Comment suis-je, ô miroir ? Je ne voudrais pas avoir l’air trop… « ringarde » ? Zut, après tout je n’ai même pas le double de son âge. Il y a bien longtemps que je ne l’ai vu d’ailleurs mon petit neveu - enfin mon demi neveu devrais-je dire, puisque c’est le fils du premier mariage de mon beau-frère -presque quatre ans déjà que ma sœur l’a « adopté ». Petit brun prometteur… Bah, c’était un ado. Les photos qu’elle m’a envoyé la dernière fois n’étaient pas fameuses. Enfin, d’après ce qu’elle m’en a dit il se comporte plutôt bien pour un étudiant, et semble être sérieux… ça, c’est ce que disent toujours les parents. Non, cette jupe n’est pas trop courte, elle n’est pas mini tout de même, et puis je peux encore être fière de mes jambes. Mais ce décolleté… Voyons voir… Parfait, je suis tout à fait présentable. Loin d’être aussi… Pfff, les femmes de mon âge sont comme sa mère ! C’est mon neveu après tout, autant qu’il ait l’image d’une tante branchée, et pourquoi pas sexy ? Et s’il voit un peu de la dentelle de mon soutien-gorge… Non. Je n’ai pas à rougir, même noir ça n’est pas bien grave. Quand aux bas… De toute façon il doit avoir ce qu’il lui faut, ces étudiantes sont tellement délurées de nos jours… Bon, le maquillage, ça va… Plus, ce serait trop. Il doit s’en passer de belles dans leurs chambres -ça me rappelle des souvenirs, tiens. Oh, zut, je vais mettre mes talons plats plutôt que ces mocassins. Déjà 19h, mais que fait-il ? Ces jeunes ne respectent vraiment plus rien -Ah ! La sonnette, ce doit être lui. — Alex… Bonjour mon chéri, comme je suis contente de te voir, c’est gentil de venir faire un coucou à ta tante ! Mais laisses-moi te regarder : Oulah ! Tu as forci depuis la dernière fois, mais c’est que tu es devenu un homme, mignon tout plein, et costaud avec ça ! Tu dois en faire craquer des filles ! Quel âge as-tu maintenant ? 21 ans ? Woaw ! Tu ressembles vraiment à ton père ! Viens, installes-toi là, sur ce fauteuil, il est plus confortable que le canapé. Donne-moi ta veste. Voudrais-tu boire quelque chose ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Allez : Que dirais-tu d’une petite coupe de champagne ? Je me sens un peu seule ces derniers temps et ta visite me fait tellement plaisir… D’accord ? Ok, je débouche une bouteille pour fêter ça ! Bon dieu, qu’est-ce qu’il est beau gosse… tout son père. Ah, si cette garce ne me l’avait pas soufflé sous le nez je me le serai bien fait à l’époque, le beau brun. Au lieu de ça elle se plaint toujours d’être mariée depuis plus de vingt ans, et moi je me retrouve encore seule, le monde est mal fait. Mmmh, elle sent bon sa veste, c’est quoi cet after-shave ? Bon, les coupes… Je n’exagère pas un peu ? Ma foi, quelques bulles dans un peu de cristal… Nous y voilà. Aïe, mais c’est qu’il a l’air vraiment bien balancé mon neveu, un Adonis… Quel regard… Oh zut, mieux vaut ne plus y penser. — Tiens, je te laisse opérer, c’est un travail d’homme ! Alors, racontes-moi un peu ta vie, ça marche les études ? … Tu as bien raison, il faut vivre un peu aussi… Tchin, à notre santé, à la tienne surtout ! Et les amours ?… Comment ça tu n’as plus de petite copine ? Je ne te crois pas ! Depuis six mois ? Oulala, c’est long… Six mois… C’est incroyable. Tu parles : plus de régulière peut-être, mais il ne va pas me faire croire que… A mon avis il a dû toutes se les faire. Bon, je n’ai rien à dire, de mon côté : rien depuis que Paul est parti… Quel garçon étonnant tout de même. Je le trouve vraiment séduisant, très sympa, bourré de charme. Pfff, ces gamines ne savent pas ce qu’elles perdent ! — Oh oui, ça je te l’accorde bien volontiers. Avant la trentaine elles ne sont pas très captivantes – ceci dit les garçons non plus, nous sommes bien d’accord là-dessus. Mais de là à rester seul… Et puis ça n’est pas bon pour ta santé ! Tchin ! Et quel sourire… Oui, je vois bien qu’il fait beaucoup de sport. Pour compenser ? Il me prend pour une conne ou quoi ? Ces yeux, ce bleu clair… Oh, je me sens fondre, mais que m’arrive t-il ? C’est mon neveu tout de même ! — Écoutes, je… Il est bon ce champagne, mais j’ai un peu chaud ! Tu permets que j’aille retirer mon sweat ? Et si tu nous resservais en attendant ? Et bien te voilà belle, ma fille, il y avait longtemps qu’un type ne t’avait pas mise dans un état pareil… Bon, ma coiffure, ça va… Mais… C’est un gosse, et ce regard… Me serais-je trompée ? Il m’a bien semblé qu’il m’observait. Serait-ce une illusion… ? Ah, je ne sais pas. J’en aurais le cœur net. Voyons voir, juste un bouton en moins… — Alors, comment trouves-tu ta tante? Oui j’essaie de m’entretenir un peu, je ne bois pas, je fais de la gym deux fois par semaine et… Oui, merci, moi aussi j’aime bien ces mèches, elle est très sympa ma coiffeuse. Mais tu sais c’est terriblement difficile de garder son potentiel de séduction, de faire attention à tout… Je sors peu, et depuis l’année dernière, depuis que Paul est parti en fait, j’ai tendance à me faire nonne, boulot dodo… Mais ça va, je me sens bien dans cette vie plutôt tranquille. Mais je ne rêve pas… Mine de rien il est bien en train de m’observer… Quel petit coquin ! Il est trop mignon, voyons voir si je me détends… Bingo, les yeux sur mes jambes ! Et si je m’étire… Rebelote, les yeux sur mes seins, mais quel effronté ! Oh, ce sourire… Trop craquant ! Il me met dans un état avec sa fossette… - Bon dieu, déjà vide ? Hé bien, pour des gens qui ne boivent jamais ! On en ouvre une autre ? Oh, écoutes, après tout tu ne conduis pas, allez, c’est pas tous les jours dimanche. Et si on écoutait quelque chose ? Tu veux bien t’en occuper pendant que je nous prépare un truc à grignoter, les CD sont par là… Ce garçon me fait rajeunir de 10 ans. Je me sens en forme, moi, tiens ! Alors, les chips… Deux-trois bricoles, cacahuètes Ah, voilà cette bouteille, hop j’amène tout ça là-dessus, bien pratique ce plateau…
Mince, debout il est encore plus beau. Adonis ou Apollon ? Tant pis, je m’approche de lui. — Mais c’est génial, on écoute la même chose ! J’ai arrêté Cocteau Twins, ça me filait le bourdon, tu as raison, je préfère Portishead… Non, laisses, je vais te servir. Oups ! Pas trop près quand même… Et voilà, j’en suis toute retournée…Oh et puis zut, après tout voyons jusqu’où il peut aller, ce monstre… J’en étais sûre ! Tous pareils : Il suffit que je me penche pour qu’il essaye de voir mes seins. Oulah, doucement ma fille, si ta sœur nous voyait…
— Attends, je vais me rasseoir, j’ai la tête qui tourne un peu… Non non, je t’assure, ça va très bien… C’est le champagne, ça va passer, je n’ai plus l’habitude tu sais, voilà ça va mieux, je suis tellement contente de passer un petit moment avec toi, c’est vrai on ne se voit jamais… Oh, j’ai carrément envie de me détendre, là, tout d’un coup… Je vais me laisser un peu aller. Et tant pis s’il me regarde, après tout ça ne fait pas de mal de se sentir observée. Séduction pour séduction, mon petit coco… Mais qu’est-ce que je raconte moi, je suis avec mon neveu. Pffoouu, je vais allonger mes jambes, tiens. Ouf ! Je me sens mieux… Zut, ma jupe est bien remontée, il va voir la bordure de mes bas. Du coup, là il va me mater c’est sûr. C’est de la faute de ce canapé : On glisse dedans et on se retrouve toujours affalé. Aïe voilà, ça y est : Il ne rate pas une occasion celui-là, mais quel dévergondé ! Et puis flute, il n’a qu’à regarder si ça lui chante, ceux-là sont très présentables, et puis ça n’est que l’élastique, et puis ça n’est que mon neveu, et puis stop… — Mets-toi à l’aise, tu n’as pas trop chaud ? C’est infernal dans ces immeubles, j’ai moi-même du mal… ça ne te dérange pas si je dégrafe un peu mon chemisier ? Pas de chichi entre nous après tout, je te rappelle que je t’ai porté dans les bras quand tu étais petit, je t’ai même langé plus d’une fois. Hé bien tu as changé depuis ! Allez, juste un dernier, et ensuite je m’occupe de nos estomacs. Tchin ! Tu n’aurais pas une petite faim ? Ah, une grosse ? On va s’en occuper dans deux minutes… De toute façon tout est déjà prêt. Mais… Qu’a-t-il voulu dire exactement par là avec ce sourire en coin ? J’ai rêvé ? Ohlala, c’est moi ou bien ? Je sens que la pente est bien glissante… Tiens, il a enlevé un bouton lui aussi… Quel beau torse sous sa chemise, j’y glisserais bien ma main… Mais… Non !? Il a quand même une sacrée bosse sur son jean… C’est fascinant. Il n’a pas une érection tout de même ? Ça à l’air impressionnant… Non mais je délire là ou quoi ? Mais qu’est-ce qu’elle a ma jambe à remonter comme ça, je ne peux plus l’arrêter, qu’est-ce qui me prend… Flûte, il va voir ma culotte à présent, j’ai l’air de quoi… Hé là, stop ma fille : pas question de délirer. Bon, je vais me mettre en cuisine. Non mais quel sale gosse, regardez-moi ça… — Dis-moi franchement, qu’est-ce que tu regardes comme ça, tu n’as pas honte ? Alex… Je n’ai pas envie de me cacher. Je peux très bien m’installer confortablement chez moi comme bon me semble j’espère, et discuter tranquillement avec toi sans qu’il y ait de sous-entendus. Tes regards sont dérangeants. Ah bon, tu me rassures : j’ai cru un instant que tu… Non non, rien, enfin si, mais pas de ça entre nous, c’est tout… Holala ça doit être beau une bite de vingt ans… Au lieu de mes godes ! Mais qu’est-ce que j’ai moi, je deviens folle ? Je devrais peut-être mieux me tenir. Au lieu de ça je m’affale devant le fils de ma sœur… bon, d’accord, ma demi sœur, mais tout de même. Quel effronté ! Mine de rien il essaie de mater ma culotte, ce petit saligaud, mais regardez-moi ça ! Oh nooon… Et c’est moi qui respire comme ça ? Ou lui ? Et cette chaleur dans le ventre… Il me rend folle ! Je dois absolument arrêter ça… — Dis-moi petit cochon, tu n’as pas bientôt fini ? Tu ne serais pas en train de mater ta tante, par hasard ? Tu n’as pas assez de tes copines ? De toute façon, de ce côté-là je ne crains pas grand monde. Tiens, je te propose un truc : On va comparer. Je te montre mes seins, et tu me dis ce que tu en penses par rapport à ceux de tes amies, d’accord ? Mais je suis devenue complètement cinglée ma parole, me voilà en train de me déshabiller… ça y est, j’enlève mon soutien-gorge, c’est fait. Oh j’ai les bouts tout durs… Mince, je suis vraiment excitée maintenant. Et lui qui bande comme ça devant moi, il doit se sentir vraiment à l’étroit, j’espère que ça ne lui fait pas mal au moins… En tout cas il n’en perd pas une miette. Et moi avec mes seins à l’air… Mmmhh, c’est bon de les caresser un peu… — Alors ? Comment tu les trouves ? Ah non, reste assis. Dis donc ! Pas touche ! Tu sais que nous ne pouvons pas nous le permettre… Alex, petit salaud, arrêtes de te passer la main là comme ça, tu sais que ça ne se fait pas. Non mais tu te crois où ? Ciel, moi qui suis si pudique d’habitude. Il me rend dingue avec sa main sur son jean, je dois être trempée, mais qu’est-ce qui m’a pris ? J’ai une effroyable envie de me toucher pour voir… Il faut absolument que je resserre les cuisses, que j’arrête ce truc, oh, comme ils sont gonflés mes seins… - Ecoutes : Stop, ça suffit ! Je suis contente de savoir qu’ils te plaisent, mais tu en as assez vu. Mon dieu quelle trique il a l’air d’avoir… J’ai envie de le voir nu, de le toucher, de voir son sexe… Comment tout ça va finir ? Il faut que j’arrête ce cirque, ce doit être le champagne… — Voilà. Maintenant je rajuste ma jupe, excuses-moi je me suis laissée un peu aller, on se calme, tout va bien… Mais dis-moi c’est quoi cette bosse que je vois là ? Tu ne serais pas en train de bander par hasard ? Vraiment tu me fais honte, tout ça pour une paire de seins, comme si tu n’en avais jamais vu… Si l’on ne peut plus se mettre à l’aise tranquillement chez soit maintenant… Non, reste assis. Je t’en prie ne bouges pas. Je suis ta tante, je te le rappelle. D’ailleurs, si c’est comme ça, je peux aussi bien me rhabiller. Tu parles, j’ai bien envie de me masser les bouts maintenant… Ce petit con m’a excité comme une chatte. Et voilà, j’ai les cuisses qui s’écartent toutes seules maintenant, c’est l’enfer, mais je suis carrément en train de m’exhiber devant ce gosse, si ça continue il va voir ma culotte… Manquait plus que ça maintenant : j’ai soif de voir son sexe, de le toucher… Non, là il faut vraiment que je redresse la barre. — Ecoutes, à cause de toi, soyons clair, par ta faute je suis… troublée, voilà. Tu es content de toi j’espère ? Mais il y a des bornes que nous ne pouvons pas franchir, c’est ainsi. Alors tiens-toi correctement s’il te plaît. Il a l’air tout désappointé le pauvre ! Qu’est-ce qu’il est mignon… On ne va pas se battre quand même… On peut très bien se détendre et passer un bon moment, cool, entre adultes. Et puis je n’ai pas envie de remettre mon chemisier, zut, je me sens trop bien, là… — Je vois bien que tu as envie de quelque chose… C’est quoi ? Tu veux voir mes jambes ? Alors toi tu es vraiment gonflé tout de même ! Tiens, voilà. Mmoui, j’en suis assez fière ; mais ce sont les bas qui les habillent tu sais, ça les galbe… Oui, ils s’arrêtent juste là. Tu veux regarder sous ma jupe, tu veux voir ma culotte pendant que tu y es ? Alors vas-y, regardes-là… Et si j’écarte un peu les cuisses, mine de rien, c’est mieux? — Rien de spécial tu vois, tu en as connus d’autres, non ? Alors ça suffit maintenant : à présent, fin de l’histoire. Ça y est, je suis devenue complètement folle, mais à lier. Oulah ! Je suis vraiment très excitée, qu’est-ce qu’il y avait dans ce champagne ? Ah, je dois être belle affalée comme ça sur le canapé, la jupe à moitié remontée sur le ventre, le shorty à l’air qui me rentre bien dans la fente – j’ai bien fait de m’épiler avant-hier- et mes cuisses que je n’arrive plus à commander et qui s’écartent toutes seules… Oh, j’ai trop envie de me toucher, là, devant lui, mais qu’est-ce qui me prend ? Non mais je le crois pas ! Le voilà qui ouvre sa braguette à présent, et qui dégrafe sa ceinture… Oulala, il faut que je l’arrête… — Non mais quel petit salaud ! Qu’est-ce qui te prends ? Devant ta tante ! Tu sais que tu n’as pas le droit de faire ça, tu n’as vraiment honte de rien ! Espèce de malade ! Obsédé ! Mais ranges-moi ça immédiatement ! Ah, c’était « juste pour te sentir plus à l’aise » ? Bon… Mince, il ne manque pas d’air ce gamin ! Quelle trique bon dieu, elle sort toute seule de son slip, il a son gland qui dépasse… Mais elle est énorme ! Elle doit bien faire dans les… Pffuui, quel engin, zut, moi aussi je n’en peux plus, j’ai la chatte en feu, mon dieu, arrêtez ça, quel supplice… Je ne vais tout de même pas lui sauter dessus, ça non, pas question. — Mais que veux-tu de plus au juste, hein ? En voir plus, c’est ça ? Tu voudrais carrément voir le minou de ta tante, hein, pourquoi pas pendant qu’on y est ? Mais tu es vraiment un petit vicieux, il n’en est pas question. Et puis rentre ton truc maintenant, oui, tout de suite, sinon j’appelle ta mère… Non… Attends, laisses-moi la regarder un peu… Oh ce membre, comment il est monté ce gosse… — Oh et puis vas-y, après tout je m’en fous, fais comme tu le sens. Je ne sais plus quoi faire… Quelle beauté ! Et le voilà qui se touche maintenant, mais je ne vais plus tenir, je vais craquer, oh la vache, je suis trop excitée… Bon dieu c’est vrai qu’elle est belle… Noon, le voilà qui sort ses couilles… Ooh, ça me prend tout le bas ventre, j’ai le bassin qui remonte tout seul à présent… — Mmmhh, ok ok… Si ça peut te faire plaisir, pfoou … Ah, tu me la montres maintenant ? Dis-moi, tu sais que tu pourrais vraiment m’exciter, là, et que tu n’as pas le droit de faire ça ? Alors excuse-moi… Mmmhh… Si je me passe un peu la main sur mon ventre, lààà… Oh ça fait du bien ! Je me sens devenir lubrique, une vraie chienne, j’ai envie de sexe comme jamais, je n’en peux plus, oh je veux sa queue, ooh oui, dans chaque main, dans la bouche, dans la chatte… Mais comment je vais m’en sortir ? Il m’excite trop ce gosse… — Dis-moi, ça te dérange si j’en fais autant ? Si je me passe un peu la main là, sur mes cuisses… Mmmhh, je me caresse juste un peu par-dessus le pubis, là, ça va ? Comme ça tu ne vois rien, hein, ça reste très soft… Oh non, je ne tiens plus, j’ai trop envie d’écarter un peu mon slip, mais là il va voir ma… — Comme ça, tu peux voir ? Ooohh… c’est ça que tu veux ? Tiens regardes comment je fais, tu vois ? Un doigt sur la fente, là, en haut… Ahah, petit salaud, mais c’est que tu me regardes en plus ! Et si j’écarte bien les cuisses… Et ma culotte… Tu vois mieux, là ? Comme il me mate! Je dois être carrément obscène, là, à me caresser le clito, oh comme c’est bon, et ce sale gosse qui se branle devant moi… Elle a encore grossi sa queue ou quoi ? Ah ça, il s’en met plein les yeux… Et moi aussi… Comme j’ai envie de la toucher… Je la lui sucerai bien, et… Noon, j’ai la langue qui sort toute seule de ma bouche… Ouf, comme j’aimerais qu’il me lèche, ah, je m’écarte bien les cuisses, je lui ouvre ma chatte, je me fourre deux doigts dedans, ohh je suis trempée… Et mes seins, je me triture les bouts, je n’en peux plus et cette bite tendue devant moi… Oh non, il se lève… — Non, restes assis, nous n’avons pas le droit… Ouuh, de dessous c’est encore plus impressionnant, cette paire de couilles surmontée de ce phallus, là, juste sous mes yeux, je sens que je vais craquer ! - Mmmhhh c’est vrai qu’elle est belle ta queue, vue d’aussi près… Mais je t’en prie, non ! Ne t’approche surtout pas plus, je te l’interdis… Mais c’est un véritable supplice, ce torse, ce ventre plat et musclé… Et cette chose… J’ai une effroyable envie de la mettre dans ma bouche, de toucher ces couilles toutes gonflées, j’ai trop envie, et voilà, je dégouline de foutre, je n’en puis plus… — Mmmhh, écoutes Alex, ça suffit, non arrêtes, regardes dans quel état tu as mis ma chatte, tu sais qu’il ne faut pas, nous ne devons pas… Non ! » Tant pis, juste les lèvres… Mmmhh, c’est trop bon, une bonne queue comme ça à sucer, la langue sous le gland…Je m’en mets plein la bouche… Comme il bande bien, comme c’est dur… Et qu’est-ce qu’il sent bon … Quel engin, toute violacée, avec les veines qui sortent, je me régale… Comme elle est raide, et ce gland tout gonflé entre mes lèvres, sous ma langue… Oh, après tout au point où on en est, je peux y mettre les mains… Oohh, comme elle est dure cette bite, et ces couilles bien pleines… Ah mais c’est qu’il me mate la chatte ce petit salaud, avec mes deux doigts dedans… Vas-y, tritures-moi les seins pendant que tu y es… Oh, tant pis, je craque ! — Viens là, petit con, tu l’auras voulu. Attends que je retire mon slip, enlèves ton pantalon… Voilà, allonges-toi sur le canapé, il y a la place. Vas-y, branles-moi la chatte, allez vas-y… Allez, lèche-moi maintenant… lààà… Lèche-moi bien la fente… Ah mais tu sais y faire… Voilà, là, sur le clito, un peu entre les lèvres, mmmhh, vas-y, lèche, tu es content ? Attends, je vais te sucer moi aussi… Mais je le crois pas, on va finir par baiser si ça continue… Qu’est-ce qu’il est bon à sucer… Hooo, ses couilles dans mes mains… Elle est trop bonne sa queue, s’il me la glissait dans le con… Oh non, bon dieu je vais jouir, ce petit salaud me lèche vraiment bien… Comme j’ai envie de sa queue dans ma chatte… Oh, il me met ses doigts, mais nooon, pas ça, il m’en met un dans le cul, non, ah ! Il l’enfonce le salaud… Oh il me branle le cul et la chatte en même temps, comme c’est booon… Mmmmhh, je m’ouvre… — Aaaah oui, lèches, lèches-moi, non, oh, ces doigts, cette langue, cette queue… Oulah, je vais jouir si tu continues… Haah, oh, oui, je jouis, je jouis, c’est trop bon, mmmhh … …Il m’a fait jouir ce petit salaud, rien qu’avec sa langue, j’ai dû mettre du foutre partout… Non, il avait deux doigts dans ma vulve et il me tripotait les seins, Ooh, je n’y comprends plus rien, je suis encore trop excitée, une vraie chienne… — Dis-moi elle est toujours aussi grosse ta queue ? Comme tu bandes bien mon petit… Tu ne voudrais pas… ? Mmmmhh ? Allez ! Vas-y, pour voir, mets-moi ta queue, Ah ? Tu préfères que je me tourne ? Comme ça ? Et là ? Tu regardes quoi maintenant ? Hein ? Qu’est-ce que tu vois ? Oh non, il me touche encore le trou du cul, pas ça, je vais craquer… S’il m’encule… Oh c’est trop bon ! Ah je dois être belle avec les fesses en l’air, le cul tendu comme ça, Ohhh, il vient frotter son gland dans ma fente, mais c’est qu’il sait y faire, j’ai le ventre en feu… Tu parles, avec tout ce que je mouille … Bon dieu, j’ai trop envie de me faire fourrer, oui, sa bite toute entière dans le fond de ma chatte, mmmmhh… Ah ! Il me rentre son gland, non, il le ressort, pas vers là, pas dans le cul, mmhh, c’est sensible, ouf, il revient dans ma chatte, il rentre…Aaah, mmmhh, comme c’est bon de se faire mettre… — Vas-y, mets-la-moi, prends-moi, rentre-moi ta queue… Ooh, il me remplit tout le con, mmmhh, quel engin, il me défonce la chatte… Ouch, doucement, il vient de me mettre deux doigts dans le cul, j’avais presque oublié… Oh, je m’ouvre de partout… Ah, c’est le cul qu’il veut maintenant, non, oui, oh, je n’en peux plus… — Non, pas par là… mmhh, oui, aahh, rentres-moi ta queue, où tu veux, prends-moi par le cul si tu veux… Oh oui, encule-moi, fous-la moi dans le cul, mmmfff, oh comme c’est bon de se faire enculer… — Ah, oui, dans la chatte aussi, enfonces-toi à fond, défonces-moi… Dans le cul, dans le con, il me la met partout, je vais jouir encore, Ooh comme ça monte, ah, comme il m’encule bien à fond, mmmh, oui, et dans la chatte encore, oh il est partout, quel membre, ooohh, comme il m’enfile, qu’est-ce que je me fais mettre… — Je vais jouir, encules-moi encore, oui, là, mmmff, ohhh que c’est bon… Mais il comme il m’encule bien ce petit con, oh, comme il me la met bien au fond, aahhh, quel délice… — Oh tu vas me faire jouir petit salaud, mmmhh, encore, oui, aahh, je vais jouir, encore, oh oui, dans le cul… Oui, à fond dans la chatte, met-moi, oh, c’est trop bon, enfile-moi ta queue partout, comme ça… Olah, comme ça monte, je jouis, je jouis… Aaahh…Oufff… Que c’est bon… Mmmhhh… Le petit salopard, je l’ai bien senti gicler entre mes reins… Ooohh, j’ai cru mourir… ……………………………………………………………..— Et si on passait à table ? Alors, dis-moi comment va ta mère, depuis le temps ? ….
