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Ma tante, mon oncle et ... tous les autres

Chapitre 10

Préparation d'une soirée spéciale

Erotique
Je me réveille tard et retrouve ma tante dans le jardin en train de bronzer.
— Bonjour Jade.— Bonjour mon Chéri ! Bien dormi ? (j’approuve de la tête et l’embrasse). Bien, donc petit-déjeuner, douche et préparation de notre soirée avec Joyce. Il y a 4 choses à faire : préparer de quoi se nourrir, toi tu vas lire un livre sur le bondage et cette après-midi, tu me ficelleras de sorte à me faire un soutien-gorge, un serre-taille et une culotte, enfin nous ferons quelques aménagements dans le salon.
La matinée passe très vite, je découvre ce qu’est le bondage et réfléchis comment « habiller » ma tante. De son côté, elle a préparé notre déjeuner et de quoi dîner pour ce soir.
Après le repas, et une bonne sieste, nous transformons le salon en une sorte de « donjon » comme elle dit. Nous enlevons deux tableaux pour découvrir deux gros anneaux d’acier fixés dans le mur haut placé et écarté de presque deux mètres. Nous recouvrons une table basse d’un petit matelas de velours noir et ajoutons à chaque pied un bout de corde comme pour attacher quelqu’un, enfin nous mettons en place six gros chandeliers pour éclairer la pièce. Elle complète l’aménagement en apportant une mallette métallique contenant foule de pinces, pompes, godes y compris le gode ceinture, une cravache, un martinet plus une boîte de bougies.
Satisfaite de notre aménagement, elle revient avec cinq ou six cordes de voilier de toutes les couleurs et se plante nue devant moi :
— Monsieur, votre mannequin attend votre habillage !
Après ma lecture et ayant réfléchi, j’ai une petite idée de ce que je veux faire. Je commence avec une corde noire d’une dizaine de mètres, place le milieu derrière son dos, amène les deux bouts devant sous la poitrine, après avoir fait un nœud, les croise entre les seins pour les passer sur les épaules et revenir dans le dos au niveau du point de départ faire un nouveau nœud et repartir devant à la base des seins pour les encercler un par un de quatre, cinq tours de cordes très serrés avant de remonter sur les épaules et de continuer,
— Ben dis donc, je ne savais pas que tu étais maître en la matière, surtout serre très fort les cordes, n’aie pas peur de marquer la peau, ainsi le soutien-gorge va faire gonfler les seins par l’afflux de sang et les faire devenir durs et violacés, j’aime voir ainsi ma poitrine, tu verras comme c’est excitant.
La corde comprime terriblement la base du sein et lui donne la forme d’une belle grosse poire Comice ! et constitue sûrement le redresse seins le plus efficace.
Suivant ses conseils et avec son aide au bout de 20 minutes, j’ai terminé le premier vêtement et continue avec le serre-taille en croisant et nouant les cordes pour faire un joli maillage qui s’incruste profondément dans le ventre jusqu’au creux de la taille légèrement comprimé. Une deuxième corde noire plus courte en reprenant les mailles de la première me permet de terminer le serre-taille avec le même maillage et de faire une culotte qui se limite à encadrer la vulve pour la faire ressortir en lui donnant une forme oblongue de mangue et s’enfoncer profondément dans les fesses en appuyant sur l’anus, je termine en marquant la taille de deux tours de cordes nouées dans le dos.
— Bravo mon chéri, c’est parfait, efficace, harmonieux et hyper-excitant pour moi, le frottement des cordes sur mon cul, met le feu aux poudres, regarde comme mes seins sont durs et se colorient, ma chatte ressort comme jamais je ne l’ai vue, l’inflammation des chairs fait que les lèvres se joignent, ma taille est parfaitement marquée et accentue la rondeur de mes fesses. Ce n’est pas tout, vite habillons-nous, je t’ai préparé dans ta chambre un pantalon à mettre à même la peau, reste torse nu ainsi épilé tu es hyper-sexy et moi je passe une robe, Joyce arrive dans 30 minutes. Tu as le temps de prendre une douche si tu veux et de passer aux toilettes.
Je trouve sur le lit un pantalon en lycra noir très moulant, muni d’une pièce mobile qui découvre l’entrejambe. Vu la taille, je pense que c’est un vêtement de Martine, il me comprime le pubis et moule mon sexe de manière indécente. Juste le temps de me laver et m’habiller, je retrouve Jade.
— Tu es superbe John ainsi, encore plus sexy que nu, le pantalon te moule à merveille, il est un peu étroit, c’est celui de Martine. Tu vas plaire à notre Maîtresse !
Elle s’est légèrement maquillée, a gardé ses cheveux blonds libres sur ses épaules et mis une robe longue noire, d’une fluidité extraordinaire, moulant juste la poitrine, avec un décolleté devant-derrière arrivant à la taille et une jupe ample qui lui couvre la totalité des jambes et ouverte devant derrière jusqu’à la taille. En fait, ce sont deux grandes bandes de crêpe de Chine en soie partant des épaules et allant jusqu’au sol, réunies à la taille. De face, son bondage se devine à peine, mis à part les tétons qui pointent outrageusement et le serre taille qui souligne la rondeur de ses hanches.
— Tu es très sexy ainsi ma chère tante.— Et toi mon cher neveu, totalement indécent !
Elle me broie les couilles en plaquant sa main sur le pantalon.
Il est 20 heures, la voiture de Joyce entre dans le jardin. Elle paraît très femme fatale, gothique, d’une allure hautaine presque méprisante. Haute perchée sur des talons, elle est beaucoup plus grande que nous, sa silhouette est remodelée, hyper-sexy avec une taille resserrée, des hanches plus rondes, une poitrine plus volumineuse. Les cheveux tirés en chignon, les lèvres et les yeux très maquillés de noir. Elle porte une robe moulante noire, à manches longues, boutonnée du cou au bas des genoux et des bottes noires lacées à talon aiguille. Avec son air sévère, elle fait penser à une directrice de collège anglais.
Elle me remet un sac et une bouteille de champagne, à ce moment, je vois ses mains et suis surpris par sa manucure, des ongles longs vernis noir, je ne m’en rappelle pas, probablement de faux ongles. Avec autorité, elle me dit :
— T’es une belle pute sexy, j’aime ta poitrine épilée, un peu salope avec tes tétons qui pointent ! Allez, porte ça à la maison !
Son autorité et sa violence me surprennent. En sortant de la cuisine, je retrouve dans le salon Jade debout, tête baissée, mains dans le dos, face à Joyce qui la pelote outrageusement, elle ouvre les deux pans du corsage libérant la poitrine et plonge la main dans la jupe pour la doigter :
— Que tu es une belle, superbe ton bondage. Waouh ! ... ta chatte a doublé de volume ! et toute trempée. Combien de fois tu t’es fait sauter, salope ?— Hier, le masseur m’a fistée et cette nuit, j’ai fait l’amour avec mon neveu, Maîtresse !— Et aujourd’hui ?— Avec mon neveu, nous avons préparé la maison pour vous recevoir Maîtresse, on ne s’est pas touchés sauf lui pour m’habiller !
J’ai des difficultés à intégrer la soumission de ma tante dans sa tenue, sa confession, son langage. Joyce me demande :
— C’est toi qui as fait le bondage de cette Salope ? Tu es Pute et couturière à la fois ?— Oui, j’ai utilisé quelques conseils de bondage, tu veux que j’essaie un jour avec toi. — Veuillez excuser Maîtresse le manque de respect de mon neveu !!!
Joyce en me regardant d’un œil mauvais et en exhibant ses ongles, coupe la parole:
— Je vais surtout lui donner 10 coups de cravache tout de suite pour lui apprendre la politesse. Attache-le face au mur !
Jade m’attache face au mur en croix de Saint-André aux deux anneaux du mur et à ceux du sol que je n’avais pas vus. Peu après « Maîtresse Joyce » revient. Elle me caresse le dos puis brutalement le lacère de ses quatre ongles à deux reprises, en croix, sur toute la hauteur, la douleur subite et violente me plaque au mur. Elle prend la cravache en frappant le manche dans sa main, se place derrière moi, retire d’un coup sec la pièce mobile du pantalon, mon cul et mon ventre sont mis à nu jusqu’à la taille. Sans tendresse et même avec brutalité, elle me pétrit les fesses comme un boulanger son pétrin, me broie les couilles, écarte mes fesses et me pénètre sans précaution avec le manche de la cravache :
— Ouais ! très bien le neveu, je vais lui attendrir le cuir, il aime la cravache ?— Il ne l’a jamais reçue Maîtresse, mais venant de vous, il aimera !— Je vais lui chauffer le cul à la main d’abord !
A deux mains, elle me caresse les fesses et... Vlan ! une claque, caresse et Vlan ! à nouveau une claque, de l’une à l’autre. La caresse adoucit la brûlure, mais immédiatement elle me claque à nouveau. Comme dit le cul s’échauffe, je plaque mon ventre au mur comme pour échapper aux coups. Puis elle me caresse plus longuement d’une seule main et Slache !!! un coup de cravache suivi d’un deuxième, pas trop fort puis plus violemment, la brûlure s’intensifie, les coups s’accélèrent, la douleur me fait monter malgré moi les larmes aux yeux. Les 10 coups tombent.
— Voilà ! je te le laisse si tu veux le cajoler !— Merci Maîtresse ! Je vais lui apprendre aussi la politesse Maîtresse ! Veuillez l’excuser.— Tu fais bien, la prochaine fois ça ne sera plus un frôlement.
Jade me caresse, je lui explique ma crainte des ongles, mais elle me tranquillise et me dit que c’est sans danger. J’apprécie la douceur de ses mains fraîches. Elle me donne les règles de politesse à suivre que j’applique immédiatement :
— Merci Maîtresse pour votre attention et pour les 10 coups de cravache, je ferai en sorte de mieux vous servir ce soir et punissez-moi comme il vous plaira !— C’est bien, détache-le et sers-nous à boire, il fait chaud. Toi, sale pute vient ici, déshabille-moi !!.
La nuit envahit la pièce, ma tante allume les cierges et l’encens, met une musique indienne en sourdine, l’ambiance devient plus intime et plus excitante puis elle part en cuisine pour ramener de quoi nous réconforter.
Joyce se plaque face à moi, me prend les fesses, je sens ses ongles se planter dans mes chairs, je me rapproche au plus près d’elle et elle m’embrasse furieusement, sa langue envahit ma bouche puis se retire, la mienne la suit dans sa bouche, pour son malheur !. Maîtresse la mord, doucement tout en l’empêchant de se rétracter et accentue progressivement la pression des dents. Elle fait mal, mon visage se crispe, j’ouvre grand la bouche, à présent ce n’est plus un baiser, les lèvres ne se touchent plus, je retiens tout gémissement, elle termine en aspirant la langue, comme pour l’avaler, le frein est à la limite de la rupture, jamais elle n’a été ainsi étirée. Enfin, Joyce lâche la pression et me suce avec douceur, ce qui atténue immédiatement la douleur.
— Déshabille-moi maintenant !
J’ouvre sa robe bouton par bouton, je termine à genoux devant elle, d’un geste, elle se libère de l’habit et me découvre son ventre nu, plus rebondi que d’habitude, d’une main, elle plaque ma figure sur son pubis dans lequel je m’enfonce à m’en étouffer, une forte fragrance boisée, poivrée s’en dégage, ma langue se pointe directement sur son clito. Je la lèche, l’excite un bon moment puis elle me prend par les cheveux et me relève.
Elle est en corset de cuir noir seins-nus, les tétons et aréoles sont maquillés de noir. Il est lacé dans le dos, il affine la taille, arrondit les hanches et remonte les seins qui ressortent plus fermes et volumineux, son ventre est découvert jusqu’au nombril, les jambes sont habillées de cuissardes noires montantes à mi-cuisse.
Elle s’installe dans le canapé, cuisses outrageusement ouvertes, je vais pour m’asseoir
— Toi, à genoux à mes pieds et lèche-moi ! à chaque fois qu’elle en a l’occasion, elle joue de ses ongles sur ma peau.— Oui Maîtresse, pour votre plaisir !
Jade revient avec le champagne, elle est magnifique dans sa robe noire, elle prend à côté le plateau avec les canapés et sert les trois coupes :
— Merci Maîtresse d’être avec nous ce soir, je ferai avec mon neveu tout ce que nous pouvons pour vous être agréables.— Pour cette pute, mets-lui le champagne dans la gamelle qu’elle boive comme une chienne ! et nous deux buvons et prenons des forces, nous allons en avoir besoin, j’ai beaucoup de désirs à assouvir.
Puis en s’adressant à moi :
— Et toi sale cabot montre-moi ton cul !... C’est bien, elle sait s’exhiber, un beau cul bien échauffé !
Elle accompagne ses compliments de deux paires de claques sur mes fesses endolories. Alors que je lape le champagne dans la gamelle, avec un temps de retard, je réponds :
— Merci Maîtresse !— Et toi salope, fais-moi maintenant un beau strip-tease, si tu veux m’être agréable !
Ma tante se lève et commence à danser en se déshabillant.
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