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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Ma tante, cette cochonne.

Chapitre 1

Hétéro
Mon histoire se déroule en bretagne. Je passais des vacances chez mon oncle et ma tante. Moi j’ai 19ans, et depuis toujours, j’ai un fantasme: me faire ma tante. Elle a 45ans, elle est très enrobée, mais elle m’excite a mort. Lorsqu’ils habitaient dans la région et que j’allais chez mon cousin (leur fils donc),je m’arrangeais pour me retrouver dans la salle de bain, et fouiller dans le bac à linge sale pour trouver une de ses petites culottes comportant son odeur (une très forte odeur qui m’excitait grandement). Je reviens donc à mon histoire. Nous venions mon cousin et moi de nous disputer avec sa mère, qui était montée dans sa chambre pour faire une petite sieste. Le reste de la famille, mon cousin y compris, partait faire un tour en bateau, laissant ma tante à sa sieste, et moi prétextant ne pas me sentir en forme parce que j’avais pas envie d’y aller... mon oncle avant de partir me dit ’tu devrais lui monter un petit café ça lui fera plaisir, pour calmer le jeu surtout’. Une fois partis, je montais donc le café. J’arrive devant la porte, je frappe... rien. Encore une fois... toujours rien. Je me décide à entrer. Là des pensées perverses me traversaient l’esprit: la trouverais-je en train de se masturber comme une grosse cochonne? J’entrais alors, et la vis endormie, recroquevillée. Je posais le café sur la table de nuit, et m’attardait un peu du regard sur son corps. Elle dormait bien, elle ronflait! Et je n’avais pas fait attention à sa tenue, elle portait une jupe en jean qui s’arrêtait aux genoux, mais sa position avait fait remonter la jupe... Je me disposais alors de manière à pouvoir admirer son entrejambe. Je faisais glisser la fermeture éclair de la jupe se trouvant sur le coté, faisant tomber complètement son vêtement. Elle avais un très joli petit string transparent par lequel je pouvais apercevoir sa toison. Je ne réfléchis pas, ne craignant rien, je soulevais sa cuisse lentement, écartais son string et commençais a lui lécher sa petite chatte... quel goût! C’était délicieux. Et là elle se réveilla. Je savais qu’elle ne dirais pas non et je ne me suis donc pas arrêté. Elle se positionna sur le dos en me faisant un petit sourire tendre et moi je continuai à dévorer sa vulve... Je me levais, retirais mon pantalon et mon caleçon et positionnais ma queue gonflée de désir devant son visage. Elle n’a pas mis longtemps avant de commencer à me pomper avec ardeur. Pendant qu’elle me suçait, je caressais son gros ventre et descendant quelques fois mes doigts dans son orifice. Puis elle me dit la phrase que j’attendais depuis toujours: ’fais-moi l’amour’... Je m’exécuta. Je levais une de ses jambes, écartait son string, et d’un coup je plongeais ma bite au plus profond de son vagin. J’étais tellement excité que je ne me contrôlais plus, j’étais un vrai marteau-pilon, des vrais coups de boutoir! Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps, je décidais donc de me retirer car je ne voulais pas en finir tout de suite avec elle. Je la disposa à quatre pattes, et me mis a lécher son petit anus, c’était encore meilleur que sa vulve! J’y glissais quelques doigts, et une fois bien humidifié, j’y plongeais mon membre et commençais de grand va et viens. On jouissait comme des dingues, elle hurlait comme une grosse chienne, ce qui m’excitait encore plus! Je n’en pouvais plus, j’allais venir... Je me retirais et la renversait sur le dos, me branlais entre ses deux énormes seins jusqu’à ce que je sente venir ma sève... Je me rapprochais de son visage, et lui lâcha tout ce que je pouvais sur son beau visage. Elle en avait partout, et ce qui était parti à coté, elle le ramenait à ses lèvres du bout de ses doigts. Je m’allongeais à coté d’elle, et nous nous embrassâmes tendrement pendant que nous finissions de nous masturber mutuellement. Je n’oublierais jamais ce jour, et je crois qu’elle non plus!
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