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Tante Aurélie

Chapitre 3

Inceste
Ma tante et moi nous dépêchons de sortir de la salle de bain et de rentrer dans nos chambres respectives, le sourire de notre plaisir toujours figé sur nos lèvres...
Le soir venu, le repas passé, je décide d’aller me coucher tôt car je me sens plutôt fatigué, sûrement à cause de la grosse baise que nous avons effectué cet après-midi. Durant le repas, ma tante n’a fait que me mater de ses yeux tout autant rouges que les miens, toujours un petit sourire pervers en coin.
Je monte donc l’escalier, ouvre la première porte à gauche, rentre dans ma chambre, me mets en caleçon et m’étale dans mon lit. Las, quelque peu déprimé de ne pas avoir le cul de ma tata à disposition pour y rentrer mon sexe, je m’installe confortablement sous la couette, éteins la lumière et décide d’entamer ma nuit dès maintenant.
Je me réveille durant la nuit, désorienté. Je regarde l’heure sur mon téléphone: 1h28. Je constate que je me sens pleinement réveillé, comme si je venais de faire une nuit de 12 heures. Autre constatation: j’ai une érection monstrueuse. Je commence alors naturellement à me tripoter la bite, ayant pour but de provoquer une éjaculation puissante et libératrice.
1 minute passe, puis 2, puis 10, et toujours pas d’éjaculation à l’horizon. Il me faut plus que ma main, j’ai besoin de me faire sucer, de sentir un trou chaud et accueillant autour de ma queue. Je me lève donc, décidant de réveiller ma tante, en espérant de toutes mes forces qu’elle acceptera de soulager mes besoins animaux.
Je franchis ma porte, le palier, puis ouvre doucement la porte de la chambre d’amis. Je n’entends rien, si ce n’est un léger bruit de frottement de couette, comme quand je me branle. Je m’avance prudemment vers le lit, puis, arrivé à son contact, je chuchote:
— Tata?— Oui mon chéri?— J’ai...besoin de toi, il faudrait que tu me refasses comme cet après midi...— Mon coeur, à bien y réfléchir, je pense que nous avons fait une grave erreur.— Vraiment? Mais-— Je rigole, me coupe t-elle, viens donc lécher tata, j’étais justement en train de me toucher en pensant à tout le sperme que tu m’as rentrée cet aprem.
Il ne m’en fallait pas plus, je bondis dans son lit, retire complètement la couette, et avance à tâtons vers son corps si parfait. Cette coquine est déjà complétement à poil, évidemment. Je l’embrasse, mélangeant nos salives, et ma main gauche tripote allègrement ses énormes seins. Elle répond à mes premiers baisers, puis me repousse.
— Je t’ai dit de me lécher, pas de m’embrasser et de me peloter.
Je me précipite alors entre ses jambes, qu’elle a bien écartées, et commence à embrasser son pubis doté de poils très courts, probablement en repousse.
— Je vais te guider, me dit-elle: quand j’appuie sur ta tête, tu continues parce que c’est bon, et quand je tire tes cheveux, tu changes de zone. Tu ne peux pas me faire de mal, alors n’hésite pas à appuyer fort avec ta langue quand je gémis.
Heureux d’apprendre à satisfaire une femme, je commence à m’exécuter. Je lèche ses grandes lèvres, ses petites lèvres, le tout au rythme de ses mains sur ma tête et de ses gémissements. Je sens qu’elle apprécie particulièrement quand je tente de glisser ma langue dans son vagin. Je continue quelques instants l’exploration de la chatte de ma tante, puis je décide de trouver son clitoris.
Je rentre une dernière fois le maximum que je peux de ma langue dans son vagin, puis je la lèche tout le long de son sexe, jusqu’à sentir un endroit plus protubérant. La léchouille que j’y applique provoque un gémissement intense, j’en déduis donc que je suis arrivé au capuchon du clitoris de ma tante.
Aurélie passe frénétiquement la main dans mes cheveux, bouge le bassin, je ne peux pas la faire attendre plus longtemps. Ma main droite monte sur sa poitrine, tandis que de la gauche je place mes doigts de manière à soulever le capuchon de son clitoris. Enfin, délivrance qu’elle attend, je lèche son clitoris. Je lèche son clitoris, le suce, l’aspire, le mordille même parfois, et ma tante devient folle. Elle se tortille dans tous les sens, crie son plaisir, n’ayant cure de se faire entendre, et de toutes façons la maison est très bien insonorisée.
J’adore la sensation de lui faire du bien, la sentir défaillir, essayer de me repousser, tout ça a quelque chose de jouissif, je suis encore plus dur qu’avant, si c’était possible.Je ne peux plus rester dans cet état, je stoppe ma dégustation de son sexe, et remonte afin de m’allonger sur elle, sexe contre sexe.
— Baise moi je t’en supplie, me murmure t-elle.
Je n’attends pas, et, profitant de toute la salive accumulée à sa mouille, je la pénètre d’un seul coup sans plus de sommation. Ma tante pousse un gémissement de satisfaction, la salope n’attendait que ça, ma grosse bite dans son sexe trempé et dilaté par son excitation.
— Je ne suis pas bonne-sœur, tourne moi, défonce moi en levrette et claque moi le cul comme la petite chienne que je suis mon chéri.
Je ne peux refuser une telle proposition, c’est pourquoi je me retire précipitamment, utilise toute ma force pour la retourner sauvagement, et je n’ai pas besoin de lui donner d’ordre pour que ma salope de tante se mette sur les genoux et sur les coudes.
Je m’agenouille derrière elle, me penche pour une léchouille rapide sur son anus, que je sens aussi ouvert et trempé, étrange...Je me redresse, présente mon sexe à l’entrée de sa chatte, et la pénètre le plus profondément qu’elle peut encaisser, déclenchant un cri de sa part quand je tape dans le fond. Je la pilonne alors sévèrement, mettant toute la frustration accumulée durant le cunnilingus dans mes coups de reins. Tata me demande alors: "Avant que tu n’arrives, ce n’est pas la chatte que je me doigtais, c’était le cul. Met moi donc ta grosse queue dans le cul, le chemin t’est ouvert, je t’offre mon anus, dilate le moi encore plus."
Ses paroles, révélant un aspect très salope et soumise chez ma tante, provoquent en moi une bouffée d’excitation me transformant en monstre. Je me retire pour la deuxième fois de sa chatte gluante, et pose mon gland sur son anus. Un léger filet de salive sur son anus, que j’étale avec ma bite, et je peux la pénétrer. Bien que dilaté, son anus est encore beaucoup trop serré, et je lui arrache un cri mi-bonheur, mi-douleur en faisant rentrer mon gland d’un coup sec dans son cul.
Sa douleur plaisante m’excite, et je décide de la défoncer sans ménagement, tant pis cette salope l’aura bien cherché, ce n’est pas mon problème si elle ne peut pas marcher demain, voire même toute la semaine prochaine. Je baise con cul à toutes vitesses en lui assénant en plus des fessées.
Ce traitement intensif que j’inflige à son petit trou nous amène tous les deux aux portes de l’orgasme, et nos halètements respectifs ne trompent pas, nous allons tous les deux jouir si je ne m’arrête pas.
Je me retire alors violemment de son cul, que je n’ai pas arrêté de tabasser de claques plutôt modérées, et cette fois je claque sa fesse droite d’une force surpuissante, provoquant un son énorme, suivi d’un début de sanglot tant le coup était violent.
— Recommence, m’intime t-elle.
Je claque alors ses jolies fesses une fois, puis une deuxième, toujours avec violence, et cette salope pousse des cris de jouissance.Je veux que l’on jouisse, alors je la ré allonge sur le dos, et je m’applique avec mes doigts afin de la faire jouir. Je mets le majeur et l’index de ma main droite dans son vagin, et l’annulaire de la même main dans son cul. Avec la main gauche, je relève le capuchon de son clitoris, et je le lèche aussi bien que je peux.
Ma main droite fait des allers retours dans ses orifices, et ma tante crie comme jamais elle n’a du crier, elle se contorsionne comme elle peut, mais ma force l’immobilise, l’obligeant à subir son châtiment divinement plaisant et jouissif.
Enfin vient sa délivrance, je la sens se crisper plus que jamais, plus aucun son ne sortant de sa bouche, et elle retombe mollement sur le lit, n’ayant même plus la force de lutter contre mes attaques contre son sexe.
J’ai fait jouir ma tante, d’un orgasme apparemment dévastateur. C’est donc mon tour maintenant.Je la laisse quelques instants pour qu’elle reprenne ses esprits, puis je m’allonge sur le dos à côté d’elle, prend sa main droite et la pose sur mon sexe bandé. Sans aucune parole, elle commence à me branler. Ce n’est pas assez, et je lui fais comprendre en glissant deux doigts dans sa bouche. Elle se met à les sucer, je les retire et elle se redresse donc afin de me prendre en bouche.
Aurélie profite de ce geste pour allumer la lumière, et je peux enfin voir le corps de cette déesse nu. Ses gros seins sont toujours aussi magnifiques, et je regrette de les avoir négligés jusque là. Je ne vais pas les laisser de côté pendant mon éjaculation...
A quatre pattes entre mes jambes, ma tante me suce, et c’est divin. Sa langue tournant autour de mon gland me fait défaillir, et je sais que la partie de baise que l’on vient d’avoir m’a considérablement affecté, je vais jouir et répandre ma semence sur ma salope de tante.
Je lui ordonne de s’allonger, la tête au niveau du milieu du lit, et je m’agenouille au dessus de sa tête, mon gland pointé vers ses grosses mamelles. Je commence à enfoncer ma bite au plus profond de sa gorge, mais ma pute personnelle en a décidé autrement: elle alterne léchage de mes couilles et passage de langue sur mon anus, constituant une manœuvre très appréciable, d’autant plus que sa main est revenue me branler.
Je ne vais pas tenir, je sens un orgasme puissant monter le long de ma verge, mon sperme abondant prêt à venir tartiner cette salope.Ne prenant pas la peine de la prévenir, j’éjacule en puissants jets mon jus, qui vient s’écraser sur ses gros seins, comme je l’avais prévu.L’air satisfaite, ma tante n’esquisse pas le moindre geste pour se débarrasser de tout le foutre qu’elle a sur les seins et le ventre, s’allonge et s’endort immédiatement. Je lui glisse un dernier doigt dans la chatte en guise de remerciement et d’au revoir, et repars vers ma chambre, repu.
Voilà la fin du troisième chapitre, dîtes moi s’il vous a plu, j’espère en tous cas que vous aurez joui, ou au moins été excités en me lisant.
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