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Ma tante de 45 ans reste sublime

Chapitre 1

Inceste
Si vous avez manqué le début...Je m’appelle Jean. En 1995 à 18 ans, j’échoue en fac de droit.Ma mère, Annie m’envoie en Angleterre chez sa sœur Chantal, jolie blonde de 45 ans pour 1M70, 54 kg avec une poitrine de 85b.J’intègre sa firme en tant que stagiaire pour y parfaire également mon anglais durant 1 an.Finalement, tout ne se passe pas exactement comme prévu...J’ai une relation avec ma tante puis je reprends mes études achevées en 1999. Nous nous retrouvons cette même année pour ne plus nous quitter.Nous voici en 2017, j’ai désormais 41 ans et ma tante 62 avec un physique irréprochable, ainsi que notre fille de 17 ans prénommée Anne.

Dernier chapitre
Mes parents nous invitèrent pour fêter Noël, nous acceptâmes même si ma tante émit quelques réticences à rencontrer ma mère à nouveau.Le 24 décembre 2016, nous fûmes à Paris.
Nous arrivâmes vers 15 heures chez eux et mon petit frère fut de la partie pour nous accueillir.Fraîchement divorcé, il nous accompagna à l’étage. Une fois dans notre chambre, il nous livra quelques confidences.
— Jean, je voulais te dire, maman est furax en ce moment à cause de mon divorce.— C’est pas un scoop depuis le temps !— Je tenais à te prévenir aussi Chantal et toi comment vas-tu ma belle-sœur ou ma Tatie ?— Oh tu ne vas pas t’y mettre aussi ! Répondit Chantal sur le ton de la plaisanterie.— Tu restes avec nous ce soir ? Lui demandai-je.— Pour le dîner ensuite je m’éclipse...j’ai un rdv.— Tu ne perds pas de temps petit frère !— Eh on ne vit qu’une fois. Dit-il en rigolant.
— Et elle est jolie ? Rajouta Chantal.— Comme un soir de Noël...un vrai cadeau !— Excellente réponse. Lui répondis-je.
Ma mère tout comme ma tante revêtirent leurs robes de soirée. Chantal fut exquise dans un ensemble noir avec un large décolleté. Elle eut beau dépasser la soixantaine, elle n’en garda pas moins une silhouette à faire pâlir des femmes de 40 ans.
Ma belle Tatie ne porta pas de bas, faisant apparaître la peau blanche de ses mollets jusqu’à mi-cuisse. Cela la rendit sensuelle à l’extrême. Je n’eus qu’une envie en la voyant, glisser ma main sous sa robe sachant que pour l’occasion, je lui avais dit de ne pas mettre de culotte. Au départ, j’eus droit à non catégorique de ma tante puis pour me faire plaisir, elle accepta de se retrouver nue sous son ensemble noir. Pour le haut ce ne fut guère envisageable, ma tante trouvant cela ridicule et particulièrement voyant.
Les cadeaux furent distribués et notre fille fut considérablement gâtée.Avec le temps, elle comprit notre relation incestueuse, même si nous gardâmes en considération le fait que sa mère ne fut que la demi-sœur de sa mamie, histoire d’atténuer notre consanguinité.Notre repas se déroula calmement avec une belle entrée au foie gras. S’en suivit pour finir une bûche pour le dessert et aussitôt, mon petit frère rejoignit sa promise comme convenu.Vers 23 heures, notre fille Anne regagna sa chambre bien accaparée par ses cadeaux.
Nous primes un petit digestif dans le salon.J’allumai une cigarette et ma tante m’en demanda une. Ma mère la regarda, surprise de la voir fumer.
— Je vois que mon fils t’a dévergondée !— Oh Annie, si tu savais...Répondit Chantal sur le ton de la provocation.— Je préfère ne rien savoir ! — Mais tu peux demander ce que tu veux ! Continua Chantal en tirant une bouffée.
Il fallut avouer que la soirée fut bien arrosée, ma tante étant visiblement sujette à un excès de vin blanc puis de vin rouge et enfin du digestif.
Elle termina d’ailleurs son verre cul sec et en redemanda un autre. Mon père poliment lui en servit un autre. Chantal ralluma une autre cigarette dans la foulée . Je crus deviner son petit manège consistant à excéder ma mère, ce qui ne tarda pas.
— Chantal, tu fumes trop, c’est cigarette sur cigarette !— Et alors ? Dit-elle en vidant son verre.— Fais attention à ton âge.— Ton fils me dit que j’en parais 50 ! Et même, il me trouve super sexy !
Un malaise général s’installa et ma tante essuya un refus de mon père pour un autre digestif.Chantal ne fut pas ivre, seulement un peu pompette. Elle commença à me faire peur en ayant la parole trop facile.
— Tu n’es pas très bronzée Chantal ? Demanda ma mère tandis que mon père nous salua pour se coucher.— Dès que je suis sur un transat, ton fils me met tant de crème que je ne bronze pas, pas vrai mon chéri ?— Euh Chantal, il se fait tard...Dis-je pour écourter la dispute se préparant avec ma mère.— Oh je peux dire ça et puis tu sais Annie, avec Jean j’ai découvert des trucs inimaginables avec lui, ton fils est un génie avec ses mains !— Que veux-tu dire ? Demanda ma mère curieuse au possible.— Depuis que je suis avec ton fils, les années passent à une vitesse, il sait me faire oublier le temps. Dit-elle en parlant vite.— Profite-en ! Tu pourrais être sa mère...Dit-ma mère excédée des propos de sa sœur.— Ne t’inquiète pas, ton fils me câline comme il faut.— Bon je préfère me coucher et passez une bonne nuit ! Et ma mère se leva et monta directement se coucher.
Du coup, nous fûmes seuls dans le salon et Chantal me fit signe de la servir, tout en se dandinant dans son fauteuil. 
— Arrête, tu as assez bu !— Oh mon amour...Me dit ma tante en relevant sa robe.— Nous sommes dans le salon et maintenant on va se coucher.
Ma tante se leva et me rejoignit dans notre chambre. Elle s’endormit immédiatement.
Je ne trouvai pas le sommeil et je me rappelai l’année 1999, quand nous vînmes ensemble en février et que nos parents ne furent pas au courant de notre relation incestueuse.
A cette époque, ils nous préparèrent chacun notre chambre et je me rappelle très bien de la fin de notre dîner.J’avais 23 ans à l’époque et ma tante en afficha 44, superbe, la belle blonde mûre à croquer.Mon père prit congé tandis que mon petit frère dormait paisiblement depuis un moment. Ma mère nous tint compagnie un instant puis nous souhaita une bonne nuit.Ma tante me regarda, assise et songeuse et légèrement pompette comme ce soir. 
— Alors mon neveu, ce soir on va faire chambre à part ?— Bah oui, nous n’avons guère le choix.— Il nous reste cet instant. Dit-elle avec un air coquin.— Oui bon nous sommes chez mes parents !— Hep fiston ! tu te rappelles de ce que tu m’as demandée ? — Oui tu n’as pas de culotte mais ça n’est pas prudent de se faire un câlin.
Chantal fit comme si de rien n’était et leva sa jambe pour la poser sur l’accoudoir. Cet acte provocateur se révéla fort séduisant au demeurant, mais voir ma tante robe relevée avec les cuisses écartées dans le salon de mes parents, qui plus est avec une absence de culotte, me parut néanmoins déplacé sur le moment. Chantal ne s’en soucia pour rien au monde et se déchaussa affichant ses pieds séduisants.
— Alors ? On ne sert pas sa Tatie...Dit-elle en balançant sa jambe.— Non tu as déjà assez bu ma chère tante.— Jean, je pourrais me montrer très docile avec mon jeune étalon. Me promit ma tante en suçant son index.— Arrête Chantal et nous devrions monter nous coucher.— Oh comme c’est mignon, on veut faire comme sa maman ? — Arrête s’il te plait— Tatie Chantal aimerait un gros câlin de son neveu, tu veux pas lécher la belle chatte de ta tante ?— Bon je te raccompagne à ta chambre. Lui dis-je en avançant vers elle.— Ou alors je te suce ton beau sexe, humm...j’en meurs d’envie !
Je tendis ma main afin que ma belle Tatie puisse se lever. Elle la saisit et une fois debout, je ne sus comment, mais sa robe de soirée fit un tour de passe-passe pour se laisser tomber jusqu’à ses hanches.J’eus Chantal face à moi, sa poitrine à l’air et sans complexe, elle m’interpella.
— Mon neveu, je te suis à une seule condition !— Ah d’accord je vois...Lui dis-je connaissant ses intentions.— Que tu viennes prendre ta tétée auprès de ta Tatie !— T’es ivre.— Bon c’est oui ou alors je me rassois ?— On peut en reparler demain...Dis-je fatigué de cette conversation inutile mais tout en restant attentif devant sa belle poitrine.— Regarde comme ils sont beaux, ils sont à toi, viens les sucer mon chéri et je monte.— Promis ?— Ouiii mais viens...
Ma main se porta à la base d’un de ses seins et en fit le tour. Chantal cambra son buste et je n’eus plus qu’à me pencher pour lui lécher son aréole. Ma tante me caressa la nuque tendrement tandis que ma langue s’activa autour de la pointe de sa poitrine. Je saisis ce fruit bien mûr et ma bouche toute entière happa son téton pour l’aspirer jusqu’à son extrémité et le lui pincer délicatement en le suçotant. Ma belle Tatie se mit à gémir et m’incita à m’occuper de son second sein, désireux de subir le même sort. Je m’en acquittai pour le plus grand bonheur de ma douce Chantal.
— C’est bon...tète ta Tatie...tète ta chérie...— T’es super excitée ?— Un peu...Dit-elle dans un sourire.— Non ! T’es super excitée !— Oui ! Répondit-elle toujours en souriant.
Tout à coup, nous entendîmes du bruit dans l’escalier. Ni une ni deux, comme deux gamins nous regagnâmes nos places respectives, Chantal se rhabillant dans la précipitation. J’allumai une cigarette pour me donner une contenance.Situation ridicule.
— Mais vous n’êtes pas couchés ?— Non maman, on discute mais on ne va pas tarder.— On monte Annie ! Hurla ma tante sans s’en rendre compte.— Je ne suis pas sourde, je cherche un verre d’eau pour la nuit, bonsoir. 
Ma mère jeta un regard féroce à ma tante, agacée de voir sa sœur au bord de l’ivresse. Nous perçûmes le bruit d’un verre puis les pas de ma mère montant l’escalier, jusqu’au claquement de porte de sa chambre.Chantal me jeta un regard rieur, telle une lycéenne faisant des sottises. Elle resta assise et croisa ses jambes somptueuses avec ses pieds nus d’une finesse irrésistible. 
— Chéri, on reprend ? En écartant ses cuisses pour me montrer son sexe séduisant.— Chantal, ma mère peut très bien redescendre.— Oh tu es avec ta Tatie chérie, regarde ce qu’elle t’offre ? Ma tante se leva subitement et se déshabilla.— Tu es folle ?— Allons, tout le monde dort, viens dévorer mon petit minou...
Ma tante prit possession du canapé et se mît en position de levrette en prenant soin d’exhiber sa croupe. Je l’observai de profil et ses formes resplendissantes eurent raison de mon sexe, réclamant son dû face à elle. Ma tante, férue de salle de sport, de fitness prit un malin plaisir à s’exhiber parfaitement nue dans le salon parental.Ce fut une forme de provocation à l’encontre de ma mère, une forme de défi ou de jeu fortement risqué.
— Viens prendre la sœur de ta maman sur son canapé...En dandinant son joli derrière.— C’est pas raisonnable du tout.— Et c’est raisonnable de baiser avec sa tante ? Bon tu viens...J’ai envie de toi ! Dit-elle exaspérée en haussant le ton.— Du calme...et tu vas attraper froid.— Bon, dans ce cas je viens sur toi ! Chuchota-t-elle.— Je préfère en parler en haut dans ta chambre.— Mais on ne peut pas et c’est plus excitant ici...
Chantal changea de position pour s’allonger sur le dos, les jambes bien écartées tout en creusant son ventre. Elle se montra fort désirable dans cette attitude, mettant en avant sa poitrine flamboyante. Mon esprit me dit non mais mon sexe guida mon corps. Je quittai mon fauteuil pour faire face à ma tante avec des yeux remplis de désir. Mon pantalon se retrouva à même le sol, le caleçon suivant la même direction. Mon sexe gonflé à bloc attira l’attention de ma tante.
— Belle bête ? Puis-je goûter mon bel étalon ?— Régale toi ma belle Tatie ! 
Sans un mot, mon sexe devint mon maître et me montra la voie à emprunter pour atteindre la lave tant redoutée, capable de faire imploser un intrus dans la chaleur de son cratère. Mon sexe accepta ce défi de taille et ma tante prépara tout son attirail, les lèvres humides, un rictus accueillant et bien entendu, sa fée charmante avec comme seul bagage, sa baguette gracieuse, habile et belligérante. Je mis en garde mon sexe face à cette princesse rusée, apte à recueillir sa semence par des gestes ingénieux.Mon membre puissant apparut face à la fée rusée qui se fit invisible pour faire place à l’escadrille qui se mit en place. 
Je me fis à nouveau sous-marin mais je ne restai guère en immersion sous les doigts fins de ma tante.La guerre fut déclarée, ma tante disposant d’une puissance de feu bien supérieure à la mienne, tel un affrontement entre un porte-avions et le submersible que je fus.L’État-major fut réuni pour nous déclarer en niveau d’alerte 5, niveau d’alerte maximale. Force est d’avouer que la tension atteignit un degré palpable, dans la mesure où le recours à l’arme nucléaire fut envisagé pour parer à une descente improviste d’une troisième force, venant du 1er étage.
La tactique de l’ennemie fut claire, impressionner l’équipage afin qu’il envoie directement nos torpilles face à une panoplie de contre-mesures comme deux brouilleurs et un leurre. Ma tante posséda cette panoplie avec ses lèvres délicieuses ainsi que sa langue gracieuse. Elle voulut, pressée par le temps récupérer nos torpilles au fond de sa bouche...Nous fûmes à la surface, incapable de faire immersion, aussi ma tante en profita pour lancer les hostilités. Nous vîmes décoller deux avions de chasse armés de missiles. Le tir fut d’une précision chirurgicale, les missiles pointèrent directement vers la tour du périscope. Nous fûmes sans réaction face à cette attaque foudroyante.Ses lèvres vinrent échouer face à la cuirasse de notre bâtiment de guerre. Nous fûmes légèrement ébranlés et je donnai l’ordre d’une contre-attaque immédiate.J’engageai des pourparlers avec l’adversaire pour la déstabiliser, erreur monumentale de ma part.
— On peut dire que tu aimes me sucer Tatie !— Oooh ouiiii j’adore mon neveu chéri.— T’es une vraie experte.— Tu as un sexe beau, fort et j’aime l’avoir dans ma bouche pour le sucer, le lécher. C’est mon péché mignon ! 
Chantal caressa ma verge avec ses doigts fins et approcha à nouveau sa bouche somptueuse.Privé de périscope, nous entendîmes grâce au sonar deux puis quatre missiles en approche. La fée silencieuse se fit jour, longeant la coque de notre bâtiment. A l’aide des contre-mesures, ils explosèrent en chemin engendrant des secousses interminables. Notre bâtiment fut privé de propulsion et une chaleur intense se dégagea. Le second voulut prendre l’initiative, nous rendre à l’ennemi en envoyant des torpilles en rafale, geste ultime voire désespéré.Chantal engloutit ma verge et débuta ses allers-retours telle une prédatrice. 
Il me fallut garder les idées claires, j’ordonnai l’amorçage des torpilles et le chef-mécanicien fut convoqué sur le champs. Il nous recommanda une semi-immersion pour refroidir les machines. Par ruse, j’entamai une caresse dans les cheveux de ma tante, obnubilée de m’avoir en bouche. J’envoyai un groupe de commando, des plongeurs expérimentés capable de tout.
J’évitai de regarder le visage de ma tante, de voir ses lèvres et sa bouche absorber mon pénis auraient eu raison d’un départ inopiné de nos torpilles.
En semi-immersion, nous retrouvâmes de la propulsion et notre commando aborda le porte-avions, dernier cri de la technique américaine. J’en oubliai qu’il fut un bâtiment de guerre, je me remémorai les dernières visions de ce navire avant notre immersion. En plein océan, on le vit fendre l’écume laissant derrière lui les vagues grondantes. Je fus ébloui par son aspect majestueux, sa puissance devenant grâce.Mes plongeurs débarquèrent par l’entrée principale du hangar, situé sous la coque, lieu où les chasseurs se préparent pour déverser leurs pluies de diamants. Mes hommes se mirent à l’ouvrage, à l’abri des regards.
Chantal continua de me sucer tandis que mon commando se fraya un passage entre ses cuisses à la peau si lisse. Mes hommes aux doigts de fée progressèrent vers la tour de commandement, enjambant les passerelles. N’ayant d’yeux que pour mon submersible, le porte-avions continua sa route sans s’occuper des intrus. Habilement, ils prirent peu à peu possession de cette tour, cœur de la défense du navire.Mes doigts se collèrent aux lèvres intimes de ma tante, débutant une danse de caresses à laquelle elle ne fut pas insensible. Elle ralentit sa succion pour me garder en bouche, ouvrant naturellement ses cuisses en oscillant son bassin.
— Si ta maman nous voyait. Dit ma tante en gardant ses lèvres posées sur mon gland.— Elle dort heureusement ! Lui dis-je tout en introduisant mon majeur dans son orifice trempé.— Hummmm...j’aime ce que tu fais. S’exclama ma belle Tatie en promenant sa langue sous ma verge.— C’est délicieux, comme tu sais bien me sucer, mais je crois qu’il ne faut pas perdre de temps ma belle Tatie.— Ah tu as déjà envie de me sauter petit coquin ! Dit-elle en me jetant un regard rempli de malice.— Pas qu’un peu ma belle...— Mais j’en ai pas fini avec ton gros sexe ! S’exclama Chantal en glissant ses lèvres sur mon gland, pour finir par l’engouffrer dans sa bouche sublime.
Je repartis dans cette guerre aéronavale sans précédent.La décision fut prise, inéluctable : rentrer en collision avec le porte-avions (!).Le chef-mécanicien me fit signe que notre groupe propulseur fut opérationnel. Notre commando nous indiqua la trajectoire idéale et activa les préparatifs.Désormais je doigtai ma tante avec vigueur, mon arme fatale fut mon majeur. Je m’attardai sur le crépuscule de sa partie intime, puis mon doigt plongea dans son orifice précieux. Ce fut le coup de grâce, Chantal se désintéressant de mon submersible, il fut aisé de remonter à la surface en mettant la puissance maximale.
Mais je voulus plus ce soir-là, posséder l’ennemie, la faire jouir comme jamais sur un terrain hostile pour nous deux.Ma belle Tatie dandina son merveilleux bassin, prête à se faire prendre par son jeune neveu. 
— Viens mon chéri...viens me prendre...viens me pénétrer...Gémit-elle.— T’es un vrai régal ! Dis-je, mon sexe abandonnant ses lèvres pulpeuses.
J’abandonnai mon navire et ma tante fit de même laissant les torpilles, missiles et autres pour nous sublimer dans un regard commun.
Mon sexe approcha pour consommer ma tante. Dès le début de ma pénétration, Chantal émit un long râle, synonyme de satisfaction de sentir en elle, mon gros sexe progressant dans son orifice consentant.Ma tante se laissant aller à voix haute, il me fallut la ramener à la raison.
— Ouiii...plus fort mon neveu !...plus fort...!— Chut Tatie, on peut nous entendre.
En plein coït avec Chantal, j’entendis un grincement dans l’escalier. Ni une ni deux, je disparus derrière le canapé, ma tante ayant tout juste le temps s’enfiler sa robe.Ce fut ma mère, ayant oublié je ne sus quel médicament.
— Chantal, que fais-tu ?— Je fume une dernière cigarette et je monte.— Et Jean ?— Il est monté depuis longtemps. Dit-elle mentant éperdument.— C’est drôle, je ne l’ai pas entendu.— Tu dormais sans doute.— Non justement et je prends des somnifères, bonne nuit petite sœur.— Bonne nuit Annie.
Durant la fin de cette brève conversation, j’eus le temps de passer par le couloir, empruntant l’escalier pour foncer dans ma chambre. A l’affût du moindre bruit, le claquement de la porte de mes parents fut le signe que la voie se libéra.Cinq longues minutes s’écoulèrent et le ronflement de ma mère me signifia la possibilité de rendre une visite à ma tante. En simple caleçon, j’accédai à sa chambre.Dès mon arrivée, elle se leva du lit arborant un simple tee-shirt et se serra contre moi. 
— Ce serait plus prudent d’éteindre la lumière. Suggéra-t-elle.— Oui et le réverbère de la nuit va nous éclairer.— Alors on reprend ? Dit-elle impatiente.— Bien sûr, je n’ai pas encore fini avec la petite sœur de ma mère. — Ah ah ! Tu veux continuer à sauter ta Tatie. Murmura-t-elle avec une voix joyeuse.— Tu n’imagines pas combien tu me plais.— Si je vois bien, tu as tout le temps envie de me faire l’amour. Dit-elle en haussant les épaules d’une façon malicieuse.— T’es une belle femme mûre qui aime se faire prendre par le fils de ta sœur et ça t’excite, non ?— Bah...tu es jeune et tu me fais très bien l’amour, je suis comblée avec toi, t’es mon jeune chéri.— Ca t’excite que je sois ton neveu...— Non, ce qui m’excite avec toi, c’est ta délicatesse et toi, tu aimes baiser ta propre tante ?— Je l’adore ma tante, je t’aime comme un fou, t’es mon fantasme !— Moi aussi je t’aime Jean malgré le fait que tu sois mon neveu, allez montre à ta Tatie combien tu l’aimes, elle voudrait savoir...
Je la pris par la main, m’assis sur une chaise en me débarrassant de mon vêtement. Ma belle Tatie, sensuelle comme jamais avec ses longues jambes, regarda admirative mon sexe en pleine effervescence.
— Tu veux que je vienne...Dit-elle avec une moue boudeuse.— Approche.— Je vois que mon jeune neveu désire sa Tatie ! Dit-elle faisant face à moi.— Assieds-toi sur moi Chantal.— Tu crois pas qu’on exagère un peu mon bel étalon ? Dit-elle sans conviction.— Viens te couler en moi, tu en crèves d’envie.— Oui j’en crève mais on fait vite ! Se réjouit-elle.
Ma grande blonde de 44 ans avec ses seins en poire vint se mettre sur moi, elle saisit mon sexe et le dirigea dans son intimité. Ce ne fut que pure formalité de me retrouver en elle, bien au fond en la serrant contre moi. Gracieusement, ses mains fines se posèrent sur mes épaules et elle approcha sa bouche, désireuse d’un long baiser. Je l’embrassai goulûment, caressant ses fesses bien fermes pour remonter le long de son dos.
Elle imprima un rythme lent par des balancements de son bassin, ma langue plongée dans son palais virevolta avec la sienne.Je pelotai le cul sublime de ma tante, se laissant faire en éprouvant un plaisir palpable. Elle mît ses mains derrière ma nuque, se faisant chevaucher lors de mes ruades. 
Je la saisis toute entière pour la porter sur un petit bureau d’écolier conservé dans cette chambre d’amis.Étalée, je me retirai d’elle pour goûter son intimité, ses jambes posées sur mes épaules. Très vite elle me prit la tête pour me plaquer contre son orifice, désireux de se savoir savourer par ma langue.Je léchai Chantal, je bouffai son sexe toute éveillé, j’aspirai ses lèvres à pleine bouche. Ma tante ne put se contenir et sa précieuse liqueur abonda dans ses gémissements intempestifs.
— Ouiii....continue à lécher Tatie Chantal !— Tu aimes ma belle ?— Ouii bouffe moi ma chatte, elle est à toi !— Attends...
Je descendis plus bas, passant outre son vagin pour atteindre son orifice secondaire. Ma langue tourna autour de son anus si pur. Je déposai suffisamment de salive et mes doigts œuvrèrent comme il fallut.Je relevai ses jambes fines et j’approchai mon membre de cet orifice mystérieux.
— Oh Jean, tu sais que j’adore ça...— Je sais Tatie, tu as découvert cette pratique avec moi.— Oui, c’est si intense et tu t’y prends si bien et j’avoue que j’en raffole quand c’est toi !— Je te connais par cœur.— Oui en effet et tu fais de moi ce que tu veux...
Ma tante se détendit et mon sexe reluisant effleura cette douce extrémité. Posément, mon membre conséquent s’introduit dans ce passage étroit sous les yeux contemplatifs de Chantal. Ma belle femelle bien mûre se laissa sodomiser par son jeune neveu en me tenant fermement les avant-bras. Plus je pris possession de son corps et plus de je vis ses yeux se fermer.Des va et vient timides débutèrent accompagnés des soupirs de ma Tatie, totalement soumise à mes désirs. Mes mouvements s’amplifiant, je la vis rouvrir les yeux pour m’adresser un sourire de satisfaction. Elle contracta ses muscles par intermittence et mes mains glissèrent sous son tee-shirt pour y attraper ses seins affolés. 
— Oh non...c’est pas possible...c’est trop bon ! Murmura-t-elle.— Détends toi ma toute belle. Dis-je caressant ses seins avec son tee-shirt relevé.— Que c’est bon Jean...Soupira-t-elle.— J’aime t’avoir pour moi tout seul.— Ouiii...continue de baiser ta belle Tatie. Dit-elle dans un soupir.
Dans la pénombre du réverbère, je devinai les formes de ma tante, se tortillant du plaisir de se faire sodomiser, s’offrant à moi sans la moindre retenue.Puis vint l’extase, Chantal ressentant aisément les ardeurs de mon sexe en elle.Elle n’eut plus la force de contracter son sphincter, mon sexe coula dans son canal et enfin se libéra en lui. Ma belle Tatie me serra les bras, se tendit face aux multiples coups de butoirs de ma part.Ce fut sublime de voir son corps se remplir de ma semence, voir son ventre se creuser et entendre son souffle court.Du haut de mes 23 ans, je fis jouir ma tante de 44 ans qui cria son plaisir, sa joie, sa délivrance.
— Mon Dieu ! Que tu es beau mon neveu.— T’es magnifique !— Baise moi encore...baise la petite sœur de ta maman...baise-la ta petite sœur...— Jouis avec moi Chantal. Dis-je en plein effort.— Plus fort...encore plus fort...défonce-moi mon neveu.— Je t’aime.— Moi aussi ! Oooh je jouis Jean...et je te sens fort...mon dieu que c’est bon avec toi !
Sur ces dernières paroles, je conclus par des petits mouvements brutaux et rapides enfonçant mon sexe au plus profond de son être.Le temps passant, je n’oubliai pas les risques encourus et je pris congé délicatement en rejoignant mon lit.

Parenthèse fermée sur ces souvenirs inoubliables, je me retrouvai dans notre chambre...en 2016 et Chantal ayant trop bu eut quelques difficultés pour se déshabiller.Elle se glissa sous le drap, attendant mon arrivée. Ma tante voulut bavarder...
— J’ai un peu trop bu, tu m’en veux ?— Mais non, ça met du piment !— Ah je préfère que tu le prennes ainsi et comment faire pour que tu me pardonnes ?— Que tu dormes ma chérie, ça te fera du bien.— Je me ferai pardonner demain matin à la 1ère heure mon amour...— Oui mais dors.
Suivant mes conseils, elle posa amoureusement sa frimousse sur mon torse et s’endormit.Ma tante se réveillant avec la gueule de bois, le programme de promesse fut vite écarté.Nous descendîmes de bonne heure rejoindre mes parents tandis que notre fille dormant profondément en profita pour se lever en fin de matinée.Mon père ne s’attarda et partit faire sa toilette. Chantal et ma mère engagèrent une explication pour hier. Je les regardai bavardant sans oublier les jambes terriblement sensuelles de ma tante, ainsi que ses pieds élancés.
— Chantal, hier tu as été ridicule et tes insinuations avec mon fils étaient vraiment déplacées.— Bon Annie on va pas en faire un drame. Répondit ma tante tout en me caressant la cheville avec ses orteils délicieux.— Maman, ça n’était rien de grave et Chantal n’était pas ivre quand même !— Oh toi, toujours à prendre la défense de ta tante !!— Inutile de s’énerver maman, alors que fait-on ce matin ? Dis-je sous les frottements incessants du pied de Chantal.— Je vais aller prépare le déjeuner de Noël, vous avez le temps.— Annie, je prends une douche et je te donne un coup de main. Demanda ma belle Tatie en me lançant un regard coquin.— Ah volontiers ma petite frangine !
Elles rigolèrent et je m’éclipsai rapidement. Les frottements de ma tante m’incitèrent à prendre une douche bien froide, histoire de contenir mes ardeurs. Un beau soleil illumina cette journée de Noël et je décidai de faire un petit jogging.Je vis ma mère avec ma tante s’affairant à dresser la table dans le salon. 
— Tu vas faire un peu de sport Jean ? Demanda ma mère.— Oui j’en ai envie et avec le soleil, un petit parcours me fera du bien.— Tu ne vas pas courir seul, Chantal va venir avec toi ?— Mais Annie tu n’as pas fini ? S’interrogea ma tante.— Ne t’inquiète pas, rejoins ton neveu et partez en forêt !
Ma tante toute heureuse, fit un petit bisou spontané à ma mère, qui ne cacha pas son émotion. Le temps d’une douche et d’enfiler son jogging, elle redescendit aussitôt.Nous nous retrouvâmes en pleine forêt parmi quelques couples, eux aussi matinaux. Quelques échauffements pour éviter un claquage, puis nous débutèrent à un rythme léger notre petite randonnée. J’observai ma tante en train de courir et malgré un pantalon large, je discernai sans mal sa paire de fesse bien ferme. Au bout d’une 1/2 heure de course, nous fîmes une pause et un petit bistrot à la sortie du bois nous tendit les bras.
Avec un soleil radieux, nous nous installâmes en terrasse et ma tante commanda un chocolat chaud, je fis de même. Malgré l’hiver, la chaleur diffuse des rayons nous réchauffa au point que Chantal en enleva la veste de son jogging.Sous son tee-shirt blanc, la pointe de ses seins se fit arrogante, aussi j’en déduisis aisément qu’entre cette fraîcheur hivernale et ce regain de température, la sensibilité de ma tante en fut plus qu’exacerbée.Ultra sexy ma tante dans cette tenue.
— Oh ça fait du bien Jean. Dit-elle après plusieurs gorgées.— Oui, j’aime partager ce genre de moment avec toi.— On est bien tous les deux. Dit-elle songeuse en se passant les mains dans ses cheveux.— On va rentrer tranquillement, on est à deux pas de la maison en prenant un raccourci.— Ouh là là...mais où m’emmènes-tu ? — Dans des endroits mystérieux Tatie ! Dis-je en plaisantant.— J’ai chaud, je vais retirer mon soutien-gorge, ça ne te dérange pas ? Dit-elle un brin allumeuse.
Nous fûmes sur un petit sentier et très vite nous aperçûmes la demeure familiale. Chantal marcha devant moi avec son sous-vêtement enveloppé dans sa veste, puis elle se retourna. Une cinquantaine de mètres nous séparèrent de l’entrée du jardin, située à l’arrière. A l’abri des regards, ma tante s’approcha gracieuse et je sentis son haleine tiède.
— Embrasse-moi. Dit-elle la voix posée.— C’est un ordre ?— Absolument et je tiens mes promesses. Chantal haussa les sourcils, sexy au diable avec peu de maquillage.— Tu parles d’hier soir ? Alors je t’embrasse ma belle Tatie.— J’ai d’autres projets pour toi.— On verra ce soir.— Mais nous partons aujourd’hui !— Où avais-je la tête...nous verrons chez nous dans ce cas.— Oh c’est bien trop long...Dit-elle avec un petit sourire mystérieux.
Je serrai ma tante contre moi, lui collai mes lèvres aux siennes et nos langues habituées s’emmêlèrent joyeusement. Elle laissa tomber sa veste et me prit avec ses deux mains par le cou, pour continuer notre baiser enflammé. Puis lentement, je sentis sa main descendre le long de mon corps s’attardant sur mes parties intimes et sans complexe, Chantal glissa ses doigts fins à l’intérieur de mon pantalon de jogging. Elle arrêta de m’embrasser pour me fixer du regard en promenant ses doigts le long de ma verge qui, malgré le froid se mit à se raidir.Chantal me stimula à travers mon jogging avec la peau douce de ses doigts et la sensation devint fort agréable avec une température de 4 à 5 degrés.
— On dirait que tu apprécies ce que fait Tatie.— C’est pas mal du tout mais nous serions mieux à l’intérieur, tu ne crois pas ?— Personne ne peut nous voir alors laisse faire ta petite sœur...
Et la petite sœur de ma mère s’accroupit et me descendit mon jogging. Elle se retrouva nez à nez face à mon sexe, gorgé de sang, excité comme un beau diable. Je vis un regard contemplatif de ma tante puis elle sortit sa langue et vint tournoyer sur mon gland. Elle prit soin de ne pas le décalotter et s’affaira à déposer des baisers le long de mon gros sexe. Ma tante releva la tête, désireuse de continuer plus loin.
— Alors mon chéri ? Dit-elle la mine réjouie.— T’es ma Tatie chérie !— Wouah alors le grand jeu...
Je ne vis que sa chevelure blonde et je ressentis la chaleur de sa bouche quand elle absorba mon sexe en une seule fois. Toujours bonne élève, ma tante me suça avec plaisir, avec une lenteur savoureuse, laissant glisser ma verge entre ses belles lèvres pulpeuses.Moment de pur régal que d’apercevoir ma tante en train de me sucer avec tant de délectation.
— Viens mon chéri...donne-moi ta semence...— Oh comme c’est bon !— J’aime avoir ton sexe entre mes lèvres...allez viens...donne à Tatie...Ma tante me suça avec un plaisir évident.— T’es folle Chantal. Dis-je sentant mon sexe batifoler avec la langue de ma tante.— Oui c’est bien...continue...Dit-elle en collant sa bouche contre mon pubis.
Puis Chantal se retira, laissant mon sexe à l’air libre dans cette température glaciale. Ce ne fut que pour me reprendre en bouche et cette fois, elle engloutit délicieusement mon beau pénis se retrouvant bien au chaud et ne fit que le laisser entrer et sortir à sa convenance tout en l’aspirant avec une dextérité sans pareil.Ses mains plaquées contre mes fesses, mes premiers spasmes arrivèrent et je caressai les cheveux en bataille de ma tante sous l’effet de ma jouissance.
— Oh je jouis Chantal ! Dis-je en lui prenant la tête.
Ma tante avala ma semence puis se recula.
— Encore chéri ! Dit-elle les yeux fermés avec la bouche ouverte.— Ouiii...prends ça...
Chantal en eut sur le visage et sa langue se précipita pour récupérer la précieuse substance autour de sa lèvre supérieure. Elle s’essuya et reprit mon sexe pour le pomper à nouveau. J’adorai les fellations de ma tante...
— C’était bien mon chéri ? Demanda ma tante tout en suçant mon gland en souriant.— Juste parfait.— Je recommencerai mon amour. En finissant sa phrase, Chantal ne put s’empêcher de glisser à nouveau mon sexe à ’l’intérieur de son palais.— Mais tu n’arrêtes jamais ma chérie !
Elle fit non d’un signe de la tête en dégustant ma verge amoureusement.Puis elle se mît debout tout en remettant mon jogging en place. Dans la foulée, je soulevai son tee-shirt pour apercevoir ses seins enivrants sous la pureté d’un soleil d’hiver. Ses tétons autant durcis par le froid que par sa propre excitation furent immédiatement recouverts, j’eus peur que ma merveilleuse tante ne prenne froid.Nous arrivâmes dans la cuisine, ma mère terminant le repas pour midi.
— A voir vos mines, il ne doit pas faire chaud ! Dit-elle sans se douter de ce que sa sœur venait de faire à son fils.— Oui Annie et nous allons prendre une douche pour nous réchauffer.— Prenez votre temps, Anne dort toujours.— Maman, il est près de 11 heures...— A son âge, tu dormais toute la matinée !
Chantal pouffa de rire et prit le chemin de notre chambre. Je restai avec ma mère, heureuse que je reste seul avec elle. 
— Ca en fait du chemin parcouru avec ta tante ou avec ma sœur !— Bah oui et nous avons une fille de 18 ans, tu te rends compte.— Oui mais tu sais j’ai eu du mal à l’accepter, que tu couches avec une femme plus âgée, ça ne me regarde pas mais avec ma propre sœur...— Je comprends maman mais nous sommes heureux.— Oui c’est l’essentiel mais cela reste contre-nature pour une mère et je ne me suis aperçu de rien au départ.— Ecoute, ça faire un bon moment que nous sommes ensemble et personne n’est au courant.— Oui Jean.— Maintenant je suis content d’avoir cette conversation depuis le temps.— Si tu es heureux avec ma sœur...
Ma mère essuya une larme, elle se retourna pour me cacher son émotion. 

Il est vrai que la pilule fut difficile à avaler, mais le désir de ma tante depuis mon adolescence devint pour moi comme une évidence, de pouvoir enfin coucher avec elle fut une sorte de consécration. Et à l’heure actuelle, je reste toujours béat devant Chantal, je poursuis cette sorte de rêve éveillé depuis près de 20 longues merveilleuses années.Nous parlâmes de l’avenir de ma fille, de ses études...
Ma tante arriva, printanière, en jupe avec de jolis escarpins flattant ses jambes longilignes. Son chemisier bleu marine dissimula ses seins en forme de poire et je devinai sans mal une absence de soutien-gorge.Une envie soudaine de cueillette de fruits mûrs me vint à l’esprit.Ma tante se rendit compte de mon regard attentif et me fit un petit clin d’œil en tirant sur son chemisier. 
— Chantal, tu vas attraper froid et en plus tu n’as pas mis de bas ! S’exclama ma mère.— Si j’ai froid je mettrai un pantalon ! — Et peut-être un gilet...Dis-je en observant ma belle Tatie.— Mais pourquoi ? Répondit ma mère.
Chantal fut pris d’un énorme fou-rire avec la question de sa sœur. Je ne mouftai pas mais nous échangeâmes un regard complice. Anne arriva enfin en baillant et en traînant les pieds.
— Bonjour ! — Ne mange pas trop, nous déjeunons à 13 heures. Lui dit sa grand-mère.— T’inquiète mamie.— Bon moi je vais me changer...euh Chantal je mets quelle chemise ? Dis-je d’une manière innocente.— Attends je vais te montrer, tu vas encore mettre n’importe quoi ! S’écria-t-elle.
Nous nous retrouvâmes dans la chambre et ma tante se dirigea vers la valise. J’observai ses mollets fins, ses chevilles minces et sa paire de fesses à travers sa jupe. 
Ma tante ne changeait pas, du haut de son mètre 70 avec ses 54 kg, elle demeurait une femme quasi parfaite.Elle se retourna et comprit immédiatement en remarquant les traits de mon visage. Elle me fit un sourire et s’approcha pour me chuchoter dans le creux de l’oreille.
— Toi tu aimerais faire quelque chose à ta tante...— Tu devines tout. Lui dis-je en glissant ma main sous son chemisier défait.— Ah je vois, on veut peloter les seins de la belle Chantal mais j’ai une autre idée.
Chantal recula, se baissa pour ôter son slip et releva sa robe, puis s’allongea sur le bord du lui en prenant soin d’écarter ses jambes somptueuses. Sublime, fascinante, magique voire divine furent les mots qui me vinrent à l’esprit en contemplant le formidable spectacle offert par ma tante.Je pensai à Oscar Wilde : "La beauté est dans les yeux de celui qui regarde".Sur le moment, je ne sus lequel des deux fut le plus beau tant nos yeux se figèrent l’un dans l’autre.
— Alors chéri, comment me trouves-tu ? Dit-elle en se caressant les cuisses.— Tu me fascines toujours autant.— Wouah quel compliment après tant d’années...Prononça-t-elle avec gaieté.
J’enlevai dans la hâte mon pantalon et mon tee-shirt pour me retrouver nu face à ma tante, admirative de ma forme retrouvée. Une fois encore, je la vis diriger son regard vers mon entrejambe et elle ne put s’empêcher de me murmurer ses mots à elle.
— Je crois que je vais être gâtée ! Dit-elle les yeux pétillants.
J’adorai cette phrase et en guise de réponse, je lui fis un sourire en m’approchant de son intimité, qui à première vue n’eut nul besoin d’être stimuler. J’entendis la douche, notre fille Anne étant remontée, il fallut accélérer la manœuvre. 
Point de romantisme, juste un acte sexuel entre ma tante et moi se dessina.Mon sexe ardent ne fit qu’une bouchée pour pénétrer Chantal, avec une entrée progressive durant laquelle nous nous regardâmes fixement, savourant mutuellement notre copulation incestueuse. Ma tante releva ses longues jambes et au passage, je la débarrassai de ses escarpins ce qui lui permit de poser ses pieds élancés sur mon torse poilu.
— Aaaah tu vas profiter de mes petits pieds...— Monte plus haut que je puisse les embrasser. Lui dis-je sur un ton pressé.— Oui grand chef ! Répondit ma tante en allongeant sa jambe.
Je saisis ses mollets et tout en débutant des entrées comme des sorties dans l’orifice dévoué de ma tante, je savourai la peau exquise de ses orteils.Tout s’accéléra, mon rythme devenant infernal, ce qui fit la joie de ma superbe Tatie au passage, je suçai avec frénésie ses somptueux orteils.
— C’est bon mon chéri...ne t’arrête plus...Dit-elle dans un soupir.— Que tu es belle !— Ouiii je sais...baise-moi fort...baise ta tante adorée...S’écria-t-elle en plein orgasme.
Chantal ressentit ma jouissance, je perçus ses ongles se planter dans mes avant-bras tandis que ma langue se perdit dans la peau lisse du dessus de ses précieux orteils.
— Je jouis Chantal...— Ouiii...Jouis en moi...vide toi à l’intérieur de moi...remplis moi de ta jouissance...Renchérit-elle.
J’imprimai un rythme infernal, je baisai ma tante tel un animal et Chantal en femelle docile, reçue ma semence comme une forme de récompense et se laissa sucer ses pieds fins, raffinés dont je raffolais.Ma jouissance prit fin et mon sexe s’immobilisa dans son intimité qui fut mienne, je savourai ma tante en gardant ses orteils dans ma bouche. J’atteignis à ce moment un paroxysme.Je possédai ma tante intégralement.
Elle continua à se laisser baiser par son neveu par pur plaisir d’autant que son orgasme s’éteignant progressivement, elle se régala de se sentir pénétrer délicieusement et de se faire sucer amoureusement ses pieds à la beauté sans fin.Des perles de sueur accentuèrent l’intensité de notre ébat bref et violent. Ses pieds gracieux glissèrent le long de mon torse et mon pénis se retira de son vagin rassasié.Ma tante me fixa intensément en restant allongée.
— Nom de dieu ! comme tu sais si bien me faire l’amour Jean !— Je suis complètement fou de toi Chantal.— Tu étais déchaîné et je ne parle pas de mes pieds...— Je te l’ai dit, je fais une fixette sur tes pieds, ils sont si beaux. Dis-je en me dirigeant vers la salle de bain.— Aucun homme ne m’a fait tout ça et j’avoue que j’y prends goût de plus en plus. Ajouta Chantal en se rhabillant.— C’est une longue histoire d’amour entre nous ma chère tante. — Ah oui j’ai un neveu qui est un sacré baiseur et j’ai hâte de rentrer pour passer plus de temps auprès avec lui. Se réjouit-elle.— On aura du temps...En lui faisant un clin d’œil.
Le déjeuner s’avéra succulent et de temps en temps, ma tante me signifia discrètement au détour d’un regard, la complicité qui nous unissait. Mon père nous proposa de venir pour Pâques, avec élégance Chantal déclina l’invitation. Nous redescendîmes dans le sud retrouver notre maison.
Le temps s’écoule désormais doucement, les beaux jours ont fait leur apparition et de janvier à mai 2017, je n’ai pas vu le temps passer.Nous faisons le pont pour le 25 mai et Anne a été invitée chez une copine jusqu’à dimanche soir.
Ainsi, je me trouve seul avec ma tante et nous nous sommes octroyer une petite soirée resto mercredi soir.J’arrive à 19 heures et ma tante m’attend, prête pour l’emmener dîner. Elle a mis une jupe courte avec un chemisier en coton blanc. Malgré les beaux jours, elle a gardé sa peau blanche et son maquillage léger agrémenté de ses mèches blondes lui confère un charme indéniable. Rien qu’à mon attitude, elle comprend immédiatement.
— Je crois que je te plais mon chéri !— Tu es très en valeur et le blanc te va à ravir.— Oui comme le bikini...Dit-elle en rigolant.— Ah le bikini, que de souvenirs.— On y va mon chéri ? Ajouta-t-elle en me faisant un petit baiser.
Nous prenons la voiture, direction Cannes et nous voilà sur la Croisette. Nous sommes en terrasse et nous voilà dégustant un petit apéritif. Inutile de décrire le cadre dans lequel nous nous trouvons, je suis avec ma tante avec la mer au loin et les palmiers du célèbre Boulevard. J’ajoute qu’avec le festival, j’avais réservé auparavant...
Ma tante m’observe et me demande une cigarette, je peux la voir décroiser ses jambes dont je ne me lasse pas ainsi que son décolleté ouvert comme il faut. Mais la pointe de ses seins la trahit et je suppose que le soutien-gorge n’est pas au rendez-vous ce soir...ce qui est loin de me déplaire. Ma tante le sait fort bien et abuse de la situation en déboutonnant son chemisier au gré de la conversation. Heureusement pour nous, elle me fait face et tourne le dos aux autres personnes.
— T’es super sexy ce soir, bon que prends-tu ?— Comme toi, je te fais confiance.— Tu me fais confiance pour tout !— Oui et puis je te regarde en pensant au chemin parcouru. Dit-elle songeuse.— Depuis l’Angleterre, on en a fait des choses et notamment une fille, qui l’eut cru ?— Oh Jean, c’est merveilleux de se retrouver tous les deux. Chantal me prit la main discrètement.— Sincèrement je crois bien que tu es la femme de ma vie.— Euh si tu le dis...Chantal rougit face à ma déclaration.— C’est passionnel entre nous. Lui dis-je.— Non fusionnel. Réagit-elle de manière autoritaire et la peau douce de ses orteils passe sur une de mes chevilles.— Chantal avec le recul je n’ai aucun regret et si c’était à refaire...Ma tante m’interrompt.— Moi si, d’avoir fait souffrir tes parents et notamment ta maman, elle n’a jamais accepté que sa petite sœur couche avec son fils et d’une certaine façon je peux la comprendre. Ca n’est pas dans l’ordre naturel des choses, nous sommes dans une relation incestueuse même si j’ai ressenti des sentiments pour toi dès ta venue en 1995 et j’ai bien vu que tu me faisais la cour...Ma tante hausse les sourcils.— Que veux-tu que je te dise ? Tu m’as toujours attiré et je ne te fais plus la cour mais pour moi tu restes la définition parfaite d’une femme. Evidemment physiquement tu es toujours au top et tu sais très bien que tu me plais...enfin c’est juste dingue avec toi comme de sentir ton pied contre ma cheville...— Oui je sais que je te plais et je suis certaine que tu vas me le prouver ce soir en rentrant ! Ma tante me fait son beau sourire rempli de sous-entendus.— Question indiscrète Chantal, qu’est-ce que tu aimes le plus dans les préliminaires ?— Jean c’est très gênant ce genre de sujet...Dit-elle embarrassée.— Tu veux que je commence si tu préfères ?— Je t’écoute. Chantal pose son menton sur sa main en guise d’accoudoir, bien curieuse de ma réponse.— Eh bien tout d’abord j’aime commencer à t’embrasser puis te déshabiller et te caresser longuement.— Ah oui j’aime les caresses ! Ma tante m’interrompt spontanément.— J’aime ta belle poitrine arrogante, tes seins en forme de poire que j’adore téter et puis...et puis il y a ta rivière à diamants...— Mon chéri, tu oublies mes pieds !— C’est un plaisir de les regarder, les couvrir de baisers, ils sont beaux, soignés, élancés et c’est rare chez une femme et je ne parle pas de tes jambes et de tes lèvres et du regard que tu as en ce moment...

Tout en lui parlant, mon sexe se met en alerte et parler de ses pieds m’excite au plus haut point.
— Ah bon...je te souris tout simplement, c’est agréable de t’écouter. Bon tu veux parler sexe ! Alors oui j’aime que tu me tètes les seins, que tu m’embrasses et...que tu t’occupes de mon intimité. Voila ! — A mon tour, lécher tes belles lèvres intimes, m’amuser avec ton clito et te doigter...— Oh oui ça aussi, quand tu rentres ta langue dans mon vagin et que tu commences à me lécher le...Ma tante n’ose pas prononcer le mot et le rosée aidant, elle est de plus en plus bavarde.— Oui quand je te lèche ton bel anus si pur.— Hummm...c’est délicieux et puis ensuite tu rentres un doigt puis un deuxième et...oh je dis n’importe quoi !— Continue...on est entre nous.— Bon alors quand tu rentres tes deux doigts, je me réjouis ensuite de savoir que ton beau sexe va venir en moi. Tu y vas si doucement, c’est tellement agréable de te sentir progresser en moi et ensuite tu me possèdes Jean. J’aime avec toi...je t’aime mon amour. Dit Chantal avec une telle sincérité.— Moi aussi ma douce Chantal, mais après, tu aimerais connaître ce que je préfère ?— Euh oui...
Il nous faut attendre, le serveur arrive et nous dépose nos plats, nous mangeons en échangeant des regards complices, amoureux. Nous prenons deux cafés et Chantal allume une cigarette, bien intriguée de connaître la suite. Finalement, je dérape sur le sujet.
— En 95, tu avais une sacrée envie de baiser ma chère Tatie !— Bon...j’avoue comme nous sommes dans les confidences que j’avais comme tu dis envie de baiser, mais pas avec n’importe qui et tu étais là...Se réjouit-elle dans sa réponse.— Bah avec ton ex, tu t’emmerdais grave, en somme je t’ai réveillée.— Pour me réveiller, tu m’as bien réveillée et ce fut comme une renaissance sur ce plan. De toute façon, je n’ai jamais aussi bien fait l’amour avec un homme qu’avec toi et en parlant de préliminaires, tu sais me lécher avec une sacrée habileté et puis tu me fais jouir avec une telle facilité...c’est peut-être parce que tu me connais depuis que tu es né ! Ma tante rigole de ses dernières paroles.— Ah tu vois que ça t’intéresse ! Tu n’imagines pas le fantasme absolu que j’ai réalisé en te sautant ma belle Tatie, je voulais t’avoir dans mes bras, t’entendre gémir, jouir. Te faire atteindre des orgasmes inimaginables...— Tu as parfaitement réussi mon chéri et même plus...— Comment ça ? Dis-je bien interrogatif.— Eh bien...quand tu me prends par derrière...enfin c’est inouï comme sensation. Dit-elle évasive.— Allez explique.— Je ne pensais pas que je prendrai mon pied à ce point avec mon neveu. Comme je suis à l’aise avec toi Jean. Dit-Chantal avec une voix rassurée.— J’ai remarqué que tu aimes cette pratique quand c’est fait avec délicatesse et ça procure un sentiment de soumission, tu n’es plus ma tante mais ma maîtresse bien docile.— Oui avec toi je suis soumise et j’aime te sentir en moi et à cet endroit...tu te propages en moi comme je te l’ai dit. Je t’adore. 

Les yeux de ma tante brillent, j’ai comme l’impression qu’elle me dévore.
— Pour finir, quand tu me suces je perds pied ! Et en plus, c’est encore plus jouissif sachant que tu aimes.— Je ne l’ai fait qu’à mon ex et deux fois pour être précise. Avec toi c’est si différent et puis tu as un sexe tellement beau, rien que d’y penser...J’aime promener ma langue et puis te prendre dans ma bouche, tu es gros, chaud et quand ça arrive qu’on aille jusqu’au bout je jouis intérieurement. Chantal remonta son pied le long de mon mollet.— On parle d’inceste mais tu sais que je suis plus jeune que ton fils, tu pourrais être ma mère.— Et ça t’excite ? Me demande Chantal bien décidée à connaitre la suite de mes pensées.— Pas du tout mais en revanche, ce qui m’excite au plus profond de moi, c’est de faire jouir une femme de 20 ans de plus que moi et tu es tellement bien foutue. Dis-je pensif.— Bien foutue ? N’exagère pas mais tu m’aimes de la tête aux pieds !— Le moment suprême, c’est le début de la pénétration. Tu as un regard fantastiquement beau !— Oh tu ne t’es pas regardé ! En effet quand je te sens venir en moi, quand tu parcours mon vagin et ensuite...quand tu commences à me baiser ! Oh ça m’excite rien que d’y penser, quel pied de baiser avec son neveu !— Bien, nous avons terminé de dîner et maintenant nous sommes seuls chez nous. Quel programme aimerais-tu ?— Ah mon cher neveu, d’abord je vous suce, ensuite vous me lécher pour bien me baiser et peut-être vous permettrais-je de me prendre par derrière.— Ah je vois, Madame prend le menu gastronomique !
Chantal étouffe son rire, je paie et nous rejoignons notre domicile. Ma tante conduit et ne se gêne pas pour me prendre la main afin de la poser sur sa cuisse. Je la regarde de profil, toujours aussi désirable avec ses lèvres que je devine déjà en train d’épouser mon sexe...
Dès la porte d’entrée franchie, Chantal m’embrasse follement, elle plonge sa langue qui se fait attraper par la mienne. Nos lèvres s’accordent et ma tante se laisse déboutonner son chemisier que je dépose soigneusement sur la table de l’entrée. Je saisis son sein et lui tète son mamelon, elle en profite pour passer sa main dans mes cheveux. Je sens que ce soir ma tante m’est promise, qu’elle est disposée à faire ce que je veux d’elle. Notre conversation l’a totalement décoincée qu’elle en avance son buste pour mieux se faire prendre son deuxième sein.
— J’adore ce que tu fais Jean. Dit-elle en soupirant.— Ce n’est que le début ma chéri, viens t’allonger que je profite de ta rivière en crue.— Attends...depuis le début de la soirée je n’ai qu’une idée en tête mon amour. Chantal s’agenouille en remontant sa jupe et baisse mon pantalon.— Tu commences par ton entrée favorite !— Ouiii...
Ma tante me prend mon sexe et me le lèche amoureusement puis lâche spontanément.
— Oh la vache comme elle est belle ! Approche-toi bien que ta Tatie te suce comme tu aimes.
Elle me branle légèrement puis le porte à hauteur de ses lèvres somptueuses, mon sexe glisse entre-elles pour ensuite se faire aspirer lentement dans sa bouche. Elle le ressort puis sa langue vient me lécher l’extrémité du gland.
— Alors satisfait mon grand ? Chantal n’attend pas la réponse et me suce lentement, faisant rentrer et sortir ma verge en folie dans sa bouche transformée en boite de Pandore.— T’es une fée.— Ah oui ? Chantal relève la tête, me fait un sourire et reprend ma verge pour la garder entre ses lèvres en y déposant de la salive.— Qu’est-ce que s’est bon ma belle Tatie adorée !
Sur ces mots, ma tante me caresse les fesses et sa tête se balance avec le même rythme, suçant inlassablement mon gros pénis. Cela me suscite de fortes émotions lorsque mon sexe ressort, je ressens la douceur de ses sublimes lèvres sur ma chair puis Chantal creuse ses joues et m’aspire au fond de sa gorge et sa langue entraîne mon gland dans une folle aventure. 
Mais tout à coup je pense à ces quelques mots d’un écrivain dont j’ai perdu le nom et qui disait :"Il eut soudain le sentiment qu’il pouvait regarder le monde soit comme la malheureuse victime d’un voleur, soit comme un aventurier en quête d’un trésor".
Je repousse Chantal qui me lance un regard et je me fais aventurier, en quête d’une rivière.
Tout naturellement, nous partons vers le salon et ma tante se met face à moi, sa poitrine offerte. Je dégrafe sa jupe, elle en profite pour se mettre pieds nus et s’allonge sur le canapé. Je dépose des baisers sur ses pieds pour remonter entre ses cuisses, je la vois avec un souffle court. Je saisis sa culotte pour lui ôter avec un bref mouvement de son bassin et me voilà face à son intimité.
— Oh Jean, baise-moi tout de suite ! Chantal écarte ses jambes pour faire apparaître son sexe parfaitement épilé aux lèvres roses.— Je ne peux pas, j’ai trop envie de te lécher.— Goûte-moi mon chéri...Ma tante m’invite avec ses bras à plonger ma tête dans son antre, elle m’entraine au contact de ses grandes lèvres.— Tu as un sexe d’une beauté redoutable. Chantal avec ses doigts fins ouvre ses lèvres, j’observe sa merveilleuse anatomie et ma langue se colle à l’entrée de son vagin.— J’adore !! Dit-elle en se faisant ardemment déguster par son neveu.
Ses mains rejoignent les miennes, je dévore sa vulve en introduisant ma langue dans son orifice, Chantal pousse des gémissements et oscille son bassin. Ma langue descend au plus bas de son intimité, pour y remonter avec une paresse toute sensuelle le long de ses lèvres chaudes. Très vite le goût de son sexe change, je consomme le précieux nectar qui s’en échappe et les mains de ma tante m’incite à venir l’embrasser. Je me redresse pour me mettre nu sous les yeux attentifs de ma promise. Je reste debout, le sexe raide et ma tante se caresse la poitrine en m’adressant un sourire.
— Ma chère, j’hésite. Dis-je à Chantal qui marque une pause.— Que veux-tu dire ? En creusant son ventre plat dans le seul but de se rendre plus désirable qu’elle n’est.— J’ai très envie de te prendre par derrière ou de te sauter.— Commence par me sauter mon étalon à moi...Dit-elle en chuchotant.
Comble de l’excitation, Chantal suce son index pour immédiatement l’introduire dans son vagin. C’est trop, je n’en peux plus, je convie ma tante de me suivre dans notre chambre, elle comprend fort bien que nous serions mieux installés.Dès notre arrivée, ma belle Tatie s’étend sur le lit et je regarde cette femelle de 60 ans aux formes plus que parfaites se tortiller avec une seule idée en tête.
— Ca t’excite de voir ta tante à poil sur le lit, pas vrai ? Dit-elle sur un ton ironique.— Oui et je sais qu’elle n’attend qu’une chose.— Ah bon...? Chantal se caresse les cuisses puis le ventre.— Tu es terriblement excitante ma belle.— Viens faire l’amour à ta tante...viens pénétrer ta Tatie adorée...Chantal me fixe, cuisses écartées, mains derrière la tête. 
Mon sexe effleure ses lèvres roses, ma tante acquiesce en souriant, réjouie de ce qui va arriver. Elle lève les jambes pour une meilleure pénétration et me présente son sexe idyllique. Sans précipitation, je présente mon sexe rigide, raide, les corps caverneux au bord de l’implosion et je vois Chantal baisser la tête, ne cachant pas son admiration devant pareille monture.
— Bah dis donc ! Je vois que je t’excite fortement...Dit-elle avec une pointe de fierté.— Allez Tatie, savoure mon gros sexe qui rentre dans ton vagin. Lui dis-je en introduisant le fruit de notre inceste.— Comme ca reste bon avec toi...je te sens rentrer en douceur...Oh ouiiii....Chantal en ferme les yeux.— Tu aimes te faire sauter par un mec plus jeune de 20 ans !— Ouiiii...j’aime ta belle verge vigoureuse...Oh oui chéri tu me transperces avec ton sabre...Ma belle partenaire continue de me recevoir sans cacher sa joie.— Chantal...t’es folle à baiser !
Elle sourit, ouvre les yeux et m’attire vers elle. Je baise ma tante, j’entre en elle comme je sors et elle croise ses jambes comme pour me garder prisonnier dans son orifice rêvé. Je l’embrasse avec fougue puis nous nous retrouvons joue contre joue, j’enchaîne mes balancements en entendant un long râle. Je fais jouir ma tante en accélérant mes va et vient, elle me serre pour me garder en elle. Je continue en étant proche à mon tour de voir s’abattre la foudre, je résiste en pensant à la jouissance que je lui procure.
Il me faut ralentir, d’autant plus que je ressens désormais Chantal baigner dans une sorte de béatitude.J’embrasse ma belle Tatie dans le cou pour lui faire comprendre la fin de notre ébat. Elle me gratifie d’un long soupir...
Je me retire prudemment, le sexe en feu. Ma tante le sait et se met en position de levrette, prête à m’offrir l’inconcevable entre une tante et son neveu. Je ne peux ignorer la grâce féline qu’elle dégage dans cette posture de soumission.Je la regarde de profil, elle dandine son derrière, sa croupe parfaite attise mes désirs les plus fous. Je vais sodomiser la sœur de ma mère, sa petite sœur devenue friande de cette pratique avec son neveu.Nous n’échangeons pas un seul mot et la petite sœur se cambre pour se faire lécher son bel anus, sans peur, sans crainte, confiante.
Je baise ses fesses bien fermes, je les enveloppe avec mes mains et j’approche la pointe de ma langue de cet orifice récalcitrant. Je vois les jolies mèches éparses de ma tante, je sais l’instant fatidique qui la fera tressauter. J’écarte son postérieur majestueux, ma langue tel un intrus se hasarde autour de cette zone qui se veut hautement érogène, si d’aventure la précision, le calme et la patience se réunissent pour animer une telle flamme.Je tournoie auprès de ses muqueuses puis ma langue léchouille son anus devenu brillant, Chantal est parcourue d’un frisson, instant fatidique.
— Tu me fais des choses insensées Jean. Dit-ma tante avec une voix fébrile.— C’est pour mieux vous aimer ma chère tante.— Alors continuez Monseigneur...Répond Chantal tandis que délicatement, la salive aidant, mon doigt s’immisce dans l’interdit.— Tu aimes chérie ? Dis-je en dilatant patiemment le cul superbe de ma tante.— Oh oui, tu es si délicat mon amour. Dit-elle en remuant son petit derrière.— Tu es impatiente de te faire prendre Chantal ? Un deuxième doigt se mêle à la partie et ma tante en gémit, la tête posée sur le drap.— Oui chéri, je suis prête, tu peux venir à l’intérieur de ta Tatie. Dit-elle la voix posée.
Ces dernières paroles me laissent pantois, je crois rêver. Ma propre tante me dit qu’elle est prête à se faire sodomiser par son neveu, ce petit garçon qu’elle a vu grandir et qui est désormais derrière elle. 
La patience a ses limites et mon sexe estime de plein droit qu’il est grand temps de satisfaire ma douce partenaire. Chantal sent mon gland au contact de ses muqueuses suffisamment dilatées, elle s’apprête à ressentir la lente progression à l’intérieur de son si superbe cul.Petite parenthèse, j’adore sodomiser ma tante, introduire mon sexe entre ses fesses et plus que symbolique. Je la possède là où personne n’y est parvenu...et en plus avec son cul féerique, je quitte le monde réel.
— Ca va ma chérie ? Mon sexe ayant disparu de moitié entre les fesses claires de Chantal.— Ne t’arrête plus s’il te plait...Lance-t-elle entre deux gémissements.— Je rentre en toi, c’est chaud, étroit...c’est bon ma belle Tatie de te prendre par derrière. Chantal profite pleinement de mon intrusion et se lâche.— Tu es le seul à me le faire et...Ooooh c’est si bon...Si bon...Ma tante serre ses poings de plaisir, je suis entièrement en elle.— Tu aimes te faire sodomiser par ton neveu ? Me voici débutant un timide va et vient dans ce précieux canal.— Quand je pense que je t’ai connu gosse et te voilà à l’intérieur de mon cul...Oh Jean c’est tellement merveilleux ce que tu me fais. — Contracte-toi un peu...Dans la seconde, je ressens ses muscles sphinctériens, mon sexe est pris comme dans un étau.— Ca te va chéri ?
Nulle réponse de ma part, pour me dégager de cette situation, j’imprime un rythme tantôt lent, tantôt saccadé en rentrant violemment dans son canal devenu chaleureux. Ma tante en redemande et n’a plus la force de contracter un seul muscle, submergée par les vagues de plaisir qu’elle reçoit. La voici devenue ma chose, je continue mes mouvements et je caresse son ventre pour finir par son intimité, en prenant soin de cajoler son crépuscule. Ma tante exulte, la voir ainsi me donne le tournis.
Je me permets le luxe de sortir entièrement mon sexe, je vois ma tante se demander ce qu’il se passe. Je caresse sa croupe puis j’écarte son sublime fessier et mon sexe trempe à nouveau dans la chaleur...de la sœur de ma mère. Mon membre se fait jouissif en parcourant son orifice, il fait ses allers-retours pour finalement y déposer sa semence dans sa belle femelle apprivoisée.Ma tante hurle son bonheur, la jouissance fait place à un orgasme puissant.
— Jean, je jouis...c’est si fort comme sensation...Clame ma tante.— Ouiii Chantal, moi aussi je jouis comme une bête ! Dis-je secoué par des spasmes, des décharges se terminant entre les deux fesses magnifiques de ma tante chérie.— Je te sens...tu es gros...tu es en moi...reste...reste chéri. Chantal fripe les draps, son orgasme emporte tout.— Oh la vache Chantal...dis-moi que je ne rêve pas ! Tandis que ma semence se déverse dans son cul souverain.— Encore !...défonce-moi...défonce le beau cul de ta Tatie adorée...Dit-elle avec des perles de sueur et le souffle haletant.— T’es plus ma Tatie, t’es ma femme...Dis-je en m’exclamant et en continuant de sodomiser Chantal, ivre de bonheur.— Jean ?...je n’en peux plus...c’était trop bon...mais reste encore...je sens ton sexe en moi...alors reste.
Je caresse sa croupe, je continue à glisser dans cette merveille de l’anatomie féminine.Je réalise la relation quasi exceptionnelle que j’entretiens avec ma tante depuis mon adolescence. Tout a disparu, notre différence d’âge, notre consanguinité, je m’affale sur le dos de ma sublime partenaire en restant au fond de son orifice brûlant. Chantal exhale tous ses sentiments par des râles profonds suivis de gémissements sans fin.Telle une femelle prise au piège, elle continue de se laisser sodomiser de bonne grâce tout en se faisant pétrir ses seins enflammés.Le temps est à l’arrêt, ma tante savoure ma présence en elle et ne cache pas sa joie de la jouissance reçue.Mon sexe prend congé avec regret, ma tante s’allongeant totalement vidée.
Je fais un brin de toilette et je retrouve ma belle qui vient se lover contre moi.
- Nous faisons l’amour et à chaque fois nos corps rentrent en fusion. Dis-je presque étonné.— Oui chéri, c’est carrément fantastique d’être ensemble...et tu continues de me baiser comme un sauvage !— Je crois que tu aimes.— Bien sur, oh là là je suis toujours autant amoureuse de toi. Dit-elle en caressant mon torse.— Tu ne changes pas, c’était écrit qu’on devait le faire.— Vivement les vacances pour que tu t’occupes de moi à temps plein ! Dit-elle enjouée.— Chantal ?— Oui mon amour...— T’es folle.— Non, tu me rends folle ! 
Ainsi s’achève mes confidences sur la relation incestueuse avec ma tante.Aucuns regrets, aucuns remords.

Fin
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