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Ma tante de 45 ans est sublime

Chapitre 19

Inceste
Si vous avez manqué le début...Je m’appelle Jean. En 1995 à 18 ans, j’échoue en fac de droit.Ma mère, Annie m’envoie en Angleterre chez sa sœur Chantal, jolie blonde de 45 ans pour 1M70, 54 kg et une poitrine 85b.J’intègre sa firme en tant que stagiaire pour y parfaire également mon anglais durant 1 an.Finalement, tout ne se passe pas exactement comme prévu...Je vous invite à lire les chapitres précédents.Nous voici en 2016, nous avons une fille de 17 ans prénommée Anne, ma tante à 61 et moi 40.
Pour juillet 2016, nous partîmes durant une semaine à Los Angeles. Nous voulûmes faire découvrir à Anne les Etats Unis et également y retrouver de vieux amis. A 16 ans, nous estimâmes avec Chantal que se fut autant instructif que plaisant pour notre fille.Elle découvrit le gigantisme à l’américaine, les voitures, les gratte-ciels...Anne revint épatée avec pleins de souvenirs dans la tête.
Mon job, toujours basé à Sophia Antipolis me convint mais d’autres offres me parurent intéressantes, notamment via la capitale. L’idée de me rapprocher de mes parents effraya ma tante, ses rapports avec ma mère étant malheureusement bien ternes. Elle ne digéra jamais le fait que sa sœur à elle ait couché avec son neveu, c’est à dire moi son propre fils.
Qui fut responsable dans cette vieille histoire ? Moi qui fit du plat à ma tante lors d’une bronzette chez elle en Angleterre. Certes, les souvenirs restèrent vivaces, voir ma tante déambulant en bikini blanc et s’allongeant sur un transat pour que je lui mette de la crème, fut-elle fautive de paraître dans une telle tenue ? Et moi, fus-je coupable de lui passer de la crème et par la suite, qu’elle accepta...sans le bikini ?Ce fut le sujet de discorde entre ma mère et ma tante, sujet s’éternisant et ne prenant guère d’importance avec le temps qui passa à mes yeux.
D’ailleurs la deuxième quinzaine d’août, mes parents invitèrent Anne pour séjourner une bonne semaine dans la capitale. Notre fille fut enchantée à l’idée de faire du shopping avec sa mamie.
Cela nous laissa du répit pour préparer fin août l’anniversaire pour mes 40 ans. Chantal en afficha 61 et en toute objectivité, je lui dis qu’avec ses mèches blondes et ses yeux bleus ainsi que sa silhouette irréprochable, elle me fit penser à ses belles quinquagénaires. Je rajoutai qu’avec sa taille, Chantal mesurant 1 mètre 70 ainsi que son poids de 54 kg, elle garda les proportions idéales. Mais ma tante de nature inquiète se posa des questions sur sa poitrine. Là encore, il me fallut lui répondre que la nature l’avait épargnée du temps. Une poitrine bien ferme et en forme de poire, on la garde toute la vie et pour preuve, je lui proposai un jour de se mettre en bikini blanc à notre bon souvenir...Elle me répondit d’une manière ambigüe.
Je fus déçu.
Nous fîmes venir un traiteur, invitâmes des amis et mes parents de retour avec notre fille.Au total, nous fûmes une trentaine et d’un commun accord, aucune table mais une sorte de cocktail dînatoire avec un gâteau pour la fin. Mes parents couchèrent sous notre toit et Anne fut invitée chez une amie pour la soirée.Nos invités arrivèrent, bien entendu aucune personne de notre entourage ne fut au courant de nos liens de parenté et officiellement, nous nous connûmes aux USA et ce fut plus simple pour tout le monde...à part pour ma mère (!).
Les hostilités démarrèrent à 20h et se poursuivirent jusqu’à 2h du matin. Tous mes amis se réunirent pour m’offrir un cadeau unique, un ordinateur dernier cri avec une pomme dans le dos.Vers 3h du matin, les derniers convives plièrent bagage.
Mes parents regagnèrent leur chambre au rez-de-chaussée. Je terminai quelques rangements et Chantal prit la direction du 1er étage.
— Je te rejoins Chantal.— Oui Jean, je suis fatiguée.
Nous évitâmes devant mes parents de nous appeler "chéri" au grand dam de ma tante. Je ne voulus point de conflit entre elle et ma mère.
Nous ne bûmes presque pas avec Chantal pour garder les idées claires. Je montai à mon tour et ouvris la porte.
— Fais ta toilette chez Anne mon chéri.— Ah bon. Dis-je quelque peu surpris.— Oui tu verras...
Ne cherchant pas à comprendre, je fis une toilette expresse dans le cabinet de toilette de notre fille.De retour, voyant la salle de bain toujours occupée, je me couchai paisiblement.
— Tu es prêt ? Me lança Chantal.— A quoi ?— A partir en arrière mon neveu.— Qu’est-ce que tu me prépares ?
En guise de réponse, Chantal sortit de la salle de bain en bikini blanc. Elle observa mon attitude figé et réjoui à la fois. Elle déambula dans la pièce, perchée sur ses escarpins.J’en oubliai son âge comme le mien et me remémorai mon fameux stage en 1995 avec ma tante. Ce fut une après-midi ensoleillée et pour aguicher ma tante, je lui avais proposé une petite bronzette chez elle.
21 ans plus tard, la voici devant moi dans la même tenue. Certes avec quelques rides en plus, mais toujours autant de charme et de sensualité.Elle se déchaussa, me regarda tout en se déshabillant.Elle vit mon visage interrogatif.
— C’est une sorte d’amuse-gueule pour demain après-midi mon amour.— Ah bon ?— Oui, demain nous remontons le temps en 1995, c’est mon cadeau.— T’es folle Chantal...et Anne ?— C’est prévu, nous la déposons chez sa copine Lisa et elle dort chez elle.— Alors là t’es géniale !
Chantal se glissa sous le drap, me fit un baiser et n’eut pas le temps d’éteindre, elle s’endormit dans la foulée, épuisée.
Le lendemain matin, mes parents nous firent leurs adieux en nous remerciant vivement pour la soirée.Nous cherchâmes Anne chez sa copine et d’un commun accord, j’invitai ma petite famille au restaurant pour midi. Vers 15 heures, une fois notre fille déposée encore une fois chez une autre copine, la fameuse Lisa, nous nous retrouvâmes enfin chez nous, seuls.
Pour mieux partir dans notre doux délire, même si nous avions passé l’âge, je proposai à Chantal de préparer une petite cigarette par mes soins. Elle ne refusa pas et nous terminâmes ce que l’on appelle un petit joint. Certes, le coté illicite nous incombe à rester prudent sur le sujet...Cigarette terminée, j’observai ma tante qui me fit ses yeux de biche, la devinant en maillot deux pièces.
Je commençai comme en 1995, je me remémorai les paroles prononcées à l’époque.
— Avec un temps pareil, je vais faire un petit coup de bronzette, pas toi Tatie ?— Non, pas pour l’instant. Me répondit ma tante se prenant au jeu qu’elle m’avait proposé la veille.
En l’espace d’une petite minute, je me retrouvai en caleçon et je m’apprêtai à retrouver les transats.
— Bon avec ce beau soleil, dans le fond une petite séance de bronzage me fera du bien. Dit ma tante détendue.— C’est fort sympathique de ne pas laisser son neveu seul.— Non mais je compte sur toi pour me badigeonner de crème, j’ai horreur de ça ! Dit-elle tout sourire.— C’est dans mes compétences. En lui rendant son sourire.
Chantal s’éclipsa et je me mis assis sur un transat, regardant les reflets du soleil sur l’eau de notre piscine.J’entendis des pas et je tournai la tête.Je me crus en effet en 1995, ma tante avait revêtu son fameux bikini blanc avec des escarpins mettant en valeur son élégante silhouette.Sa démarche féline au diable au loin me fit frémir.Elle approcha et j’eus enfin le plaisir de la voir de près.
Face à moi avec un tube de crème, perchée sur ses talons, j’admirai ma tante avec ses hanches formant sa silhouette harmonieuse, sa poitrine se reposant derrière le haut de son bikini et enfin ses jambes sans fin...Comme elle était belle à regarder ma tante (!).
— Alors mon neveu, je m’assieds sur le bord du transat afin que tu me mettes de la crème dans le dos ?— Attends Tatie, reste debout que je puisse t’en mettre sur tes jambes.— Comme tu voudras. Dit-elle en avançant vers moi.
Ma tante me tendit le tube et je débutai mon application sur ses jambes. Mes mains parcoururent longuement l’intérieur de ses cuisses, Chantal les écartant légèrement. Je m’arrêtai au maillot jugeant suffisant la crème déposée.
— Allonge toi sur le ventre ma belle Tatie.— Tu m’appelles ainsi ! Répondit-elle en s’étendant.— Alors, par où vais-je commencer ?— Par le dos mon grand !— Oui mais le haut du bikini me gêne.— Bon je l’enlève et tu as vu, je suis blanche comme un linge alors il faut en mettre.
Ma superbe tante ôta habilement son haut et mes mains se mirent à l’ouvrage. Sa peau si blanche fut recouverte de cette crème et de mes doigts habiles, je parcourus ses bras, ses épaules pour descendre le long de son dos. 
— Ma chère Tatie, nous rencontrons un problème.— Et lequel Jean ?— Avec tes fesses, le maillot fait barrage !— Tu ne veux pas que j’ôte mon maillot quand même, je ne vais pas me mettre nue devant mon neveu !— Dommage, tu auras les traces du maillot. Luis dis-je désappointé.— Enfin Jean, n’insiste pas, je suis ta tante !— Tatie, tu restes allongée donc je ne verrai rien.— Bon, tire sur le nœud de ton côté et je tire de mon côté.
Ma tante se retrouva les fesses à l’air et j’eus à loisir de contempler son superbe fessier, ferme, bien rebondi à la base.Je ne me fis pas prier pour étendre la crème en y déposant quelques perles sur ce beau postérieur. Très vite, les jambes furent terminées ainsi que les voutes plantaires, aussi il me fallut à nouveau étaler ladite crème sur le bas du dos de ma tante. Mes mains caressèrent son entrejambe en s’attardant à la limite de son intimité.
— Euh Jean, je crois que ça va être bon ?— Mais parfaitement Tatie.
Chantal continua notre jeu du passé avec une certaine excitation intérieure, se remémorant ce souvenir délicieux. Elle resta immobile et le soleil lui fit don de quelques gouttes de sueur. Je vis au bout d’une vingtaine de minutes que ma tante serait obligée de changer de position, mais pris à notre propre jeu, je me fis silencieux, lui laissant l’initiative.
— Mon cher neveu, ta tante va être dans l’obligation de se retourner.— Et alors Tatie ? Répondis-je tout excité d’avoir l’occasion de voir sa poitrine flamboyante.— Je n’ai pas de haut et tu vas voir mes seins. Dit-elle en haussant la voix.— Tu oublies la mode des seins nus, moi ça ne me dérange et puis après tout, j’en ai vu d’autres.— Bon, je me retourne mais je laisse le maillot sur le bas et ne regarde pas !
Je me mis de dos et attendis le top départ de ma tante.
— Tu peux me regarder...enfin tu peux me mettre de la crème sur les jambes, pour le haut je m’en occuperai.
Je notai ce petit lapsus révélateur de ma tante en me proposant de la regarder (!). Un petit demi-tour et je fus face à ma tante, allongée avec un petit bout de tissu protégeant son intimité. 
Cette impression étrange de me retrouver en 1995 m’arriva de plein fouet, un mélange de désir et d’interdit me vint à l’esprit. J’eus beau avoir 40 ans, je m’identifiai à ce gamin de 18 ans avec sa tante à moitié dévêtue devant lui, alors âgée de 39 ans à l’époque.Force fut de constater que Chantal étendue avec sa belle peau blanche enflamma mon esprit et le bas de mon corps.Devant la perfection de son corps livré à mes mains, je ne sus par où commencer.
— Alors Jean ! Le soleil chauffe...— Oui ma belle Chantal.— Ah enfin tu m’appelles par mon prénom, je préfère et tu ajoutes belle en m’appelant ?— Oui, tu es d’une telle grâce. Dis-je d’une voix faible.— Bon tu me mets de la crème et merci pour le compliment quand même.
Évidemment, l’occasion fut si belle de pouvoir m’occuper de ses pieds. Je pris la crème dans les mains pour les déposer sur ses orteils, je les caressai avec une telle dextérité que ma tante lâcha un soupir. Mes doigts glissèrent le long de sa voûte, un pur délice.Ses jambes ayant été badigeonnées au départ, je ne m’attardai pas et j’arrivai à ce petit bout de tissu ridicule.Les nœuds défaits, je passai outre les recommandations de ma tante et continuai mon chemin le long de ses hanches. Ainsi je dessinai son corps pour finir par d’amples passages sur son joli ventre.
— Chantal...je te laisse faire pour le haut ?— Mets moi en sur les épaules et jusqu’au cou...Dit-elle les yeux fermés.
J’observai sa poitrine et ses tétons légèrement gonflés. Connaissant ma tante, il me fallut être subtile dans mon pseudo massage. Au fond d’elle-même, je sus qu’elle ressentait une attirance pour son neveu.Et puis, ne fut-ce-t-elle pas en train de se faire caresser indirectement par son jeune neveu de 18 ans, la crème n’étant qu’un mobile ?
— Je ne t’ai jamais demandé Jean, tu as une copine ?— Non c’est fini ma chère Tatie !— Et ici, tu as trouvé quelqu’un à ton goût ?— Ah oui, une petite blonde qui te ressemble à l’étage plus bas. Lui dis-je exprès pour susciter un sentiment de jalousie.— Oui elle est pas mal en effet.— Attends, elle est super bien foutue ! Lui répondis-je tout en étalant ma crème à la limite de ses seins.— Hum...c’est bon, j’aime.— Alors je continue...— Oui continue de mettre de la crème à ta Tatie comme tu dis.
Je saisis le tube et un filet de crème vint mourir sur l’auréole de son sein gauche.
— Ouh quelle fraîcheur...au secours mon neveu ! S’exclama ma tante.
Aussitôt mais sans précipitation, un deuxième filet fit de même. Ma tante fut parcourue de frissons, instantanément mes mains vinrent à sa rescousse. Tel un sauvetage en haute mer, elles arrivèrent pour se poser tout en douceur sur les filets, désormais dispersés sur la poitrine charmante de ma sublime Tatie. Je n’eus qu’un seul moyen pour contrer cette situation fâcheuse, étaler cette crème incongrue à la base des seins de ma tante, tout en remontant vers leurs pointes...sans les toucher. L’effet fut immédiat et surprenant à la fois de la part de ma tante.
— Quelle délicatesse Jean, quelle magie !— Que veux-tu ma chère tante, tu connais la maxime "tout vient à point à qui sait attendre".— C’est très agréable. Dit-elle en terminant sa phrase dans un lent soupir.
Je m’affairai à effleurer avec la paume, par des passages précis la point de ses mamelons. A mon grand étonnement, aucun son ne sortit de la bouche de ma tante. Je délaissai sa poitrine pour aller sonder son bas ventre, tout en déposant à nouveau quelques gouttes de mon allié crémeux. J’accédai à son entrecuisse en soulevant au passage ce bout de tissu, véritable intrus sur le corps reluisant de ma belle Tatie. Je tentai une sorte d’opération commando en opérant une glissade de mes doigts sur les bords de son intimité.
— Mais que fais-tu Jean ? S’énerva ma tante en se relevant.— J’étale Tatie. Lui répondis-je en la regardant avec sa poitrine délaissée.— Enfin...— Écoute, j’aime te caresser et je crois que ça te plaît ?— Oui...enfin tu es un gosse de 18 ans.— Bon j’arrête dans ce cas. Répondis-je vexé.— Oui c’est préférable et je vais me baigner...
Chantal se leva exaspérée en remettant le bas et se dirigea vers la piscine. Elle fut en plein de notre jeu de rôle en fait ! Et l’effet de ma fameuse cigarette l’avait plus perturbé que moi.Je décidai de l’attendre. Elle fit quelques brasses puis insista pour me voir.
— Bon Jean tu viens ? Elle est bonne !
Je fis la tête tel un gosse, un môme de 18 ans. Ma tante revint quelque peu embarrassée par mon attitude lointaine. Elle se sécha rapidement puis se rallongea.Je scrutai ses formes, ses tétons bien durcis avec mes caresses et l’eau fraîche de sa baignade. Quelques gouttes firent leur chemin pour perler le long de son ventre, de ses jambes longilignes et de sa poitrine en plein soleil.
— Jean, tu fais la tête à ta Tatie ?— Mais non...— Bon, je n’ai plus de crème pour me protéger, tu veux bien m’en mettre s’il te plait ? Dit-elle en me regardant avec une telle insistance.
Mes yeux rencontrèrent les siens et j’eus cette pensée de Victor Hugo."Quand une femme vous parle, écoutez ce qu’elle vous dit avec ses yeux".
J’adoptai cette doctrine, courte certes et fis un sourire à ma tante. 
— Alors dis-moi si tu aimes ce que je te fais ? Dis-je pour en avoir le cœur net.— Oui évidemment...j’apprécie, j’apprécie beaucoup si tu veux savoir. 
Je ne répondis pas face à un aveu de la sorte. Sans aucune gêne, je me remis à l’ouvrage si je puis dire. De ma propre initiative, je dénouai les nœuds de son maillot pour enlever définitivement ce bout de tissu, immonde à mes yeux. Dans ma tête, je pensai "qui ne dit mot consent" et Chantal en guise de réponse resta bien allongée sur le dos, prête à se faire enduire le corps dans son intégralité.Je me frottai les mains pleines de crème et je les appliquai sur son ventre pour descendre directement vers le crépuscule de son intimité. Ses cuisses se dispersèrent sous l’effet d’une ample caresse, recouvrant le bas de son ventre pour atterrir entre la peau lisse de l’intérieur de son entrejambe.
— Euh Jean, n’oublie pas que je suis la petite sœur de ta maman...— Oh mais je sais et elle est ravissante cette petite sœur ! Répondis-je en caressant ses lèvres intimes avec mes doigts fins.— Merci mon neveu mais je crois qu’il est inutile de mettre de la crème là où se trouve ta main...— Je n’ai pas de crème ma belle Tatie, maintenant je peux simplement arrêter. — Continue, c’est agréable avec le soleil qui me remplit de chaleur mon beau neveu. Dit-elle dans soupir encourageant.— Tu m’appelles mon "beau neveu"...ça signifie quoi ma jolie Tatie ? — Que je te trouve plutôt pas mal. Dit-elle en ôtant ses lunettes de soleil.
Désormais, ce furent de véritables caresses que je prodiguais à ma charmante tante avec son aval. Mes mains se firent plus câlines en remontant à la base de ses superbes seins et avec adresse, leurs auréoles se prêtèrent à mon jeu en leurs adressant des passages lancinants. Ma tante se cambra, comme désireuse de se faire prendre le sein.Nous échangeâmes un regard intense que je poursuivis en lui pinçant un de ses mamelons.
— C’est bon ce que je te fais ? Dis-je tout en continuant avec mon autre main à lui caresser intensément son intimité.— Oui c’est très agréable mais ça n’est pas bien.— Et alors ? Nous sommes seuls...— Bon comme tu t’y prends bien, je te laisse me caresser.
J’intensifiai mes pincements en sentant le souffle de ma tante s’amplifier. Je me penchai et ma sublime Tatie approcha son buste. Ma langue se mît à tournoyer sur son auréole tandis que ma main caressa ses hanches. Je gagnai sa confiance mais aussi son désir refoulé envers moi lorsqu’elle passa ses doigts dans mes cheveux, en m’incitant à lui sucer son mamelon enflammé.
— Tatie...je crois que tu aimes vraiment !— Ouiii c’est pas mal du tout.
Suite à cette brève conversation, je me mis à téter goulûment ce sein si demandeur. Je sentis les doigts de ma tante se crisper dans ma chevelure. Mes doigts atteignirent la pointe de son intimité et parcoururent ses longues lèvres que je devinais savoureuse. Je donnai le coup de grâce lorsque mon majeur se montra impatient à l’entrée de son vagin.
Un coup d’œil sur ma montre m’indiqua 16 heures. Je réalisai que notre petit jeu durait depuis près d’une heure.
— Tatie, suis-moi.— Jean, ce n’est pas raisonnable ce que l’on fait !— Je sais, allez viens, laisse-toi faire...Luis dis-je avec une voix ferme.
Je me levai en lui tendant la main pour l’aider et au moment même où sa main rencontra la mienne, je sus que ma tante était partante pour faire des choses non convenues avec son neveu de 18 ans.Elle se leva avec grâce, entièrement nue. Je la vis gênée de par sa nudité face à moi, aussi pour effacer son embarras, je collai ma tante contre moi sentant la douceur de sa peau contre moi.Le rêve se mît en marche...
Ma tante prit sa serviette sur les épaules, eut le temps de mettre ses escarpins et nous rentrâmes dans le salon.
— Jean, que veux-tu faire ? Dit-elle angoissée de ce qui allait se passer.— Suis-moi sur le canapé.
J’enlevai mon maillot et ma tante jeta un bref coup d’œil sur mon membre bien portant. Je la pris par la main et n’y tenant plus, je la serrai contre moi en lui caressant ses fesses somptueuses. J’avançai mes lèvres et Chantal, hésitante, me donna les siennes. 
Même si ce fut un jeu entre nous, nous poursuivîmes notre rêverie.
Nous débutâmes par quelques petits baisers innocents, ma tante ayant du mal à concevoir l’impossible avec son propre neveu. Il m’apparut nécessaire de faire un coup d’éclat.Je m’assis sur le canapé, le sexe raide en posant mes mains sur les cuisses.
— Viens t’asseoir sur moi ma belle Tatie. Lui dis-je avec une voix posée.— Jean tu te rends compte de ce que tu me demandes ?— Viens je sais que tu en meurs d’envie. Dis-je toujours avec une voix posée.— Oui mais si ta maman l’apprenait ?— Il n’y a que nous deux, viens t’asseoir juste 5 minutes.— Euh...alors juste 5 minutes et après je pars faire des courses.— Alors viens Tatie...
Mes yeux fixèrent le corps de ma tante, ses jambes, son sexe, son ventre, son buste avec ses seins pointus. Chantal vint, un peu perplexe, se mettre à califourchon sur moi, en repliant ses jambes sur le canapé. Immédiatement mes bras l’enlacèrent par la taille et je multipliai les caresses le long de de son dos, tout pétrifiant ses fesses fermes, bien rebondies. Je sentis son intimité bien humide près de mon bas ventre. Elle posa silencieusement ses mains suaves sur mes épaules, ainsi je la sentis "à moi" pour de bon. Elle me fit un baiser dans le cou mais se montra rétive.
— Jean, je me sens un peu mal à l’aise.— Allez Tatie ! On n’est pas bien sur son neveu ? Lui dis-je tout sourire.— Si...— Et je sens que tu mouilles en plus.— Avec toutes tes caresses, je suis ta tante mais je reste une femme !— Une très belle femme. Répondis-je avec mon sexe en feu.— C’est gentil de me dire ça mais je trouve que nous allons un peu loin Jean.— Approche un peu, que je t’embrasse comme il faut.
Ma tante approcha timidement sa bouche tandis que je redoublais de caresses sur tout son buste. Nos lèvres s’accordèrent enfin et ma langue vint chatouiller la sienne. Petit à petit, je réussis enfin à accorder notre baiser, quand ma langue se permit une visite de l’intérieur sa bouche. Chantal se lâcha quelque peu et ondula son bassin, ainsi je ressentis son intimité bien humide et mes doigts filèrent dans la raie de ses fesses à l’encontre de ses lèvres intimes.L’envie de baiser ma tante me vint à l’esprit, tant mon sexe me réclama sa présence en elle. J’oubliai aussi vite cette idée quand ma tante prit du recul.
— Ecoute Jean, ne le prends pas mal mais je crois que l’on va en rester là. Dit-elle émue.
Sans écouter cette phrase dénuée de bon sens, je saisis un de ses seins en jouant le tout pour le tout. J’aspirai directement sa pointe pour ne plus la lâcher. Je suçai vigoureusement son téton généreux et je vis sa maîtresse se rapprocher de moi. Sans prêter attention, je poursuivis mon œuvre sur son second sein tout aussi attentif à ma présence. J’entendis enfin un premier gémissement de ma belle Tatie et je décidai de bouleverser la donne, en prenant l’initiative en connaissance de cause. Ma tante se montrant passive dans ce type d’exercice, je l’incitai à se retirer de moi à son grand étonnement.
— Que veux-tu que je fasse Jean ? Dit-elle nue face à moi.— Allonge toi sur le canapé, je vais te faire du bien.— Bon, je ne sais ce que tu as dans la tête...
Ma tante devint docile et échappa à ses pensées pour s’allonger sur le canapé. Elle sut très bien la finalité mais la connaissant, elle fit la femme surprise. A genoux devant elle, je pris sa jambe en la couvrant de baisers tout l’écartant. Mes mains caressèrent ses pieds fins et mes multiples baisers me conduisirent vers son intimité, dont elle ne put cacher son épanouissement. Je déposai un premier baiser sur ses lèvres intimes. Chantal me prit la tête entre les mains.
— Jean, je te le répète, je ne veux pas aller plus loin, est-ce que tu comprends ?— Oui ma chère Tatie mais ta jolie chatte dit le contraire !— Oh Jean enfin, tu parles à ta tante ! Dit-elle faussement agacée.— Cool Tatie...Lui dis-je en donnant un coup de langue rempli de salive sur l’ensemble de son sexe.— Arrête Jean...Dit-elle avec une voix faible.— Tu as peur de jouir ? Dis-je en lui léchant cette fois âprement ses belles lèvres dispersées.
Aucune réponse ne se fit entendre. Je cherchai la main de ma tante et une fois nos mains réunies, j’atteignis son clitoris pour le dorloter à ma manière. Nos doigts croisés entre eux, Chantal les serra fortement quand je ressentis ses premiers spasmes en m’activant sur son crépuscule. Ma tante m’incita à descendre plus profond et ma langue vint faire connaissance avec l’entrée de son sexe totalement ouvert. Son souffle devint haletant et je jetai un bref regard vers ma tante qui me regarda à son tour.
— Tu aimes Chantal ?— Ooooh oui...
Sans me prendre pour un chasseur, ma tante devint ma proie, prisonnière de mes fantasmes inavoués. J’allais enfin baiser cette belle femme mûre de 39 ans, la faire jouir à ma convenance, la posséder.Je me redressai, vaillant, le sexe gonflé à bloc sous le regard admiratif de ma tante.
— Bah dis-donc ! Ca fait un bout de temps que tu y penses avec moi ! Dit-elle toute joyeuse.— Je te plais ma superbe Tatie ?— Je ne vais pas te dire le contraire !— Et toi, tu y as pensé avec moi ?— Jusqu’à présent, non ! Dit-elle affirmative.
Ma tante se dévergonda totalement et cette fois se leva sans retenue devant moi. Elle vint pour m’embrasser tout en saisissant mon membre en faisant un va et vient. Je fus excité comme un beau diable et l’envie de la pénétrer devint inéluctable. 
— Viens dans ma chambre, on sera mieux. Dit-elle.
Ma tante me prit par le bras m’invitant à monter l’escalier. Ce fut un spectacle hallucinant, voir la sœur de ma mère entièrement nue m’emmenant dans sa chambre pour se faire sauter par son jeune neveu, moi !Une fois dans la chambre, Chantal ouvrit le lit en se débarrassant de sa serviette pour se mettre sur le dos, un oreiller posé derrière la tête. Je fus également nu face à elle et elle ne put s’empêcher une fois de plus de contempler mon sexe bien portant.
— On dirait qu’il te plaît ma chère Tatie.— Oh tu en as des questions...— Montre-moi un peu comment tu désires m’accueillir.— Jean, ça devient gênant mais je vais te montrer.
Chantal écarta ses longues jambes pour exhiber son intimité et se caressa l’intérieur des cuisses, puis elle creusa son ventre en se cambrant faisant apparaitre ses côtes.Elle fut divine et je songeai à ses paroles de mon poète anarchiste.
"Et sous le voile à peine closCette touffe de noir JésusQui ruisselle dans son berceauComme un nageur qu’on n’attend plus".
Avec son sexe parfaitement épilé, point de touffe noire mais un ruissellement fut apparent et le nageur que je fus se montra impatient d’engager une brasse coulée avec sa sublime tante.Ce fut amusant, une fois proche de ma tante, je la sentis passablement gênée de ce que nous allions faire, elle murmura des remords.
— Je crois que je fais une sacrée bêtise Jean.— Laisse-toi faire ma belle...
Ma tante me regarda médusée et mon sexe en main glissa le long de ses lèvres assoiffées. Toujours sous son regard médusé, j’entamai une lente pénétration de ma tante sans va et vient. J’entrai en elle tel un sous-marin se met en plongée. J’atteignis l’immersion maximale et ma belle Tatie se détendit. Mes entrées et sorties en elle se firent posément sous son regard enchanteur. Mon sous-marin se mit en rythme de croisière sous les encouragements de ma partenaire rêvée.
— Ooooh c’est bon Jean, c’est si bon !— Oui je sais.— Plus fort Jean, plus fort...
La propulsion de mon navire de guerre se mit en mode opérationnel, paré à toute éventualité hostile. Plus le rythme s’accéléra et plus Chantal se mit à hurler son plaisir. J’atteignis les grands fonds et je pris les pieds délicieux de ma tante dans chaque main. Ma propulsion s’activa de plus belle et je sentis partir mes ballasts...Je songeai à ces paroles du poète anarchiste.
"L’amour ça ne meurt que la nuitAlors habille-toi en moiAvec un peu de rouge aussiJ’aurai ta mort entre mes brasLorsque vous me mettrez en croixDans votre forêt bien appriseEt que je boirai tout en basLa sève tant et tant promiseJe vous engouffrerai de sangPendant que vous serez charmée".
Ce fut à moi que revint le privilège de la mettre en croix, jambes écartées, tenant ses orteils recroquevillés dans mes doigts.Je lançai mes torpilles, j’avoue ne plus savoir combien. Durant ce moment d’une rare intensité sur le plan émotionnel, ma tante crispa ses orteils serrés entre mes doigts. Nous fûmes dans une alchimie plus que parfaite et le corps de ma sublime partenaire reçue une à une, mes décharges dévastatrices. 
— Qu’est c’est bon d’être en toi ma Tatie !— Ouiii mon neveu chéri...— Je jouis en toi...Dis-je en l’engouffrant de sang.— Oh ouiii...continue...continue...Dit-elle avec souffle haletant.
Je remontai lentement à la surface, vidé, épuisé de notre étreinte bestiale. Je me mis à ses côtés et machinalement, Chantal posa sa frimousse sur mon torse tout en passant sa main le long de mon bras. Elle aussi avait reçu un orgasme puissant et se sentit comme libérée après notre acte.
— Oh la vache Chantal ! Comme j’avais envie de te baiser !— Ah bon ? Dit-elle sincèrement surprise.— Oh oui, comme j’ai pu te désirer.— Bah tu t’y es pris comme un chef...ça faisait si longtemps.— De quoi ?— Tu m’as fait jouir, c’était inouïe...Dit-elle enchantée.— On le refera.— Ah oui ! S’exclama-t-elle.
Puis nous sortîmes de notre "jeu". Nous prîmes une douche ensemble très sensuelle. Une fois secs, je proposai à ma tante d’aller fumer une cigarette sur la terrasse et nous prîmes place l’un en face de l’autre, Chantal prenant soin de mettre ses pieds sur mes cuisses afin que je caresse ses orteils soignés. Nous partîmes dans une conversation sur nos sentiments mutuels et sur nos émotions du moment.
— C’était plutôt pas mal ce retour dans le passé Chantal ?— Assez oui, je m’y suis cru totalement.— J’ai assez aimé tes réticences au début car à l’époque, tu as été farouche mais pas à ce point.— Oui enfin disons que j’avais envie que tu me fasses la cour et puis après, je n’ai pas résisté ! Avoua-t-elle humblement.— Mais de toute façon, tu ne pouvais pas. Lui dis-je en déposant des baisers sur le dessus de ses orteils.— Oui mon grand, j’avais une attirance pour toi et maintenant que veux-tu d’autre pour ton anniversaire ?— Eh bien j’aimerais assez t’avoir sur moi dans le canapé !— Rien d’autre là ? ici pour ton cadeau d’anniversaire ? Dit-elle en haussant les sourcils et en jetant un regard plus bas sur ma personne.— Toi tu meurs d’envie de me sucer ! Répondis-je en regardant ma tante juste vêtue d’une serviette.— Ouiii mon chéri adoré !! Dit-elle en s’exclamant.— Alors viens.— Oui mais après tu me baises dans le canapé chéri !— Oh oui.
Je n’en crus pas mes yeux et je n’arrivai pas à m’y habituer. Ma tante se leva en se déhanchant d’une manière sexy et se mit à genoux tout en gardant sa serviette sur les épaules. Elle fit mine de se lécher les babines comme un chien et baissa mon caleçon.
— T’aime quand même vachement le sexe ma belle Tatie !— Ouiii depuis que je te connais. Avoua-t-elle.
Je ne sus lequel des deux en eut le plus envie. Toujours est-il que ma tante attrapa le bout de mon sexe et l’aspira d’une traite au fond de sa gorge.Toujours studieuse, elle imprima un rythme de dégustation alternant les pauses pour me parler.Je remarquai que Chantal prit pour habitude de débuter une conversation, tout en continuant sa fellation.
— Jean, tu n’oublies pas ce que je t’ai dit pour après ? Me dit Chantal en donnant des coups de langue légers sur mon sexe comme si ce fut une sucette.— J’adore ce que tu fais pour le moment !— Vraiment ? Dit-elle tout sourire en gobant cette fois à pleine bouche mon pénis.— Oui...— J’aime te sucer, juste toi, rien que toi. Termina-t-elle en tapotant mon gland sur ses lèvres.
Puis ma tante immobilisa mon sexe en elle, faisant tournoyer habilement sa langue sur mon gland.Sensation divine qui marqua la fin de son entreprise.Chantal se releva avec la serviette à ses pieds et sûre de son effet, elle mît ses mains sur les hanches entièrement nue face à moi.
— Alors mon neveu ? Prêt à baiser la sœur de ta maman sur le canapé ?— Prêt petite sœur et tu sais que tu es belle avec ta peau blanche ?— Oh mais tu vas sûrement me prouver tout ça !
Sans aucune précipitation, nous nous dirigeâmes vers ledit salon. Je m’assis et ma tante me regarda, m’observa.
— Que se passe-t-il ? En étant interrogatif.— Que tu es beau mon jeune étalon !
Ses mots sortirent de sa bouche spontanément et je ressentis Chantal éperdument amoureuse de moi.Elle vint s’installer sur moi et se mît à son aise en posant comme par habitude ses mains fines sur mes épaules. Je caressai de partout ma tante et nous partageâmes un long baiser de folie.Nous eûmes l’un et l’autre envie de faire l’amour, de réunir nos corps.Chantal dressa son buste, mes mains parcourir ses épaules puis ses hanches et je la serrai contre moi.
— Tu es beau mon cher neveu !— Je pense à ma mère, si elle nous voyait...— Mais je suis juste assise sur mon neveu, qu’y a-t-il de mal ?— Tu oublies juste un petit détail...ma chère tante se trouve à poil sur son neveu.— Et si je dis à sa maman que je suis amoureuse de son fils ? Me dit-Chantal en soulevant ses hanches.— Oui et je crois que la sœur de ma mère est en train de prendre le beau sexe de son fils pour se l’enfiler dans sa belle chatte à elle.— Oui chéri. Dit-elle en posant sa main sur le canapé pour enfin se laisser glisser mon membre dans son orifice.— Ah on y arrive et c’est le meilleur moment.— Ouiii...je te sens venir en moi et comme tu es en forme ! Dit-elle avec un air de satisfaction.— Approche...
Ma tante m’enlaça et nos lèvres se collèrent, tandis que le soleil se mit à disparaitre sous un épais nuage. Chantal replia un peu plus ses jambes et j’eus à loisir de saisir ses pieds à pleines mains. Ainsi je disposai dans son intégralité du corps de ma tante. Chantal contracta adroitement ses muscles vaginaux, renforçant le plaisir de la sentir toute en moi. L’orage gronda ce qui eut pour effet de l’effrayer.
— J’ai peur Jean, serre moi.— Je suis là.— Oui et je te sens bien en moi ! Dit-elle en pouffant de rire.— Oublie le tonnerre...et lâche-toi avec moi.— Ouiiii...— J’aime t’avoir sur moi. Lui dis-je en tétant son sein.— J’adore ce que tu fais. Dis Chantal la tête en arrière, m’offrant sa poitrine flamboyante.
Le soleil refit son apparition en l’espace d’une minute et comme pour fêter cet évènement, ma tante ondula avec maitrise son bassin. Elle prit un plaisir fou de pouvoir contrôler la situation, mais son plaisir fut de courte durée. La zone érogène de sa poitrine en décida autrement, ses beaux tétons se mirent à durcir sous les pincements légers que j’entrepris. Chantal stoppa ses mouvements et eut le souffle court, sa jouissance fut imminente.Je possédai ma tante physiquement et lui procurer de telles sensations tout en étant en elle m’excita de même.
— Oh n’arrête pas mon étalon...— Tu es à moi, je fais ce que je veux de toi. Lui dis-je en chuchotant.— Ouiii mais ne t’arrête surtout pas...
Je tétai de plus belle sa poitrine si demandeuse, me tournant sur chaque sein pour y rester le temps qu’il fallut. Puis Chantal me serra contre elle, fort, très fort en promenant ses mains dans mes cheveux. Elle se mit à jouir en se crispant plusieurs fois, en contractant également ses muscles intimes. A mon tour, j’imprimai mon rythme par des mouvements secs, brutaux et ma belle Tatie exhorta.
— Ooooh mon Dieu...Ooooh...— Oui c’est bien, jouis. Lui dis-je comme pour l’encourager.— Ouiii...Ouiii...Ouiiiiiiii. Finit-elle dans un long râle gémissant.
Je calmai le jeu et ma tante toute docile me fit des baisers dans le cou. Elle savoura pleinement sa jouissance tandis que mes caresses incessantes sur ses fesses reprirent à leurs tours. Chantal me regarda avec ses grands yeux brillants et se leva en douceur, se retirant de moi avec précaution. Je restai assis, quelque peu surpris de cette réaction. Chantal, remise de ses émotions me détailla ou plus exactement jeta une attention manifeste sur mon sexe toujours bien portant.
— Jean, te rappelles-tu de mon premier cadeau d’anniversaire que je te fis le matin ?— Très très bien ma chère Tatie.— Aimerais-tu que je recommence ? Dit-elle d’une manière euphorique.— Alors viens t’allonger sur mes genoux ma princesse.— Yesss ! Dit-elle comme une gosse.
Je fis un brin de toilette et rejoignis immédiatement dans le salon. Ma tante vint à ma rencontre et frotta sa poitrine contre mon torse, visiblement électrisée à l’idée de s’étendre sur moi. Je la vis toute émoustillée et après un baiser bref, elle m’incita à m’asseoir. Elle resta debout devant moi, parfaitement nue. Sans aucune pudeur, elle se tortilla en suçant son index puis glissa ses mains le long de ses hanches. Sublime de sensualité, je ne fis que la contempler. Elle s’approcha pour me chuchoter.
— Ta belle Tatie va s’occuper de toi comme elle sait le faire mon amour de neveu...
Puis elle s’avança pour poser sa belle frimousse sur mes genoux. Le temps de son espèce de strip-tease improvisé me revigora, mon sous-marin d’attaque refit surface sous les yeux charmeurs de ma tante.Ma main passa sur son visage pour y relever une de ses mèches rebelle. Chantal me fit un sourire et approcha ses lèvres douces. Son visage dénué de maquillage mît en avant sa bouche, la faisant apparaître ainsi naturelle et forcément sexy.
— Chéri, tu me laisses faire...— Oui je vois ce que tu veux dire.
Ma tante entra dans son plus pur délire, se considérer comme la maman de mon sexe. Elle fit un bisou sur le bout de mon gland, y déposant au passage de sa précieuse salive. Ses doigts fins passèrent le long de ma verge, ce fut une sorte de préparation accueillante de sa part. Elle cala sa tête entre mes cuisses pour être à son aise et débuta une conversation étrange.
— Maman est là, près de toi mon beau bébé. Chantal s’empara de mon sexe délicatement en le positionnant face à ses lèvres.— Je préfère ne rien dire. Dis-je sans aucun autre commentaire.— Oui, laisse ta maman avec lui, il a besoin de gros câlins. Et Chantal décalotta légèrement mon membre.
Elle se recroquevilla, ce qui me permit d’entamer un long voyage câlin qui débuta sur sa hanche, se prolongeant le long de sa fesse et finit à l’intérieur de ses cuisses éblouissantes. Chantal ne fut pas contre et écarta ses jambes sans mot dire, comme un appel à aller plus loin ou plus près de son intimité rêvée. Mes mains restèrent au contact de ses lèvres intimes, bousculant leur sommeil momentané.Mais ma tante me rappela à l’ordre en reprenant sa conversation surréaliste. Face à mon gland gorgé de sang à demi déployé, sa langue fit des glissades bien contrôlées puis ses lèvres charnelles se collèrent à lui. Sensation irrésistible.
— Regarde maman qui te fait un beau sourire...Mon sexe brûlant plongea dans la bouche de ma tante, elle creusa ses joues et je sentis ma verge véritablement aspirée au fond de son palais.— Maintenant mon gros bébé, maman va te donner la tétée...Chantal goba mon gland jusqu’à la couronne puis le fit ressortir, mon sexe resta figé face à sa bouche, elle l’attrapa par la main et entama une sorte de navette langoureuse en l’amenant à sa bouche puis en le reculant.— Oh ouiii petit coquin, tu aimes la langue de maman ? Viens par-là que je te mette au chaud.
Il fut inutile de diriger ma belle Tatie, je lui avais appris ce que j’aimais. J’avoue qu’à l’époque, je lui fis découvrir la fellation autrement, même si je sus qu’elle adorait la pratiquer, fut-ce tristement et occasionnellement avec son ex-mari. Quand nous commencèrent notre relation, ma tante adora mes consignes pour avoir une bonne pratique afin de me donner du plaisir. De là à dire que ma tante fut une élève surdouée, l’idée fut mal venue voire déplacée de ma part.Je lui appris la tendresse et principalement à être câline, attentive et posée. Ce fut comme la sodomie dont ma tante raffola, je lui expliquai la douceur et la patience, maîtres mots d’une jouissance réussie et même pour certains, d’atteindre enfin l’extase.
— Tu aimes mon homme ? Me lança ma superbe Tatie.— Tu sais que j’adore...— J’arrête mon délire !
Chantal posa consciencieusement sa tête et ouvrit sa bouche, je pris mon sexe et le fis couler le long de ses lèvres si bien dessinées. En très bonne élève, ma tante les posa sur mon gland et je lâchai prise, elle déposa encore une fois de sa salive bien chaude sur mon méat. 
Elle joua un jeu subtile en ne prenant que mon gland en bouche, le faisant venir et sortir pour le garder du bout des lèvres.De mon côté, mes doigts alternèrent entre sa vulve et l’intérieur de ses cuisses, par des passages fréquents. Elle ondula son bassin plusieurs fois et force est d’avouer sur le moment mon hésitation, entre la baiser ou continuer à me laisser sucer divinement.
La première option s’échappa à la vue de ma tante, sa frimousse adorable avec mon sexe faisant des aller-retours entre ses lèvres pulpeuses à souhait l’emporta. Chantal me jeta un coup d’œil coquin puis m’interpella.
— Jean, je vais me mettre à genoux entre tes jambes. Lança-t-elle pour se lever ensuite.
J’eus plaisir à voir le corps gracieux de ma tante avec sa poitrine tout comme son intimité bien enflammées. Elle se positionna comme convenu et je passai affectueusement ma main sur son front pour lui dégager ses cheveux en bataille.
Elle engagea mon sexe pour une visite à l’intérieur de son élégant visage.Cette fois, ma tante s’activa et mon sous-marin se mit en immersion totale dans les abysses de sa bouche. Je n’eus que mon sonar pour détecter la propagation d’un son, mais il s’avéra inefficace tant les remous engendrés par la langue de ma belle Tatie se firent incessants. Privé de toute communication extérieure, mon navire de guerre devint la proie perdue dans la chaleur intense du palais de Chantal.Face à cette adversaire de taille, je retardai le lancement de mes torpilles par des contre-mesures afin de brouiller le travail de sape en engageant la conversation.
— Si ma mère te voyer en train de me sucer !— Et alors, je fais du bien à son fils...Me dit-ma tante continuant avec assurance son va et vient avec mon sexe calé dans ses profondeurs.— Oui c’est vrai. Dis-je à cours de conversation.— Tu aimes voir la petite sœur de ta maman te sucer ta belle verge ? Rajouta-t-elle nonobstant mes opérations de déstabilisation. — Oui et tu as bien retenu mes leçons ma douce Chantal. — Je te connais depuis que tu es né, tu pourrais être mon fils et j’aime te sentir dans ma bouche. Dit-elle en me caressant le torse tout en gardant son rythme.— Chantal ! Ca devient infernal...— C’est pour ça que c’est bon mon amour !
Les contre-mesures s’avérèrent d’une inefficacité pathétique, mes torpilles se mirent en phase de lancement et l’équipage désemparé observa les préparatifs devant les unités de contrôle devenues folles.Mon adversaire sentit nos faiblesses et tel un coup de grâce, elle accéléra au moment opportun prête à recevoir les missiles en se lâchant.
— Viens mon chéri dans la bouche de ta belle Tatie...
Le lancement démarra et Chantal me garda en elle, redoublant ses caresses jouissives sur mon torse. Une première déflagration intervint, interceptée avec facilité par l’assaillant qui n’en fit qu’une gorgée.Secoué par le choc, nous n’eûmes aucun choix et l’envoi d’une deuxième offensive se poursuivit. Ma tante changea de stratégie et nous fîmes surface face à l’ennemi avec ses lèvres splendides en guise de réception. 
— Ah voilà ma belle récompense ! Viens mon grand éclabousser le visage ta douce Chantal...
Je vis ma tante bouche ouverte à quelques centimètres de ma verge en fusion. Le jet promis lui arriva, inondant ses lèvres pour s’échouer sur ses narines. Chantal en récupéra une partie en balayant sa langue sur la bouche puis reprit sa fellation. Je la vis recevoir mes spasmes et déglutir ma semence.
— Je jouis en toi ! Criai-je en capitulant.— Jouis en moi, continue c’est bon...c’est chaud...
Chantal me suça sans relâche et je fus vidé physiquement. Le sous-marin n’émit plus aucun son, nous fûmes perdus et l’ennemi de délecta du bonheur de sa victoire. Ma tante, généreuse dans l’action m’aspira une dernière fois, je devins sa conquête, son trophée et elle s’en amusa tout en avalant les quelques restes.
— Eh ben, tu l’aimes ta Tatie ! Dit-elle en collant ses lèvres pleines de ma liqueur contre mon gland.— Oui je l’aime cette petite sœur et tu es amoureuse de mon sexe, c’est infernal !
Ma tante me fit des yeux de biche, un peu gênée de m’avoir sucée avec autant d’entrain. Il nous fallut nous détendre et la piscine fut fort accueillante.Ma tante ne prit que le haut de son bikini pour se protéger les seins et se balada les fesses à l’air.Inutile de préciser qu’elle fut, non pas sensuelle mais totalement appétissante sexuellement.Nous fîmes plusieurs allées et venues en pratiquant la brasse. Épuisés, nos transats nous attendirent avec impatience.Chantal s’allongea sur le ventre pour mon plus grand plaisir.
— Mon chéri, tu peux me mettre de la crème dans le dos ?— Je t’en mets sur tout ton corps Tatie !— Ah oui pourquoi pas...
Je badigeonnai ma tante de A à Z. De sa voute plantaire en passant par ses fesses sur lesquelles je m’attardai, je lui en mis pour la voir rayonnante.Le téléphone sonna et je prie la peine d’aller répondre.Je revins tout sourire.
— Qui était-ce ?— Anne et elle a demandé si elle pouvait rester ce soir chez Lisa.— Alors, qu’as-tu répondu ? Me dit Chantal avec ses jambes repliées faisant la balançoire.— Je lui ai dit Ok et que je la chercherai demain vers 11 heures.— Wouah une soirée de plus avec mon homme ! — Tu es très sexy ma belle Tatie.— Tu me trouves toujours sexy, bon je fais un peu de lecture ! Jean, je change de position, tu peux relever le transat ?— Oui et je te mettrai de la crème.— Je ne dis jamais non à mon neveu dans ce domaine.
Le transat en position, ma tante prit un magazine et déploya ses longues jambes. Elle eut dans l’instant une allure impudique, lunettes de soleil sur le nez, lisant son journal et son sexe à l’air.Mon esprit réagit mais le reste resta pantois malgré l’eau fraiche de la piscine.Je m’occupai de sa poitrine rapidement et gênant ma tante dans sa lecture, je descendis plus bas. Mes mains se mirent à l’ouvrage avec un semblant de crème et de belles caresses se firent jour à l’intérieur de ses cuisses parfaites. 
— Tu as les mains chaudes Jean, tu me donnes des frissons. Dit-elle plongée dans sa lecture.— Alors je poursuis dans ce sens ma chère tante.— Mais faites mon beau neveu et poursuivez comme vous le désirez...Dit-elle en écartant les jambes.
Je sus ce que ma belle Tatie attendit de son propre neveu dans cette dernière phrase. Mes caresses se rapprochèrent irrésistiblement de son sexe épilé, pure merveille de son anatomie. Avec douceur, mes doigts se faufilèrent à la limite de son intimité et se réunirent pour faire de longues vagues entre ses cuisses. Chantal replia son magazine pour le tenir d’une seule main et dans le silence de la Provence, sa seconde main m’encouragea à aller au contact de ses lèvres intimes.
— Aurais-tu une idée derrière la tête Chantal ? Dis-je ne la taquinant.— Donne du plaisir à ta petite sœur mon grand.
Nul doute que ma tante fut fin prête quand mes doigts touchèrent ses lèvres sensibles, elles ruisselaient déjà de son précieux nectar. Je glissai un doigt le long de son vagin pour remonter vers son clitoris. Je ne fis que tourner autour et ma tante se cala au fond de son transat, bien disposée à exposer son anatomie intime. 
Elle me fit place en dispersant ses jambes longilignes et mes lèvres déposèrent un long baiser sur cette intimité impatiente. Chantal prit une grande respiration, comme une sorte de satisfaction de me savoir entre ses cuisses et du plaisir qui l’attendait.
Calmement, ma langue rendit une visite de courtoisie à l’extrémité de son vagin, mais sa maîtresse en décida autrement. Elle m’incita en posant sa main sur ma tête à poursuivre plus profondément ma visite dans son antre. Poli de nature, je répondis à ses attentes et ma langue s’introduisit dans l’orifice de la dame qui poussa au passage, un petit cri étouffé.
— T’es infernal Jean !— C’est pour ton bien Tatie. Dis-je avec ma langue goûtant ses parois vaginales.— Tu me redonnes des frissons, comme tu es adroit avec ta langue pour venir lécher la sœur de ta maman !— Je crois bien que ma petite sœur adore se faire lécher, pas vrai ?— Evidemment, tu t’y prends si bien avec moi. Lâcha-t-elle sur un ton posé.— Comme elle est belle, somptueuse...— Tu parles de nouveau de ma petite chatte !— Oui, elle est bien apprivoisée, docile et réceptive.— Tu la connais assez, enfin Jean j’ai un sexe normal ?— Non, il est plus que parfait.— Bon continue à lécher ta belle Tatie qui aime tout ce que tu lui fais...Dit-elle en passant sa main dans mes cheveux.— Wouah mais tu mouilles de plus en plus !— Tu dégustes mon sexe parfait mon cher...
Ses mots sonnèrent juste, je dégustai en effet ma tante et ma bouche fut remplie de sa liqueur exquise. Chantal me fit un petit clin d’œil en observant mon membre devenu bien portant. Il me fut facile de deviner son envie immédiate.
— Ah ma belle Tatie, j’ai comme l’impression que tu réclames quelque chose.— Bah à vrai dire, je n’aurais rien contre une petite visite de ton beau sexe mon chéri. Dit-elle en accompagnant sa suggestion avec un large sourire.— Je crois que tu l’as amplement méritée !— Malgré mon âge, je te fais toujours autant d’effet...
Chantal replia ses jambes dans la foulée, désireuse de copuler avec son neveu. La voir ainsi avec ses lèvres bien éveillées me produisit des battements de cœur. Je cédai à cette tentation et mon membre vigoureux entama sa pénétration dans l’orifice avide de ma présence.Ma tante, réjouie de me recevoir en elle me caressa les fesses, caresses symboliques de la femelle affamée de se faire prendre par le mâle.Je ne fis que rentrer et sortir sous les yeux captivés de ma tante qui accrut ses caresses. Point de baisers, nous échangeâmes des regards fixes entre nous et Chantal porta ses mains à hauteur de ma nuque.
— Oh ouiii...comme tu me baises bien mon chéri...ouiiii...— T’es un régal à baiser depuis que je te connais. Dis-je en accélérant ma cadence.— Oh c’est beau ce que tu me fais...je frissonne...Dit Chantal approchant ses lèvres à la recherche d’un baiser.— Frissonne ma belle, je vais te faire jouir. Dis-je collant mes lèvres aux siennes.— Je sens que tu viens...Dit-elle en contractant ses muscles vaginaux.— Ouiiii. En rugissant du plaisir de parsemer ma semence dans son bas ventre.— Ooooh c’est bon...ouiii...ouiii Jean...
Je ne ressentis plus ses muscles, éperdument relâchés sous mes coups âpres et ma belle Tatie ondula son bassin, tourna la tête dans tous les sens. Notre coït fut court mais d’une intensité rare et ma langue plongea dans la bouche de ma tante sublime. Notre baiser marqua la fin de notre étreinte passionnée.
— Je t’aime Jean...je t’aime...Dit Chantal à bout de souffle.— T’es mon amour, ma belle Tatie d’amour. Dis-je en la fixant du regard.— Oui je suis ta Tatie, ton fantasme, ton rêve éveillé...et toi, tu es mon prince...mon chevalier !
Epuisés, repus d’amour, nous cherchâmes notre fille le lendemain.Les vacances passèrent et la rentrée se fit dans le calme.
Mes parents nous invitèrent pour fêter Noël, nous acceptâmes même si ma tante émit quelques réticences à rencontrer ma mère à nouveau.Le 24 décembre 2016, nous fûmes à Paris.
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