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Ma tante de 45 ans est sublime

Chapitre 4

Inceste
À 18 heures pile, comme un fonctionnaire, je filai dans mon studio pour mieux rejoindre ma tante plus tard. Sur le chemin, j’en profitai pour acheter un bouquet de fleurs, mélange de marguerites et de roses. J’arrivai devant la maison de ma tante en faisant un « ouf » de soulagement, en apercevant sa voiture. Je pris soin de me garer comme d’habitude à 50 mètres environ, encore pour ne pas attirer l’attention des voisins... quand ce n’était pas celle des collègues. En arrivant, je sonnai et ma tante vint m’ouvrir, sans veste, avec son chemisier beige clair qui fit apparaître la pointe de ses seins vigoureux à souhait...
— Oh non, il ne fallait pas... C’est tellement gentil !
En guise de récompense, j’eus droit à un long baiser qui dura bien quelques minutes, une fois la porte fermée. « La prochaine fois, j’achèterai à nouveau des fleurs... » pensai-je en silence.
— Tu sais, Jean, ce serait plus simple que je te donne un double des clés, chéri.
Quand je pense que ma tante m’appelait "chéri", cela me faisait tout drôle. Ma tante était devenue ma compagne, la compagne de mes rêves les plus fous. Avec ma tante, je réalisais l’impossible – baiser, certes – mais aussi être aimé par une femme de sa classe, de son âge, si mûre et sensuelle à la fois.
Elle partit dans la cuisine chercher un vase puis revint dans le salon. Elle posa le bouquet sur la table à apéritif puis vint se blottir contre moi, et enleva ses chaussures. Je lui passai le bras autour du cou en lui dégrafant son chemisier, sans oublier de coller mes lèvres contre les siennes.
— Tu sens super bon ; tu as pris une douche ?— Oui, Jean, comme je savais que tu venais... me dit-elle avec un sourire coquin.
J’arrêtai de l’embrasser pour me lever et lui proposer un verre. En toute simplicité, nous prîmes un Coca. Je vins me rasseoir près d’elle sur son grand canapé. Nous avions allumé la télé pour regarder les actualités et ma tante, assise à mes côtés avec le chemisier ouvert, me donnait une vue imprenable sur sa poitrine.
— Tu as remarqué que j’ai enlevé mon soutien-gorge... me dit-elle.
Ah ça, je l’avais remarqué ! Je voyais la pointe de ses jolis tétons à travers son chemisier, ce qui était, avouons-le, super excitant de la voir ainsi aussi "légère". Je regardais ses seins majestueux en forme de poire, symbole de la féminité. Ses mamelons roses pointaient vers moi : la douche avait fait son effet, ainsi que ma présence. Voir ou deviner sa poitrine sous son chemisier était devenu un objet de convoitise, et une furieuse envie s’empara de moi. Tandis que ma tante regardait les infos, je lui pris sa poitrine en dessinant des courbes avec mes mains.
— Dis donc, mon neveu, tu en profites...— Avec des seins aussi beaux, je ne vais pas les laisser dans leur coin !
Je fumais rarement, mais pour l’occasion j’avais préparé une cigarette avec cette substance illicite en Angleterre comme en France. Ce n’était pas la fin du monde : c’était bien légal dans certains pays européens, voire dans des États américains ; même certains politiciens avaient avoué eux-mêmes avoir essayé. Je savais ma tante réticente à toute sorte de drogue – si l’on peut appeler ainsi cette substance – mais je savais qu’il lui arrivait de fumer une cigarette si d’aventure une occasion se présentait.
Je sortis ladite "cigarette" puis ajoutai :
— Tu n’as rien contre ?— Non, mais je te préviens : je ne fume pas ce genre de truc.— Tu peux essayer ; tu sais, c’est juste pour être cool.
Je pris ma première bouffée, et dans l’instant qui suivit ma tante s’empressa de me dire :
— Ça sent bon, ton machin...— Goûte, Chantal, prends une taffe ; tu verras, ça ne peut pas te faire de mal.
Ma tante porta la fameuse cigarette à sa bouche puis tira dessus en toussotant un peu.Je lui tendis un verre :
— Reprends un peu de Coca.
Elle en rit sur le coup puis reprit une deuxième bouffée et me tendit le joint. Ma tante commença à parler puis eut quelques fous-rires et me demanda à nouveau si elle pouvait fumer, ce qu’elle fit.
Je changeai de chaîne pour regarder une émission sur les fonds marins, tout en effleurant avec la paume de ma main son mamelon. Son téton étant coincé entre mon pouce et mon index, je sentis que la pression que j’exerçais l’excitait follement. De sa propre initiative, Chantal ôta son chemisier puis sa jupe ; je précisai que le slip pourrait faire partie du voyage !
Elle était nue et recroquevillée contre moi ; je continuai néanmoins à exercer ma pression sur son mamelon qui doubla de volume.
— Tu sais que tu m’excites ? J’ai une idée, chéri !— Ah bon ? Et laquelle, Tatie ?— Enlève ton pantalon : il est temps que je prenne soin de toi comme tu le fais pour moi.
Je crois que cette cigarette avait provoqué une vive réaction érotique chez ma tante...
Chantal se leva et se mit devant moi, entièrement nue. Une fois de plus, je contemplai le corps parfait de ma tante. Elle n’éprouva aucune gêne en se montrant nue face à moi, avec sa poitrine en alerte et son sexe en attente d’un rapport avec son jeune amant.
— Comment veux-tu que je m’installe ? dit-elle avec un sourire rempli de malice.
Je l’invitai à venir près de moi pour s’allonger sur le canapé. Avec soin, je pris sa tête, l’embrassai puis lui indiquai qu’elle serait mieux sur mes genoux. Ainsi, j’avais ma tante allongée sur mes cuisses, entièrement nue. Dans cette position, je pouvais allègrement lui caresser son formidable cul, toucher sa belle chatte et prendre d’une main l’un de ses jolis pieds.
Puis, "la cigarette" aidant, ma tante, sa tête posée sur mes genoux, approcha ses lèvres de mon sexe et le prit délicatement avec la main pour le porter à sa hauteur. Elle joua avec en lui faisant des baisers, puis avec la pointe de sa langue elle s’amusa à le toucher, le lécher sans le décalotter. Elle s’y prenait comme une reine. Je lui caressai le visage tandis qu’elle continuait son "jeu", à ma plus grande joie.
— Ça t’excite ?— Oui, Chantal, énormément...
Ma tante finit par arrêter de me lécher le gland puis le prit avec la main et le dirigea sur ses lèvres de long en large tout en faisant des baisers. Elle ne voyait pas le temps passer, trop occupée à choyer mon sexe devenu le sien. Peut-être était-ce une impression, mais Chantal prenait un plaisir fou à jouer avec ma verge gorgée à souhait. Elle se mit à la sucer lentement, délicatement, sans empressement. Elle alterna de façon subtile son va-et-vient pour venir lécher avec la pointe de sa langue le bout de mon gland ; c’était un spectacle éblouissant : j’avais sa tête sur mes genoux et elle m’engloutissait la verge à son bon vouloir au fond de sa bouche.
Je crois bien qu’elle était dans son monde depuis qu’elle avait fumé. Il n’y avait plus que mon sexe qui comptait pour elle ; il était devenu son instrument à elle. Elle était véritablement amoureuse de lui, folle de plaisir de pouvoir tantôt le sucer, le lécher, le décalotter, l’embrasser, le gober à peine bouche. C’était comme son objet de jouissance dont elle prenait le plus grand soin. Elle s’y prenait avec une telle douceur qu’on eût cru qu’elle avait peur de l’abîmer : c’était sa façon à elle de le protéger ou de mieux le connaître quand elle l’aurait au fond d’elle-même. Elle "câlinait" ma verge comme une mère rassure son petit. Puis elle ralentit et me regarda, curieuse.
— Jean... Tu aimerais que j’aille jusqu’au bout ?
En guise de réponse, une longue caresse sur son visage l’invita à continuer son œuvre remarquable. Chantal accéléra le mouvement mais de façon modérée, toujours aussi sensuelle. Elle "m’avait" en bouche en permanence, elle faisait ce qu’elle voulait ; tantôt elle m’aspirait tout en jouant avec sa langue, tantôt elle me couvrait de petits baisers, comme exténuée par le plaisir que mon sexe lui procurait.
Ma tante me suçait telle une déesse ; pour l’encourager – mais était-ce nécessaire ? – je lui caressai son intimité totalement ouverte pour y glisser un, puis deux de mes doigts. Cela lui procura un petit gémissement, ce qui eut pour effet d’augmenter sa cadence avec sa bouche si agile.
Cela faisait près d’une demi-heure que Chantal, allongée, me suçait avec délectation sur une zone érogène stratégique ; les premiers spasmes, que je contenais depuis un certain moment, se firent plus présents. Je caressais toute sa chair ; elle m’appartenait entièrement. Je la regardais me sucer, je la regardais tant elle s’appliquait... tant elle aimait mon sexe qu’elle choyait comme un bijou.
— Chantal, je crois que je viens...— Viens, mon neveu, viens dans la bouche de ta Chantal !
D’un seul coup, un long jet de bonheur se déversa dans la bouche de ma tante qui, imperturbable, continua de pomper l’objet du plaisir tout en avalant une première gorgée. Elle se recula d’un ou deux centimètres pour le deuxième jet, qui lui éclaboussa ses douces lèvres. Elle s’empressa avec sa langue et ses doigts de s’essuyer la bouche pour mieux m’aspirer. Elle avala une nouvelle fois ma liqueur.
— Continue de me sucer, Tatie...— Oui, mon amour.
Et ainsi elle continua à gober mon gland avec amour, m’aspirant totalement avec sa bouche. Je la caressais sans retenue, lui enfonçant sans difficulté mes deux doigts dans sa chatte brûlante, appelant à se faire pénétrer au plus vite. L’expression n’est guère plaisante, mais force était de constater que ma tante m’avait littéralement "vidé", forte de son expérience, de l’habilité de ses mains et de sa langue si précise.
— Ça t’a plu, mon chéri ?— Il faudra que tu recommences, ma Tatie !— Sans problème, mon amour.
Nous nous levâmes et je fis un baiser dans le cou de ma tante ; elle en frissonna de plaisir. Ma tante était un peu fatiguée. Il était 21 heures, aussi je lui proposai de faire la cuisine.
Nous dînâmes dans la salle à manger, en tête-à-tête. Ma tante ayant repris ses esprits, elle me regarda avec un air un peu gêné, gênée de s’être autant défoulée, autant lâchée avec moi.
— Tatie, ce que tu m’as fait a été merveilleux ; je reste sans voix...— Oui, je l’avoue, je n’ai jamais été aussi loin avec un homme : tu me fais faire des choses !— Bah tu sais, j’ai comme l’impression que tu as pris ton pied toi aussi !
En guise de réponse, elle me fit un de ses sourires coquins, dont elle seule avait le secret.
— C’était très bon ce que tu as cuisiné, mon chéri. Je suis fatiguée ; on va se coucher ?— Je débarrasse, Tatie, et je te rejoins.— Non, je vais t’aider.
Nous rangeâmes la cuisine puis éteignîmes le bas pour monter dans la chambre. Je fis un brin de toilette, ma tante se coiffa les cheveux ; je vis qu’elle était fatiguée et que nous allions passer une bonne nuit de sommeil. Ma tante vint me rejoindre dans le lit ; elle prit soin d’ôter sa nuisette et vint se coller nue contre moi. Nous bavardâmes en nous regardant, tout en échangeant de longs baisers agrémentés de caresses mutuelles. Je la câlinais à mon gré, effleurant sa peau douce.
— Jean, tu es vraiment un expert en caresses ; tu ne peux pas savoir comme ça m’apaise.— Avec toi, c’est un régal, Chantal.
Puis nous éteignîmes la lumière et je sentis le souffle chaud de ma tante bien-aimée.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis les doigts fins de ma tante qui, sous le drap, s’emparaient de mon sexe, mou pour la circonstance. Elle reprit ce qu’elle avait commencé auparavant, et visiblement, elle n’était guère rassasiée.
— Dis donc, Tatie, t’es une gourmande !— Tu as pu constater que j’étais au régime depuis un certain temps...— Oui, mais quelle santé, ma tante !— Je profite de mon neveu adoré...— T’es une vraie couguar !
Chantal se mit à éclater de rire.
— Tu es un jeune mâle bien vigoureux ; il faut bien que ta tante soit à la hauteur de ton appétit sexuel !— Alors viens sur moi...
Ma tante s’approcha et vint se mettre sur moi. La lampe de chevet étant allumée, je me fis une joie d’enlever le drap qui nous recouvrait. Ainsi, je pus admirer ma tante, tête relevée, me souriant avec des yeux malicieux. Je me plus à lui caresser ses épaules charmantes tandis que Chantal se mettait à osciller du bassin, ce qui provoqua en moi ce que l’on est en droit d’imaginer chez un jeune homme de 18 ans.
— Alors, ma tante ? Je vous sens mouiller à souhait ; auriez-vous une idée derrière la tête ?
Chantal se prit au jeu du vouvoiement.
— Que voulez-vous, mon neveu, la Nature vous a comblé, et votre tante va tenter de répondre à vos attentes.— Faites, ma chère ; venez vous glisser en moi.— Mais que croyez-vous ? Je viens me glisser en vous pour mieux vous sentir en moi.
Ma tante souleva légèrement son bassin, saisit mon membre pour l’entraîner dans son orifice qui attendait depuis un bon moment. Ce fut sans difficulté que Chantal "entra" en moi, délicieusement. Elle continua ses mouvements. Je lui caressais désormais le dos pour finir par son adorable derrière.
— Mon Dieu, comme j’aime te sentir en moi, Jean ! C’est dingue, une sensation pareille !— Oui, c’est dingue avec toi.
Comme elle aimait se faire pénétrer par son neveu ! Elle gémissait tendrement, affectueusement dans le creux de mon oreille. Oui, c’était dingue d’entendre ma tante de 45 ans en train de gémir de plaisir, du plaisir de sentir mon sexe en elle, de se faire baiser par un jeune de 18 ans.
Puis lentement, elle se redressa, le buste bien en avant. Quel spectacle m’offrit ma tante... J’avais devant moi – ou plutôt sur moi – cette femme mûre avec ses seins arrogants.
Je la pris par les hanches et lui caressai ses seins enflammés. Chantal saisit mon index, le porta à sa bouche et se mit à le sucer tout en finesse. Elle me jeta un regard complice avec mon index dans sa bouche : comme elle était devenue libertine, ma tante si réservée auparavant ! Elle se laissait aller totalement avec moi, un brin joueuse, comme libérée de ces années mornes. Quel bonheur de la voir ainsi et de savoir combien elle me faisait confiance !
— Je garde ton doigt, mais si tu me fais jouir... je risque de le mordre !— Continue, que je te fasse jouir, ma Tatie, et mords-moi d’amour.
Pour moi, le rêve se poursuivait. Nous étions le premier jour de la semaine, il était environ 22 heures et j’avais ma tante sur moi en train de se faire pénétrer et qui gesticulait pour mieux jouir en moi !
— C’est bon de t’avoir sur moi, Chantal...— Tu ne peux pas savoir ce que j’éprouve en ce moment ; et tu es tellement dur... C’est incroyable, ce que tu me fais !
Sur ces belles paroles, je lui donnai un coup de reins, ce qui engendra un petit cri étouffé de sa part. Je sentis que Chantal "s’épanouissait" suite à mes petits coups secs ; elle – ou plutôt son sexe – s’ouvrait sous mes lames affinées. Je la vis me mordiller l’index avec ses belles dents recouvertes de ses lèvres.
— Viens, Jean, je n’en peux plus...— Oui... Ouiii...
Mes mains se firent plus virulentes sur ses hanches admirables ; je "tenais" ma tante et lui calquais le rythme. À ce moment précis, j’avais oublié les années qui nous séparaient ; elle était devenue "ma poule que je baise". N’y pouvant plus, je lâchai un long râle de plaisir, en pleine jouissance.
— Oh, nom de Dieu, que c’est bon de te baiser !— Je t’aime, Jean ! me cria-t-elle dans sa chambre aux volets fermés.
Mes mots sortirent de ma bouche à l’instant même où Chantal me mordit le doigt, folle de plaisir, en pleine jouissance. Elle se tenait sur moi, prenant ma main avec mon index et s’appuyant avec l’autre main sur mon torse. De par sa position, elle me donna l’impression qu’elle me chevauchait, telle une Amazone sur son étalon rempli de vitalité. Qu’elle était belle à voir, les cheveux en bataille, ses seins agités, les yeux hagards, perdue dans sa douce folie d’un soir avec son neveu !
De longues caresses sur les cuisses de ma douce achevèrent cette cavalcade tantôt bestiale, tantôt romantique. Elle vint s’allonger sur moi, brûlée d’amour.
— Oh, mon chéri, c’est trop merveilleux ce que je ressens avec toi...— Tu en as connu, des hommes...— Oui, mais toi, tu as 25 ans de moins, tu es super bien monté et tu me fais jouir à chaque fois différemment.— Tu as 45 ans, tu es super bien foutue, et j’ai tout le temps envie de te baiser... même si tu es ma tante.— Oui, tu as tout le temps envie !
Chantal, avec ce que je venais de dire à l’instant, réalisa notre relation incestueuse.
— Jean, c’est vrai, tu es mon neveu et tu es plus jeune que mon fils. Mais cette semaine, j’oublie tout. J’ai mon homme – enfin, mon neveu – à la maison, et je compte bien en profiter !
Après ces paroles, Chantal resta allongée en respirant avec un rythme soutenu. Sa jouissance avait été si puissante qu’elle me garda en elle. Je ne bougeais plus : j’appréciais d’être en elle, dans sa chaleur intime qu’elle me faisait partager. J’avais ce plaisir de me sentir bloqué à l’intérieur de ma tante, qui se laissait caresser à ma guise.La belle cavalière avait pris le meilleur de son étalon !
Je fis un baiser à ma douce campagne, oubliant qu’elle était ma tante que je chérissais tant.Nos yeux se fermèrent instantanément.

[à suivre]
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