste là ! On dirait que ça te plaît d’être puni ...
En effet, mon érection parle pour moi.
— La dernière fois, quand ta maman a terminé ta fessée, tu étais dans le même état ?— Oui— Qu’a-t-elle dit ?— Que j’étais un petit vicieux qu’elle allait me redresser— Et ...?— Elle est allée chercher une tapette à mouches et m’a frappé la verge en me disant de cesser.— Tu as cessé ?— Non, j’ai subitement éjaculé très fort, puis je suis redevenu tout mou, elle a souri, puis m’a ordonné de tout nettoyer et pas seulement les traces, toute la pièce, en restant le derrière à l’air, puis j’ai dû faire la vaisselle.— C’est une bonne idée, ici aussi, tu vas tout nettoyer, allez viens !
Elle repousse le drap et je la vois totalement nue, jambes ouvertes.
— Tu vois dans quel état tu m’as mise, allez lèche-moi tout ça !
Je m’agenouille, la tête entre ses grosses cuisses, je m’applique à sucer, lécher, aspirer, son clitoris est gonflé, du liquide sort de son vagin, je le bois, ma langue passe de son anus à sa vulve, j’insère la langue le plus profondément possible, j’ose même caresser sa rondelle d’un doigt curieux et inquisiteur ... Elle me presse soudain la tête entre ses cuisses, serrant à m’étouffer, j’entends son cri assourdi par ses chairs qui me compriment le crâne et les oreilles ... après un temps, elle relâcha doucement et je peux me libérer, j’ai le visage trempé de sa mouille ...
— Viens prends-moi maintenant ! Je veux ta queue en moi !
Me dressant sur mes pieds, je la pénètre d’un coup sec, elle me serre très fort en léchant mon visage, recueillant le fruit de sa jouissance.
— Vas-y baise-moi mon fils, mon chéri, mon enfant, mon amour ...
Ses paroles m’aiguillonnent, je la prends avec force, sortant et rentrant tout entier, puis je vais jusqu’au bout et éjacule toute ma semence dans son ventre, elle jouit de nouveau et nous restons enlacés, épuisés, je sens mon corps l’écraser, j’essaie de me glisser de côté, mais elle me tient toujours.Peu à peu, j’arrive à m’étendre à son côté et nous nous endormons ...Au moins une heure a passé, la journée est fort avancée, je lui dis que je dois rentrer avant le retour de maman.
— Tu as raison, mais avant il faut faire ta toilette, tu es trempé et tu sens le sexe !
Je file vite à la salle de bain, elle vient me rejoindre, elle a passé son tablier sans rien dessous, je regarde avec avidité.
— Arrête garnement, ça suffit ... Comment fais-tu pour la regarder maintenant alors, tu ne l’as pas dit ?— J’ai légèrement tourné le grand miroir, ainsi je la vois tout de même alors qu’elle croit être à l’abri.— C’est vrai que tu es un petit vicieux. Tu m’as avoué beaucoup de choses aujourd’hui, je m’en souviendrai, crois-moi !
Elle rit joyeusement puis tout à coup redevient plus sombre
— Il faut que je te dise ...— Quoi donc ?— Si je n’ai pas d’enfant, c’est parce que mon mari est stérile, donc je n’ai jamais pris de contraception, j’espère que tu ne m’as pas mise enceinte ...
Je reste ébahi de cette révélation, moi qui n’avais jamais fait l’amour sauf à mes mains, voilà que je pourrais la mettre enceinte, avoir un bébé. Cette pensée m’obsède tout au long de mon retour et depuis j’y pense régulièrement, d’autant que les visites de Tante Aline se font plus rares. Il est vrai que parfois son mari est à la maison et elle doit s’en occuper sans doute, j’en éprouve presque de la jalousie en plus de mon inquiétude.La suite si vous le voulez
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