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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Tante Dominique

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Après l’épisode du viol de ma tante Dominique et du mien par la même occasion, tout changea pour moi.Ma relation de faux dominant avec ma tante s’effaça pour devenir une véritable relation de soumis, et le pire dans tout ça fut l’arrivée de François dans ce petit jeu qui ne devait être qu’à moi seul.Durant mes courtes vacances, je fus le jouet de leur perversion, et même si parfois je reprenai un peu l’initiative, je demeurai au final le grand perdant, complètement dominé par ses pulsions sexuelles, qui m’amenaient à accepter l’inacceptable.Le soir suivant le viol de ma tante, elle devait venir dîner à la maison, et heureusement je me disais, François ne serait plus là. C’est un dîner de famille et il n’en est pas après tout. Mais était-ce vraiment une chance ? Je me demandais quelle attitude adopter vis à vis de ma tante.    Après avoir éjaculé en elle, j’étais parti sans demander mon reste, sans même jeter un regard en arrière pour voir ce qu’il advenait d’elle. Qu’avait fait François après ma fuite ? Je n’osais l’imaginer, avait-il remis ça ? Il semblait infatigable ce jour, lui avait-il fait promettre d’être son esclave sous la menace d’un odieux chantage que j’avais moi même contribuer à mettre en place ?    Ils arrivèrent pile à l’heure et je vis ma tante, qui ne paraissait pas plus éprouvée que s’il ne s’était rien passé.    Elle portait même un tee-shirt qui laissait apparaître un decolleté ultra plongeant. J’en eu une érection soudaine, et je ne pus m’empêcher de repenser à son viol.    Cette excitation passée je me dirigeais vers eux pour leur dire bonjour, et je ne sais pas si je rêvai mais au moment de lui faire la bise, il me semble avoir senti sa main frôler mon sexe, heureusement dissimulé par un tee-shirt complice qui descendait assez bas.    Il vint le moment de nous mettre à table et comme de coutume, nous avons choisi nos places. J’eu alors le courage de me placer à sa gauche en lui faisant un petit sourire beaucoup trop forcé.    Nous étions très nombreux et je me suis retrouvé collé à ma tante qui me rendit mon sourire avec sa spontanéité si attachante.    Je commençais mon entrée quand je sentis très nettement une carresse appuyée sur mon sexe, ce qui acheva de le rendre sa vigueur. Nous étions si serré que personne ne pouvais remarquer son manège à moins de se trouver sous la table. Je profitai donc de l’occasion pour prélever mon dû et lui tripoter les seins tant bien que mal, car le mouvement n’était pas si aisé pour moi.    A l’issu d’un repas plein de gestes équivoques de part et d’autre, elle me glissa à l’oreille de venir demain à la maison la rejoindre pour un petit jeu entre nous.    J’étais vraiment excité à l’idée de la retrouver pour nos petits jeux, que je passai le reste de l’après midi en érection, à jouer au tripoteur furtif.    J’eu du mal à trouver le sommeil cette nuit et je n’y parvins qu’après m’être branlé une paire de fois. Tant mieux, je serai plus endurant demain.    Je partis donc la rejoindre le lendemain, et j’arrivais même en avance tellement j’étais impatient. Je bandai pendant tout le trajet et j’avais bien du mal à ne pas me tripoter à travers mon pantalon.    Arrivé sur place, je rentrai dans la maison sans sonner comme à mon habitude, et je vis ma tante attablé devant l’ordinateur. Elle portait une tenue plus que sexy, avec une sorte de cache coeur, et je devinai qu’elle ne portait pas de soutien gorge, j’avais aussi entr’aperçu un string qui dépassait de son pantalon. J’aurai trouvé ça déplacé chez n’importe quelle femme de son âge, voire répugnant chez une autre femme de son gabarit, mais là mon excitation est encore monté d’un cran et j’ai clairement senti une goutte de liquide poindre au bout de mon sexe.    Elle ferma la porte derrière moi, et m’embrassa à pleine bouche, d’un baiser humide et plein de promesses. En même temps elle frotta mon sexe sans ménagement, de haut en bas, des couilles au gland. Je crois que si je ne m’étais pas branler hier, j’aurai éjaculé dans mon slip.    Elle s’éloigna un peu de moi, en me tirant par la main pour m’amener à la chambre.    En entrant, je fus stupéfait et je m’arrêtai net, François était là, à poil, son sexe énorme dressé, et il se branlait lentement.
— Qu’est ce que ça veut dire ? Je ne pus sortir autre chose tellement j’étais estomaqué. Que faisait-il là et à poil encore ?— Entre me dit Dominique, on va remettre notre petite séance de la dernière fois, mais plus au calme cette fois, et tu vas être un mignon petit neveu et faire ce que ta tante te dira.— Ouais mon petit Lulu, tu vas voire on va bien s’amuser avec ta salope de tante, on va la défoncer tous les deux, comme la dernière fois.    J’étais carrément soufflé, ma tante était-elle réellement consentante, ou était-elle victime d’un terrible chantage qui faisait d’elle le jouet de ce porc.    Elle se déshabilla sans la moindre difficulté, sans arboré le moindre remors ou sentiment de réticence. Comme je l’avais deviné, elle ne portait pas de soutien gorge et sa poitrine tomba sitôt les ficelles du cache coeur ôtées.
— Vient Lucas, me dit-elle, et elle me prit par la main, m’amenant vers le lit.    J’étais totalement subjugué par ma tante, et je me laissais faire. Elle m’amena vers François et me fit mettre à genoux. Elle saisit le sexe de François et se mit à le branler, puis à le sucer sous mes yeux interloqués.    Je sortis de ma torpeur, et mon excitation reprit le dessus. Je saisis la pointe des seins de ma tante pour les agacer et les tirer sans trop d’égard. Une de mes mains descendit vers son pantalon. Elle était toute trempée, si trempée que même sa toison en était humide. Mes doigts connaissaient leur travail et je me mis à la mastruber frénétiquement.    Elle se redressa en gémissant, elle me regarda avec ce regard perdu qui annonce l’imminence de l’orgasme pius elle m’embrassa.    Elle m’attira subtilement vers le sexe de François si bien que j’étais encore en train de l’embrasser quand ma bouche se retrouva à la hauteur du gland énorme de son sexe turgescent.    Nos bouches se séparèrent et se retrouvèrent de chaque côté de cette énorme prune. Je la pris en bouche sans aucune réticence. Après tout je l’ai déjà fait, et si ça excite ma tante, je suis prêt à le faire, et c’est peut être un moyen de dominer François, comme Domnique me domine moi.    Si je parvenai à le faire jouir, je serai alors celui qui mène la danse.    Nous sucions donc tous les deux le sexe de François qui nous regardait avec son regard pervers.— C’est bien mon petit Lulu, suce moi bien à fond, tu suces presqu’aussi bien que ta tante.    Elle le branlait tandis que je lui caressai les couilles délicatement pour le faire gicler. Lui ne restait pas inactif et il caressait les seins de Dominique, dont je devinai les pointes durcies par l’excitation.    Je pris la main de ma tante pour la diriger vers son sexe à elle, l’idée même qu’elle se branle m’excitait au plus haut point. Je pris aussi la main de François pour la diriger vers mon sexe, il devait me rendre la pareille.    Il fut surpris, mais ne retira pas sa main, et il commença à me branler, maladroitement.— Petit cochon, t’es bien comme ta tante, je vais te faire gicler le morveux, tu vas voir.    Il m’énervait mais je devais rester concentré pour le faire juter en premier, puis pour lui rendre la monnaie de sa pièce et lui éjaculer dessus.    Je me mis à le branler aussi vite que je pouvais tout en lui caressant les couilles. Je le sentais se tendre, il resistait mais ne pourrait plus tenir longtemps.    En lui caressant les couilles, je passais de temps en temps les doigts sur son gland pour lui caresser le frein comme le faisait Dominique quand elle me suçait. Je sentai des gouttes de liquide poindre sous mon index. Je m’en enduis l’index et je forçais l’entrée de son anus.    Il tenta de se dégager mais je le maintins, il était en mon pouvoir, mon doigt était entré comme dans du beurre, et maintenant j’allais et venais en lui caressant la prostate.    Il finit par se tendre, et je le finis à la main, dirigeant son sexe vers ma tante, pour qu’il lui éjacule dessus.    Elle reçut quelque jets sur la figure. L’image me fit éjaculer sur la main de François, qui tout à son excitation avait continuer de me branler aussi fort qu’il pouvait.— Enfoiré de morveux, tu m’as fait giclé, tu suces comme une gonzesse, t’es vraiment bonne, faudra que tu me resuces, et ce doigt dans le cul, c’est une grande trouvaille.    Vient Dominique, faut que je t’encule pour fêter ça.    Ma pauvre tante dont personne ne s’occupait, se vit soudain proposer un sort qu’elle n’aurait sans doute pas demandé, surtout vu la taille du sexe de François, qui bien qu’ayant éjaculé ne débandait pas.    François se leva et passa derrière elle, il fit entrer son sexe dans sa chatte poilue pour le lubrifier et en resortit aussitôt, Il mit un doigt sur l’anus de ma tante et le força.    Elle gémit sans qu’on puisse savoir si c’était de douleur ou de plaisir. Tout d’un coup il pointa son pieu sur la rosette et commença à pousser.    Dominique fit une grimace ne laissant aucun doute sur la douleur éprouvée. Le sexe de François était sans commune mesure avec le mien et certainement celui de mon oncle, à ce qu’elle m’en avait dit.    François forçait, et je vis une giclée de sperme s’échapper de son gland, elle badigeonna le petit trou de ma tante. Etait-il si excité que cela, que le fait de forcer le fasse éjaculer. En tout cas, ce surplus de liquide lubrifiant fit coulisser le gland qui se fraya un chemin sous mes yeux ébahis.    Ma tante laissa echapper un han de soulagement.    François ne la menagea pas et commença un va et vient violent et sans retenue.— Tu vas voir ma grosse truie, je vais te faire couiner ! Dit François avec sa délicatesse coutumière.Ma tante, à ma grande surprise avait l’air d’aimer ce langage ordurier, et se laissait aller en poussant des gémissements de plus en plus sonores.Elle me regarda et me dit :— Lèche moi Lucas, occupe toi de ma chatte !Je passai ma tête en dessous et je commençai un cunnilingus tout en malaxant sa grosse poitrine qui ballotait au rythme des coups de boutoirs de François.Elle criait maintenant sans retenue, et je me demandai même si elle était consciente de ce qu’elle disait.— Oui ! Oui ! Plus vite ! Plus fort ! Allez-y !Elle qui était d’ordinaire si réservée dans son plaisir.— Montez sur le lit dis-je, je veux qu’elle me suce.— T’as raison, parce qu’avec ton vermicelle, tu lui feras plus grand chose !François avait raison, mon sexe était tout mou, je ne bandai plus.Ils se déplacèrent néanmoins et je pus me remettre sous ma tante pour poursuivre mes léchouilles.— Nettoie moi la bite tatie ! Dis-je pour me donner une contenance et effacer la remarque de François qui lui semblait infatigable.Les coups de François me rendaient la tâche difficile et à ma tante aussi, elle avait du mal à le sucer.François voyant cela ne diminua pas la cadence pour autant et commença à se marrer.Ma tante aussi finit par rire de la situation et ballotait ma bite sans plus chercher à me sucer.J’enrageai de voir ces deux là, tout à leur plaisir, se moquer de moi.— François, tu sais que tatie a des gros godes pour se fourrer avec tonton.— Ca m’étonne pas il doit avoir une petite bite ton oncle, ou alors c’est un précoce qui nique comme un lapin !— Comment il est ton mari, ma grosse salope ? C’est un naze au lit ou quoi ? Pour que tu te fasses trousser par moi et ton neveu en même temps !— Oui dit-elle ? Puis elle se reprit, noooon !    Entendant ces confessions, je me branlai et j’avais repris de la vigueur, assez pour lui fourrer mon sexe dans la bouche.— Suce moi tatie, que je rebande, comme ça on pourra te fourrer à deux comme dans les films !    Elle me prit en bouche mais ne pouvait toujours pas bien me sucer tant François la pilonnait fort.    Je dus me résoudre à me branler dans sa bouche plus qu’autre chose.— Tu vas voir, on a pas besoin du petit bout de Lulu pour te faire une double, je vais te fourrer les deux trous.    Disant cela, François se mit à alterner ses coups entre la chatte et l’anus. Ma tante était submergée par le plaisir, les yeux révulsées, elle se caressait tantôt les seins, tantôt la chatte. Elle jouissait à plein, secouant la tête dans tous les sens, tant et si bien qu’elle finit par s’écrouler sur lit, incapable de faire quoique ce soit d’autre.    Elle resta interte pendant un moment, alors que François continuait à la besogner sans égard. Il finit par s’écrouler sur elle en émettant une sorte de râle sourd. Je pense qu’il devait se vider dans ses entrailles.    Ils formèrent une sorte de amas de chair pendant quelques minutes, puis il se releva, et son sexe sortit dans un bruit de succion obscène, il bandait encore à moitié, et son sexe était couvert de son sperme.    Il se leva et sortit de la pièce.— Je vais prendre une douche, j’ai chaud !    Je m’avançais alors vers ma tante et je commençais à l’embrasser tendrement dans le cou tout en lui caressant le dos.    Elle gémit, sans pour autant se relever. Je passai la main entre ses fesses. Je sentai le sperme de François qui s’écoulait encore de son petit trou. Je me mis alors à la masturber avec tout ce sperme.    Elle gémit encore, puis de plus en plus fort. J’introduis mon pouce dans son anus en faisant des vas et vients.    Puis je glissai mon sexe dans son trou du cul, il fallait que je la possède aussi. Ma bite entra sans effort tant son trou était dilaté et lubrifié.    Je commençai des va et vients que je souhaitai aussi puissant que ceux de François. Ma tante se remis à quatre pattes pour mieux profiter de la pénétration.    Je flottai carrément dans ses entrailles et je ne sentai pas grand chose. Aussi je lui fis serrer les jambes tout en écartant les miennes pour lui enserrer ses fesses entre mes cuisses. J’avais du mal à me tenir en équilibre tant il fallait que j’écarte les cuisses pour contenir son fessier imposant. En revanche ma bite était bien serrée comme lors de notre première sodomie.    - Vas-y Lucas, fais moi jouir !    - Ha oui ? T’en as envie ! Supplie moi salope !    Je ne savais pas être aussi vulgairement excitant que François, et mes paroles sonnaient faux.    Je n’entendis pas François revenir dans la pièce. Je réalisai sa présence uniquement lorsqu’il s’exclama :    - Ben ma cochonne t’es une vrai nymphomane, t’en as jamais assez. Vas-y Lulu bourre la bien, elle le mérite, une salope comme ça, il faut la contenter !    Il s’approcha de nous pour nous regarder. Son sexe était toujours impressionnant dans une semi érection se balançant avec son gland violacé qui trônait à son extrémité.    Il se mit à se branler en nous regardant, et de temps en temps il venait triturer les seins de Dominique, tirant sur les pointes ou les pétrissant violemment et il présentait son sexe à la bouche de ma tante, qui avait du mal à l’emboucher, mais qui faisait de son mieux.    Je passai ma main par devant pour la branler en même temps, je voulai la faire jouir, moi seul, il fallait que je me vide dans ses fesses.    François nous tournait autour, comme un vautour guettant un moment de faiblesse de sa proie, il parcourait ma tante de caresses brutales avec ses mains calleuses. Il lui mettait un doigt dans la chatte, puis dans la bouche pour lui faire goûter. Parfois il m’effleurait la bite et me procurait un peu de palisir. Puis il se mit carrément à me caresser les couilles, enserrant même mon sexe en faisant un anneau avec ses doigts. C’était délicieux et je fermai les yeux pour savourer cette caresse.    Ma tante gémissait à chaque coup de rein et se caressait parfois le sexe, parfois les seins, sa tête remuait comme celle d’un pantin désarticulé et les sons qui sortaient de sa bouche n’avaient rien de compréhensibles.    D’un coup je sentis un doigt de François me rentrer dans le cul, le salop me rendait ma caresse. Mes fesses étaient tellement écartées que son doigt rentra sans peine.    La sensation était bizarre mais pas déplaisante, il me caressait les couilles avec ses autres doigts et branlait parfois ma tante qui n’en demandait pas tant. En me retournant je le vis en train de se branler de son autre main, il y prenait vraiment du plaisir car son sexe était maintenant fièrement dressé près à remplir son office.    Il se rapprocha de nous et d’un coup sans que je puisse protester me colla sa bite contre mon anus et poussa fort. Son sexe se fraya un chemin sans trop de difficulté car ce salop m’avait préparé avec ses caresses.    Il commença à m’enculer avec la même intensité que ma tante qui jouissait aussi de ce spectacle.    Il cala sa cadence sur la mienne et me fourrait entièrement alors que ma bite était au plus profond du cul de ma tante. Elle se mit à caresser nos deux paires de couilles en criant :— Plus fort bande de pédés ! Enculez vous et enculez moi aussi !    Je venais de perdre une autre bataille, mais à ma grande honte, j’en éprouvai du plaisir, et je ne tardai pas à éjaculer dans ma tante qui savourait ces instants improbables. François m’enculait comme une brute, et mon sexe ramolli sortit du cul de ma tante tandis qu’il continuait son oeuvre sodomite.    Ma tante se retourna et m’embrassa en jouant avec mon sexe vaincu et plein de sperme. Elle se mit à branler François pendant qu’il m’enculait, et il ne résista pas longtemps lui non plus, il se vida en moi. Je me m’agrippai comme je pouvais à ma tante, tellement sa jouissance était puissante. Elle se déroba à mon étreinte, et je basculai sur le lit, les épaules en avant. François m’agrippa les hanches et continua à m’enculer vigoureusement.    Après quelques vas et vients formels, il se retira, me laissant les fesses en l’air. Ma tante prit son sexe pour le branler quelque peu, puis me mit un doigt dans le cul en disant :— Alors c’est bon Lucas, tu apprécies de te faire enculer, on dirait bien que oui, rajouta-t-elle d’un air narquois en jouant avec ses doigts à l’intérieur de mon anus.— Allez va prendre un douche mon petit et rentre à la maison, tu as bien appris aujourd’hui.
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