Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 44 J'aime
  • 3 Commentaires

Ma tante de 45 ans est sublime

Chapitre 18

Inceste
Si vous avez manqué le début...Je m’appelle Jean. En 1995 à 18 ans, j’échoue en fac de droit.Ma mère Annie m’envoie en Angleterre chez sa sœur Chantal, jolie blonde de 45 ans pour 1M70, 54 kg et une poitrine de 85b.J’intègre sa firme en tant que stagiaire pour y parfaire également mon anglais durant 1 an.Finalement, tout ne se passe pas exactement comme prévu...Je vous invite à lire les chapitres précédents.Nous voici en 2012, nous avons une fille de 12 ans prénommée Anne, ma tante à 57 et moi 36.

L’année 2012 débuta par des changements considérables.En juin, nous eûmes le coup de cœur pour une villa située près de Valbonne.Nous disposâmes de 200 mètres carrés avec une belle piscine, ce qui fit la joie d’Anne.Chantal retrouva aisément du travail et la scolarité de notre fille ne posa pas de problème.Pour conclure, nous fûmes en état de grâce.
J’ouvre une grande parenthèse sur une soirée mémorable entre ma tante et moi, au cours de laquelle nous connûmes une étreinte qualifiée de peu commune l’un envers l’autre.
Un soir d’été, en juillet pour être précis, nous fûmes au bord de la piscine sur notre terrasse. Anne étant couchée, je profitai à nouveau de la présence de ma tante.Chantal tout naturellement allongea ses pieds ravissants sur mes genoux afin que je puisse les caresser à mon gré. Je ne le répéterai jamais assez, mais la peau douce, lisse, des orteils raffinés, fins, gracieux de ma tante ne trouva pas d’égal à mes yeux.Chantal ne comprit jamais ma fascination pour ses pieds, sans non plus me prendre pour une espèce de fétichiste. Avec le temps, elle me confia apprécier mes caresses avec un côté rassurant et apaisant.J’entamai une sorte de bilan de notre relation.
— Tu te rends compte que nous sommes ensemble depuis près de 12 ans Chantal ?— Oui et je ne vois pas le temps passer avec toi.
— Alors pas de regrets d’être avec ton neveu ? Lui demandai-je.— Aucuns ! Et sincèrement, tu es si mature que je ne sens pas notre différence d’âge, mais j’ai peur d’une chose. Que je ne te plaise plus en vieillissant.— Ma chère tante, je te l’ai dit, tu es pleine de charme et tu es toujours aussi bien foutue.— Tu me rassures, ta maman m’a appelée ce matin et ils viennent la semaine prochaine, je les ai invités.— Tu as très bien fait. Lui répondis-je en caressant ses chevilles puis le bas des cuisses.— Jean, je crois que je te plais toujours ! Dit-elle en partant dans un fou rire.— Oui...bon...tu me fais de l’effet ! Voila !
Chantal continua de rire et je continuai mes caresses sur les jambes de ma tante. Chantal se débarrassa habilement de son soutien-gorge et vint s’installer sur moi. Je lui fis signe que sa jupe pourrait faire partie du voyage, Chantal ne se fit pas prier et l’enleva à son tour. J’ajoutai que pour des caresses plus subtiles, il eut été agréable qu’elle en fasse de même avec son slip, ma tante s’exécuta de bonne grâce.Une fois près de moi, elle m’enlaça amoureusement et me fit un baiser dans le cou.
— Comme je t’aime toi ! Me chuchota-elle en se recroquevillant sur moi.
Je passai ma main sous son chemisier pour entreprendre de larges caresses sur ses seins qui ne manifestèrent aucune réticence. J’approchai mes lèvres des siennes et un long baiser langoureux s’en suivit. Entre deux baisers, elle prit du recul afin de me regarder pour me faire un sourire quelque peu coquin. Je glissai ma main entre ses cuisses avec de longs passages qui firent frétiller ma tante.
— Tu aimes te faire caresser ?— Oh oui, avec toi c’est un vrai régal. Tu es si habile de tes mains mon chéri, je te donne la médaille d’or !— J’adore promener mes mains sur ton corps, tu es vraiment superbe à 57 ans.— N’exagère pas non plus, j’ai de la cellulite, je me fripe.— Je vais examiner ces mensonges de plus près.— Oh toi alors ! Dit-elle faussement étonnée. 
Je me levai et l’installai à ma place, je pris ses jambes pour les poser sur les accoudoirs. Au regard de ma tante, je vis une moue significative quant à sa position relativement impudique voire carrément obscène. 
— Jean, je sais bien que tu aimes me regarder mais là...je trouve ça un peu excessif !— Tu ne peux pas savoir comme je te trouve belle.— Oh tu as juste envie de déguster ta Tatie comme tu dis.— Oui, tu veux que je te goûte ma si chère tante ?— Alors faites mon cher neveu. Dit-elle en fermant les yeux.
Sur le coup, j’eus une pensée pour ma mère. Si elle avait pu s’imaginer ne serait-ce qu’une seconde, voir sa sœur avachie à demie nue, vêtue d’un chemisier entrouvert, avec les jambes écartées face à son fils, je crois que la pauvre femme nous aurait fait un malaise. Je chassai cette idée farfelue et observai ma tante, les yeux clos, les bras ballants et sa féminité luxuriante. Le soleil se fit discret et ma tante s’impatienta.
— Mon bel étalon ne vient pas déguster sa belle Tatie ?
Ces mots me transcendèrent et s’accordèrent avec ceux du grand Victor Hugo."Aucune grâce extérieure n’est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l’âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps".
Ce soir-là, je vis cette lumière dite mystérieuse se répandre sur le corps de Chantal, ô mon Dieu qu’elle fut belle, éblouissante de féminité, sensuelle dans sa façon de respirer...désirable tout simplement.
Je frottai mes lèvres contre ces orteils, à la peau de velours sans équivalent et descendis le long de ses cuisses exquises.Je me mis à genoux, faisant face au sexe parfaitement épilé de ma tante. Je caressai ses lèvres roses et y déposai un baiser. Chantal ouvrit les yeux et me fit un petit sourire embarrassé. Je détaillai de manière admiratif sa vulve toute entière, cela produisit une sorte de gêne chez ma tante. Elle n’apprécia point de me voir scruter son sexe et intérieurement, j’aimai la voir nue avec ce petit air gêné. Je ne sus expliquer mon comportement mais à chaque fois que Chantal se présenta totalement dévêtue, je tirai une espèce d’autosatisfaction, comme l’aboutissement d’un vieux fantasme enfoui dans un coin de ma tête.
— Jean, tu sais que je n’aime pas.— Oui Chantal mais je n’y peux rien, j’aime les belles choses et ton sexe est une merveille à contempler. Lui dis-je tout en laissant voyager mes doigts sur son intimité qui, à en juger à la respiration de sa maîtresse, ne se montra pas avare de mes petits câlins anodins. — Tu en as vu d’autres !— Le tien est parfait, harmonieux. Tes lèvres sont bien proportionnées, c’est beau de regarder ton sexe ma chérie et tu le sais très bien...— Tu es amoureux de moi ou de...ma chatte ?— Oh Tatie, le vilain mot...mais tu as raison, j’ai deux amours ! Lui dis-je avec un large sourire.— Alors contemple...
Chantal soupira de mes égarements sur la beauté de son intimité. Elle trouva cela ridicule, mais je sus au fond d’elle-même qu’elle se sentit flattée par mon adoration, non pas de son sexe mais de son corps.Il fallut admettre que ma tante affichant 57 ans, avait comme on dit une sacrée gueule. Entièrement nue face à moi, je contemplai sa poitrine toujours bien ferme, ses seins en forme de poire me parurent à l’abri du temps. Et il fallut ajouter qu’elle avait gardé son poids idéal de 54 kg et qu’avec sa nuque élancée, elle vieillissait admirablement.Je continuai mes caresses et Chantal s’allongea un peu plus, histoire de me faire comprendre qu’elle n’avait rien contre une petite visite de ma langue, dans sa somptueuse intimité.
— Jean...— Oui Chantal ?— Euh...j’aimerais que tu me doigtes.
Ce fut la première fois que ma tante me demanda un tel geste. Sans lui montrer, je fus quelque peu surpris. Mais en y réfléchissant, le temps de notre conversation...sur son sexe, je ne lui fis que des caresses intimes.Ma tante devait être bien excitée pour me demander une telle chose et je m’exécutai sans précipitation.Comme au ralenti, mon index joua avec ses lèvres totalement trempées, preuve que mes petites caresses innocentes avaient produit leurs effets.N’y tenant plus, ma tante prit ma main m’incitant à l’introduire en elle.
— Fais ma jouir de cette manière chéri. Insista-t-elle.— Et bien dans ce cas, j’obéis à la maîtresse de maison et tu ne vas pas être déçue ma chérie.— J’en frémis d’avance !
Mon majeur la pénétra en douceur, une sorte d’exploration de sa paroi vaginale s’en suivit. Ma main s’étala sur son ventre duveteux avec de longues caresses, allant jusqu’à la hauteur de sa poitrine. Puis un deuxième explorateur fit son apparition à la grande joie de ma tante qui, pour la circonstance, ondula son bassin comme pour mieux amplifier mes mouvements. J’accélérai lesdits mouvements et ma bouche se mêla à cette partie effrénée. Je suçai le clitoris de Chantal qui, folle de plaisir me prit la tête entre les mains, me poussant contre son bas-ventre. Je retirai mes doigts et un grand coup de langue ravageur vint longer ses lèvres délicates. J’entendis un bien long gémissement de ma belle compagne, une sorte de râle lointain perdu dans la nuit vint mourir sur l’eau illuminée de la piscine.
— Oooh c’est trop bon mon neveu adoré, lèche ta tante, lèche la bien, encore et encore...
Je m’employai à lui donner le maximum de plaisir et je me rendis compte que j’avais la bouche grande ouverte, collée contre la vulve de ma tante chérie. Sa rivière à diamants coula à flots et ce fut le moment que je choisis pour caresser son sexe amoureusement, tout en m’apprêtant à engager ma verge, assoiffée de rencontrer l’intimité brûlante de Chantal. Mais vu l’état dans lequel se trouva ma tante, je criai au sacrilège d’abandonner mon cunnilingus. Mes lèvres trempées de sa liqueur, ma langue s’égara à tout va. Chantal balaya ses mains dans mes cheveux, ses jambes se trouvant sur mes épaules me serrèrent le cou, sans qu’elle s’en aperçoive. Elle jouit d’une façon merveilleuse, je sentis ses contractions tout en continuant à la lécher et j’atteignis l’apothéose lorsque ma langue s’échappa dans son vagin. Chantal cria son orgasme, ses lèvres intimes soudées aux siennes. Elle s’abandonna sans pudeur en pleine jouissance.
— Oooh ouiii ouiii...— C’est bon ? Lui dis-je pour continuer à l’entendre jouir.— Ouiii ne t’arrête plus...Je t’aime mon chéri...— Tu es si belle.— Tu es mon étalon...tu me fais jouir...continue...ouiiii.
Ma tête disparut entre les cuisses de ma tante, j’aspirai ses lèvres dans ma bouche. Ses hanches furent prisonnières de mes mains, je ne la dégustai plus, je ne savourai plus rien. L’espace-temps n’exista plus, la jouissance de ma tante fut dans ma bouche, entre mes mains. J’avalai autant ma salive que le nectar suprême issu de sa belle intimité.
Puis ses multiples contractions s’apaisèrent, elle ne fit que des mouvements légers de son bassin et de moi-même, je ralentis le rythme en parcourant ses lèvres totalement épanouies de ma langue assidue. Progressivement je pris du recul et avec mes doigts, je dessinai le pourtour de son sexe. Mes doigts flânèrent le long de ses cuisses, puis sur son bas-ventre. Cela provoqua une envie irrésistible chez ma tante qui déposa à nouveau ses jambes sur les accoudoirs, prête à s’accoupler avec son neveu. Emportée par sa jouissance, elle parla avec des mots crus.
— Je t’aime Jean, je t’aime tellement...viens enfoncer ton beau sexe dans ma chatte.— Chantal, quel langage !— Je m’en fous chéri, viens maintenant...viens baiser la petite sœur de ta maman...viens baiser ta petite sœur chérie...— Je vais te sauter ma Tatie, te baiser comme tu aimes.— Oooh oui, baise-moi, tu es comme mon fils, baise ta maman adorée !— Oui ma petite sœur...— Appelle-moi maman si tu veux !
Chantal en oublia certainement le sens de certains mots...Je ne répondis pas et ma jolie Tatie prit ses doigts pour écarter ses lèvres, la vision dantesque de son sexe rose me fit un effet boomerang. Ma tante dépassa l’abandon de son corps, elle m’offrit son intimité, mais cette fois d’une manière totalement grossière, j’avoue que la situation fut loin de me déplaire.Je saisis mon sexe et avec mon gland, je frottai de bas en haut son intimité, Chantal n’en pouvant plus, avança comme elle put son bassin pour se faire prendre. Notre coït fut imminent.
— Viens voir maman, viens la baiser mon grand.— Oui mais n’oublie que tu restes la petite sœur de ma mère !— Oui mon chéri, pénètre ta belle Tatie, viens en moi mon bel étalon, ooooh ouiiiiiii viens en moi mon si beau neveu ! Ajouta-t-elle avec un sourire malicieux.— C’est mieux. Lui dis-je toujours en frottant mon gland le long de son orifice entièrement ouvert.— Alors maintenant rentre en moi mon chéri...baise la petite sœur de ta maman...baise ta belle Tatie en bikini blanc...
En bikini blanc...que de souvenirs (!). Mon sexe gonflé à bloc entra rapidement dans les profondeurs vaginales de ma tante. Je vis à ses yeux brillants que ma tante apprécia ma pénétration rapide. Mes va et vient commencèrent lentement et Chantal posa ses mains délicieuses sur mes épaules, preuve qu’elle savoura de sentir mon sexe la parcourir au fond d’elle-même.Chantal se laissa baiser pendant une dizaine de minutes, j’adorai la sauter ainsi, elle aussi. Elle se fit câline avec quelques sourires et des baisers échangés.
— Jean, j’adore quand tu me baises comme ça.— Alors là t’es pas la seule...mais on va passer à la vitesse supérieure !— Volontiers. Me dit Chantal loin d’être désorientée.
Nous échangeâmes un dernier baiser et j’entamai l’étape dite supérieure mais ma tante reprit ses esprits. 
— Continue de me baiser dans le salon, on sera plus à l’aise. Dit-elle en me faisant signe de me retirer.
Je terminai par quelques impulsions brèves et profondes pour ensuite me redresser. Chantal se leva, lascive et déambula devant moi avec son chemisier sur les épaules. Forcément très sexy, je regardai son fessier admirable avec ses longues jambes impeccables et des idées plein la tête. Comme sa démarche fut affriolante, voir sa paire de fesses se balancer me donna le tournis. 
Une fois dans le salon, je serrai ma belle Tatie tout contre moi, sentant ses tétons durcis contre mon torse et caressant ses fesses séduisantes aux courbes idéales. Elle m’embrassa en saisissant mon membre toujours aussi raide.
— Attends une seconde...Me dit-elle en commençant des va et vient avec sa main.— Je reviens dans une minute ma sublime Tatie.
Je filai à la salle de bain pour me laver le sexe puis je revins et je vis Chantal à genoux, ses mains posées sur les cuisses sur le tapis du salon. Je me mis face à elle, ma verge bien propre avec le gland gonflé. 
— Ah je vois, on est calculateur. Dit-elle en parlant à quelques centimètres de l’objet de tous ses désirs.— Je préfère ainsi, je sentirai encore mieux tes belles lèvres sur moi.— Elle est magnifique, je suis gâtée ce soir. Répondit ma tante en prenant à pleines mains mon membre pour le décalotter légèrement.— Tu aimes les belles choses. Lui dis-je en passant ma main sous son menton.— Elle est belle à regarder, bien faite et en grande forme ! Dit Chantal en posant ses lèvres tièdes sur mon gland.
Je la regardai faire, je la regardai creuser ses joues pour l’introduire dans son palais. Chantal remit ses mains sur les cuisses et je la vis sucer mon sexe, telle une élève studieuse. Mon sexe en ressortit plein de salive et Chantal débuta sa fellation en ouvrant à nouveau la bouche d’une manière attentive. Mon sexe disparut, étouffé par les lèvres sensuelles de ma tante, je la vis savourer cet instant, savourer le plaisir qu’elle prit à chaque fois que mon sexe sortit de sa bouche, pour y rentrer à nouveau avec ses lèvres glissant le long de mon membre. 

Ma tante me suça un long moment, sans un bruit et je cachai ma joie intérieure de voir une nouvelle fois ma belle Chantal, prendre autant de plaisir à me sucer le sexe.Je me rendis à l’évidence que ma tante prenait son pied en glissant amoureusement le pénis de son neveu dans sa bouche divine. La lenteur avec laquelle elle pratiqua cette fellation fut tout à son honneur, voir sa langue virevolter sur mon gland puis y déposer des baisers humides avec ses lèvres si séduisantes, me poussèrent à passer enfin à une autre étape.
— Dis-donc ma belle Tatie, je ne vais pas t’oublier.— Attends encore, c’est trop bon mon chéri. Dit-elle en avalant mon sexe tout entier.
Je devins spectateur devant ma tante assoiffée de ma verge. Elle poursuivit ses mouvements pour laisser pénétrer mon sexe avec une lenteur calculée et le laisser s’échapper avec la même dextérité. Ce fut du grand art et Chantal se mit à me caresser les fesses, signe qu’elle voulut quand même passer à autre chose.Je me détachai d’elle avec grand regret, Chantal ressentit aussitôt mon désarroi et m’invita à m’asseoir sur le canapé. Une fois installé, je vis le sourire de ma superbe Tatie qui vint s’allonger sur moi. Sa belle frimousse posée sur mes genoux, elle attrapa à nouveau l’objet du délit incestueux.
— Tu veux que ta Tatie te suce encore ? Dit-elle approchant ses lèvres douces près de mon sexe en fusion.— Oh oui avec plaisir ma reine ! Lui répondis-je presque étourdi.— Alors je vais m’occuper de ton beau membre. Dit-elle en le caressant de ses doigts fins.
Je n’eus pas le temps de répondre, ma tante me reprit en bouche. La tête posée, je la vis paisiblement suçoter mon gland, elle fit des petits aller-retours dans son palais puis le laissa à l’air libre, ses lèvres craquantes y déposèrent de la salive. Chantal interrompit son bel ouvrage, puis me fixa du regard et sans mot dire, cala à nouveau sa tête entre mes cuisses pour aspirer telle une gloutonne mon sexe en elle.
Je caressai ses hanches et ma main se hasarda dans la raie de ses fesses somptueuses, tandis que Chantal dorlota ma verge calée au fond de sa bouche.
Elle immobilisa mon sexe dans la fièvre de sa bouche souveraine et je vis ses joues se creuser. Comme un peigne, mes doigts passèrent dans ses mèches blondes, Chantal de son côté continua à pratiquer sa lente fellation avec mon sexe enfoui dans son écume. Elle s’en amusa en y joignant sa langue, tournoyant sur mon gland. Je sentis ma verge bien au chaud dans sa bouche affamée et ma tante me pompa mon gland à une allure de sénateur.Je la regardai faire, voyant ses lèvres inlassablement glisser sur mon gland pour ensuite se fondre en elle, je me crus en plein rêve.
Ce moment fut indéfinissable car j’éprouvai une sensation nouvelle, celle de regarder ma tante prendre son pied en me suçant.J’imaginai Chantal buvant sa soupe, à chaque fois que mon membre entra dans sa bouche, je crus la voir lécher sa cuillère. Dieu que se fut jouissif d’observer ma belle Tatie aimer, dorloter, câliner, choyer et même materner mon sexe bien portant. Elle qui m’avait connu gosse n’en finissait plus de lécher, siroter, téter mon membre avec sa frimousse adorée que je caressais sans cesse, dans le seul but qu’elle ne fasse que continuer son acte. Acte qui dura une éternité et si ce fut un crime, je plaidai coupable pour prendre perpétuité... 
— Tu aimes mon chéri ? Dit-elle entre deux succions.— T’es fantastique Chantal.— Alors je continue mon amour...
Je n’en crus pas mes yeux, Chantal reposa sa tête et reprit sa fellation. Elle continua à sucer mon sexe tout en le gardant à l’intérieur de sa bouche délicieuse.De mon côté, mes caresses se firent plus virulentes et m’amenèrent à son intimité.Je vis que je la déconcentrais, lorsque mon majeur pénétra avec facilité son orifice ardent. Je l’excitai tant qu’elle commença à s’égarer dans son œuvre, sa langue devenant immobile, comme posée sur mon gland. Son souffle s’accélérant, je décidai cette fois d’interrompre son entreprise.Chantal se releva et je l’attirai vers moi. Docile, ma tante vint se mettre à califourchon face à moi, ses lèvres intimes touchant mon pubis. Je l’enserrai à la taille, elle posa ses mains douces sur mes épaules pour me caresser la nuque. 
Inutile de préciser que ma verge devint difficilement contrôlable, au regard de la position de ma tante et de la proximité de son intimité.Heureuse, elle me fit un sourire suivit d’un baiser.
— Je suis bien avec toi Jean. Me dit Chantal en chuchotant.— Quand je pense que la petite sœur de ma mère est une sacrée suceuse !— Que veux-tu, c’est mon trip de te sucer ta belle...euh verge ! Et restons polis. Ajouta-t-elle quelque peu embarrassée.— T’es une magicienne avec ta bouche.— Bah j’aime te le faire et j’aime te garder en moi. Dit-elle en se lâchant.— Oh la vache comme t’es belle à regarder.— Et à sauter mon cher neveu, c’est bien ce que tu voulais dire ? Répondit Chantal en soulevant son bassin.— Oui ma chère Tatie...— Alors ta Tatie va exaucer ton vœu ! Ma tante saisit mon sexe et le laissa couler en elle silencieusement.— C’est nouveau de faire l’amour en parlant. Lui dis-je avec la voix émue de la recevoir en moi.— Ouiii, on peut dire ça. 
Chantal, emportée par l’exaltation de ressentir mon membre l’envahir dans sa chair ouvrit sa bouche, s’en sans rendre compte.
— Je t’aime ma douce Chantal...Ma tante en ferma les yeux, emportée par l’extase ressentie.— Ouiii...Dit-elle faiblement en approchant ses lèvres à la recherche d’un baiser.— Tu es en moi, tu respires en moi...— Ouiii Jean, ouiii je suis en toi, je suis à toi...
Elle murmura ces mots d’une voix tremblante, savourant la pénétration paisible de mon sexe en elle.
La pénombre de la pièce dégagea une intensité quasi-exceptionnelle et dans notre étreinte incestueuse, je devinai ma tante, je caressai ma tante, je l’embrassai comme un damné, je voulus me fondre en elle. Chantal fit de légers mouvements avec son bassin nous permettant de se savoir l’un dans l’autre, de nous déguster mutuellement avec nos langues collées, nos lèvres soudées et nos caresses multiples. 
— Chantal ?— Ouiii Jean, je t’écoute amour de ma vie. Dit-elle gardant ses lèvres contre les miennes.— C’est unique entre nous, unique tu comprends ?— Oui mon unique amour, fais-moi jouir...Chantal m’embrassa avec une langueur presque océane.
Je regardai au loin la piscine illuminée, j’y ressentis ce que le poète nous dit."Viens mon amour Fuyons l’orage Voici venu le temps de vivre Voici venu le temps d’aimer...Mais qui donc pourrait retenir Les rêves que l’on rêve à deux ...".
Nous primes ce soir-là le temps de nous aimer, je voulus emmener Chantal dans mes rêves...
Et je vis dans les yeux de ma belle..."Voici qu’une île est en partance Et qui sommeillait en nos yeux Depuis les portes de l´enfance Oh, viens Viens mon amour Car c’est là-bas que tout commence ...".
Je partis dans une douce rêverie parcourue de baisers insolents, bercé par la chaleur de ma somptueuse maîtresse.Chantal transpira, jouit emportée par mes spasmes violents. 
Il me faut emprunter ces quelques phrases déjà dites précédemment à un poète disparu, reposant aux côtés d’un peintre célèbre."Mais qu’est-ce que j’aurais bien aiméEncore une fois remplir d’étoilesUn corps qui tremble et tomber mortBrûlé d’amour le cœur en cendres".
Une pluie d’étoiles vint s’abattre sur nos deux corps rassemblés, deux corps tremblants unis dans une jouissance ultime. 
Et je continue avec les paroles d’un autre poète, anarchiste reclus en Toscane, qui symbolise l’apothéose entre Chantal et moi."Je meurs dans toi,Et nos morts rassemblées feront une nouvelle vie,Unique, comme si deux étoiles se rencontraient,Comme si elles devaient le faire de toute éternité,Comme si elles se collaient pour jouir à jamais".
Ce passage résume notre étreinte d’exception.Et ce fut le seul moment où je vis Chantal pleurer des diamants comme aurait dit encore le poète.Son orgasme alla au-delà du raisonnable, elle trembla de toute sa chair. Son intimité, enflammée de mes étoiles dispersées dans son corps, la transcenda vers un état émotionnel irraisonné.
— Ooooh ouiiiiii...ouiii...Encore...Encore...— Tu es si belle. Dis-je en pleine jouissance.— Ouiiii...C’est bon...bon...bon...
Chantal fut véritablement en transe, rythme cardiaque élevé, bouche ouverte, yeux fermés.
— Ca va mon amour, tu pleures ? Lui demandai-je inquiet.— Non chéri ne t’inquiète pas, ce n’est rien. Dit-elle avec des larmes sur les joues.— Dis-moi....— C’est toi, tu m’as donné des sensations que je n’avais jamais ressenties, jamais...et ça me fait couler des larmes. Dit-elle fortement émue.— Je préfère ainsi !— Ooooh ouiiii...c’est bon...tu peux continuer...encore et encore...
Je donnai mes derniers coups de reins puis je caressai ma tante, je l’enveloppai dans mes bras, je la câlinai comme jamais. La tension baissa d’un cran, ma belle Tatie se recueillit après cette onde de plaisir.Elle trouva refuge près de mon épaule et ondula une dernière fois son bassin. Elle m’embrassa avec tout son cœur, toute sa foi et fut à fleur de peau, merveilleuse de féminité. Nous restâmes l’un dans l’autre un long moment, se savourant l’un dans l’autre...
Il fut certain qu’après un tel récit, il serait, disons compliqué, d’atteindre un tel degré émotionnel dans une étreinte future entre ma tante et moi...quoique.
La semaine suivante, mes parents arrivèrent comme convenu. Le séjour se passa très bien excepté un soir.Nous frisâmes la correctionnelle avec ma tante.Anne dîna avec nous et se mît à poser des questions à sa mamie.
— Dis mamie, c’est vrai que maman est ta sœur ?— Non ma petite chérie, pas exactement. Elle est ma demi-sœur, ça veut dire que nous avons deux papas différents mais une seule maman.— Aaah d’accord ! S’exclama Anne.
Les échanges de regards entre ma mère, mon père et ma tante se firent virulents...Anne curieuse à son âge continua son enquête.
— Mais même si maman est ta demi-sœur, c’est ta sœur quand même et tu l’aimes bien ?— Ah oui j’aime ta maman comme une sœur. 
Ma mère fit LA GAFFE, Chantal et moi n’eurent nul besoin d’échanger un regard, ma mère reçut le coup de poignard attendu.
— Alors si maman est ta sœur, c’est presque la Tatie de papa ?— Euh...oui presque. Dit ma mère désemparée.— Bref papa a couché avec maman mais en vrai, c’est sa tante !
Aïe, que ce fut mal engagé pour ma pauvre mère, je ne pus la laisser dans un tel pétrin. Certes, il y eut une gaffe de sa part, mais au départ, je fus le premier coupable en incitant ma tante à coucher avec moi.
— Non ma fille, ta maman n’est pas ma tante, c’est ce que l’on appelle une tante éloignée et mamie est un peu plus âgée. Lui dis-je.— Oui mais tu es plus jeune que maman !— Oh on a juste une quinzaine d’années d’écart et le principal, c’est de s’aimer. Et toi, tu as un amoureux ? 
Je trichai sur notre différence d’âge et j’interrogeai Anne volontairement, pour dévier la conversation, ma mère me fit un sourire de remerciement.
— Oui mais c’est très personnel ! Dit-elle avec aplomb.— Alors dans ce cas, je n’insiste pas. Dis-je en lui souriant.
Anne termina son dessert et nous dit bonsoir.Une fois réunis, nous parlâmes d’autres sujets...Mais ma mère intervint pour remettre le sujet sur la table.
— Cette situation est malsaine.— Et alors maman, que veux que l’on fasse ? Lui dire la vérité ? La vérité que j’ai couchée avec ta sœur, c’est bien ça ?— Oui bon ne t’énerve pas Jean.— Annie, restons calme, ça s’est très bien passé. Rajouta Chantal.— Ah tu trouves ! Dit ma mère agacée que sa sœur intervienne.— Pense à ce que tu dis la prochaine fois Annie !— Et maintenant c’est de ma faute ! C’est la meilleure celle-là ! Mon fils couche avec ma sœur et c’est moi la responsable !— Calme-toi Annie. Dit mon père autoritaire.— Écoute maman, on va en rester là, ça vaudra mieux pour tout le monde.— Oui Jean, après tout ce sont vos problèmes...Résuma ma mère.
Je vis Chantal bouillir intérieurement et je lui fis du pied pour ne pas répondre.Mes parents nous quittèrent le lendemain après cette soirée agitée.
Le soir-même, une fois notre fille couchée, Chantal préféra goûter au moelleux du canapé. Nos vieilles habitudes reprirent le dessus, ma tante confortablement allongée en nuisette et moi, assis en caleçon avec ses jambes toutes aussi moelleuses que le canapé, trouvèrent place sur mes genoux. Chantal débuta une énième conversation à propos de l’attitude de ma mère, moi dorlotant ses pieds épurés toujours aussi délicieux auprès de moi.
Tout en l’écoutant, mes caresses s’amplifièrent et je déposai des baisers sur ses orteils avec cette peau de velours, si lisse que je me mis à les frotter contre ma joue. Plus la conversation continua et plus ma tante s’emporta contre ma mère, elle ne s’aperçut point que ses orteils effleuraient dorénavant mes lèvres, proches de ma bouche. 
— Jean, tu m’écoutes au lieu de jouer avec mes pieds !— Mais je t’écoute...
Chantal poursuivit ses élucubrations et discrètement, je portai ses pieds à ma bouche en jouant avec ma langue sur la pointe de ses orteils. J’adorai ma tante.
— Mais que fais-tu Jean ? Dit-elle interloquée.— Oh juste 5 minutes...— Ca tourne pas rond chez toi ! Dit-elle avec un regard amusé.
Je pris cette dernière phrase comme un consentement et je me mêlai enfin à sa conversation solitaire, tout en me délectant de ses somptueux orteils. Je ne fis que les caressai ainsi que sa voute plantaire et ses chevilles. Je les portai de temps à autre dans ma bouche pour les sucer un court instant, tout en essuyant un refus discret de ma tante, en me les retirant l’espace d’une petite minute. Ce petit jeu dura une petite demi-heure, les pieds de Chantal furent ma propriété et elle apprécia plus mes caresses que mes mises en bouche, si j’ose dire.Il se fit tard et Chantal en termina sur son histoire sans fin.
— Enfin, tu as vu le ton de ta maman pour me parler ?— Oh tu la connais et Anne devient grande, elle commence à comprendre certaines choses.— On ne va pas lui dire que je suis ta tante ! Dit-elle en s’énervant toute seule.— Mais non ma chérie, mais un jour où l’autre elle découvrira la vérité. Lui dis-je tout en suçant ses orteils raffinés.— Ah ça jamais, je n’oserai plus la regarder en face. Je vais lui dire "tu sais Anne, je couche avec le fils de ta mamie !".— Bon, on va se calmer et monter se coucher, d’accord chérie ?— Mais oui...Dit-elle contrariée.
J’oubliai évidemment les pieds charmants de ma tante et nous partîmes nous coucher.Le fait de mettre amuser à dorloter les douces extrémités de ma tante, me donnèrent une envie irrésistible de passer à autre chose, mais, il y eut un mais majuscule car ma chère Tatie ne fut pas dans l’état espéré.Elle arriva certes en nuisette et s’approcha du lit. A la vue de ma mine déconfite, elle comprit immédiatement.
— Bon tu veux me voir à poil !— Oh Chantal...
Sur le champ, elle quitta sa nuisette et au passage, elle en leva les bras ce qui eut pour effet d’apercevoir son buste aux seins fermes avec son ventre bien plat. Elle se glissa sous le drap et vint près de moi. Je ne tentai rien et Chantal s’émut de ma déception naissante.
— Jean, en fait j’ai beaucoup aimé tes caresses avec mes pieds mais je suis fatiguée ce soir, on fera crac-crac demain matin, tu es d’accord ?
Que me fallut-il répondre face à un tel aveu ?Même mon sexe cria au scandale, furieux de voir son maître abattu face à de tels propos.Chantal se fit câline et vint me caresser...le torse. Je pris ce geste comme une preuve de tendresse et ma tante posa sa tête sur mon épaule, pour s’endormir aussitôt.Le plafond de la chambre ne m’inspira guère, aussi je décidai d’éteindre la lampe de chevet pour sombrer dans l’obscurité, en forçant mon esprit de penser à autre chose.
Le lendemain matin, nous fûmes samedi et j’emmenai Anne au collège pour une colle, laissant ma tante faire une grasse matinée.Je revins vers 9 heures avec des croissants pour y trouver Chantal prenant son café.
— T’es un amour, des croissants !— Je voulais te faire une surprise.— Ca mérite un baiser.
Ma tante se leva et je ressentis son odeur matinale, son odeur à elle. Elle fut en robe de chambre et elle la resserra à mon approche.
— Tu ressers ta ceinture ma chérie, aurais-tu quelque chose à me cacher ? Lui dis-je en rigolant.— Mais non, je n’ai rien en dessous ! — Ah...ah...petite cachotière.
Ma tante me fit un petit baiser et se rassit en croquant son croissant. Je ne me fis pas pressant, en prenant sur moi. Assis face à Chantal, j’observai la peau hâlée de ses jambes croisées, avec ses chevilles élégantes et la finesse de ses pieds aux ongles soignés. Comme elle fut désirable et comme elle le savait lorsqu’elle but son café en trempant ses lèvres si bien dessinées. Elle me jeta un regard dans lequel je devinai ses pensées.
— Bon chéri, je fais ma toilette et je suis à toi.— Attends voir un peu...
Au moment de se lever, je la pris par le bras et la mis face à moi en dénouant posément sa ceinture. Chantal ne bougea pas et se laissa faire.Sa robe bien ouverte, je pris soin de la détailler et le fait de regarder son corps presque nu au réveil me donna des battements de cœur. Cela fit bien longtemps que je n’avais pas éprouvé une telle sensation et un souvenir anglais me revint à l’esprit. Conclusion du moment : ma tante me faisait toujours autant d’effet.
Chantal vit mon regard admiratif, elle prit elle-même la robe et l’ouvra en grand.
— Alors ma chatte te plaît mon chéri ? Dit-elle joyeuse.— Oh Tatie.— Quoi ? J’emploie des mots simples !— Oui enfin...l’ensemble est ravissant.— Ca te fait de l’effet on dirait ce matin ? Dit-elle réjouie de me faire tant d’impression.— T’es toujours aussi désirable.— Alors je ne change pas...— Quand je pense que j’avais 18 ans quand je t’ai baisée la première fois !— Ah ouiii, tu as commencé jeune avec moi et tu l’as sautée ta tante depuis.— Je crois qu’elle n’a jamais refusé, je me trompe ?— Non jamais et tu sais que j’adore me faire baiser par toi...alors ? S’exclama-t-elle en posant ses mains sur les hanches.— Ne dis rien...
Les formes matinales de ma tante m’éblouirent, sa taille parfaite et ses seins au repos me donnèrent bien des idées.Je tendis mon doigt et Chantal le suça généreusement en y déposant de la salive. Elle me fit son regard malicieux et toujours debout, elle écarta ses longues jambes pour que mon doigt vienne s’abandonner sur son intimité en éveil. Je caressai son clitoris endormi tout en descendant plus bas pour approcher ses grandes lèvres.
J’entendis un long soupir de ma tante, je couvris de baiser son beau ventre plat et me mis à lui lécher la peau lisse de la base de ses seins. Elle passa d’une manière nonchalante ses mains dans mes cheveux et tout son corps s’enflamma. Elle se pencha pour mieux se faire attraper un de ses mamelons, tandis que mes mains se trouvèrent à l’entrée de son intimité, en attente d’une exploration de ma part. N’en pouvant plus, Chantal m’incita à me lever et mon pantalon comme le reste arrivèrent au bas de mes chevilles.Elle vint se mettre à califourchon sur moi.Face à moi, superbe de sensualité sans maquillage tout en faisant apparaitre ses lèvres à croquer, elle me lança d’une manière directe la phrase tant attendue.
— Tu m’excites Jean et tu le sais.— Ah oui Tatie ? Dis-je en restant serein.— Ne joue pas avec moi, je pourrais être ta maman ! Dit-elle avec un sourire.— Tu pourrais mais tu restes ma tante de tous mes fantasmes, je vais te faire jouir ma toute belle.— Embrasse-moi d’abord. Me dit Chantal en m’offrant ses lèvres gourmandes.
Notre baiser commença en douceur et mes mains enchantées n’en finirent plus de caresser les courbes de ses fesses si attirantes. D’une manière savante, elle ondula son bassin pour me procurer des sensations, mais ce fut également une façon à elle de me montrer son excitation. Puis elle prit du recul, je la regardai encore et encore...sans maquillage, si naturelle et si belle à croquer.
— Maintenant que tu le dis, c’est vrai que tu m’as baisée très jeune Jean !— J’en avais 18 et toi 39 ! Lui dis-je tout en palpant ses mamelons avec la main, l’autre étant occupée plus bas...— Ah oui mais désormais j’ai mon mâle qui est plus mûr.— Et moi, je baise une belle femelle qui en parait 40 !— T’exagère vraiment mais puisque je te plais ! Dit-elle le souffle haletant.
Chantal m’embrassa en me caressant la nuque.
— T’es super bandante le matin, pas maquillée...Lui soufflai-je sentant ses tétons se durcirent, au gré de mes passages avec la paume de ma main.— Tu n’as pas besoin de le dire mon chéri, je te sens en forme ! Chantal resta sur moi et se mut de telle façon à ce que son sexe épouse la peau de mon bas ventre.— Dis donc, tu ne serais pas en train de devenir une petite fontaine...
Chantal me fixa dans les yeux et posa ses mains douces sur mes épaules, j’aimai ce qu’elle fit. Cette posture de ma tante me procura cette impression folle d’être son chevalier servant, son homme à elle. Elle déborda de féminité en balayant à l’aide de ses doigts une mèche rebelle sur son visage. Elle me parut si fragile, si douce mais aussi si amoureuse dans ses gestes.Elle délaissa mes lèvres en se serrant contre moi et me fit des petits câlins dans le cou, de mon côté mes caresses se firent intenses tout le long de son dos. Chantal reprit ses mouvements du bassin, signe d’une envie intense de se faire pénétrer par son neveu.
— Chantal, tu te rappelles de ce que tu as dit hier soir ?— Je m’en rappelle très bien mon amour mais j’aimerais le faire en restant sur toi comme l’autre soir.— Ah oui, c’était magique. Lui dis-je en la regardant en face.— Ouiiiii. Dit-elle les yeux brillants.
Ma tante se souleva tout en gardant sa robe de chambre, ce qui rendit notre étreinte plus érotique. Nous fûmes joue contre joue, entendant chacun nos souffles courts, puis ma belle partenaire me fixa à nouveau dans les yeux et je sentis ma verge envahir son corps en feu. Les yeux fixes, Chantal se coula en moi à l’instar de notre dernière étreinte nocturne. Je pus voir son visage s’émerveiller au fur et à mesure qu’elle entama sa lente descente en moi.
Nous entrâmes dans cette sensation vertigineuse de l’accouplement, moi m’immisçant dans les profondeurs de son corps, elle dégustant la pénétration de mon sexe en folie dans les secrets de son intimité.
"On découvre toujours trop tard que la merveille est dans l’instant"François Mauriac.
Chantal approcha ses lèvres et nos langues entamèrent une symphonie digne de la n°06 "Pastorale" de Beethoven.Je regardai ma superbe Tatie m’embrasser les yeux clos et je compris la citation du grand écrivain à laquelle nous avions échappée.
Ma tante amplifia ses mouvements et nous nous caressâmes mutuellement. Mais tout comme Chantal, je voulus plus et nos corps cessèrent de se mouvoir.
— Viens Tatie, suis-moi.— Oui mon amour...
Nous retrouvâmes dans notre chambre et Chantal allongea son corps admirable sur notre lit, mettant ses bras en croix derrière la tête. Elle me regarda avec les jambes allongées puis esquissa un sourire coquin.Je restai face à elle, debout avec le sexe rigide.Progressivement, Chantal écarta ses cuisses et posa ses mains à l’intérieur, en se caressant. Ma tante se fit féline à souhait et sur le moment, je n’eus qu’une idée en tête, tout comme elle.
— Lèche-moi ma chatte mon cher neveu.— Mais avec grand plaisir ma chère Tatie !
Je vins m’étendre en face de "sa chatte" luisante, aux lèvres roses. Ma tante m’encouragea en soulevant son bassin. Très vite je plaçai mes mains sous ses fesses et j’entamai ce que souhaitait Chantal. Ma langue s’amusa avec son beau clitoris et par la suite, ma bouche toute entière prit possession de ses lèvres. Ses superbes jambes se mirent à la perpendiculaire et j’eus à loisir de m’occuper de son intimité ainsi que d’un autre orifice oublié depuis quelques temps.La pointe de ma langue fit une intrusion dans son vagin, arme fatale pour déstabiliser ma tante, éprouvant plus de sensations par rapport à celles de son clitoris.
— Oh ouiii...Jean ! Que me fais-tu ? C’est si bon !— Je lèche la belle chatte de ma tante adorée.— Continue...ouiiii....Oooooh ouiiii...
Et avec délicatesse, ma langue s’égara à plusieurs reprises vers la pureté de son anus, en le léchant âprement. Chantal replia ses jambes afin que ma langue puisse prendre toutes les libertés voulues. A chaque passage près de l’extrémité de cet orifice attrayant, il fallut que ma langue reste polie, afin que sa maîtresse puisse consentir par la suite une excursion plus lointaine.Force fut de constater que les remarques faites par ma tante, m’entrainèrent à prolonger mon activité, sans oublier sa rivière à diamants...se montrant plus pacifique. 
— Oh mon Dieu...Ooooh c’est génial ce que je ressens avec toi mon chéri ! S’exclama ma tante en me prenant ma main.— Oui mon amour, j’adore te le faire.— T’es mon amour Jean, je t’aime...continue de me lécher avec ta belle langue, continue d’aller partout...— Tu aimes me sucer et moi j’adore te lécher toute entière.— Ouiii lèche-moi mon beau neveu...lèche ta jolie Tatie toute ouverte pour toi...— Alors change de position, ce sera meilleur.— Ooooh ouiiii...S’esclaffa Chantal.
Elle se mit en position de levrette et je caressai sa croupe, je passai ma main en dessous d’elle touchant la peau duveteuse de son ventre.Je me mis à genoux pour la regarder de profil en étant admiratif, contemplatif voire pensif devant de telles courbes. 
"Et Dieu... créa la femme"...Ce titre m’inspira en la voyant ainsi, même si le sujet ce film n’eut rien à voir avec ma tante.J’eus devant moi l’une de ses créatures, la femme dans toute sa pureté. Avec un cul si parfait, ma Tatie adorée me fit tourner la tête, sublime de beauté et de sensualité.
Mon sexe réclama le corps de Chantal, aussi je me fis complice pour l’aider à trouver sa voie. 
Par pure gourmandise et avec le tableau que j’eus sous les yeux, ma langue se hasarda encore entre ses belles lèvres, pour y goûter de sa liqueur toujours abondante à l’entrée de son vagin. A son contact, ma tante eut à son tour une réaction tout aussi gourmande en se cambrant davantage. J’eus ainsi le privilège de recueillir le précieux nectar qui se fit naître, Chantal ne dissimulant pas sa joie par quelques gémissements savoureux.
Mon sexe me fit comprendre que ma langue fut de trop dans cette partie. Elle se retira immédiatement.Ainsi il décida d’emprunter l’orifice dit naturel et au contact de ses lèvres intimes, ma partenaire ne fut pas rétive à cette idée, décidément totalement lascive. Je pénétrai à nouveau Chantal étalée sur le lit, les cheveux en bataille. Mon membre si impatient se montra boulimique et les va et vient incessants dans le corps de ma belle, lui procurèrent l’exaltation retrouvée. 
— J’aime quand tu me baises comme ça Jean. Dit Chantal d’une voix enchanteresse.— Oui mon amour. Lui répondis-je en prenant soin d’introduire un puis deux doigts dans son petit derrière.— Oh ouiii mon chéri, j’en meurs d’envie...prends-moi vite ! Me dit-elle fortement excitée.
Mon sexe se retira pour se mettre en approche face à un terrain hostile.Connu de l’ennemi comme un adversaire redoutable, force fut de reconnaitre que lorsqu’il s’avouait vaincu, il rendait les armes avec une grâce sans pareil.
Il n’y eut point de cohabitation et dès le départ, ma verge impérieuse se mit à sa conquête. Cet orifice intransigeant se montra quelque peu farouche au début, mais mon sexe puissant s’introduit avec fermeté tout en usant de ruse grâce à la magie de mes mains, avec des caresses ininterrompues sur les belles fesses de ma Chantal. Avec un changement de stratégie, à la place d’une pénétration lente et continue, je décidai avec l’accord de mon membre d’user d’allers-retours progressifs. La technique fut imparable et fait rare (!), fort apprécié par ladite belligérante. Je pénétrai lentement Chantal dans son deuxième orifice, progression posée et alternée par de petits va et vient.Dans un silence de cathédrale, mon sexe s’achemina le long de ce canal étroit pour aboutir vers la cité rêvée. Une fois arrivé, mon membre circula à son gré dans ce canal aux écluses absentes.
— Oh Seigneur !! j’en avais oublié ce régal de te sentir si profondément en moi mon chéri...— Oui ma belle Tatie, voir mon sexe disparaitre dans ton cul magnifique est un pur régal ! — Oh Jean...C’est super ce que tu me fais...Ooooh n’arrête pas...je t’en supplie...
Il fut inutile d’employer ce dernier verbe, je sodomisai ma tante royalement en entrant dans son cul de rêve, celui que je vis en bikini blanc un jour d’août à Paris...et maintenant, je devins son maître, celui qui décide, qui ordonne, qui donne du plaisir à sa convenance. Ma tante soumise émit de longs râles, je me permis de sortir de son orifice pour mieux revenir la transpercer lentement, posément, lui faisant sentir la présence de toute la longueur de mon membre. Chantal en redemanda lorsque mes ruades s’intensifièrent et tout à coup, elle émit une proposition.
— Chéri ? J’aimerais venir sur toi ?— Sur moi...Lui répondis-je étonné.— Oui assieds-toi sur la chaise du bureau. Dit-elle affirmative.
Je me prêtai de bonne grâce à ce petit caprice de Chantal.Installé sur la chaise, ma belle Tatie me rejoignit aussitôt et saisit mon membre pour se l’introduire en elle, ainsi je sodomisai ma tante mais face à face, ce qui je l’avoue ne me déplut pas du tout.
Il fallut faire attention au départ, la position étant délicate. Chantal donna un rythme lent et usa du privilège de me fixer droit dans les yeux. Elle me donna le sentiment d’être une belle cavalière chevauchant son étalon avec sa grâce naturelle, tout en étant devenue la patronne de notre étreinte. Et en bonne patronne, elle contracta son orifice à volonté me procurant des ondes de plaisir sournoises.Ma douce tatie, recevant avec bonheur mon sexe dans sa seconde intimité se fit toute câline, alternant ses mouvements en faisant des pauses, afin de venir m’embrasser en me prenant le visage entre ses mains. En plus du régal de sodomiser ma tante de face, j’eus l’apanage de voir son buste flamboyant avec ses seins dévoués qui me firent tourner la tête.Je fondai dans les yeux de ma tante en pensant à l’amour, le vrai à l’instar de la pensée d’André Malraux.
"Un homme qui pense, non à une femme comme au complément d’un sexe, mais au sexe comme au complément d’une femme, est mûr pour l’amour".André Malraux.
Je perçus dans les yeux de Chantal, dans cette sorte d’adage du grand écrivain, qu’à cet instant endiablé elle fut mûre pour l’amour depuis le début de notre relation. Quant à moi, la question ne se posa point.Chantal me regarda inquiète.
— Tu ne dis rien mon chéri ? Tout en continuant ses balancements subtils.— Je ne fais que te contempler, c’est complètement dingue ce que j’éprouve en ce moment.— Moi aussi tu sais.— Non, c’est magique d’avoir encore autant d’émotions alors que l’on est ensemble depuis tant d’années, tu comprends ça ?— Aah d’accord mon chéri...
Ma tante fut bouleversée par mes paroles et se figea, puis s’approcha de moi en me chuchotant.
— Maintenant je peux te le dire, tu es l’amour de ma vie. Dit-elle sur un ton authentique, pur.— C’est merveilleux ce que tu viens de dire...
Nos lèvres s’accordèrent naturellement et je sentis les contractions de ma tante. Elle recommença à onduler son bassin toujours en belle cavalière.Quelques mèches rebelles éclaboussèrent son visage et d’un revers de la main, elle les balaya pour continuer à coller ses lèvres aux miennes. Même si le soleil fut au zénith, mon corps gronda et il me fallut en déduire qu’un orage éminent se prépara.Ma tante habile de ses muscles multiplia les pressions sur mon sexe, mais quand elle déposa ses mains gracieuses sur mes épaules, ce fut une sorte d’abandon face à son étalon.
— Ooooh ouiii mon beau neveu ! Me cria ma tante sentant la jouissance survenir.— C’est fantastique ! Lui dis-je sentant Chantal lâchée prise sous mes assauts répétés.— Je jouiiis mon amour...Je jouiiiiis...Hurla ma belle Tatie sans se soucier du voisinage (!).— Ouii...Dis-je en pleine ascension.
Ses seins adorées s’agitèrent sous mes spasmes violents, et il me fallut me rendre à l’évidence.Après l’orage, un torrent d’amour déferla dans l’anatomie divine de la mère de ma fille. Sous mes coups de semonce, la jouissance de ma tante se mua en un orgasme puissant, brutal, passionné.
— Oooh chéri...c’est fou ce que je ressens. Me dit Chantal plantant ses ongles dans ma peau.— C’est bon...— Ouiii...tu es fort en moi, puissant...Continuuuue...— Je continue.— Ooooh c’est pas possible...c’est fou...je deviens folle...— Lache-toi !— Aaah je jouiiiis...Ouiiii...Baise ta petite sœur...Baise la fort...— Je te baise ma douce Chantal !— JE T’AIME...Hurla Chantal.
Je continuai mais la nature reprit ses droits et mon épuisement, la fin de ma jouissance engendrèrent des ruades de ma part moins virulentes, plus espacées.Chantal reprit elle aussi ses esprits dans une plénitude réjouissante, nous fûmes ailleurs, séparés du monde.
— Oooh mon chéri, qu’est-ce que tu m’as fait ? S’interrogea-t-elle trempée d’amour.— L’amour simplement.
Elle s’affaissa sur moi en me couvrant de baisers dans le cou. Je dessinai son corps avec des caresses le long de son dos, pour finir par recouvrir ses fesses à pleines mains. Nos cœurs battirent à tout rompre, nous reprîmes avec difficulté nos souffles, défaits l’un dans l’autre, mais si proches, si unis...Je serrai ma tante une dernière fois pour sentir son corps près du mien, ses seins contre mon torse et ses lèvres me gratifièrent d’un ultime baiser.
Nous prîmes une douche pour nous relaxer et partîmes chercher notre fille.L’après-midi s’annonça radieuse et elle le fut.
Les années se succédèrent et l’anniversaire de mes 40 ans se fit jour en août 2016.Une fête fut organisée avec de nombreux amis ainsi que mes parents.
Ce sera l’occasion de clore ce récit en narrant cette festivité...
Diffuse en direct !
Regarder son live