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Tante Aline

Chapitre 4

Inceste
Après cette sublime expérience, j’ai fini par trouver le sommeil, non sans avoir essayé d’imaginer comment je pourrais recommencer avec maman. Le lendemain matin, j’en ai tellement envie que ça me fait mal au ventre, je suis tout dressé et dur, je me fais jouir rapidement, il faut que j’aille chez Marc, l’homme qui m’a si gentiment raccompagné, de toute façon, papa est à la maison, je n’ai pas envie de tourner en rond.
Je m’habille léger, s’il faut travailler au jardin, autant ne pas avoir trop chaud, j’emporte juste des chaussures appropriées et un vêtement de travail dans un sac. Je suis à l’adresse indiquée, un portail, une allée, pas de sonnette, j’avance vers la maison, je frappe à la porte sans résultat, elle est fermée, mais j’aperçois un abri en bois dans le fond, la porte est ouverte, sans doute Marc est-il de ce côté-là ...
J’entends une voix puis une autre qui lui répond, je m’avance, le spectacle que je découvre me coupe dans mon élan, Marc est là, en compagnie d’un homme assez jeune, rond, obèse même, assis sur un établi, il est nu, jambes écartées, genoux levés, Marc est entre ses cuisses, nu lui aussi et, visiblement, son sexe est dans l’anus du jeune homme, il effectue des allers-retours, sortant totalement puis revenant, claquant son pubis contre les fesses grasses et molles.
Je me recule, ils ne m’ont pas vu.
— Oh mon chéri, vas-y, prends-moi, je t’aime, continue, c’est bon.
La voix du garçon est haut perchée, on dirait presque une fille ...
— J’aime te faire l’amour, tu m’excites à fond, je vais jouir, je ne tiens plus.
J’entends un gros râle, le bruit du corps qui claque sur les fesses ... Puis tout se calme, juste des murmures ... Je me recule loin, près de l’entrée, je lance un appel sonore.
— Ohé, il y a quelqu’un ?
Je laisse suffisamment de temps pour qu’ils se reprennent, se rajustent, finalement, Marc passe la tête à la porte.
— Ah c’est toi, j’avais oublié que tu venais ... viens, approche.
J’avance jusqu’à lui, la main tendue qu’il serre aussitôt.
— Je te présente un ami, il vient me rendre visite de temps en temps.

Le jeune homme me salue, je peux le détailler plus précisément ... Il doit avoir à peu près mon âge, son teint est rouge, mais sans doute à cause des activités auxquelles ils se livraient tous les deux. Il est plus enveloppé que moi, j’ai pourtant quelques kilos en trop, il semble timide, son short le boudine un peu, son t-shirt aussi d’ailleurs qui laisse apercevoir les formes de sa poitrine et de son ventre ...
— Je ne voudrais pas vous déranger.— Il n’y a pas de dérangement, par contre, je ne saurais pas te prendre ce matin, j’ai à faire.— Ce n’est rien, je reviendrai, préviens-moi quand ce sera possible.
Je prends congé rapidement, le jeune homme semble soulagé de mon départ.Que faire maintenant ? Pas envie de me retrouver en tête à tête avec mes parents. C’est donc naturellement que je me rends chez tante Aline, j’ai besoin de retrouver quelqu’un de confiance qui comprendra l’état d’esprit dans lequel je suis.J’entre comme je fais habituellement, en poussant un "hou, hou" d’annonce et, je me retrouve nez à nez avec son mari.
— Tiens, quel bon vent t’amène ?— Je venais voir tante Aline, mais toi aussi bien sûr ...— Entre, elle est dans le salon.
C’est alors que je remarque qu’il est vêtu d’un tablier passé sur un short, mais sans chemise, c’est un petit homme un peu maigre, du genre insignifiant, d’ailleurs on entend rarement le son de sa voix quand nous sommes tous réunis.
— Entre, mon chéri, viens m’embrasser !
Aline est posée sur le divan, vêtue seulement de sa chemise de nuit, sous laquelle je la devine nue, ses formes dessinées par le fin tissu apparaissent nettement. Je me penche pour l’embrasser, elle tient mon visage à deux mains et ses lèvres se pressent à la commissure des miennes, malgré la présence de son compagnon.
— Enfin Aline, tu pourrais te vêtir plus décemment.— Arrête, on se connaît depuis qu’il est tout petit, je ne vais pas faire de manières. De toute façon, je dois patienter, le temps que tu aies fini de nettoyer la salle de bain, qu’est-ce que tu attends ??— C’est vrai, je termine vite.
Je m’assois à côté d’elle, je la regarde, elle m’excite, rien que de voir son corps, ses formes opulentes, ses cuisses grasses totalement dénudées, je réagis, elle le sait et pose la main directement sur l’effet déformant de mon pantalon. Je suis surpris, mais ne bouge pas, craignant le retour du mari.
— Toujours en forme, mon bébé, montre-moi.— Mais et ...— Ne t’inquiète pas pour lui, il termine son travail ... laisse-toi faire.
Elle se penche et me prend en bouche, me repoussant pour que je m’allonge, je m’abandonne à sa caresse, elle me lèche le prépuce, le mordille aussi, j’aime ça, puis elle dénude le gland, juste avec ses lèvres, et m’aspire en entier ... à ce moment, des pas dans l’escalier nous signalent l’arrivée imminente de son mari. Elle se redresse, me rajuste et nous faisons semblant d’être en grande conversation, juste à temps ...
— J’ai terminé, tu peux aller faire ta toilette.— C’est bien, maintenant, tu vas faire quelques courses, nous serons trois pour le dîner, tu feras du poulet-frites avec une petite salade, j’aime beaucoup ça.
L’homme se prépare rapidement, nous mettons ce temps à profit pour discuter un peu, elle veut absolument savoir ce qui s’est passé après son départ la dernière fois, quand maman semblait fâchée, je me renfrogne et lui dis que je n’étais pas content qu’elle lui ait raconté mes petits secrets, elle rit.
— Ce n’est rien, je t’assure, elle devait déjà se douter de quelque chose, allez, raconte-moi, après mon départ.
Je lui explique tout sans rien omettre, même les détails, je vois l’excitation pétiller dans ses yeux, je n’oublie pas qu’elle a trouvé mon sperme à son goût, mais qu’elle ne veut plus rien faire avec moi ...
— Mais moi, je veux bien, mon chéri, montre-moi, je crois que tu bandes ...
Joignant le geste à la parole, elle me touche à travers le tissu et est heureuse de constater qu’elle a raison, mais son mari vient la saluer avant son départ, il ne semble pas surpris de nous voir si proches.Dès la porte fermée, elle se lève pour vérifier qu’il est bien en route, il a un vélomoteur, c’est bien, parce que le bruit qu’il fait nous donnera des indications sur son retour. Elle m’entraîne rapidement dans sa chambre et s’est déjà dénudée dans l’escalier, me permettant d’admirer sa chair opulente qui tremble à chacun de ses pas, j’y puise une grande excitation.Elle se rue sur le lit.
— Viens, prends-moi, j’ai envie de te sentir bouger en moi !
Je me précipite, nu en deux secondes, comme elle s’est mise en levrette, je saisis ses fesses et mon pénis entre directement dans son fourreau déjà trempé. Je malaxe la chair la pelotant dans tous les sens, mais hélas, ça m’excite tellement que je la remplis quasi instantanément ...
— Tu as déjà fini, et moi alors ... ???
Je suis tout penaud, mais les événements du jour m’ont perturbé plus que je ne croyais, d’abord cette scène d’amour entre Marc et son ami, puis la présence de Guy, le mari, la désinvolture d’Aline qui semble trouver tout amusant ...Pour lui expliquer ma "vitesse" d’exécution, je lui raconte ma découverte de la relation particulière de Marc, je vois son œil qui pétille ...
— Tu aurais aimé être à la place du garçon ?— Heu ... je ne sais pas ...— Menteur, tu ne vas pas t’en tirer comme ça, couche-toi !
Je suis sur le dos, elle m’enfourche alors, posant ses fesses sur mon visage, je dois les écarter avec les mains pour respirer, mais :
— Sans les mains !
Je reçois son imposant fondement sur mon visage, c’est elle qui se frotte, me badigeonnant la figure de mon sperme qui coule, mélangé à sa cyprine, elle est si excitée que je la sens près de l’explosion, je n’ai quasiment plus de souffle, elle s’écarte un peu :
— Sors la langue, lèche-moi.
Ses lèvres et son clitoris sont à portée de ma bouche, tandis que son anus est juste sur mon nez, j’entre ma langue aussi profondément que possible et pousse le nez dans son petit trou, enivré par ses saveurs et ses relents. Elle jouit violemment, au point de m’inonder de son plaisir, puis elle reste là prostrée, j’ai peine à respirer, sa chair molle et flasque s’étale maintenant, m’immobilisant totalement, enfin elle roule sur le côté ...Nous sommes là, affalés sur le lit, épuisés par ce violent accès de plaisir, quelques minutes s’écoulent puis elle se tourne vers moi
— La vérité maintenant, tu aurais aimé ... ?— Oui, je crois bien, mais je n’ai jamais essayé ...
Elle sourit alors de cette manière qui me laisse chaque fois l’impression qu’elle a préparé quelque chose, elle se lève, j’admire toujours sa plastique impressionnante, il me semble qu’elle est un peu plus ronde, mais curieux, je la vois attraper un paquet au-dessus de l’armoire, je suis déçu, c’est un paquet anonyme ...
— Ferme les yeux.— Mais ...
Elle se penche, me donne une claque sur la cuisse, répétant son ordre. J’obtempère, le bruit d’un papier déchiré, puis un autre, puis un silence brisé seulement par la respiration un peu oppressée d’Aline ... Un bruit de tiroir qu’on ouvre ... Puis je sens ses mains me lever les jambes en me pliant les genoux, ce qui a pour effet d’exposer mon anus, rapidement caressé par un doigt qui s’insinue et pénètre facilement, sans doute enduit de gel ... puis un autre, j’éprouve un grand plaisir, je suis rapidement en érection, les doigts me lâchent, quelque chose de plus ferme, mais tendre à la fois se presse sur ma rondelle, puis entre doucement, lentement, profondément, elle a posé mes genoux sur ses épaules, maintenant de ses deux mains, mais alors qui tient le gode que je devine ?
— Tu aimes, mon chéri ? Laisse les yeux fermés, imagine que c’est ton ami qui te prend.
Elle commence des mouvements de va-et-vient et la scène de ce matin passe dans ma mémoire, je me vois à la place du garçon, pénétré, sodomisé par la belle queue de Marc ..., les coups de boutoir sont de plus en plus prononcés, je gémis et, sans avertissement, un jet de sperme gicle sur mon ventre, me provoquant un plaisir intense et quelque part inconnu. Elle reste en moi, continuant sa manœuvre et, à son tour, émet un feulement de tigresse, lâchant sa jouissance.Elle se retire délicatement, je l’entends se lever et j’ose ouvrir les yeux ...Un gode tenu par un harnais pointe à hauteur de son pubis, la ceinture se perd dans les plis graisseux, à tel point qu’on pourrait croire, avec un peu d’imagination, que le sexe tendu est le sien. Nous nous remettons côte à côte, mais le temps passe ...Un bruit de pétarade, je saute du lit, elle rit, mais file à la salle de bain, pendant ce temps, je me rhabille et donne un peu d’ordre à la chambre, j’aère aussi, car ça sent vraiment le sexe.
Je descends rapidement pour l’aider à rentrer ses courses, nous faisons du rangement, je remarque qu’il semble un peu triste ...
— Tout va bien, Guy ?— Oui, oui ... enfin, on fait aller.— Ah bon, que se passe-t-il, tu es malade, des ennuis au travail ?— Non, de ce côté, tout va bien ... oh et puis après tout, tu es assez grand pour savoir un peu plus.
Le voilà qui me raconte ses déboires avec Aline, qu’il n’arrive pas à avoir une érection suffisante pour la pénétrer, pourtant, il aurait aimé avoir un enfant, dans mon genre, gentil et serviable et joli garçon ... De toute façon, ça n’arrivera pas, dit-il, et puis ...Il s’arrête brusquement de parler, pensant en avoir trop dit.
— Et puis quoi ? Tu peux parler, tu sais, je ne dirai rien.— Tu le jures, même pas à Aline ?— Oui, promis !— C’est la première fois que je peux me confier à quelqu’un, j’en ai marre de garder tout ça secret ...
Il me raconte alors qu’il se sent attiré par les hommes ...J’en reste abasourdi. Il déballe alors que son rêve serait d’avoir un homme qui le prend, il rêve de sodomie et, pourquoi pas, qui le domine aussi ... Un grand silence s’établit entre nous, nous percevons les joyeuses notes poussées par Aline dans son bain ...
— Tu as promis, rappelle-toi ... !— Oui, bien sûr, je ne dirai rien ...— Tu y as déjà pensé, toi ... ?— Pas vraiment comme ça, je connais des hommes attirés par les hommes, mais je n’ai jamais rien fait ...
Après un silence gêné pendant lequel il tient les yeux baissés, il continue :
— Tu te souviens, quand je t’emmenais à la piscine, nous partagions la même cabine, je t’ai enlevé ton slip de bain trempé qui collait sur toi, je te trouvais très beau, j’admirais ton corps, si lisse, si rond, tes belles fesses toutes rebondies, ton ventre ... ton pénis que je trouvais si mignon, tout recroquevillé à cause de l’eau froide, je rêvais de le réchauffer dans ma bouche ...
Je passais la serviette dans ton dos, sur tes cuisses que tu écartais pour me faciliter le passage, tu le ne voyais pas, mais je bandais ... oui je bandais, mais tu étais trop jeune. Tu es toujours aussi beau maintenant, je te retrouve en plus grand et plus âgé aussi, mais avec le même corps qui m’a fait rêver ...
Je comprends maintenant pourquoi il insistait tellement pour que je l’accompagne, Aline n’aime pas nager, il était donc sûr qu’elle ne viendrait pas avec nous. Beaucoup d’images me reviennent et, tout récemment, je l’ai surpris, alors que je prenais le soleil sur la terrasse en compagnie de sa femme, il apportait des rafraîchissements, le regard braqué sur moi ... L’autre jour, il est entré dans la salle de bain pendant que je me changeais, j’étais nu, il est resté un moment avant de s’excuser, mais j’ai dit pas grave, tu m’as déjà vu, ses yeux parcouraient toutes les parties de mon corps avec tant de désir, que j’en ai été décontenancé, mais aussi, je dois l’avouer, titillé par l’excitation de m’exhiber. J’ai d’ailleurs retardé le moment de me couvrir.
Tout à coup, Aline l’appelle, il se recule comme s’il s’était brûlé
— Guy, où as-tu mis les sels de bain ?— Dans l’armoire, sous l’évier.
Comme elle ne trouve pas, il monte pour les lui donner. Je reste un long moment à méditer sur ce qu’il m’a avoué et je me prends à l’imaginer m’offrant son corps et ses fesses ...Vais-je en parler à Aline, j’ai promis, mais ...
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