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Ma tante de 45 ans est sublime

Chapitre 9

Inceste
La situation s’annonça compliquée.Ma tante arriva et me fit signe de loin. Il fallut que nous eûmes une discussion à notre sujet.Ce lundi me parut maussade. Midi, l’heure du déjeuner avec ma tante.
Nous choisîmes une table à l’écart des collègues. La tante m’expliqua brièvement les faits.Elle devait dorénavant rentrer pour 18h30, afin d’aider Andrew dans son traitement. Il était très affaibli et ne pouvait pas faire grand-chose. Bref, son autonomie était réduite. S’il m’avait écouté ! La maison de repos aurait été plus évidente au regard de son état. Plus de bêtises dans le bureau de ma tante également, elle me fit comprendre que cela aurait pu lui coûter sa place.
Elle me parla des week ends. Là encore, elle ne pouvait pas laisser seul Andrew. Je commençai à adorer cet oncle qui me pourrissait la vie (!).
— Chantal, si je comprends bien, on ne va plus se voir.— Mon chéri, on se verra de temps en temps.— Bref, c’est fini.— Ne le prends pas comme ça, je suis si malheureuse.— J’ai tellement envie de toi.— Oh mon chéri, si tu savais; je vais m’arranger mais laisse-moi du temps.
Je vis les yeux de ma tante essuyer une légère larme. Elle aussi en souffrait. Nous avions passé une semaine de rêve et tout à coup, nous étions à l’arrêt.Chantal se leva, prit son plateau et regagna les étages supérieurs.
Je restai devant mon plat. Hagard, désemparé, désorienté. Machinalement, je me joins à des collègues pour engager une conversation d’une niaiserie sans borne. Je les fis rire en leur parlant de nos habitudes de Français. Ce fut bien le seul moment de la journée sans penser à ma tante.
Lundi passa, puis ce fut le tour de mardi, mercredi...
Toujours ce rituel avec ma tante pour déjeuner, toujours à la même table. Le fait ne plus pouvoir la baiser me fit l’observer dans ses moindres détails. Elle, si sex-appeal me donnait des frissons rien qu’à la voir se déplacer, me parler. Je compris que j’étais totalement amoureux de ma tante.
— Chantal, je suis raide de toi, tu comprends ça ?— Et moi Jean, tu t’imagines quoi ? J’en crève de ne plus te voir !— Nous sommes déjà vendredi.— Oui et Andrew aimerait te voir demain après-midi.— D’accord, je viendrai et je récupérerai mon linge.
En effet, l’option linge fut encore mise de côté, ma tante ne pouvant s’absenter durant la semaine, à cause de son mari, il aurait été incongru qu’elle vienne me l’apporter.L’occasion m’était donnée de venir la voir. Ça s’agitait sec dans ma tête, mais il me fallait rester calme et méthodique. Aux yeux de tous, Chantal était ma tante, je restais son jeune neveu de tout juste 19 ans. Ma relation avec une femme mariée de 45 ans, qui plus est ma tante restait impensable.
Samedi
J’allais dire comme d’habitude je me garai devant la maison de ma tante, mais cette fois ce fut juste en face. Avec les clés en poche (!), je m’approchai de la sonnette. A ma grande surprise, ce fut Andrew qui m’accueillit. Il avait la tête des mauvais jours. Chantal étant partie faire quelques courses, il insista pour que nous prenions un verre sur la terrasse. Je vis à son expression que quelque chose le tracassait.
— Jean, je suis inquiet au sujet de ta tante, as-tu remarqué qu’elle avait perdu sa gaieté habituelle ?— J’avoue qu’elle me parait préoccupée, elle stresse de te savoir seul, mais sans doute, elle n’ose pas te le dire.— Il me reste encore deux semaines de soins et elle ne sort pratiquement plus.— Oui et je peux faire quelque chose ?— Si ça ne t’ennuie pas, accepterais-tu d’aller avec elle ce soir au vernissage d’un ami peintre ?— Oui mon oncle.— Je préfère qu’elle ne soit pas seule.— Je repasserai dans ce cas.— Non non ! Elle va arriver et mon infirmière aussi pour mes piqûres.— D’accord !— Et propose lui de prendre un bain de soleil, elle est pâle comme la mort et en plus, elle m’a dit qu’elle adore ta compagnie (!).
Chantal arriva en même temps que l’infirmière. Mon oncle lui expliqua notre conversation, ma tante en fut ravie. Puis mon oncle monta. Nous fûmes un court instant ensemble, je pris ma tante par la taille, elle m’enlaça à son tour. Nous échangeâmes un baiser savoureux. Soudainement l’infirmière redescendit, la tension d’Andrew l’inquiétait. Gentiment, elle proposa d’emmener mon oncle pour l’hospitaliser par précaution. Ma tante lui fit un sourire narquois. Andrew descendit en nous rassurant. Une fois parti, ma tante se confia.
— Pourquoi ce sourire Chantal ?— Il se tape l’infirmière !— Oh ?— Si tu savais comme je m’en fous !— Il m’a proposé de t’accompagner à un vernissage.— Oui on ira, ça me changera.— Et que tu prennes un bain de soleil.— Ah oui mais uniquement si tu me mets de la crème !
Je n’eus pas le temps de finir, ma tante monta se mettre en maillot. Et dire que mon oncle trompait sa si jolie femme. Il faut reconnaître que l’infirmière était plus jeune mais moins bien foutue que ma tante et puis chacun ses goûts ! Je m’affairai à mettre les transats en place. J’entendis des bruits de talons dans le salon. Le rêve était en marche...
Ma tante se présenta à moi dans un bikini rose fluo. Fabuleuse de grâce, éblouissante de charme, éclatante de féminité. Cette fois, je devins la banquise avec le réchauffement climatique ! Je fondai. J’avoue ne penser à rien. Je regardai ou mieux, je contemplai ma tante, féline au diable. 
— Wouah quelle couleur !— Je l’ai acheté pour toi.— T’es juste géniale, t’es magique !— Oh ça ne m’empêche pas d’être cocue par une jeunette !— Eh bien je préfère ma tante à cette jeunette.— Tu parles, une vieille de 45 ans...— Tu as un corps sublime, tu le sais; je vais te mettre de la crème.— Est-ce bien utile mon chéri ? dit-elle, fière de mes derniers propos.
Ma tante étala son corps que je connaissais par cœur. Mais ses formes à elle continuaient à m’envoûter. Je passai délicatement ma main sur ses mollets pour glisser sur la plante de ses pieds. En l’espace de quelques minutes, le soleil aidant, sa peau devint plus lisse avec la sueur qui s’en dégageait. Il me fut inutile de demander quoique ce soit à Chantal. Elle se retourna immédiatement, dans la hâte de se faire caresser la partie de son corps qui me passerait à l’esprit. Elle prit soin d’enlever le haut. Je vis ses seins, dressés, alertes, virulents. Une petite perle de sueur glissa le long de son ventre pour atterrir dans son nombril. Je ne savais par où commencer. Je pensai.
Comme il fut loin le temps, voire l’époque parisienne lorsqu’elle vint prendre un bain de soleil, resplendissante devant le petit puceau que je fus de 14 ans. Comme il fut loin le temps, lorsque à peine arrivé ici, j’étalai de la crème sur cette peau tant désirée et qu’il me fallut l’audace d’intensifier mes frôlements doux et trompeurs, pour amadouer ma tante. Je fus loin de penser qu’un jour, ce jour, ma tante s’étalerait devant mes yeux ébahis; qu’elle se retournerait de bonne grâce tout en enlevant un bout de tissu, pour m’exposer sa poitrine succulente, désireuse du contact de mes mains. Une poitrine apprivoisée, attentive de mes gestes, se réjouissant de la balade promise de mes futures caresses.
— Que fais-tu Jean ?— Rien Tatie, je te regardais.
Chantal sourit et jeta un coup d’œil sur mon caleçon. Parti dans mes pensées, mon sexe n’en avait pas oublié les délices procurés par la vision de ma tante. Je revins à la réalité. Cela faisait une bonne semaine que je n’avais pas touché ma chère tante. Je voulus lui donner un plaisir bien différent.Aussi, inlassablement, mes mains firent le contour de ses seins en partant de la base pour les survoler, tout en évitant de toucher leurs mamelons, pour s’arrêter à l’aréole qui les entoure. Je sentis Chantal impatiente que je m’affaire à leurs pointes, celles qui embrasent chez certaines femmes tout leur corps. Chantal en faisant partie, je m’amusai à ce petit jeu malgré les légers gémissements de mon impétueuse partenaire. 
Les aréoles se rétractèrent de plus belle. Cela signifia que les mamelons de ma Tatie chérie furent désireux de faire partie de la danse, pour se dresser comme il se doit. Chantal changea de position, il fut clair qu’elle m’offrait son sein pour que je le tète. J’activai une zone de son cerveau qui lui procurait un plaisir inouï à condition de continuer. Chantal fut dans l’incompréhension, lorsque je restai insensible face à ce sein séducteur à souhait. Ses jambes se replièrent, son bassin ondula légèrement. 
— Jean, tu aimerais me prendre le sein ?— Pas encore...
Chantal fut exaspérée par ma réponse. Certes le soleil brillait, mais ma tante commença à transpirer d’une manière jouissive. Elle se cambra un peu plus, ce fut un appel supplémentaire sous l’effet de mes caresses constantes qui n’en finissaient plus de l’exciter. 
N’en pouvant plus, elle retira d’elle-même son maillot afin de me séduire davantage. Je me crus dans ces reportages animaliers, quand le mâle durant la saison des amours, se met à faire des danses, des cris ou des chants, pour attirer l’attention de la femelle. Ce fut clair, Chantal avait inversé les rôles, c’est elle qui jouait le mâle. De par mon attitude, elle voulut se montrer digne de la situation après avoir essuyé un refus de ma part. Je devais être le demandeur.
Ses mains rejoignirent les miennes pour je lui caresse (enfin) ses tétons affriolants. Dès lors que mes doigts s’en emparèrent, Chantal poussa un gémissement digne d’une plénitude définitivement acquise.
J’approchai mes lèvres pour lui mordiller comme elle aime, ce mamelon qui se laissa faire. J’en profitai pour lui caresser l’intérieur de ses somptueuses cuisses, qui s’écartèrent en toute simplicité. Ma tante poussa un cri, lorsque je passai fortuitement ma main tout le long de son sexe totalement trempé. Je préférai ne pas la doigter, même si elle était follement demandeuse.
— Oh Jean, c’est si bon ! Depuis que j’attendais.— Oui mon ange, laisse-toi faire.— Fais ce que tu veux...
Ma tante n’en pouvant plus, je la fis se lever, direction le salon. Je l’assis sur le canapé, une jambe allongée, l’autre posée sur la table basse. Moi au milieu, j’admirai son sexe vierge de toute intrusion. Il était beau, appétissant, bien fait avec ses lèvres roses ouvertes. Je contemplai cette merveille de la nature, Chantal me regardant, fière de me voir ainsi observer son intimité. 
— Viens mon chéri, viens me lécher.— Avec plaisir ma tante !
Chantal fit un sourire éclatant, un sourire d’une femme qui sait qu’elle va avoir sa part de plaisir, un orgasme de la part de son neveu chéri. Ma tante aurait voulu que je me jette sur son sexe mirifique. Je fis autrement afin de lui donner un orgasme sans précèdent. 
De multiples baisers parsemèrent ses lèvres intimes, sans toutefois que ma langue ne se mêle à la partie. Délicatement avec mes doigts, je lui écartai ses lèvres fines, bien roses, bien inondées. Mes lèvres se collèrent aux siennes. Je fus en fusion avec son sexe, Chantal me balayant les cheveux avec les mains. Elle poussa un grand cri quand j’introduis ma langue à l’intérieur de son vagin. Je fus subitement au fond de son intimité, chaude, ruisselante de sa liqueur. Ma bouche entière absorbait le sexe de ma tante éblouissante de fraîcheur. J’eus cette impression folle que ce fut la dernière fois ! Chantal cria sa jouissance passionnée.
— Oh chéri ! C’est si fort ! Si bon !! Tu me fais jouir.— Lâche toi complètement !— Ouiiii !!!
Mes lèvres furent immergées dans le sexe de ma tante, recouverte de son essence propre à elle. Je savourai cette substance s’échappant de son corps frétillant. Ma tante, éreintée par mon cunnilingus devenu déraisonnable, me fit comprendre qu’elle voulut passer à une autre étape. Je me détachai de cette intimité dont j’avais surpassé les limites.
— Jean, je crois qu’on serait mieux en haut. dit-elle essoufflée.— Alors je te suis.
Ma tante mît son chemisier sur les épaules. Ce fut à l’évidence une tenue vestimentaire qui m’emmena vers mes fantasmes les plus divers. Ma tante montant les escaliers, je visionnai son cul vraiment parfait, il faut bien l’avouer, en forme de pomme. L’envie de le bouffer fit son chemin dans ma tête. Chantal se mit sur le lit.
— Chantal, mets-toi sur tes genoux et cambre-toi.— Ca te va comme ça ?
Je ne sus que répondre. Béa d’admiration comme un gosse qui contemple son cadeau de Noël ! Désolé pour cet égard de langage, mais cela vint droit du cœur - putain, elle a vraiment de la gueule à 45 balais ! - furent les mots prononcés dans ma tête. Chantal, n’étant point dupe à la vue de mon attitude dandina son petit derrière. Instant magique.Voir ma tante dandiner son si joli cul devant moi signifia plusieurs possibilités. Je choisis celle qui me vint à l’esprit. La bouffer.
Je couvris de baiser la peau tendue de ses fesses bien fermes et à sa grande joie, je la doigtai avec une lenteur infinie. Elle inclina son postérieur, signe qu’elle fut désireuse de se faire prendre. Je me crus en plein reportage animalier ! Chantal m’offrait sa croupe tout en me signifiant qu’elle était fin prête à copuler avec son neveu.
Je ne me fis pas attendre. En bon neveu, j’amenai mon sexe à hauteur de la chatte ruisselante de ma tante. Mon gland pénétra les chairs de ma douce. 
— Oh comme j’aime te sentir Jean !— Je t’aime Chantal.— Et moi donc !
J’installai une cadence mesurée tout en parcourant la poitrine de ma tante, le bas de son ventre. Je rentrai en elle comme j’en sortis pour mieux l’entendre jouir. 
— Continue à me défoncer !— Alors retourne-toi maintenant !
Elle se remit sur le dos en un éclair. Jambes écartées, Chantal attendait son dû. Je ne pus me retenir en la voyant ainsi. Elle fut trop désirable pour la baiser de suite. J’entrepris une nouvelle opération de léchage du sexe de ma tante. Je la regardai, apaisée, souriante, désireuse de tout. Elle me regarda sans comprendre. J’étais fixé sur son sexe. Obnubilé comme je le fus avec ses pieds. 
Mes pensées vagabondèrent différemment, par rapport à la beauté inconditionnelle ressentie, lors de ma première mise en bouche de ses pieds d’exception. Cette fois, son sexe face à moi, m’inspira des émotions comme celles qui vous accélèrent votre rythme cardiaque, vous rendent les mains tremblantes. L’émoi dans lequel je me trouvai devant cette intimité familiale, si j’ose dire, me transcenda. On ne put parler de grâce ni de charme devant une telle intimité. Les mots qui me vinrent à l’esprit furent simplement la beauté brute de la chatte de ma tante, sa chatte si belle à pénétrer, à lécher. Rien que de l’écrire maintenant et mon cœur s’emballe en pensant à une beauté pareille. 
Sur l’instant, il me fallut le lui dire. Elle m’écouta attentivement. Ce fut une conversation pour le moins intime. Je lui fis l’éloge de son sexe. Je la vis à la fois gênée et ravie de mes compliments. Je lui parlai de la perfection qu’elle possédait entre les jambes. 
En y pensant maintenant, je pense qu’elle dut me prendre pour un dérangé. Qu’importe ! Ce fut plus fort que moi. Je ne fis que toucher son sexe pendant mes éloges, puis à force de parler, il fallut bien goûter à ce délicieux plat. 
Je ne m’en privai guère. Ma langue s’approcha rapidement pour venir se coller contre son sexe. Je restai dans cette position tout en la regardant. Les yeux brillants de Chantal m’excitèrent au plus haut point. Elle écarta ses jambes gracieuse pour m’offrir une nouvelle fois la partie intime de son corps. 
Je la pénétrai à nouveau, ma verge s’enfouit dans son intimité accueillante. Nulle précaution pour la saisir, elle aima cette introduction à la fois délicate et brutale. Évidemment, je saisis ses pieds désirables pour les porter à mes lèvres. Chantal gémit, j’émis de longs râles. Je lâchai ses orteils rêvés pour m’allonger sur son corps brûlant. Nos lèvres s’accordèrent pour amorcer une cantate passionnée.
Je sentis Chantal se contracter, ses lèvres se dégagèrent, nous fûmes joue contre joue. Je ressentis son souffle haletant. Ma tante était en plein orgasme. Pour me joindre à sa tourmente, j’accentuai mon rythme qui devint infernal. Je devins une machine du sexe, plus je pilonnai ma tante, plus ce fut jouissif pour elle. 
J’étais nu sur Chantal et pourtant un habit de paillettes plus connu sous le nom d’habit de lumières revêtit mon corps. Au grand plaisir de ma dulcinée, je devins un matador combattant dans l’arène des cuisses de ma chère tante. La corrida battait son plein. La foule qui me serrait avec ses jambes de satin était en délire. La mise à mort fut une évidence. Il me fallut choisir le bon moment pour porter mon estocade. Dépourvu de toute étoffe rouge sang en guise de leurre, je ralentis la cadence afin de tromper la belle. Je sentis son orgasme s’estompé, ma tante approchant naïvement ses lèvres. Contre toute attente, je portai mon estoc devant ce corps relâché. Sublime combattante et devant mes coups effrénés, la belle, dans un ultime sursaut me serra toute entière, me griffa dans ma chair.
Je transperçai le corps ruisselant de ma belle adversaire et mon sexe, telle une épée exécuta la mise à mort. Un hurlement ostentatoire de la foule se fit naître. J’avais sa mort entre mes bras. Mon habit de lumières s’échappa pour succomber à mon tour. Nous restâmes l’un sur l’autre, l’un dans l’autre. Je fis quelques baisers dans le cou de ma tante, elle en frissonna de plaisir, plaisir qui malgré tout s’estompa.
— Oh ma Chantal...— Oui je sais Jean, c’est merveilleux entre nous.
Je gardai Chantal dans mes bras. Nous nous caressâmes mutuellement, pour mieux savourer cet instant. 
Il fut 19h, nous nous préparâmes pour le vernissage. Ma tante mît une robe noire très élégante. Je lui demandai de ne pas mettre de culotte. Elle accepta.
Nous arrivâmes, tel un couple. Je fus fier d’être avec ma tante. Je pus observer qu’elle avait un succès certain avec la gente masculine. Nous primes une coupe et observèrent les différentes toiles. Je regardai l’heure... Ma tante s’adressa à moi.
— Jean, on va peut-être y aller ?— Volontiers Chantal.
Au retour, j’invitai ma tante dans un petit resto. Elle en fut très touchée. Nous engageâmes une conversation.
— Ce soir, je dors chez toi ?— Oui Jean, on dort ensemble.— Et demain, il rentre ?— Tu parles d’Andrew ? Qu’il reste avec sa jeunette ! Moi j’ai mon jeune neveu pour moi.— Ah tu prépares le terrain pour ce soir Chantal !— Et si je t’avoue que j’ai encore envie de faire l’amour avec toi ?— Mais ça ne me pose aucun problème Tatie !— Oh toi, tu es toujours d’accord - me dit-elle avec un air réjoui.
Sous la table, Chantal se déchaussa et avec son pied nu, elle frôla mon mollet avec le dessus de ses orteils. Ce geste taquin au départ, se révéla par la suite très érotique. Ma tante s’en amusa, moi de plus en plus mal à l’aise... dans mon pantalon. Elle sut s’y prendre, connaissant mon attachement sans bornes aux pieds délicieux de ma conquête, devenue pour un soir légèrement libertine. Il fut temps de payer et de regagner notre nid douillet.
Chantal ouvrit la porte d’entrée, elle alluma la lumière et dans la seconde où elle referma la porte, je l’attrapai par derrière et lui caresser ses cuisses, tout en remontant sa robe noire. Je touchai du bout des doigts le début de son sexe, endroit qui se voulut accueillant. En accordant un peu de salive sur le pourtour de son clitoris, pour ne pas le nommer, Chantal se fit câline. 
Amoureuse d’être avec son neveu retrouvé. Elle se retourna et me tendit ses lèvres. Nous attendions ce moment depuis le vernissage. Il n’y eut point de cantate ou de présentation, nos langues communièrent avec une exaltation impressionnante de véhémence. La peau satinée de ses fesses charmeuses trouva grâce au contact de mes mains. Je n’eus qu’une envie, monter au lit pour sauter ma tante. Le téléphone retentit.
— Bonjour mon chéri, tu vas bien ? répondit ma tante à cette heure (décalage horaire) en mettant le haut-parleur.— Oui maman et toi tu vas bien ?— Très bien.— Je viens mercredi avec Amanda, on a un congé alors j’en profite pour vous voir toi et papa !— C’est super Mike, je t’embrasse, à mercredi. 
Ma tante raccrocha et se serra contre moi. Mike, son fils parti en Australie venait cette semaine avec sa petite amie Amanda, que je ne connaissais pas. Elle fut folle de joie. Dans la foulée, elle appela Andrew pour le prévenir. Il en fut ravi et lui confirma qu’il poursuivrait sa convalescence en maison de repos, bien au chaud avec sa fameuse infirmière sans la citer. Ma tante s’en moqua éperdument. Fatiguée, elle me proposa d’aller se coucher.
Une fois allongé et nu sur le lit, j’entendis Chantal s’affairait dans la salle de bains. Moi, attendant ma compagne, elle, faisant un brin de toilette, j’eus l’impression d’être comme un vieux couple. Ma tante arriva, joyeuse avec sa petite nuisette transparente. Au regard de ses seins bien dressés, je la vis sourire en me regardant. Force est de reconnaître que ma chère tante, m’avait passablement excité lors de notre dîner avec son pied tendu contre mon mollet. Je lui avais rendu la pareille dans le couloir. Mon sexe en effervescence provoqua une réaction chez ma tante.
— Mais dis donc, tu tiens la grande forme mon neveu ?— Oui ma tante chérie et si tu veux dire bonsoir à ton bébé...— Oh je vais le câliner, je l’aime tant !
Chantal vint s’allonger au bas du lit, puis telle une panthère, elle remonta à hauteur de mon sexe. Elle aimait faire la cochonne comme elle dit. Elle dandina son beau derrière puis me fixa avec ses yeux bleus. Elle tira sa langue recouverte de salive pour s’acoquiner avec le bout de mon gland. 
Puis ma tante déplia ses lèvres somptueuses qui vinrent absorber ma verge. Un ange passa, je me crus au ciel.
Voir les lèvres de ma tante glisser le long de ma verge me procurèrent une sorte d’hallucination. Voir la petite sœur de ma mère en train de me sucer fit place à un véritable enchantement, une sorte de fascination s’empara de moi en regardant Chantal. 
Sa bouche toute entière avalât mon sexe profondément. Je me crus en plein délire et pourtant, ce fut bien ma tante devant moi, me faisant une fellation royale. Je fis comprendre à Chantal qu’à force d’insister, le plein d’émotion allait bon chemin. Ma tante continua sans se préoccuper de mes maigres recommandations. 
Elle garda le rythme de sa partition improvisée. Rythme lent donc savoureux à souhait. J’aimai voir ma tante quand elle me suce en douceur, elle donnait l’image de déguster ma verge, de savourer mon sexe dans la ferveur de sa bouche sensuelle au diable. Cette sensation exquise de ressentir et de voir ses lèvres au contact de ma verge fut sans équivalent ce soir-là. 
Chantal exauça mon vœu quand toutes ces visions se mélangèrent dans ma tête. Ses yeux clairs, ses lèvres divines, sa langue coquine... s’en fut trop. Sa technique fut imparable. Elle goba mon sexe, elle le suça en l’aspirant jusqu’à se creuser les joues, puis le relâcha pour à nouveau l’aspirer.
Je fus noyé par les sentiments, par la chaleur de sa bouche. J’inondai son palais tandis que ma tante continua tout en avalant le fruit de sa récolte. Chantal n’en laissa pas une goutte. Plusieurs secousses me firent chavirer, je fus comme transporté hors de moi. Mon âme se détacha, preuve que je fus dans la dernière phase, une sensation d’euphorie générale.
Ma tante me regarda épuisée tout comme moi. Elle fut ravie du plaisir qu’elle avait généré à son neveu.
— Chantal, tu restes la reine des suceuses.— Jean je t’en prie, je reste ta tante.— Alors la petite sœur de ma mère me suce amoureusement !— Je préfère le dernier mot et oublie que je suis la sœur de ta mère.
Je la pris dans mes bras, nos paupières se fermèrent. Je pensai déjà à mercredi...
Dimanche matin, je pris congé. ma tante étant obligé de rendre visite à Andrew. La maison de repos étant située à 2 heures de route, il lui fallut partir le matin. Nous convînmes de nous voir le soir vers 20 heures.
A l’heure précise, je rentrai chez Chantal dont j’avais aperçu la voiture. Elle fut occupée dans la cuisine; elle avait mis un long sweat-shirt pour tout vêtement. 
Encore une fois, un style plus que décontracté, Chantal étant à poil, ce qui fut loin de me déplaire. Je pus observer de derrière, les longues jambes fines de ma superbe tante. Comme elle était ravissante. Je la couvris de baisers dans le cou. Elle se trémoussa, frissonna, frétilla... Je m’installai sur une des chaises de la cuisine et allumai une cigarette. Chantal vint s’asseoir à mes côtés et en prit une au passage. Ma tante croisa ses jambes... Excitation suprême ! Voir la peau douce de ses jambes, ses pieds fins et deviner son intimité ardente ne firent qu’attiser la flamme, pour parler poliment, qui brûlait en moi. Chantal s’en rendit compte aisément (!).
— Ca sent bon, c’est long à mijoter ?— Une dizaine de minutes et après, tu pourras le déguster.— Et tu n’as pas une entrée Chantal ?— Ma foi non.— Approche, j’ai une idée.— Je vois, je vais être ton amuse-gueule !— Non, ma cavalière.— Dans ce cas, je vais chevaucher mon superbe étalon qui n’attend que ça !
Ma tante éteignit sa cigarette et se leva, le buste droit. Je baissai mon pantalon et sortit mon sexe. Chantal approcha, je la saisis par les hanches. Elle vint tout naturellement sur moi, sans scrupules, sans se poser de question. Elle garda son sweat, ce qui la rendit plus sexy. Elle posa comme à l’accoutumée ses mains fines sur mes épaules, qui firent office de harnais tandis que Chantal avait pris place sur mes genoux. Elle fut en selle en quelque sorte.
Ma tante apposa un peu de salive à l’entrée de son sexe puis saisit le mien avec légèreté. Elle engloutit ma verge dans son corps avec pureté. Avec élégance, elle ondula son bassin. Chantal fut sûre de son fait, à l’aise dans son corps et n’ayant aucun complexe d’afficher sa nudité face à son neveu. 
J’aimai cette position (Andromaque pour les puristes), ma tante adapta ses mouvements et leurs rythmes à sa guise. Elle inclina son corps pour mieux gérer l’angle et la profondeur de la pénétration de mon sexe en elle. Dans cette parfaite maitrise de ses mouvements, Chantal se donna à fond dans le seul but d’être la dominatrice, celle qui a envie de me donner du plaisir et me voir le recevoir. De mon côté, je profitai pleinement de la vision du corps fascinant de ma tante. 
J’étais en elle, je la sentais réceptive au moindre sursaut de ma verge, introduite dans son orifice exquis. Elle pouvait balancer son bassin à sa guise, pour mieux sentir mon sexe blotti au fond de son vagin radieux, si j’en crus la facilité avec laquelle Chantal rythmait les entrées et les sorties de mon membre. Lui, si joyeux de s’imbiber de la fièvre de son bas ventre se montra plus directif. J’électrisai Chantal en lui pétrifiant ses fesses fermes et rebondies. J’imprimai mon rythme, ma tante haletante m’embrassa dans la foulée.
— On dirait que tu aimes ton entrée mon neveu - dit-elle essoufflée.— Je te déguste entièrement ma chère tante.— Oui déguste-moi, aime-moi !
Ma partenaire de tous mes fantasmes réalisa que je fus sur le point de jouir. Elle souleva ses bras pour se débarrasser de son sweat. La vision de sa paire de seins me fit l’effet d’une bombe. Leur arrogance fut telle que je les pris en bouche chacun à leur tour. Ma tante avait stoppé ses mouvements et se laissait pomper les seins par son neveu. Elle adorait ça.
A force de mordiller ses tétons, Chantal se crispa, je vis qu’elle était en phase montante pour jouir. Je l’enlaçai par le bas du dos et imprimai un rythme brutal comme elle aime. Chantal commença par gémir en posant sa tête sur mon épaule, mais un fabuleux coup de reins de ma part la fit se trémousser.
Et me voilà parti dans mes pensées. Avec ce coup de reins, j’eus l’impression d’être un commandant de bord. Avec comme co-pilote Chantal, je mis les pleins gaz en pleine phase de décollage. Mon coup de reins diabolique me fit penser à ce moment ultime où l’appareil quitte la terre ferme. Chantal et moi collés au siège, subissant cette force d’accélération. 
Assis sur la chaise de la cuisine, je sentis cette accélération proprement dite. Ma partenaire rêvée poussa son cri de jouissance sentant une part de chaleur se déversant dans son corps. Il en fut de même pour ma part. Je poussai un long râle, tout le long de ladite accélération. Chantal se replia sur moi. Amoureuse comme jamais, elle me couvrit de baisers, sorte de remerciements pour la jouissance éprouvée. 
— Comme j’aime te baiser Chantal !— Et comme j’aime me faire baiser par toi, tu es si subtile quand tu me prends.— Je pense bien te connaitre sur ce plan.— Ah mon corps n’a plus de secret pour toi, je me sens si jeune avec toi.— Tu es jeune dans ta tête avec ton corps de jeune fille !— T’exagère un peu quand même...— Lève-toi.
Surprise, Chantal se leva et se mit devant moi. Je ne fis que la regarder. Elle se dandina pour se donner un style, mais au fond d’elle-même, elle se sentit tout à coup impudique face à son neveu.
— Jean, je veux de tu saches que je suis ta tante une bonne fois pour toute !— Et toi, que tu saches que j’aime te sauter même si tu es ma tante.— Moi aussi mon chéri, Mike arrive mercredi avec Amanda, alors pas de bêtises !— Mais oui ma tante et viens m’embrasser.
Ma tant vint se remettre sur mes genoux, j’en profitai pour la caresser un peu partout. Ses lèvres parfumées furent vite attrapées par les miennes. Les dix minutes s’étant écoulées, nous dînâmes en tête à tête, nus tous les deux. Cette situation inédite renforça notre complicité du moment. L’heure fut au sommeil.Une nouvelle semaine s’annonçait palpitante avec l’arrivée d’Andrew...
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