Après la soirée que nous venons de vivre, nous avons tous besoin de récupérer et de nous remettre en forme, champagne et sandwichs sont les bienvenus. Nous gardons nos « habits de soirée » pour cette pause, Jade avec son bondage, Joyce en corset de cuir seins-nus et cuissardes, et moi en pantalon de lycra avec un gode de 6 centimètres de diamètre dans les fesses et le sexe saucissonné. Pour leurs conforts, Jade a quitté les pinces de son sexe et Joyce a abandonné ses faux ongles. Les deux femmes sont installées sur le canapé et moi au sol, à genoux assis sur le gode. Joyce nous parle longuement de ses soirées SM et nous remet le feu aux poudres. Dans les bras de ma tante, la Maîtresse redevient la femelle tendre, câline et accro au sexe. Les deux femmes sur le canapé ne cessent de se « bisouiller », de se faire des câlineries. Chacune s’intéresse aux seins de l’autre, déformés par le bondage ou le corset : ceux de Jade, deux obus violacés aux tétons très sombres, ceux de Joyce deux énormes melons relevés sur la poitrine par la pression du corset, aux aréoles et tétons maquillés de noir. Ce sont caresses, tripotages, taquineries, on lèche, on suce, on mord, on gémit. Je suis à genoux face à elles, assis sur le gode dont près de 20 centimètres sont dans mon fondement. Je me suis accoutumé à lui, stade intermédiaire entre souffrance et jouissance si j’ai bien compris les principes SM. Les deux femmes ont les cuisses suffisamment écartées pour découvrir leur sexe. Celui de Joyce est dans son état naturel, aux lèvres comparables à des couilles, celui de Jade encadré par le bondage en forme de navette de tissage semble avoir doublé de volume, les grandes lèvres sous la pression des cordes ont comme disparu. Je plonge ma tête entre les cuisses de ma tante et une main entre celles de Joyce, après lui avoir écarté les grandes lèvres couvertes de cyprine et les avoir plaquées sur les cuisses, je la pénètre de trois doigts tout en lui titillant le clito entre le pouce et l’auriculaire. Quant à Jade, elle glisse ses fesses sur le canapé pour approcher sa chatte de ma bouche. La vulve avec le bondage fait penser à une mangue à la peau rouge violacée fendue sur la longueur, la pression des cordes fait que les lèvres sont jointes et cachent l’ouverture du vagin. Ma langue pénètre le fruit mûr, traverse la pulpe juteuse et atteint la source d’élixir d’amour. Une main appuie sur ma tête pour que je la fouille plus profondément. Jade atteint la jouissance par ma langue, Joyce par mes doigts, les bouches soudées des deux ferment notre triangle. Après ce premier plaisir, Jade nous invite à aller dans la chambre. Joyce me retire le gode et le bondage de la verge pour que j’aille prendre une douche. J’en ressors soulagé et propre comme un sou neuf. Nous nous retrouvons tous les trois sur le lit entouré de miroirs. Jade se place au centre et me demande de continuer ma léchouille. Je me mets en 69 sur elle, Joyce à genoux à notre côté, un bras autour de ma taille, s’occupe de mon fondement largement ouvert. Ma tante m’offre son sexe ligoté, je le lèche, le pénètre de ma langue, excite le clito, mes lèvres tentent de décalotter le bouton. Le bassin s’agite et me dit combien elle est excitée : « Viens, baise-moi ! ». Jade reste allongée, je me place entre ses cuisses et relève ses jambes en les tenant écartées en l’air. Nos regards se fixent, nous sourions et je plante ma verge au centre de la mangue juteuse, je pénètre la pulpe du fruit jusqu’au bord de la source, doucement comme avec une jeune vierge. Sa chatte paraît étroite par la pression du bondage et son fourreau est chaud bouillant. Bien planté en elle, je la plie en deux, ses genoux sur sa poitrine, allongés, nos pubis comme nos lèvres se joignent, langues et bassins commencent leurs va-et-vient. Notre relation est à la fois tendre et fougueuse. Joyce équipée du gode-ceinture, vient derrière moi et m’encule d’un coup sans aucune précaution jusqu’aux intestins. C’est elle alors qui marque le rythme, c’est elle qui baise Jade, je ne suis que la prolongation du gode. Elle ne me donne aucun répit et me fait cracher toute la sauce dans le ventre de ma tante, ce sont nos râles qui mettent fin à sa danse. Par les hanches, elle me retire du vagin tout en me gardant planté sur sa ceinture. Jade s’écarte de mon ventre, remonte jusqu’à m’offrir son calice débordant de sperme. Joyce me maintient solidement par les hanches en levrette et continue à me labourer. De mon côté, j’étanche ma soif au vase d’amour, ma langue lape l’élixir comme celle d’un chien son écuelle, le rythme de Joyce s’impose à ma tête jusqu’au moment où elle ne me retient plus. Je m’écroule sur le ventre, elle m’accompagne couchée sur mon dos, elle m’embrasse dans le cou, me lèche le lobe de l’oreille et me dit :
— Tu es une vraie Pute maintenant, ouverte à tous ! Il n’y a pas si longtemps, je n’aimais pas quand Dom me traitait de chienne, salope, pute et aujourd’hui, je considère ces mots comme des hommages ! — Oh vous deux ça va ? à vous regarder, on croirait deux cabots qui n’arrivent plus à se détacher. Il y a encore une goutte de champagne et je voudrais que la Pute me déshabille, les cordes m’enflamment les fesses.— Ma Chérie, quelle bonne idée ! C’est vrai, tu as raison, il faut terminer ton strip-tease et que notre mâle se refasse une santé, je n’ai pas encore eu de gâterie de sa part ! Nous nous mettons debout face à Joyce qui a abandonné sa ceinture et allongée sur le lit, se caresse le minou. Jade commence à se déhancher en élevant ses bras au-dessus de sa tête, je me colle à son dos et essaye d’accompagner ses ondulations. Les yeux fermés, je la caresse avec beaucoup de sensualités, du haut de ses bras au bas de son ventre, je souligne le contour de sa vulve, la courbe de ses hanches, la rondeur de son ventre, excite la pointe des seins, monte sur ses aisselles pour couvrir son visage. Mon ventre collé à ses fesses, ma verge se place entre ses globes. Ses déhanchements m’excitent, elle s’en rend compte et rejette sa tête en arrière au creux de mon épaule en croisant ses mains derrière ma tête, ce qui projette ses seins en avant. Elle me caresse des épaules et accentue ses ondulations des fesses qui me font bander comme un poulain, elle s’en amuse et commence à aller d’avant en arrière, simulant la marche du chameau tout en écartant légèrement les cuisses pour me branler. Je connais le bondage, les yeux fermés je le défais de mémoire en libérant le sexe et les hanches puis le ventre. La première corde tombe en laissant des traces profondes. Puis je caresse encore les seins, j’aime leur forme d’obus, leur dureté, je les garde en main et c’est Jade qui défait les derniers nœuds, les derniers tours de corde, sa poitrine se libère et retrouve sa forme et sa souplesse. La seconde corde tombe dans le dos et rejoint à ses pieds la première en formant une corolle, comme au début de la soirée sa robe. Le bondage laisse sur tout le corps des marques profondes et bleues. Joyce nous sourit : — Mes chéris comme vous êtes superbes, un vrai couple d’amoureux. Jade, je te propose d’offrir à ton neveu un cadeau très intime, très particulier !!!— Jade interrogative : Oui ! Lequel ?— Une empreinte en résine de ton sexe !!!— Pour être intime, ça ne peut pas l’être plus ! d’accord, mais comment ?— C’est très simple, on fait un moule en cire de bougie de ton sexe maintenant, puis après, je connais un artisan qui à partir de ce travail, fera en résine la copie exacte de ta vulve, en plus, on verra la marque des cordes, ça sera hyper érotique !— John, mon chéri, qu’en penses-tu ?— C’est une idée géniale, loin de toi, je t’aurai toujours avec moi.— Oui ! Tu feras attention à bien le ranger que ma sœur ne le trouve pas même si elle ne pourra pas me reconnaître. Allons au travail !— Le plus simple est de revenir sur la table du séjour, tu t’allonges. John tu lui relèves les jambes en les tenant bien écartées, j’allume des bougies et je fais couler la cire en goutte à goutte, tu vas sentir des petites brûlures superficielles qui ne laissent aucune trace, fais-moi confiance. ................................ Une heure après, le moulage est fait, Joyce le retire de la peau avec précaution, à son avis, il est superbe et le rendu sera parfait. Jade me dit : — Ce sera mon cadeau d’anniversaire pour tes 19 ans ! On bavarde un peu tous les trois, allongés et enchevêtrés, Joyce me caresse la verge, alors que je lui lèche les melons. Elle me murmure avec beaucoup d’envie: — Mmmm ! Mon petit trou s’ennuie, il est en manque. Ta queue est hyper-tendue, tes couilles sont prêtes à exploser, c’est pas bon de ne pas libérer ces tensions !— Et Jade d’ajouter : Et moi alors ! au milieu de vos manques et de vos tensions ?— Mets la ceinture, elle est encore pleine de la jouissance de John, allonge-toi et je vais bien m’occuper de toi ! Avant, elle quitte corset et cuissardes, le corps en est profondément marqué et retrouve sa forme épanouie, son ventre plein, ses seins pesants, sa nudité mature est provocante. Jade met la ceinture, s’allonge sur le dos, Joyce la chevauche debout, genoux pliés, elle s’assoit sur le gode. Une fois emmanchée, elle se met à genoux, sa chatte est profonde et absorbe une bonne partie du gode. Il manque de flexibilité et oblige Joyce à garder le bassin haut placé. Les fesses en l’air, elle se penche sur Jade pour l’embrasser. Je me mets debout derrière elle, les genoux fléchis, je m’appuie au creux de ses reins, ce qui l’amène à mieux m’offrir sa rondelle, l’anus violacé et carmin au centre est boursouflé, il apparaît comme un bouton de fleur aplati, je le lèche longuement avant d’y positionner mon gland. Je la prends à la taille et d’un coup, la sodomise verticalement jusqu’aux couilles. Bien en place, Joyce prise en sandwich met tout le monde en mouvement. Son bassin monte et descend sur deux axes parallèles que sont le gode et ma bite. Les deux femmes sont soudées par leurs bouches, moi debout appuyé à la taille, je la besogne ou je la laisse venir sur ma queue. Je ne peux plus attendre, mon sperme jaillit dans ses entrailles, je me vide au fond du vase comme si je pissais. Joyce continue à s’astiquer la chatte sur le gode, les deux femmes se pelotent les nichons, je suis éjecté du cul qui reste ouvert en attente de... ?. A genoux sur le côté du couple, je regarde le fessier en mouvement, mon bras entoure la taille, trois doigts plongent dans le trou que je viens de quitter, un quatrième le pénètre. Ma main tourne, fait la place pour le pouce et, elle plonge dans l’antre. Mon poignet s’enfonce, je sens le sperme et le gode qui lui ramone la chatte. Je la manipule doucement, la pistonne en douceur, on reste ainsi en action, Joyce ralentit le rythme, s’arrête, tombe sur le côté en nage, ma main quitte son fourreau. Jade pivote avec elle puis retire le gode, son ventre est couvert de cyprine, ma main est pleine de mouille et le cul déborde de sperme. Tous trois nous baignons dans la jouissance et nous caressons de ces sucs. Épuisé, sans envie de douche, je prends Jade en cuiller et sens Joyce se coller à mon dos, on s’endort ainsi les uns contre les autres.
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