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Tante Rachel

Chapitre 2

Inceste
Elle brisa le silence: - "Je suis désolée, Eric. Je suis ta tante, ça n’aurait jamais dû arriver!Mais quand je t’ai vu là, tout puceau, je n’ai pas résisté. D’ailleurs je ne résiste à rien… vois ma silhouette… Excuse-moi, Eric, je suis en dessous de tout!"Je répondis: -"Ne sois pas désolée, Rachel, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée de ma vie. Je suis vraiment heureux que tu sois ma première femme. Tu sais, ça fait longtemps que je fantasme sur toi"— " Tu exagères, la dernière fois qu’on s’est vu, on a fait une maison en Lego!"— " Et tu n’as pas remarqué que j’avais les yeux scotchés dans ton décolleté? Je ne rêve que de toi depuis cet après-midi là!"Elle rit. - " Ben, non! Je n’avais rien remarqué. Tu étais juste le mioche de ma sœur… Mais tu es devenu un vrai obsédé, tu bandes à nouveau! Et en plus tu as une très belle queue, épaisse comme il faut! Parole de gourmande" Elle rit de plus belle.
Elle me caressait tranquillement. Je faisais de même, mais j’étais un peu perdu dans sa touffe flamboyante.— " Viens entre mes jambes et regarde comment sont faites les femmes.Ecarte les poils, tu vois les deux petites lèvres un peu fripées? Attrape les et tire un peu dessus, écarte plus. Tu vois, en haut, une petite boule plus foncée? C’est le clitoris. C’est très sensible. Il ne faut pas commencer tout de suite par là, ça fait presque mal. Mais quand on est bien excitée, on peut y aller fort, et c’est très très bon.En dessous il y a un petit monticule avec une fente, c’est par là que je fais pipi. C’est très sensible aussi. Et en dessous, le vagin, c’est là que j’aime te sentir t’agiter"Je voyais bien! C’était beaucoup plus beau que dans le dictionnaire médical que j’avais consulté à la bibliothèque du lycée. Un filet de sperme s’écoulait doucement vers son anus. Elle sentait tellement bon, elle était tellement jolie, que je ne pus résister à l’envie de lui faire des petits baisers puis de lécher cette splendide orchidée baveuse.Rachel qui se tenait jusque là appuyée sur ses coudes, se laissa tomber en arrière en faisant "Niaaahahahh". Elle respirait fort, la tête en arrière, lâchant de temps en temps un gémissement tremblotant. Je léchais son petit bouton elle souffla "Ouihihihhhh". Ses jambes vibraient. Je léchais plus fort, encore plus fort… je commençais à avoir une crampe à la langue lorsqu’il me vint l’idée d’aspirer son bourgeon entre mes lèvres. Elle poussa un grognement rauque. Devant cet encouragement, j’aspirai son clitoris aussi fort que je le pus, le taquinant du bout de la langue. Son corps se contracta brusquement, son vagin fit un bruit de baiser mouillé et elle m’envoya plusieurs giclées de jus brûlant au visage. Elle tremblait de partout, riant doucement, hors d’haleine. A la voir ainsi, je jouis sans même me toucher, à quatre pattes sur le gazon, entre les cuisses dodues de mon amante, le visage dégoulinant de son jus.Je m’allongeais près d’elle, elle prit ma main à tâtons, la serrant fort et resta ainsi, avec son immense sourire, sa respiration se calmant peu à peu.Il devait être midi, il n’y avait plus aucun bruit.
Dans l’ombre du grand pin, une légère brise nous rafraîchissant, nous nous sommes laissés gagner par le sommeil.
Plus tard dans l’après midi, elle m’emmena à la plage. La mer était bonne et nous avons joué comme des fous dans l’eau. Je dus nager un bon moment, avant que mon érection ne se calme et que je puisse sortir de l’eau et la rejoindre.Une fois rentrés, elle me mit au travail dans la cuisine, comme tous les jours qui suivirent. — " Ça fait longtemps que je n’ai pas eu d’invités, je vais profiter de ta présence pour réviser un peu mes meilleurs plats." Elle ne me donnait pas les tâches ingrates, elle me donnait plutôt un cours de cuisine accéléré. Me faisant distinguer "bien caramélisé" de "presque brûlé", me faisant sentir tous ses pots d’épices, jouant à faire des associations. Me faisant remarquer "à l’oreille" les moments où on pouvait faire autre chose et quand il fallait intervenir pour tourner, mouiller… Et même des conseils pour tirer le meilleur parti des surgelés à passer au micro-ondes.Nous avons mangé comme des princes pendant ces vacances.
Depuis ce jour, je "dormis" dans son lit.Sortant de la douche, je me lançai sur le grand lit de Rachel, dans un mouvement digne d’un gardien de but.Elle rit de bon coeur puis me dit: -" Quel bonheur… Mais on a du travail, ce soir! Tu ne peux pas éjaculer toutes les trente secondes. Tu vas mourir avant la fin des vacances! Je vais t’apprendre à te retenir, pour mieux sauter!" Et elle rit encore, contente de son jeu de mots.A voir son corps tressauter, je bandais à nouveau.Elle m’empoigna et entreprit un léger va et vient, les yeux dans les yeux. Je voulus la caresser, mais elle repoussa ma main. - " Concentre toi sur tes sensations…"Je fermai les yeux. C’était trop bon. Bientôt je sentis que j’allais venir. Rachel le sentit aussi. Elle ralentit son mouvement et murmura: - " Inspire à fond et bloque ta respiration, serre les fesses, regarde le mur… Voilàààà, on peut continuer…" Et ainsi de suite, cinq ou six fois. Je crus que j’allais devenir fou.Soudain, elle changea de position et prit ma queue dans sa bouche. C’était tellement fort, sa langue qui tournait autour de mon gland, cette aspiration, sa main qui caressait mon ventre, l’autre qui me serrait les couilles...J’ai joui dans sa bouche à gros bouillons, des éclairs bleus dans mes yeux, agité de spasmes inconnus jusque-là. Je ne voulais pas que ça s’arrête!Rachel toussa, étouffée par mon flot de sperme, mais elle n’en perdit pas une goutte.Elle se retourna et vint m’embrasser - " Tu apprends vite, mon chéri." Malgré le bond que fit mon coeur dans ma poitrine, en entendant cela, je n’eus pas une vraie érection. Elle m’avait vidé.
Quelque jours plus tard, à l’heure de la sieste, nous nous tripotions sur son lit, lorsque je lui dit: - " Je n’arrive pas à croire que c’est par là que sortent les enfants, c’est tellement mignon que je n’imagine pas qu’un bébé puisse passer là sans tout exploser!"— " C’est très extensible… Ça dépend des circonstances… Certaines femmes accouchent presque sans s’en rendre compte, à la maison, dans le bus ou l’avion. Pour d’autres, il faut avoir recours à la chirurgie. Ça dépend de la morphologie. Et aussi de la psychologie. Certaines ne peuvent pas laisser faire la nature, par peur, par manque de confiance. Maman leur à tellement raconté ses 18 heures d’agonie qu’elles sont traumatisées, elles n’ont pas confiance en la nature et, bien sûr, ça leur fait très très mal. Très très longtemps! Comme à Maman.On est des milliards d’êtres humains (sans compter tous les autres mammifères) à être passés par ce petit tunnel. Il est fait pour ça!On n’en meurt pas! D’autres font ce qu’il faut pour que ça se passe bien. Elles accouchent à la maison, en présence d’une sage-femme diplômée, dans une petite piscine gonflable. Entourées par la famille, dans une ambiance chaleureuse, avec leur musique préférée.Sans être trimbalée d’un coin à l’autre sur un lit en fer, le long de couloirs éclairés au néon, dans les odeurs de désinfectant. Sans le bruit des appareils et la présence de tous ces inconnus masqués qui se donnent des ordres d’une voix sèche…C’est un moment de bonheur et de bienvenue, ce n’est pas un accident de la route!Mais enfin, chacun fait ce qu’il peut, je ne juge pas."
Entendant cela, je m’enhardissait toujours plus, j’avais maintenant trois doigts dans sa chatte dégoulinante— " Continue comme ça, chéri, j’ai une furieuse envie de me sentir pleine! Si tu continues avec cette douceur, tu auras bientôt toute ta main en moi. Viens!"Je me risquais à ajouter mon petit doigt, il fut accueilli avec un long soupir. Je tournais, entrais et ressortais de son sexe baveux en produisant des bruits qui m’excitaient beaucoup ( je pensais à respirer profondément…) Elle me montra sa main dans une position avec le pouce sous l’index, comme une fusée, puis roula ses doigts pour faire le poing.J’essayai. J’appuyais plus fort, ma main entra presque sans effort. Rencontrant du bout de mes doigts le fond de son vagin, je roulai mes doigts comme elle me l’avait montré et je continuai d’avancer. Ma main fut aspirée par son ventre, engloutie jusqu’au poignet. J’eus le sentiment d’être son prisonnier pour l’éternité.Rachel était en extase, étalée sur le lit comme une étoile de mer, son ventre gonflé et tendu comme si elle était enceinte, son sexe palpitant autour de ma main. Voulant tester ses dires jusqu’au bout, je serrais mon poing et j’essayais de sortir ainsi. Je n’eus pas de protestation, juste une augmentation de gémissements. Rachel releva ses jambes, tenant ses genoux de ses mains. Je continuai à tirer, le poing fermement serré. Le spectacle de sa chatte se déroulant, s’étirant autour de mon poing faillit me faire venir. Ma main glissait très lentement vers la sortie. Rachel avait la respiration courte, son visage était perlé de gouttelettes. Et toujours son sourire angélique!Ma main sortit avec un bruit de succion qui aurait pu être horrible en d’autres circonstances. Elle me souffla - " Encorhhhh!!!" Je recommençais, encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort… Jusqu’au moment où elle m’inonda de cinq ou six grandes giclées de jus, dans un râle digne d’une tigresse.Rachel serra les jambes et me fit comprendre d’un grognement et d’un coup de patte sur ma main qu’il ne fallait plus la toucher. Je restai ainsi, la trique dressée, regardant ma tante vibrer, ses tétons sombres tendus vers le ciel…Elle se tourna vers moi, m’embrassa à pleine bouche et me murmura : - " Oh, toi!… Merci… " Et elle s’endormit dans mes bras. Etrangement je ne sentis pas le besoin de me "finir", je me sentais comblé.
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