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Ma tante, mon oncle et ... tous les autres

Chapitre 11

Une soirée spéciale

SM / Fétichisme
Après m’avoir fessé, attaché au mur, Maîtresse Joyce installée sur le canapé, cuisses ouvertes, un pied par terre l’autre sur le canapé, moi à ses genoux, m’ordonne de m’occuper de son sexe et demande à Jade de lui faire un strip-tease.
Jade se place face à nous devant le miroir, entourée des fumées d’encens, pieds nus, la robe bien mise, elle commence à onduler doucement comme un serpent.
A genoux, je suce la vulve de Joyce. Son petit pénis et ses deux grosses lèvres pendantes comme des couilles remplissent ma bouche, son vagin est une véritable fontaine. Je plonge dans sa chatte baveuse quatre doigts et commence à la branler. Je suis hypnotisé par la danse de ma tante et oublie progressivement Maîtresse Joyce.
Jade se déhanche avec beaucoup de sensualité de gauche à droite, au rythme lent de la musique orientale. Son déhanchement remonte jusqu’à ses épaules. C’est très sensuel. Elle tourne sur elle-même, de dos, les fesses commencent à faire des huit, puis se mettent à vibrer comme le corps des cigales, avant que le déhanchement ne reprenne. La fluidité du tissu de la jupe produit un flou très excitant. Son balancement souligne sa souplesse et ses courbes, ses mains s’élèvent au-dessus de la tête et les bras poursuivent l’ondulation du corps.
Puis demi-tour, face à nous, son bassin simule la marche du chameau d’avant en arrière. Les mains descendent, se croisent sur ses yeux et caressent l’épaule, le sein opposé. A la taille, elles remontent sur la poitrine en ouvrant les deux pans du corsage. Quel lever de rideau ! Jade cache immédiatement la poitrine dénudée de ses deux mains. Chaque main caresse le sein qui lui correspond puis masse le téton avant de descendre sur le ventre, jusqu’au milieu des cuisses. Sa poitrine nue arbore deux obus violacés, encadrés par le bondage. Elle poursuit son balancement, nous fixe d’un regard malicieux, nous sourit.
A nouveau, elle tourne deux fois sur elle-même. Dans le mouvement, les mains ont regroupé les pans de la jupe sur le ventre. De dos, ses fesses sont nues, juste séparées en leur milieu par la corde du bondage. Avec beaucoup d’adresse, en se déhanchant, elle contracte l’un après l’autre ses deux globes puis recommence les vibrations de la cigale avant de reprendre le mouvement du huit, très lentement, en l’exagérant, c’est d’un érotisme fou. Lascivement, Jade reprend le balancement du bassin de droite à gauche puis d’avant en arrière. La danse est aussi érotique et excitante que coquine.
Elle revient face à nous, passe un genou entre les pans de tissus et découvre toute la jambe jusqu’à l’aine. La jupe est regroupée entre les cuisses et reprise d’une main par-derrière, elle devient culotte. Poitrine et jambes dénudées, elle reprend la danse et d’un mouvement d’épaules fait glisser les bretelles du corsage, en même temps dans le dos une main libère la jupe, la robe tombe d’un coup en corolle à ses pieds. Jade nous offre toute sa nudité et son bondage sous les applaudissements de Joyce :
— Que tu es BELLE ma Salope, quel beau spectacle !
Debout, Joyce avec ses talons est beaucoup plus grande que ma tante, d’une main, elle la plaque contre elle et de l’autre la prend avec force sous la maxillaire pour lui relever la tête et l’embrasser à pleine bouche. Après un long baiser, pour son plaisir, elle la griffe violemment de ses ongles dans le dos, sous la douleur, la tête de Jade part en arrière et le buste est projeté en avant. Joyce lâche le cou et lui triture le téton en plantant trois ongles dans le mamelon et le tirant jusqu’à la rupture, alors que l’autre main claque avec force la vulve deux, trois fois avant de s’y enfoncer pour la branler. Jade retenue par un téton, ne cesse de geindre et écarte les cuisses pour faciliter la pénétration des doigts. On entend le clapotis de la mouille, ses jambes tremblent, elle râle, elle jouit. Joyce satisfaite termine en lui donnant une grande claque bruyante sur la vulve débordante de cyprine en faisant un grand PLOC sourd.
Je reste bouche bée face au stoïcisme de ma tante. Brusquement, Joyce se tourne vers moi et me crie :
— Sale pute ! Tu bailles aux corneilles, pourquoi as-tu cessé de me branler ? Viens ici que je te punisse !
Elle me prend par les cheveux, la tête baissée, elle m’oblige à marcher à quatre pattes jusqu’à la table basse couverte d’un coussin. Une fois couché sur le dos, elle m’attache avec les cordes fixées aux pieds, les mains vers les fesses et les genoux vers la tête. Je suis immobilisé, les cuisses largement ouvertes, sexe et cul offerts.
Elle ordonne à ma tante de venir jusqu’à nous pour l’attacher dos au mur en croix de Saint-André. Elle est presque suspendue, seuls ses orteils reposent sur le sol, les bras et les jambes sont ouverts au moins à 60 degrés. Cette position hypersexualise son corps, écartelé, il semble couvrir le mur, le bondage l’habille et dénude outrancièrement les seins et la vulve en soulignant leur développement et leur couleur virant au violet.

Le tableau est le suivant, Jade en croix, moi attaché sur la table basse, Joyce debout entre nous deux.
— Bien ! Maintenant sale pute, je vais te défoncer le cul !
Je suis effrayé par le gode de presque 40 centimètres qu’elle prend dans son sac à ses pieds. Il est composé de quatre œufs superposés de plus en plus gros, les œufs sont séparés par un resserrement. Sans attendre, elle me tartine l’anus et le petit œuf de vaseline. Lentement, elle enfonce le gode, la douleur devient insupportable, l’objet s’enfonce, irrésistiblement mon anus s’ouvre, probablement se déchire. Le premier œuf est passé, la brûlure est terrible, l’objet est pris dans mon sphincter, mon anneau se resserre sur la tête du deuxième œuf. Le gode est lourd, sa majeure partie repose sur le coussin entre mes cuisses, son poids abaisse mon bassin alors que les cordes me le relèvent. La situation est très inconfortable, mon anus étiré en sens contraire se contracte et bloque l’œuf.
— Voilà, juste un petit œuf, il fait à peine cinq centimètres de diamètre, tu vas voir, tu vas t’y habituer. Bon ! Habillons ton pénis, tu es indécent ainsi devant ta tante !
Mon anus s’habitue effectivement à l’objet, la brûlure disparaît pour faire place à une simple gêne avant de devenir excitation, je bande comme un âne.
Pour m’habiller, comme elle dit, elle me fait un bondage sur le sexe. Avec un cordon de tirage de rideau de plusieurs mètres, en partant du milieu, elle enserre la base du pénis de trois-quatre tours de corde puis les testicules d’une dizaine pour les éloigner du tronc d’au moins cinq-six centimètres. Enfin, elle saucissonne le tronc tout du long comme dans un corset et termine par deux-trois tours sur le prépuce à la base du gland comme pour l’étrangler, au final, une série de nœuds forment un appendice. (très utile comme on verra)
La pression du bondage crée un désagrément qui là encore fait place à un certain plaisir et devient excitation. Ses ongles glissent sur la peau distendue de mes couilles, j’ai l’impression qu’elle va la couper comme pour peler une pêche et les ongles de l’autre main pénètrent doucement la base du gland... sûr le sang coule tellement la douleur est vive :
— Tu es parfait comme ça ! la bite emmaillotée et les couilles pendantes.
Elle continue avec mes tétons en y fixant deux pinces-étaux reliées par une chaîne. La douleur augmente avec le serrage des pinces sur mes aréoles, elle est rapidement remplacée par une insensibilisation et une excitation, elle en agace la pointe avec ses ongles.
Satisfaite, elle se tourne vers ma tante, et d’une voix envoûtante avec calme, elle dit :
— A nous deux ma Salope !
Elle se place devant Jade et commence à lui lécher, le cou, les aisselles, les seins, avant de frapper plusieurs fois la vulve et de planter deux doigts dans le vagin. Rapidement, elle la fait jouir à nouveau, qu’est-ce qu’elle mouille. Jade tente de remuer le bassin, mais si peu, elle ne peut que gémir de jouissance. De l’autre main, avec ses ongles, elle lui pince la tête du clito et tire comme pour la décapiter. Jouissance et douleur se mêlent, tout comme la glace et l’eau bouillante:
— Tu as de belles lèvres, mais je les veux plus longues pour mieux les sucer, je les veux comme les miennes !
Face à ma tante, elle prend dans son sac divers objets, les fesses plantureuses me cachent l’action, après je vois le résultat. Jade est bâillonnée d’un foulard et des pinces munies de poids d’au moins 300 grammes sont fixées aux lèvres du sexe qui s’allongent de plusieurs centimètres, le moindre mouvement du bassin les fait balancer. Jade semble prendre un certain plaisir à le faire régulièrement. Maîtresse Joyce me demande ce que j’en pense:
— Ouais ! bizarre, mais si tu aimes !!!— Sale pute ! Je vais t’apprendre la politesse vis-à-vis de ta Maîtresse ! Elle me donne une gifle monumentale qui me fait tourner la tête.— Oui Maîtresse, c’est très bien si c’est votre plaisir !— Mon plaisir... te casser le cul, te donner le martinet ! Tu vas voir comme j’en joue et crois-moi, c’est plus efficace que la cravache. (voir chapitre précédent).
Mais elle n’en a pas fini avec ma tante. Elle prend une roulette type pâtissier, entourée de pointes d’aiguilles et la passe sur les seins gonflés par le bondage et griffés de ses ongles. Chaque aiguille s’enfonce et marque la peau, avec sadisme, elle appuie encore plus sur la roulette, tout en lui triturant les tétons ... Jade bâillonnée ne cesse de gémir de douleur, de jouissance, je ne sais plus ? Son bassin se décolle et revient sur le mur, les poids se balancent entre ses cuisses écartelées, ils balancent tellement qu’ils cognent contre le mur. Malgré le bondage, les lèvres se sont allongées de manière impressionnante. Joyce abandonne la roulette, pour lui masser et caresser doucement le sein et en même temps elle recommence à la branler avec furie. Les mains s’agitent, branlent, caressent simultanément :
— Oui tu mouilles bien, j’aime te sentir comme ça, toute vibrante, toute dégoulinante. Hein que tu es une bonne salope, une bonne jouisseuse ?
Et ma tante les larmes aux yeux, tout en sueur fait signe de sa tête : Oui, Oui, Oui
Elle revient sur moi pour resserrer les pinces de mes tétons et s’occuper du gode. Je grimace de douleur. Elle tire dessus, mon anus contracté le bloque, elle pousse, il se relâche, mais ne s’ouvre pas assez. Joyce relâche, pousse, relâche, pousse comme pour déflorer une vierge :
— C’est parfait, il s’ouvre bien, mais attendons encore un peu, tout à l’heure, le deuxième œuf se mettra en place !
Jade et moi attachés, Joyce s’installe confortablement dans un fauteuil, prend plaisir à nous regarder, déguste une coupe de champagne. L’accoutumance aux pinces au gode fait que la douleur a disparu et mon exhibition m’excite. Elle s’amuse à nous faire gémir en jouant avec le gode ou les poids suspendus au sexe de ma tante. Après 10 minutes de repos, Joyce se lève, vient vers moi, me regarde d’un œil méchant :
— Toi !, je vais t’apprendre la politesse.
Elle tire mon sexe entre mes cuisses et l’attache vers le bas à la table à partir de l’appendice du bondage.
Debout le martinet en main, elle masse mon pubis totalement dégagé, le caresse et le claque du plat de la main pour recommencer de plus en plus fort. Il faut échauffer la peau comme elle dit, avant que le martinet ne la remplace. Le premier coup est donné sur le ventre, chaque lanière s’imprime sur la peau, puis les coups suivants marquent la poitrine, le ventre, le pubis. Elle frappe de droite et de gauche, sans répit, de plus en plus fort, Vlan ! Vlan ! Vlan !... La douleur est d’abord vive, les larmes me montent aux yeux, je serre les dents, je contracte mes muscles, je regarde ma tante, je suis fier de ma nudité, du spectacle que je lui offre, puis l’échauffement des chairs fait que le martinet frappe en irradiant toute la surface, le cinglement des lanières s’estompe, l’irradiation s’étend jusqu’à mon sexe. Douleur et jouissance se mêlent étrangement. Joyce semble mesurer à mon visage, aux réactions de mon corps, cette évolution vers la jouissance.
Debout entre Jade et moi, elle ralentit la frappe sur mon corps pour masser le pubis de Jade puis le tape et adopte le rythme caresse, claque jusqu’à ce que le martinet vole alternativement de mon corps à celui de ma tante. Elle démontre en effet une grande maîtrise du martinet et frappe avec précision les ventres, poitrines et cuisses. Les coups pleuvent longtemps, je ne sais combien, ma tante et moi gémissons de jouissance. Mon corps est chauffé comme par le soleil et chaque coup reçu l’irradie de plus en plus !... Presque à regret, ça s’arrête.
Joyce se met à genoux, libère mon sexe qui se redresse d’un coup. Je bande fort, fort, comme jamais, me semble-t-il. Elle suce le gland dénudé et turgescent. Elle aussi en veut plus, elle vient à califourchon sur ma tête, me bâillonne la bouche de sa chatte et me prend la queue. Le bondage limite la possibilité de mouvement de la main, elle me fait une gorge profonde, sa bouche vorace m’engloutit jusqu’au pubis. Seuls mon gland et les couilles sont libres, le tronc est gainé par le bondage. La sensation est différente, tellement violente, tellement concentrée sur le gland. La bouffeuse de bites a un morceau de choix, tout en massant, pressant, vrillant les couilles dénudées, elle me suce, me lèche, me pompe, tente de me branler, le bondage crée une gêne et un plaisir décuplé.
Je la suce, la lèche, je la mords, la bouffe, passe du clito aux lèvres, fouille son vagin, aspire et bois son nectar. Comme mon plaisir, ma soif de mouille est décuplée. Elle suce, elle veut tout, elle ne peut sentir l’urètre corseté par le bondage et qui freine l’éjaculation. Elle sait que je vais lui juter à la figure, elle le veut, elle accélère et me reçoit. L’éjaculation n’est pas explosive, presque douloureuse tellement ralentie, le sperme dégueule du méat et coule comme la lave à la sortie du volcan. Elle prend le temps de s’y abreuver longtemps, suce, remonte les dernières gouttes. Je ne cesse de jouir, je ne cesse de gémir !
Elle me quitte et reprend en main Jade. Joyce est insatiable, passe de l’un à l’autre. Elle lui enlève le bâillon, elle se met à sa hauteur en pliant ses genoux et se plaque à elle, seins contre seins, ventre contre ventre. Elle l’embrasse à pleine bouche, et lui branle à nouveau la chatte, longtemps jusqu’à ce que Jade ne puisse plus retenir ses cris, ses râles, la tête part à nouveau dans tous les sens, la respiration lui manque. Joyce malgré le bondage, les pinces et les poids qui balancent, y a mis quatre doigts, la main est trempée de cyprine, Jade jouit, son visage est couvert de sueur, elle crie librement sa jouissance :
— OUI ! OUI ! OUIIIIIIIII !!!!!
Après un peu de repos, Joyce la détache du mur où elle était suspendue par les bras, les pieds avaient quitté le sol, peut-être sous l’effet de la jouissance. Elle la soutient et la dépose sur le canapé :
— Voilà, calme-toi ma chérie, repose-toi !
Ma chérie, le premier mot tendre de la soirée ! Puis elle vient vers moi, me détache de la table, me relève en tirant sur la chaîne attachée à mes tétons, la douleur se réveille violente et me fait crier :
— Tais-toi sale pute ! Appuie-toi sur le canapé, cuisses ouvertes que j’en termine avec ton cul.
Elle reprend le gode, le tire, l’enfonce, le bouge de droite de gauche, mes chairs sont souples. Elle enduit l’œuf et mon anus de vaseline, pousse le gode de deux mains, elle appuie, force, arrête, reprend, l’œuf s’enfonce, je le sens dépasser mon anus distendu, l’anneau se referme sur la tête du troisième. Joyce me donne une grande claque sur les fesses et dit :
— Te voilà bien ouverte p’tite pute, maintenant, tu peux accueillir sans difficulté les plus gros calibres et même t’offrir des doubles, deux mecs en même temps dans ton p’tit cul ... — Merci Maîtresse pour m’avoir ouverte à tous, je serai une pute très serviable.— C’est bien, dans l’immédiat, je vais vous retirer les pinces à toutes deux.
Elle commence par moi, le sang afflue dans mes tétons, la douleur est violente, fulgurante comme un éclair, malgré ses massages, ses suçons et lèches, la respiration me manque, elle ne disparaît que très lentement. Jade subit la même chose, mais probablement habituée, se contrôle mieux. Un baiser amoureux à chacun et une bonne claque sur les fesses :— Allez p’tite pute ! Sers-nous de quoi nous remettre de ces premiers plaisirs. A mon retour, elle ajoute : Prenons des forces et toi à genoux à mes pieds assieds-toi sur le gode, il se mettra bien en place et ton anus va s’habituer à cette ouverture, par contre tu as le droit de boire à la coupe comme nous.
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