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Ma tante, mon oncle et ... tous les autres

Chapitre 7

Rencontre des parents de Martine - 2

Orgie / Partouze
Une bonne heure de repos dans la chambre avec Joyce, Polo et Martine nous a permis de reconstituer quelques forces. Les corps restent emmêlés, la sieste câline a été ponctuée de bisous, de caresses et de rires. A présent, le chant des cigales accompagne nos butinages, tout est calme dans la pièce d’à côté où mes tante, oncle et cousin semblent dormir, jusqu’au moment où Jade entre dans notre chambre.
Allongé sur le dos entre Martine et Joyce couchées sur le ventre, je suis le seul à la voir arriver. Alors que je lui lance un bisou, elle s’affale en travers du dos de Martine et me tend ses lèvres, je me redresse, la prends par les épaules et l’attire, de sorte qu’elle passe par dessus la fille et se fait une place entre nous deux. Elle m’enlace au milieu de cet amas de chairs, nos lèvres se trouvent, notre baiser est tendre et amoureux. Joyce sent le mouvement, se tourne et commente :
— Tu viens vérifier qu’on ne t’a pas abîmé, ton neveu chéri ? C’est un sacré baiseur, à main de velours et queue de béton !— Je vois, c’est comme ça qu’il t’a fait couiner comme une truie ?— Bien vu ma Chérie, viens que je t’embrasse.
Jade, pour arriver aux lèvres de Joyce, commence à me chevaucher au moment où je me glisse entre ses jambes jusqu’à ce que ma bouche trouve sa chatte. Martine nous laisse la place, et Polo, de l’autre côté du lit, se lève également en annonçant :
— Bon les nanas, je vais préparer l’apéro.
Après une lichette qui m’assure que ma tante s’est fait prendre en sandwich, elle et Joyce se lèvent et m’entraînent à la piscine où Polo a préparé les apéros. Elle me prend par la taille et me chuchote :
— Alors, elle est bonne ma copine ?— Sacrée baiseuse avec un cul pour deux.— Petit coquin, ainsi tu connais sa chatte et son cul en partage !!!— Et toi, bien prise en sandwich ?— Oui comme j’aime et comme je voudrais être prise tout à l’heure par toi et Dom ! réunir les deux amants dans mon corps.
On se retrouve tous les sept nus au bord de la piscine. Alors que je suis en train de parler avec Martine appuyée au dos de son fauteuil, Dom, que je n’ai pratiquement pas vu, vient vers moi et comme un mec vis-à-vis de sa chose, me prend par les fesses et me plante directement un doigt dans le cul.
— Oh ben dit donc, il est encore tout propre ? Polo n’en a pas profité ? Un tout jeune comme toi, il adore pourtant.— Non, on a pris en double Joyce.
Son autre main se porte sur un de mes tétons et le martyrise, en le pinçant fort, tout en le tirant et le vrillant entre son pouce et l’index.
— Et ceux-là, qui s’en est occupé ? J’adore tes tétons toujours éveillés, t’es une vraie chienne en chaleur !!!— Personne vraiment, Polo m’a un peu tétée.— Il faut les échauffer !
Dom me redresse en me prenant par les épaules, se colle à mon dos, place sa verge bandée entre mes fesses. Devant tous, en passant ses bras sous mes aisselles, il me prend les pectoraux à pleines mains, les masse et entre les pouces, pince les tétons avec force et violence pour les tirer en avant et vers le haut. La brûlure est fulgurante, mes yeux se ferment, mon visage se crispe, je rejette ma tête en arrière sur son épaule et crie de douleur, alertant probablement tout l’entourage. Plaqué contre moi, il m’embrasse dans le cou, me mord le lobe d’oreille, me lèche l’épaule.
Nos deux corps ondulent en harmonie. Nos bassins collés l’un à l’autre entament une danse érotique, à mes coups de fesses dans son ventre, il répond par des coups de reins qui projettent mon sexe bandé vers les spectateurs. Nous leur offrons un véritable mime de l’acte sexuel, Martine nous observe. Mon sexe a pris toute sa vigueur et lui, invite sa fiancée à me sucer la queue. A genoux, elle me prend en bouche.
— Oui Martine ma chérie, suce bien cette pute qui vient d’enculer ta mère en double avec ton père.— Oui petit cochon, je t’ai vu, t’es un sacré baiseur. Elle est bonne ma mère ?... Hein dis-moi, elle est bonne ? (toujours crispé de douleur, je râle et lui fais oui de la tête) Dom ! continue, broie-lui bien les tétons, fais-le bien gueuler, je vais m’occuper de sa queue et de son cul. Allez sale pute ! écarte tes cuisses que je t’ouvre en deux !
Les deux couples de parents se sont installés pour voir leurs enfants soumettre le jeune neveu.
Malgré mes cuisses écartées, ma position ne permet pas à Martine de me fouiller comme elle souhaite :
— Sale pute ! mets-toi en levrette et bouffe la bite de ton amant que je fouille ton sac à jute !
Dom me lâche les tétons, me fait faire demi-tour tout en s’appuyant à un arbre, me prend par le cou et m’amène à son sexe qu’il branle de l’autre main. Je m’accroche à ses hanches et commence à le sucer alors qu’il reprend des deux mains le travail de mes tétons :
— Dis-moi, ça ne te rappelle rien ? Tu as fait du chemin depuis ta première en Bretagne !
Martine me doigte le cul directement avec deux puis trois doigts jusqu’à la jointure de la main. Elle fait aller et venir les doigts avant de faire tourner sa main de droite à gauche, transformant ses doigts en véritable vrille. Ses doigts sont plus fins que ceux de Dom où mon anus est particulièrement dilaté, le fait est que Martine met un quatrième doigt, les phalanges pénètrent facilement, mais se bloquent à la jointure de la main. Malgré l’action du forage, rien n’évolue ! je continue à sucer Dom dont la queue s’est transformée en corne de rhinocéros tellement dure, longue, épaisse et courbée vers le haut.
Les spectateurs sont très attentifs, alors que Martine est bloquée, sa mère lui propose :
— Veux-tu un peu de vaseline ma Chérie ? Ne lui abîme pas le cul, j’en connais deux qui veulent en profiter !!!— Oui maman s’il te plaît, je vais bien le préparer !
Je suis terrorisé par ce qui se projette, elle veut me mettre quatre doigts pour qu’après, son père et mon oncle m’enculent ! Peu après, Joyce revient avec le tube de vaseline.
— Attends ma Chérie, doucement, il va s’ouvrir, je vais lui en mettre une bonne dose.
J’arrête de sucer Dom, Martine quitte mon cul et Joyce me tartine l’anus abondamment de vaseline tout en le massant et y ajoutant une bonne noix dans le fondement comme on ferait à une volaille qu’on va rôtir. Martine reprend sa place, le jeu du foret devient beaucoup plus efficace. J’ai repris en bouche le mandrin de Dom et après un peu de résistance, l’anus s’ouvre et les quatre doigts plongent profondément jusqu’à la jointure avec le pouce. Je sens son toucher de partout. Elle commence à faire quelques va-et-vient et sort complètement la main :
— Messieurs, il est prêt, je vous le laisse !
Et comme une pute soumise, toujours accroché aux hanches de mon cousin, je m’offre en cambrant les reins. Je ferme les yeux sans savoir qui me prend à la taille, pointe son gland sur ma rondelle et d’un coup sec, s’enfonce de tout son long jusqu’à ce que je sente ses bourses rejoindre les miennes. Il me paraît très épais et moins long puisqu’il ne touche pas les intestins, ce doit donc être Polo ! Son commentaire me le confirme :
— Ohhhh ! qu’elle est bonne ! le cul bien serré, presque vierge. Ah ! que j’aime les p’tits jeunes comme ça. Ne te crispe pas salope ! Oui bien à fond ! Oh ! comme elle mouille bien, putain ça coulisse super. Regarde ça ! je me la fais sur toute la longueur.
La sodomie qu’il m’inflige est puissante, ses coups de boutoir se reportent sur la bite de Dom que je suce au rythme de celui qui me laboure, qui se crispe sur mes hanches, qui me tire à lui maintenant. Il ne cesse de râler, il me défonce comme une brute, il est enragé, sa queue semble grossir dans mon étui qui se met à se contracter, il accélère, ses coups deviennent plus forts et il s’arrête d’un coup, son ventre contre mes fesses et je le sens se vider au fond de moi, mes contractions anales, le massent, le vident totalement, le sexe perd du volume, il est toujours en moi, mais se confond avec mes chairs puis se retire et :
— Tiens Tonton, baise ton neveu, il te masse la queue comme une bonne pute quand tu la besognes !
Polo me quitte et immédiatement, les mains de Théo prennent mes hanches, le gland n’a pas besoin de se positionner que déjà, je sens ses couilles battre contre les miennes, il pénètre un peu plus loin mes intestins et il prend un rythme moins brutal, plus lent, mais plus profond. Ma bouche répercute à nouveau au sexe de son fils son rythme de baise, il me lime longtemps, le sperme de Polo est probablement comme battu en neige par le fouet de Théo. J’aime sa pénétration, son travail de mon cul. Là encore, le rythme varie, s’accélère, ralentit, moi je me contracte et libère alternativement la queue qui me pourfend. Je suis le trait d’union entre le père et le fils, en totale harmonie.
Je suce Dom avec furie, langue, lèvres, dents s’activent à faire monter le jus contenu dans les couilles. Les coups de bite de son père s’accélèrent puis s’arrêtent, je continue à le masser de mes muscles. L’un explose dans ma bouche, l’autre éjacule dans mon cul. Ma bouche, mon ventre les vident, les sexes libérés de leur jouissance se perdent en moi. Dom se retire de ma bouche, Théo de mes entrailles, l’excédent de sperme coule librement de ma bouche, de mon anus grand ouvert.
Je lâche Dom qui m’aide à me relever. Debout, je libère un flot de sperme qui coule le long de mes jambes. Jade qui se câlinait avec Joyce et Martine vient à ma rencontre :
— Viens mon Chéri ! viens te laver.
Pratiquement en me soutenant, elle me conduit aux toilettes où se trouve l’installation d’une canule qui lui permet de me pratiquer un lavement de mes intestins avec l’attention d’une maman à son enfant.
Propre de partout, ma tante me conduit à la piscine où nous plongeons ensemble. Le bain va me faire du bien. Martine nous rejoint, on fait quelques brasses, puis elle fait la planche, jambes et bras écartés. Jade entre ses cuisses embrasse sa vulve, la fille me voit, me sourit et m’envoie un bisou en me disant :
— Ben dis donc, qu’est-ce qu’ils t’ont mis !— Oui de partout et toi tu m’as sacrément ouvert !— Encore un peu d’effort et je te fisterai.— Ouais, l’année prochaine ?— Ou la semaine prochaine ? Pour l’instant, allons manger un peu !
Nous sortons tous les trois de l’eau. Joyce et Polo ont préparé un buffet froid, le soleil baisse à l’horizon, les cigales chantent moins bruyamment.
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Après le repas, nous profitons de la fraîcheur du jardin et d’un peu de repos.
Assis sur un canapé, Jade me câline, je l’embrasse dans le cou, sur les lèvres, aspire sa lèvre inférieure, la mordille, tout en lui caressant tendrement les seins, je réveille ainsi ses tétons et elle me caresse doucement le ventre du plat de la main. J’écarte les cuisses pour libérer mon sexe. Dom qui visiblement a repris toute sa virilité s’installe à genoux entre mes cuisses et me gobe le gland sous la main de sa mère.
Alors qu’il me suce, Jade s’allonge près de moi sur le canapé, passe une jambe derrière mon dos sur le dossier, l’autre reste par terre, son sexe s’ouvre de manière indécente, elle en écarte les lèvres. Je m’incline sur le côté, vers son ventre, tout en laissant ma queue dans la bouche de Dom. Je commence à sucer le clito comme un pénis, je l’aspire, dégage le bouton, l’excite avec la pointe de la langue. Ma tante me prend la tête à deux mains et me guide pour goûter à sa corne d’abondance puis après quelques minutes, n’y tenant plus :
— Venez tous les deux dans la chambre, nous serons mieux.
Avec Dom et Jade, je retrouve le lit rond et la chambre de Joyce couverte de miroirs. Jade s’allonge sur le lit, me choisit pour le haut de son corps et laisse son fils s’occuper du bas !
Immédiatement, ce sont de longs baisers, nos langues se lèchent, passent d’une bouche à une autre, d’un bras, nous nous enlaçons, l’autre main se porte sur un sein ou une tige, puis Jade me dit :
— Viens m’enculer.
Et pour confirmer son désir, se met comme une bonne chienne en creusant les reins, Dom a préparé le terrain, je n’ai plus qu’à saisir ma tante par la taille, j’aime la prendre ainsi au-dessus des fesses, je fixe mon gland sur sa rosette qui s’enfonce légèrement, mais m’oblige à une bonne poussée pour que l’anus s’ouvre et m’accueille.
— Oui, doucement.
Je laisse le muscle se décontracter avant de reprendre la lente pénétration, lente et continuelle jusqu’à ce que mon pubis se colle à ses fesses. Je reste ainsi un moment, je me couche sur elle et prends à deux mains ses seins que je caresse doucement tout en remuant lentement entre ses reins mon corps collé au sien. Son ventre se détend, ses seins s’échauffent, ses tétons durcissent et m’invitent à nouveau les pincer plus fort, je me redresse, les tire en arrière et commence à la besogner plus rapidement.
Dom nous observe, me caresse le dos, les fesses et me plante trois doigts dans le cul qui me font réagir en donnant un grand coup de reins dans le ventre de ma partenaire, satisfait du résultat, il se place derrière moi et me lèche bien le petit trou qui devient de plus en plus large après les exercices de l’après-midi.
Je réponds à son attente en relevant les fesses. Il me prend aux hanches, ajuste son gland et d’une poussée, me pénètre et d’une deuxième, m’envahit jusqu’aux intestins, ses couilles tapant les miennes. A présent, c’est lui qui donne le tempo et qui en quelque sorte baise sa mère, je suis un simple trait d’union entre eux deux. Notre enculage en série dure depuis un moment quand Jade nous demande :
— Les garçons ! prenez-moi en double, mais avec moi, c’est chacun dans sa chambre !!!!
Grosse rigolade, c’est Dom qui décide de sa chambre en s’allongeant sur le dos, sa mère s’empale sur son mandrin d’un coup. Lui la ceinture à la taille avec les jambes, elle à genoux s’allonge sur le ventre de son fils, je me présente derrière entre ses jambes, j’écarte ses fesses, la pénètre, je retrouve ma place d’avant, je sens au travers de la paroi vaginale le membre de mon cousin. Jade relève un peu le torse, Dom la prend par les seins et la baise en basculant le bassin de haut en bas. Moi à genoux derrière elle, je la tiens aux hanches et commence à la limer.
Alors que je lui défonce le cul, Dom se retire de son vagin et vice versa, puis le rythme s’accélère, puis change, maintenant, Dom et moi la pénétrons de concert et la libérons ensemble. Les mouvements de queue de mon cousin sont limités de par sa position alors que moi maintenant, je l’encule sur toute la longueur de ma verge en la sortant complètement à chaque va-et-vient, mon ventre tape bruyamment le cul de Jade à chaque pénétration et nos voisins peuvent entendre le Clap ! Clap ! Clap ! d’autant mieux qu’elle ne peut retenir ses râles et gémissements. Jade est tout aussi expressive que Joyce :
— Oh ... OUIIIIIIIII ! Baisez-moi plus fort encore !
La partie s’achève, Dom donne un grand coup de reins et crie :
— Tiens, Maman prends ça !— Tiens, Tata, je t’arrose bien le cul !!!
Je m’affale sur le dos de ma tante. Dom assez rapidement nous pousse tous les deux sur le côté pour se libérer de notre poids. Nous glissons sur le flanc, moi contre son dos, elle tourne la tête et m’embrasse en me disant :
— Tu es vraiment l’amant qui me correspond !
Nous nous relevons tous trois pour retrouver dans le jardin les deux couples d’homos qui se sont formés en 69. Les deux copains se sucent tandis que mère et fille se branlent.
La journée a été longue on s’est donné beaucoup de plaisir. Martine et Dom seront absents toute la semaine, et Théo partira demain pour trois jours. J’aurai beaucoup de temps seul avec ma tante, une belle semaine en perspective.
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