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Tante Rachel

Chapitre 3

Inceste
Un soir, rentrant de la plage, Rachel me demanda d’aller cueillir quelques tomates au potager. Elle avait planté des " San Marzano", des tomates allongées, très douces.De retour à la cuisine, il me vint l’idée de lui enfiler une tomate tendre et chauffée au soleil. J’en choisis une d’un bon diamètre et l’enduisit d’huile d’olive, je me mis à genoux derrière elle et tentai par surprise de l’enfoncer dans sa chatte, ce qu’elle accepta en riant et en écartant les jambes. Je ne choisis pas le bon angle, et, l’huile aidant, elle glissa et entra brutalement dans son cul, nous surprenant tous les deux. Elle contracta ses sphincters, mais un peu trop tard. La tomate fut aspirée dans son ventre comme par magie.Elle poussa un long râle, se cognant plusieurs fois le pubis contre la grande table de chêne. Elle planta soudain son couteau dans la planche, clouant la boule de mozzarella qu’elle s’apprêtait à trancher. Rachel respirait vite et fort, tendue, vibrante, toujours collée à la table.Je la priai de m’excuser de ma maladresse, elle ne réagit pas, perdue dans ses sensations.Après un long moment, elle parla, presque fâchée: - " Ça, ce n’était pas loyal!… C’était un accident, d’accord. Mais jouer avec mon cul me transforme en véritable loup-garou! Maintenant tu dois l’assumer! Jusqu’au bout! Enlève ton short et accroupis-toi, je veux te faire sentir ce que tu m’as fait! Pour une fois, on ressentira la même chose!"Elle huila une autre tomate, se plaça derrière moi, et après quelques tâtonnements , elle commença à pousser.On ne m’avait jamais rien enfilé de plus gros qu’un suppositoire.Ce fut surprenant, étonnamment excitant, au début. Puis ça me fit mal. Je fis mine de me relever, elle me saisit par l’épaule, y plantant ses ongles pour m’immobiliser.Augmentant la pression sur la tomate, elle me dit entre ses dents serrées: - "Je vais de toute façon te l’enfiler, alors laisse toi faire. Serre fort! Plus fort! Empêche moi d’entrer… maintenant relâche doucement… Pousse!"A ma grande surprise, la tomate glissa dans mon cul presque sans douleur, je la sentais me dilater, entrer, et entrer encore… Je me demandais quelle longueur elle pouvait bien avoir. Au bout d’un moment, une vague de frissons me fit contracter mon petit trou. La tomate fut aspirée au fond de mon cul!Je tombai à genoux, puis à quatre pattes, essoufflé, gémissant de plaisir. Je n’étais plus qu’un cul! Rempli!Je frémissais de plaisir, découvrant un nouveau monde.Je me remis debout avec peine, chaque mouvement provoquant de sensations perturbantes et délicieuses dans mon cul.
Rachel nous servit à chacun un grand verre de Whisky, et trinqua d’un: - "cul sec" en riant de son jeu de mots, "Et maintenant, au boulot!"Nous avons continué la préparation du repas, le cul farci de tomates, un peu fébriles, gémissant à chaque déplacement. Ce ne fut pas notre meilleur repas, gastronomiquement parlant, nous avons un peu bâclé le travail. Mais il reste inoubliable.Pour la première fois nous avons mangé nus. Plus de décorum.A table, elle me servit du vin, ne s’en privant pas elle-même.Chaque mouvement devait être contrôlé, nos tomates rappelant leur présence à chaque instant. Nous ne nous sommes pas parlé de tout le repas, nos regards croisés comme dans un défi, prenant plaisir à voir l’autre se replier sur ses sensations, mélange de compassion et de sadisme. Pour le désert, elle nous servit une glace à la vanille arrosée de Whisky et de jus de gingembre, qu’elle mit un temps fou à préparer, ondulant et s’arrêtant à tout bout de champ pour gémir, se tenant aux meubles. J’étais passablement saoul lorsqu’elle alla s’allonger dans l’herbe, me faisant signe de la rejoindre. Je remarquais qu’elle avait pris la bouteille d’huile d’olive et un concombre. Elle m’embrassa, se frotta contre moi. Nous nous sommes roulés l’un sur l’autre sur la pelouse.Soudain, elle saisit ma main, versa dessus de l’huile d’olive, puis retournant la bouteille, elle s’inonda l’entre-jambes et se mit à quatre pattes - " Viens chercher la tomate perdue!"Timidement, j’enfilai un doigt dans son petit cul qui s’ouvrit comme pour bailler. Je touchais la tomate et je la contournais pour entrer plus loin. Je mis un deuxième doigt, puis encore un autre. Dans un souffle, elle me dit - "Encore!… Viens la chercher!" J’entrai aussi mon auriculaire, sans difficulté. Je tenais la tomate dans ma main, à l’intérieur de son ventre brûlant. - " Sors-là, et reviens tout de suite avec toute ta main!"Je fis ce qu’elle me dit, je sortis avec un bruit mouillé, et rentrai d’un trait toute ma main, provoquant un gros bruit de pet. Elle cria et serra son petit trou, m’aspirant encore plus profondément et me faisant prisonnier de son ventre.Elle resta figée un grand moment, la respiration bloquée, ses splendides fesses tremblant comme un flan.Quand elle eut repris son souffle, elle se retourna avec précautions, passant sa jambe par dessus mon bras, ma main toujours fichée dans ses intestins.Rachel se mit à genoux à côté de moi et me fit accroupir tout proche d’elle — " C’est à mon tour de reprendre ma tomate!" me dit elle.Elle huile sa main et glissa deux doigts dans mon cul. Je dus m’accrocher à son épaule tellement le frisson qui m’agita fut puissant. Rachel entra un troisième doigt et les fit tourner autour de la tomate à laquelle je m’étais un peu habitué.Je n’avais jamais pensé à mon trou du cul comme centre de plaisir. Ce qu’elle me faisait était incroyablement bon! Elle me dit de pousser fort. Ce fut difficile, mais je réussis enfin à expulser ses trois doigts et la tomate. Rachel poussa aussi et ma main fut rejetée de son ventreMe laissant à peine reprendre mon souffle, elle m’enfila d’un trait une bonne longueur de concombre, qu’elle se mit à agiter en tous sens, puis en va et vient de plus en plus rapides. Elle me baisait.J’étais très excité, mais, à ma grande surprise, je ne bandais pas.Le concombre tournait et remuait dans mes boyaux. Je sentis que mes couilles se vidaient. Mais d’une étrange manière. Ça coulait, simplement, sans spasmes, mais avec un immense plaisir!Je vis que sa chatte bavait énormément aussi, son jus faisant scintiller les brins d’herbe sous son ventre.Nous sommes tombés ensemble sur l’herbe, le concombre toujours planté profondément dans mon cul. Il me plaisait, je l’avais adopté. Rachel me dit de ne pas bouger, elle se leva et se plaça au dessus de moi, et lentement s’assit sur mon concombre, elle remonta un peu et recommença, de plus en plus vite et fort. On se sodomisait l’un l’autre.Au comble du plaisir Rachel s’assit carrément sur mes fesses, nous plantant le concombre au plus profond de nos ventres, restant ainsi un long moment à frissonner agités des spasmes qu’elle me transmettait. Elle se releva avec peine, tirant le légume hors de nos culs et s’effondra à plat ventre sur la pelouseSes fesses étaient fluorescentes sous la lune.Maintenant, je bandais. Dur comme du fer!Je m’allongeai sur Rachel qui cambra ses reins en pouffant, m’offrant son cul qui s’ouvrit tout grand avec un bruit de baiser mouillé. Je plongeai dans son trou, m’engouffrant jusqu’à la garde, cherchant à aller encore plus profondément. Elle grognait, tortillant des fesses pour en recevoir encore plus, arrachant des touffes d’herbe avec ses mains. Je me mis à la pistonner brutalement, mes couilles tapant contre sa chatte gluante, de plus en plus vite. Moi qui jouissais en trente secondes il n’y a pas une semaine, je ne pouvais plus m’arrêter. Je l’ai littéralement défoncée pendant un quart d’heure. Rachel se mit à crier en rythme, de plus en plus fort, puis elle explosa, agitée de spasmes et de contractions. Ses boyaux malaxaient ma queue, je sentis son jus gicler sur mes couilles et mes cuisses. Alors je jouis aussi, relançant son plaisir.
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