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Ma tante, mon oncle et ... tous les autres

Chapitre 3

Avec mon cousin et sa fiancée

Avec plusieurs hommes
Après un dîner pas trop arrosé, l’alcool et le sexe ne faisant pas bon ménage, nous nous séparons. Théo et Jade vont se coucher dans ma chambre juste en face de la leur où nous nous installons.Il fait chaud, toutes les portes et fenêtres restant ouvertes, permettent des courants d’air très agréables. Nous éteignons la lumière, la lune nous baigne de sa clarté. Les miroirs qui nous entourent font que nous sommes comme au crépuscule. Martine chuchotant :
— Allez les garçons, allongez-vous, je vais vous faire un strip-tease !
Ayant juste remis son haut et son short noirs, le spectacle va être bref... l’inventivité féminine va le faire plus long que pensé. Elle danse merveilleusement bien, elle maîtrise parfaitement tous les mouvements, balancements et contorsions orientaux. Elle relève le haut jusqu’à la base des seins et abaisse le short jusqu’au pubis. Le ventre est complètement découvert, le nombril au centre de sa nudité fixe notre attention, le tout bouge comme une liane de droite à gauche, d’avant en arrière, sur un rythme imaginaire. Elle tourne sur elle-même et nous présente ses fesses que d’un geste elle découvre en abaissant le short de ses mains lentement jusqu’au sol, le corps plié en deux, elle éloigne le vêtement d’un pied, pose ses mains sur son entrejambe, écarte les jambes et ainsi les cheveux au sol, elle nous adresse entre ses pieds un grand sourire. Ses fesses, deux globes parfaits, dignes du Crazy-Horse saloon, soulignent la finesse de la taille et la beauté des jambes. Ses fesses sont très mobiles et bougent avec élégance. Elle se redresse tout en se caressant la taille, les fesses.Tout son corps ondule comme celui d’un serpent. Il nous hypnotise au point que toujours de dos, nous ne nous apercevons pas qu’elle retire le haut avant de pivoter pour nous faire face et s’en servir de cache-sexe, son pubis est couvert, ses seins cachés par son bras. A nouveau, elle danse, elle ondule, elle nous met dans un état d’excitation insupportable. Nus depuis le début de son déshabillage, allongés sur le lit, nous nous caressons mutuellement, trop heureux de retrouver l’intimité de nos vacances en Bretagne. Nous savons retenir notre plaisir, nous savons retarder notre jouissance. Ainsi protégée, elle vient sur le lit entre nous deux s’allonger sur le ventre. Le sexe couvert de son dernier vêtement et les seins protégés par son bras restent cachés !
Elle me regarde, sourit, me tend ses lèvres. Nos bouches se rejoignent, je me tourne sur le flanc vers elle, elle se tourne vers moi, nos corps se font face, se plaquent l’un à l’autre, se découvrent. Ma bite bandée est prise entre ses deux cuisses, ses seins se pressent à mon torse sans vraiment modifier leur rondeur, ses tétons pointent et s’enfoncent dans ma poitrine, nos bras s’enlacent, nos langues fouillent la bouche de l’autre, son bassin reprend la danse lascive d’avant. Nous sommes seuls au monde. Ses mains découvrent mon dos, se placent sur mes fesses et m’invitent à faire de même, je souligne la courbe de ses reins pour atteindre ses fesses. Martine conserve son avance dans sa découverte de mon corps puisque déjà elle écarte mes fesses et fixe 4 ou 6 doigts sur mon anus qu’elle titille :
— Ça va John ? Mon spectacle t’a plu ?— Beaucoup... il est très teasing !!! terriblement excitant... mais la plupart de tes charmes me restent cachés.— Petit coquin... La vue ! il n’y a pas que ça dans le sexe, tous tes sens doivent être éveillés quand tu fais l’amour, tous doivent participer : l’odorat chaque sueur est différente, chaque entrejambe offre une fragrance distincte, l’ouïe, le floc-floc d’une chatte débordante de mouille que tu branles, le clac clac du pubis contre les fesses, le goût le sperme, la cyprine, tous ces sucs ont des saveurs différentes... Découvrons-nous par le toucher, ferme tes yeux, nos langues, nos seins, nos ventres se découvrent (et tout en me palpant la queue, elle commente) le tronc est puissant, le bourgeon est déjà très gros, plutôt arrondi comme un champignon, les fruits sont durs et très prometteurs... comme ton anus, la rondelle est souple, le petit trou juste marqué à peine strié... presque vierge.
Les lèvres restent en contact, les mains caressent, palpent, frôlent, massent le corps de l’autre. Dom s’est placé derrière elle. Ma main sur le dos de Martine frôle en même temps la poitrine et le ventre de mon amant. Elle arrive aux fesses de l’une, à la verge de l’autre, elle touche le petit trou boursouflé de la fille, les mouvements de bassin et les contractions des fesses m’invitent à m’attarder sur l’anus, à le caresser, à le pénétrer, un doigt l’investit. Le trou se comporte comme une bouche qui tète. Dom m’accompagne dans ma progression, il s’éloigne du cul de sa fiancée et à son tour m’invite à prendre sa queue pour la pointer sur l’anus.Il prend en main un genou de sa fiancée pour ouvrir le compas de ses cuisses à plus de 90 degrés et avec deux doigts lui mouille l’anus de salive. Lui, une main au genou et l’autre à la hanche alors que je maintiens le gland, d’un coup de reins, il force la place et pénètre le trou offert. Dom avec mon aide sodomise sa fiancée.De mes deux mains à présent je découvre l’autre face de Martine, beaucoup plus vallonnée, je palpe ses seins fermes, peu mobiles, en forme de poire. La forme et la fermeté sont différentes de celles de Jade plus ronde ou Joyce moins ferme. Je ne saurais dire ce que je préfère, j’aime ces différences. Ma main ne peut les englober en totalité et au sommet pointent deux tétons gros et durs comme de petites fraises pas encore mûres. Martine, cuisses largement ouvertes, battues par le ventre de Dom, me tient par les fesses, deux doigts posés sur mon cul, avec sa main libre, elle me caresse les pectoraux, s’intéresse beaucoup à mes tétons très érectiles, les pince, les fait grossir, les tire... me murmure :
— Tu es aussi sensible des tétons que du cul... je comprends que Dom se soit attaché à toi, "une vraie petite pute qui aime la bite" comme il me dit !
Elle passe de ma poitrine à mon sexe pour le branler avec beaucoup de douceur. Elle semble en apprécier le volume et sa jeunesse.Je glisse de ses seins à son ventre et m’emparer de son sexe largement offert de par l’ouverture de ses cuisses. Tout est différent dans ce sexe de ce que m’a offert Jade ou Joyce, les lèvres paraissent plus resserrées, plus fermes, moins développées, mais tout aussi humides, tout comme le clito moins long et plus secret, par contre un véritable détonateur qui ouvre les vannes d’une fontaine de cyprine... trois doigts dérapent et glissent dans le vagin pour automatiquement la branler et masser son point G très rebondi... Notre jeu dure, sous les coups de reins incessants de Dom, chacun branle l’autre à sa manière jusqu’à ce qu’elle demande :
— Dom attends une minute, John donne-moi ton sexe, viens en 69 ! J’ai soif et faim de toi !
Dom s’arrête de la bourrer tout en continuant de l’embrasser dans le cou, je fais un tête-à-queue, place mes mains sur celles de mon cousin. Couchée sur le flanc, la cuisse levée, elle m’offre son sexe béant et la vue de la queue de Dom dans son cul, première fois que je vois de si prés l’accouplement de sexes.Elle et moi nous nous occupons du sexe de l’autre. Elle suce, moi je lèche, elle avale, moi je pénètre, elle branle le manche, moi la tige, elle dégage le gland, moi le bouton... émerveillé par la beauté de cette fleur et l’abondance de son nectar odorant. Dom a repris son va-et-vient, le tronc brille couverte du jus de Martine, il s’enfonce, disparaît et réapparaît... si près de mes yeux émerveillés.Mes doigts ouvrent les pétales de cette fleur, découvrent la fente cachée, écartent les bords pour en atteindre le cœur. Telle une abeille, ma langue plonge dans ce cœur et se couvre de son nectar, je m’y attarde. Les deux pétales se rejoignent sur une tige de près de 3 cm au sommet de laquelle un capuchon cache un bouton très sensible, du bout de la langue, je déclenche un afflux de jouissance. Elle me prend le dard, le suce, manipule le tronc, masse les fruits à peine mûrs qui y sont attachés pour qu’ils lui donnent enfin quelques gouttes de la sève qui l’alimente, juste pour y goûter.Mes doigts s’écartent de la fleur pour atteindre la vallée toute proche et le mandrin qui la perfore. La main s’enhardit et prend les fruits qui ballottent pour les accompagner dans leur va-et-vient ou aller plus en arrière et trouver le trou au centre de la vallée.
Dom sort son sabre de l’étui et me le présente, je le prends en bouche, il est gros, il est puissant, il est long... Martine accentue sa fellation et me branle comme pour obtenir le jus de mes fruits... La nuit ne fait que commencer, elle sera longue !
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