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Ma tante, mon oncle et ... tous les autres

Chapitre 13

Orgie à la plage

Orgie / Partouze
Après cette "Soirée spéciale" suivie d’une longue nuit agitée, le repos s’est imposé à tous. La première réveillée a émergé vers midi pour préparer le petit-déjeuner.
La chaleur estivale, le chant des cigales, l’odeur du café apporté dans la chambre ont raison de mon farniente ! Joyce et Jade me sortent des bras de Morphée et avec difficulté, je quitte le monde du rêve pour trouver celui de la réalité. Bisous, chatouilles, rires me sortent du lit.
Un superbe brunch réparateur nous attend sur la terrasse : charcuterie, laitages, viennoiseries, fruits, pain, beurre confitures ajoutés aux rires et quelques câlins, l’après-midi commence sous les meilleurs auspices. Le soleil est déjà haut et malgré l’ombre des pins, Jade nous recommande de nous mettre à l’intérieur en commençant par une douche.
Nous nous retrouvons tous les trois dans la salle de bain, inutile de dire que la douche s’éternise, les mains caressent plus qu’elles ne savonnent, les lèvres embrassent, les langues lèchent, pénètrent les cavernes secrètes, les bouches couvrent mamelons et vallées, avalent tige et rondeurs.
On continue à se cajoler ainsi sans vraiment faire l’amour, moments d’érotisme, de tendresse, de bien-être, jusqu’à ce qu’on entende la voiture de Théo :
— Bonjour tout le monde.— Salut Théo ! on bavardait un peu dans la chambre, nous avons eu une soirée qui s’est prolongée, et on se reposait.— Vous avez honoré Éros ? abusé de ses plaisirs ?— Juste honoré ! annonce Joyce, il n’y a jamais abus de ses plaisirs ! Mais il est tard, il faut que je rentre.— Oui ! Polo t’attend. Il est rentré et m’a téléphoné, on se retrouve entre hommes demain à la plage avec Moune et « Trespatas » !— Jade ajoute : et nous entre femmes, on va faire du lèche-vitrines à Montpellier.— Tu embrasseras bien Moune de ma part. Bon je file ! Amusez-vous bien entre mecs et ne vous inquiétez pas, nous entre filles nous en profiterons ! Joyce nous embrasse sur le point de partir.— T’inquiète ma chérie, pour Moune, je ne ferai pas que l’embrasser. Bon retour et bonne nuit !
J’apprendrai plus tard que Moune est une bonne copine de Joyce et Trespatas est son compagnon espagnol africain de naissance dont le surnom définit parfaitement son anatomie. La soirée à trois s’est poursuivie au rythme calme et tendre de la journée, j’ai laissé ma tante et mon oncle se retrouver ! Même chez les libertins, on peut se reposer.
.................
Le lendemain, nous allons à la plage et retrouvons au lieu habituel Polo en compagnie de Moune et de Trespatas, les trois se faisant déjà quelques privautés, à l’abri des regards et à l’ombre d’un bosquet.

Les présentations sont faites, dans le milieu libertin, c’est sans chichi et toujours avec un bisou sur la bouche.
Dès que Trespatas se lève, je comprends le surnom. Un ivoirien, d’à peine quarante ans, grand et bien bâti, un corps magnifiquement noir, des fessiers et pectoraux de pierre, des abdominaux juste dessinés et un sexe hors normes ! Au repos, il me fait penser à la fleur mâle du coco-fesse, il en a la forme en s’appuyant sur les testicules avant de descendre droit vers le sol. Il est long de près de vingt-cinq centimètres, ; ma main n’en fait pas le tour ; le tronc est magnifiquement veiné, le gland semblable à un large cône d’ébène et les testicules à deux balles de golf. De son visage, on ne voit que ses yeux, ses dents blanches entre les lèvres épaisses et un bout de la langue rosée.
Moune est une Vénus tahitienne, à la peau cuivrée, aux cheveux noirs de jais couvrant la moitié du dos, aux yeux noirs et une bouche délicatement dessinée. Pas très grande, elle n’a pas plus de trente ans. Sa poitrine menue d’adolescente est dominée de deux mamelons gros comme mon index. Sa chute de reins souligne la rondeur des fesses et le joli rebondi du ventre. Ses jambes, musclées et effilées, se rejoignent sur un abricot fendu dominé d’un mont de Vénus chauve et proéminent. Son sexe tout en délicatesse paraît fragile face à celui de son conjoint, symbole de force et puissance.
A peine arrivé, elle me demande de m’installer près d’elle. Visiblement, nous avons une attirance réciproque.
Après quelques échanges et banalités, les premiers bisous deviennent baisers, les langues se touchent, se caressent, les mains se découvrent, sont indiscrètes. Les choses vont alors très vite.
Trespatas nous observe, ses mains me conduisent vers l’humidité vaginale de sa copine qui écarte les cuisses et relève son bassin pour mieux nous accueillir. Alors que je la fouille par-devant, il lui plante deux doigts dans le fondement qui viennent, au travers de la paroi anale, me titiller dans un vagin baigné de cyprine. Le couple est très entreprenant et ne s’attarde pas aux préliminaires.
Elle prend les choses en mains, tout en m’embrassant, elle m’allonge sur le dos et me chevauche en 69, mes jambes sous ses aisselles. Je ne vois plus que son sexe sombre, un sexe d’adolescente sans relief, juste fendu, à l’exception d’un clito très développé. C’est une tige, une épaisse boursouflure de trois centimètres de long environ que prolonge la fente, à la jonction de laquelle se trouve un gros bouton carmin à peine décalotté. Ma bouche découvre le fruit posé sur le pubis, je lèche la tige, m’attarde sur le bourgeon, le sexe d’adolescente se transforme en bombe ! Le fruit est pris de tremblement, le bassin le projette contre mon visage, un flot de suc déborde de la fente, ma langue la pénètre, glisse entre les parois, la pulpe du fruit est délicieusement juteuse, j’atteins les bords d’une petite rivière bouillonnante de cyprine.
Elle me lèche la rondelle et m’ouvre les fesses. Elle constate la souplesse de mon anus, y plonge un, deux, trois doigts bien au fond. Ses doigts se retirent et laissent la place à une langue qui déverse un flot de salive dans mes profondeurs. Des doigts plus gros m’investissent, ils sont brutaux, mais savent faire monter mon excitation en flèche. Mon cul en veut plus, mon bassin s’anime de bas en haut. Ma verge est alors avalée par Moune.
Trois doigts me forent, vrillent, tournent, s’écartent, attaquent le point Q, de nouvelles décharges se produisent dans mon ventre. Ma queue se contracte en soubresauts dans la bouche qui l’aspire sur toute la longueur. Mon gland tape au fond de la gorge, la fellation est bruyante et la salive coule sur mon pubis. Mon anneau se libère, la pression se relâche. Quatre doigts plongent lentement, avec précaution, ils sont longs, ils sont gros et remplissent toute ma cavité, ils vont et viennent librement. Les grosses lèvres de Trespatas se collent sur ma rondelle, sa langue me pénètre et continue à m’inonder de salive qui se mêle à ma jouissance. Puis ...
Moune se relève, abandonne ma queue, libère mes cuisses de ses aisselles tout en les maintenant largement ouvertes en V en l’air. L’homme s’est rapproché de moi, mon bassin s’appuie à présent sur ses cuisses, ses grosses paluches écartent brutalement mes fesses. Je ne peux réagir, je suis immobilisé par Moune dont la vulve me bâillonne et par l’homme qui de par ma position me bloque au sol. Je sens son gland s’appuyer sur ma rondelle, la poussée est terrible, puis se relâche, les quatre doigts ont repris la place, avant que le gland ne soit à nouveau sur l’anus, tel un bélier à la porte d’une forteresse, la pression augmente. J’entends mon oncle intervenir :
— Vas-y ! Force, il a l’habitude, il en a pris d’aussi gros avec le gode de ma femme.
Et je pense : même plus avec Joyce hier et ses œufs de six centimètres de diamètre !
— Ouais, je vois, il est bien large et souple, une fois le gland passé, j’usinerai ce fion.— Tu pourras aller jusqu’aux couilles, son col sur les intestins est habitué et s’ouvre facilement.— Putain, je la veux cette salope, je veux la défoncer !— Regarde comme l’anneau s’ouvre, tu y es ! Oui encore un petit coup ! commente Moune.
Oui, mes chairs se sont ouvertes, son gland est dans mon rectum, en passant l’anneau, la base s’est affinée et comme un harpon dans les chairs, l’anus contracté à présent le bloque. Trespatas ne bouge plus. Moune, les mains sur mes fesses, joue avec, les écarte et les rapproche, elle masse de cette manière les muscles qui se décontractent et laissent l’engin glisser dans mes entrailles. Il descend comme dans la mine, la cavité est pleine, une résistance au fond de moi, les intestins s’ouvrent et la descente se poursuit pour atteindre les abysses de mon ventre. Près de vint-cinq centimètres de chair sont en moi. Enfin, le membre a atteint sa limite, les bourses sont sur mes fesses.
— Putain ! la salope, qu’est-ce qu’elle est large et profonde, qu’est-ce qu’elle est bonne, qu’est-ce qu’elle mouille !
Moune cesse son massage, se redresse, ses mains quittent mes cuisses et sont remplacées par celles de Trespatas, plus larges, plus fermes. A notre trio s’ajoutent sur mes côtés de part et d’autre, Polo et Théo debout. La gesticulation du bassin de Moune et ses bruits de gorge laissent penser qu’elle offre une double fellation. J’imagine le tableau que nous formons à cinq sur la plage !!!
L’homme profite de sa victoire, il se repose, le repos du guerrier... Il attend la reddition de la place face à l’envahisseur. Il commence à bouger, doucement juste pour habituer les intestins à sa présence. Le marteau monte et cogne le fond, puis monte plus haut et cogne plus fort, comme le marteau-pilon d’une forge... Il va et vient, il est long et descend à chaque fois jusqu’au fond. Mes chairs sont éclatées. Elles ne font qu’une avec le mandrin.
A entendre, Moune est une sacrée suceuse, les bruits de gorges sont profonds, s’accélèrent, les gémissements des deux hommes laissent comprendre qu’ils s’abandonnent. Des gouttes de salive, de sperme tombent sur mes bras, en même temps la chatte déverse dans ma bouche une quantité de cyprine incroyable.
Maintenant, la troisième jambe est en place, elle va et vient librement, comme la bielle dans le piston. Elle sort totalement du fourreau pour replonger jusqu’aux intestins, elle est à moi, je suis à elle. La besogne dure longtemps, l’homme ahane, son Han ! Han ! s’accompagne du Clap ! Clap ! de la rencontre de son ventre et de mes fesses. Il me baise longtemps, le rythme est soutenu, il s’accélère. Il cogne, cogne plus fort puis crie :
— Oh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Son mandrin s’immobilise, se contracte, se libère, trois, quatre, cinq fois, il ne cesse de me remplir. Moune met ses deux mains sur mes fesses autour du membre qui sort, elle l’essore pour qu’il déverse ses dernières giclées de sperme dans le rectum. Elle se relève, lui quitte mon ventre et vient au-dessus de ma bouche, se branle encore, quelques gouttes de sperme s’écoulent dans ma gorge, il y enfonce son gland ramolli qui occupe toute la cavité. Ma langue le lèche, ma bouche le suce, le pompe, je récolte encore quelques gouttes de jouissance.
Je reste allongé, je reviens sur terre, je reprends vie, je respire.
Moune est allongée à mon côté, elle me câline, on reste ainsi à se faire des bisous, on se repose. Mais à dix-neuf ans, on reprend vie rapidement, surtout si on a près de soi une belle Tahitienne chaude comme les braises.
Elle se penche vers moi, les bisous deviennent baisers fougueux, les langues sont agiles. Nos mains s’activent, elle sur mon sexe, moi sur ses seins ; je suis impressionné par ses tétons.
Je prends le dessus, la renverse sur le dos, suce ses mamelons, plonge deux doigts dans sa chatte, lui branle le point G et lui masturbe le clito. Elle s’active sur mon manche de pioche. Je n’en peux plus, je me redresse, à genoux, je la prends par les jambes, son abricot est plein de mouille et d’un coup m’enfonce dans sa chatte jusqu’aux couilles. Elle est trempée. Elle est brûlante.
De par ma position, mon cul laisse couler le long de mes cuisses le sperme qui le farcit.
Moune m’enserre la taille de ses jambes, elle me tiraille les tétons de ses doigts. Appuyé sur sa poitrine, je la baise furieusement, son vagin se contracte et me masse la queue, nos corps bougent à l’unisson. Elle jouit, ses ongles se plantent dans mes pectoraux, elle ne cesse de gémir, m’attire à sa bouche.
A présent, je ne sais si c’est Polo ou Théo, attiré par mon cul dégoulinant de sperme, qui me doigte. Il se porte sur mon point sensible et active la pompe à sperme.
Je continue à besogner Moune, je ne peux plus me retenir, alors qu’elle râle, je lui lance la sauce en trois éjaculations très puissantes, nous sommes unis par nos sexes et nos bouches. Nos râles n’en forment qu’un. Je tombe sur le côté. Elle revient à califourchon sur ma bouche :
— Tiens John, abreuve-toi à ma source.
Je lui bouffe l’abricot, le nettoie, bois à son calice le cocktail de nos jouissances. Elle revient près de moi, s’allonge. Nous restons côte à côte un moment, au calme, au soleil avant que Trespatas donne l’heure du départ :
— Il faut que nous vous quittions, nous sommes attendus pour déjeuner, mais nous nous reverrons chez Joyce qui nous organise une partie dimanche prochain.
Nous nous séparons après un gros câlin, sûrs de nous revoir bientôt.
L’histoire va prendre une nouvelle dimension et pour cette raison change de titre. Découvrons bientôt ensemble si vous voulez cette nouvelle dimension !
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