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Ma tante, mon oncle et ... tous les autres

Chapitre 5

Mon initiatrice, mon amante

Hétéro
Il fait nuit, fenêtre et porte de la chambre ouvertes, une légère brise circule. Je me réveille et réalise que je suis dans les bras de ma tante, nu au-dessus des draps, la caresse superficielle sur mon épaule me signale que Jade est réveillée, un imperceptible balancement de mes fesses sur son ventre y répond. Elle me murmure :
— Tu ne dors pas John ?— Non... toi non plus... — Il est quelle heure ?— 4h10... — Elle me répond : - C’est mon heure !
Je presse mon dos contre sa poitrine, elle répond en se frottant doucement de sorte que je sens ses tétons bandés, je me retourne face à elle, dépose un bisou sur ses lèvres et ajoute
— C’est ton heure ?... d’être aimée ?— Oui ! ça toujours... non il y a longtemps quand je travaillais et que Dom était petit, je me levais à cette heure pour commencer à m’occuper de la maison !...(je réponds, tout en continuant de lui faire des bisous)...— Il n’y a plus d’enfants, plus de travail... c’est donc l’heure de s’aimer.— Oui... mais sans bruit, ils dorment à côté... tu entends comme Théo respire fort ?
Jade se met sur le dos, moi sur le flanc, allongé contre son corps. Elle me passe un bras autour des épaules, l’autre main sur les fesses tandis que moi appuyé sur un coude, la main posée sur son sein et l’autre main sur le pubis. Elle relève un genou et écarte la cuisse, libérant l’accès à son sexe et m’invitant à lui rendre visite.
Nos lèvres fusionnent, nos langues se retrouvent, nos baisers sont tendres, profonds, très amoureux. Mes mains deviennent plus entreprenantes.
Celle sur le pubis s’empare du sexe, trois doigts plongent dans le vagin et deux autres excitent le clito en le faisant rouler. Je retrouve avec plaisir la grande souplesse des chairs intimes de Jade en comparaison à la fermeté de celles de Martine. Les lèvres sont souples et développées, le clito, une véritable tige qu’on branle et le bouton qu’on décalotte, ceci ajouté au doigtage de la chatte, transforment le sexe somnolant, en une chatte assoiffée de sperme.
Comme Martine me l’a appris, je ferme les yeux pour sensibiliser mon toucher. Ma main cajole le sein, apprécie la fermeté des chairs en les massant, suit le galbe du sein, le dessus légèrement incurvé jusqu’à la pointe et l’arrondi du dessous, l’extrême érectilité du téton. Alors qu’elle commence à gémir, signe qu’elle en veut plus, je prends entre le pouce et l’index le téton pour étirer et relever le sein.
Moi aussi j’en veux plus, j’ai soif de retrouver son sexe après la découverte de celui de Martine. Je quitte ses lèvres pour faire un tête-à-queue et m’allonger sur le côté le long de son corps. Je laisse Jade choisir le moment où elle aussi en souhaitera plus.
La fleur est totalement épanouie... « Allons voir si la rose est éclose, »... Oui elle l’est !... il faut la cueillir, elle est magnifique avec ses pétales larges et souples qui se collent l’un à l’autre pour protéger le pistil ou s’étalent sur les cuisses pour former des ailes d’un papillon, qui se séparent lorsque la langue va du périnée vers le clitoris. La langue se glisse entre eux pour pénétrer le pistil, ce tabernacle de l’amour où la cyprine au goût intense est abondante, enfin le clito à la jonction des pétales est semblable à un pénis. Ma langue se délecte, mes doigts écartent les lèvres, excitent le bouton...
Jade n’en peut plus, elle se met face à moi, son jus coule, ma verge s’arque comme une corne, le méat déborde du prépuce. Elle y pose la pointe de sa langue, puis la main s’empare du tronc et l’autre dégage les fruits pour les prendre en bouche. On se suce, on se lèche, on goûte, on aspire, on mord, on s’excite... On vire l’un autour de l’autre.
Je me mets à cheval au-dessus de son visage. Affamée, elle prend tout mon sexe à la fois, enfonce ma bite le plus possible dans la bouche, me la suce goulûment, bruyamment, ses bruits de succion résonnent dans la nuit et sont amplifiés par ses gémissements dus à mon activité sur son sexe ou à sa soif de sexe... probablement les deux. Ses mains accompagnent sa bouche, elles massent, branlent, caressent, couvrent les fesses et se fixent sur mon anus. Deux ou quatre doigts le titillent, l’écartent, s’y aventurent prudemment.
A présent, c’est moi qui suis affamé, je veux la prendre, la pénétrer, la baiser, je veux la faire jouir et l’inonder de mon jus. Ma bouche quitte son sexe, ma verge quitte sa bouche, je change de position, elle m’attend, m’accueille, genoux relevés et cuisses largement ouvertes. La chatte avale la bite qui la pénètre d’un coup.
La pénétration était désirée, attendue, elle se fait sans résistance, le gland touche l’utérus. Ils restent accouplés avant de danser en s’éloignant pour se rejoindre aussi vite... Je veux mieux la pénétrer, assis sur mes talons, je prends ses deux jambes et les pose sur mes épaules, je me penche sur ses seins, Jade se plie sur elle-même. Appuyé sur mes coudes, mes mains s’emparent de ses seins sans précaution. Je continue de la baiser en élevant le bassin, je la pilonne, nos bouches se rejoignent, nos gémissements, nos souffles « Han ! Han ! Han ! » s’accordent. Ses yeux se perdent dans le vague, ses mains s’accrochent à mes épaules, mon bassin se fait plus violent.
Puis je me redresse, une de ses jambes quitte mon épaule, s’allonge, je la passe entre mes cuisses. Jade bascule sur le flanc tout en laissant son autre jambe sur mon épaule. Son ouverture des cuisses approche du grand écart, je suis assis sur mes talons, chevauchant sa jambe allongée entre mes cuisses... tout change, mes couilles vont et viennent sur sa cuisse, le gland glisse sur la paroi latérale du vagin, la danse entre l’utérus et le gland reste la même. La chatte est ouverte à l’extrême et on peut entendre la mouille battue par mon manche. Un floc... floc ! lié au rythme des danseurs, ma bite va-et-vient dans le vagin sur toute sa longueur.
Toujours à la recherche de nouvelles sensations, nous continuons notre rotation, je libère sa jambe de mon épaule, je pivote sur le dos, nos sexes unis, je l’entraîne avec moi et elle se retrouve sur moi, ses deux jambes entre mes cuisses. Mon bassin continue son balancement et ma queue son va-et-vient dans ce vagin resserré. Je sens les contractions de Jade en accompagnement de notre danse. On baise ainsi longtemps... Puis elle me fait ralentir et me murmure :
— Mon chéri... encule-moi, viens entre mes reins, vas-y doucement tout de même.— Tu veux en levrette ?— Oui ! comme ça tu pourras t’accrocher à mes seins... j’aime comme tu t’en occupes très progressivement, tout en douceur au début et tout en force ensuite... viens, une autre fois, tu me prendras en étant sur le dos.
Déjà elle est à genoux comme une bonne chienne et creuse ses reins pour m’offrir son anus. J’embrasse ses fesses, pose mes lèvres sur sa rosace, la lèche, l’aspire puis je pointe la langue au centre, il est très souple. Je la doigte d’un puis deux doigts, il faut un peu de temps pour que le cul se détende et me permette d’y ajouter un troisième doigt.
— Ça va ?— Oui mon chéri, tu fais ça très bien.
Ma main se comporte alors comme un foret tournant sur elle même pour assouplir les chairs, ma bouche revient régulièrement au point de forage pour le rafraîchir. Pour limiter son attention à son cul, je doigte également le vagin. Il coule doucement et mouille ma main, je profite d’un relâchement de l’anneau anal pour glisser un quatrième doigt toujours très à l’écoute des sensations de ma tante :
— Ça va ?— Oui, continue !— Ta chatte est trempée !— Tu m’étonnes, après l’avoir baisée comme tu l’as fait... elle aime vraiment la baise et même plus.— Plus ?— Oui avec Joyce, on se fiste quelquefois, elle est beaucoup plus large que moi, tu l’as vue en double... moi je n’en suis pas au même point.— Alors je pourrais essayer ?— Oui si tu veux, mais maintenant, encule-moi, j’en ai trop envie.
Effectivement, son anus s’est détendu... Je me mets à genoux, lui lèche bien toute la rosette striée et son petit-trou, pointe mon gland couvert de salive, pousse un peu pour bien marquer la place et l’enfoncer doucement, l’anus s’entrouvre, je pousse, relâche à peine pour reprendre l’avantage, la feinte est meilleure que la force, le gland se fait sa place encore un coup... puis l’anus est vaincu, mon bourgeon a disparu.
— Ouffff... doucement mon chéri, attends un peu...
Oui, j’attends, l’envie de Jade est forte, je sens la pression du cul se relâcher, j’attends un peu, elle vient vers moi, je la pénètre doucement... régulièrement... progressivement. Mon pubis a rejoint ses fesses. Je prends Jade par les seins, je m’y accroche, la tire vers moi... Son cul est collé...
Soyons seigneur, laissons le fourreau s’adapter au glaive... là encore, j’attends et c’est Jade qui bouge à peine et me dit :
— Tu y es mon chéri, c’est bon, tu me remplis... viens doucement, tu le fais si bien.
Avec lenteur, je commence à bouger, les chairs se détendent, le fourreau m’entoure sans pression, mon membre commence à aller et venir sur la moitié de la tige... accélère et ralentit... se déplace de plus en plus loin, de plus en plus vite... Mes mains ne quittent plus les seins... deux mamelles que je malaxe, que je tire pour qu’elle s’enfonce encore plus sur mon pieu. Jade ne murmure plus et demande à voix à peine étouffée et même de plus en plus audible par tous:
— Vas-y encule-moi bien... Oui comme ça... que c’est bon... ouiiiiiiiii... encore !!!
Je la bourre, la besogne, la défonce... Elle semble suffoquer... Une main quitte un sein et plonge sous son ventre dans son vagin ouvert, les lèvres sont séparées, pendantes, elles attendaient que je vienne les caresser, doigter le temple d’amour, je la veux encore et elle vient. Son râle parfaitement audible : " OuiIIIIIIII... "
Le sperme bout au fond de mes couilles, ma bite se contracte fort et expulse tout le jus au plus profond des entrailles de ma tante. Je jouis longtemps et reste encore pour que tout le sperme s’écoule... Jade est vaincue, elle tombe sur le côté, je suis vidé, je tombe ventre contre elle, ma queue est trempée de mouille, ma main est trempée de cyprine... nous restons ainsi l’un contre l’autre en cuiller. Le silence paraît total, nos respirations ralentissent, nous soupirons d’aise...
Je lui masse doucement le sein, échauffé par nos nos amours, je l’embrasse dans le cou, il est presque 6 heures, la chambre est pleine de lumière... il nous semble qu’il y a du mouvement dans la chambre d’à côté... mais le sommeil l’emporte !
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