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Ma tante et ma soeur

Chapitre 2

l'escalade

Avec plusieurs hommes
Je suis sur place depuis plus d’une heure et j’ai bien fait. Ma tante est arrivée peu de temps après moi. Elle est perchée sur des talons démesurés d’au moins douze centimètres, sinon plus. Elle retire sa robe dessous, elle porte un corset si serré que ses grosses mamelles libres semblent exposées comme des fruits dans une corbeille. A son corset sont accrochés des bas noirs à couture malgré la chaleur. D’un petit sac de voyage, elle en retire plusieurs godes de différentes grosseurs et couleurs. Assise dans un fauteuil de jardin, les cuisses bien ouvertes, elle les essaie à tour de rôle dans sa chatte qui crache régulièrement des jets de cyprine tout en criant ses jouissances à pleine voix.
Après une petite pause, ma tante s’allonge sur un transat relevant ses jambes et se sodomise avec ses jouets, criant encore plus fort tandis que sa chatte continue d’expulser sa cyprine abondante. Pour finir, elle sort un énorme gode ventouse plus gros que mon avant-bras, elle le pose sur un banc. Et devant mes yeux médusés, elle pose son œillet dessus et se laisse descendre. Je suis sidére par la facilité avec laquelle son cul s’ouvre pour accueillir la grosseur du gode. Lorsqu’il a entièrement disparu enfoncé en elle, elle se balance d’avant en arrière, ce qui déclenche une énorme jouissance ponctuée de cris puissants. Elle est en transe, comme dans un état second et sa chatte crache des jets de cyprine qui volent à trois mètres d’elle. Je bande comme un malade et me branle jusqu’à ma jouissance.
Le bruit d’un moteur nous fait revenir sur terre, je range ma queue et prends l’appareil photo en main. De son côté ma tante se relève péniblement de sa position, le retrait du gode de son cul laisse entendre un bruit de succion. Elle n’a pas le temps de ranger ses jouets avant qu’un homme de type méditerranéen apparaisse, très grand, un peu d’obésité.
— C’est toi Odile, la salope à ma disposition ?— Oui, monsieur à votre entière disposition pour satisfaire tous vos désirs.— Tu t’es préparée avec ces godes, même le gros fixé sur le banc ?— Oui monsieur, je viens de me sodomiser avec, vous voulez voir ?— Dépêche-toi salope, il devrait déjà être au fond de ton cul !
Ma tante ne semble qu’attendre cette demande, elle se positionne au-dessus du gode qui disparaît dans son cul distendu. L’homme lui saisit les tétons et les étire sans ménagements. Ma tante ne s’en plaint pas, bien au contraire, elle jouit. Alors il lui frappe les seins avec ses mains en aller-retour, j’entends le claquement de ses mains sur les seins de ma tante qui jouit de plus en plus fort.
— Ne bouge pas, je reviens !
J’entends un bip puis le bruit d’un coffre qui se referme et l’homme revient avec une petite valise noire qu’il s’empresse d’ouvrir. Il en sort deux chaînes avec des boules noires à un bout et des pinces à l’autre bout. IL ouvre les pinces pour les poser sur les tétons d’Odile, les chaînes se tendent sous le poids des boules. Odile pousse des hurlements, elle halète comme un petit chien.
— Tu es mal chienne ?
– Très mal, mais j’adore cette souffrance, je jouis encore plus.
Je me rends compte que c’est la vérité au vu du flot de cyprine qui coule de sa chatte le long de ses bas jusqu’à ses chaussures.
— Chienne, tu vas recevoir une correction.
L’homme sort un martinet de la valise et assène de violents coups sur les seins d’Odile qui rapidement laissent paraître des traînées sanguinolentes. Sous les hurlements d’Odile, l’homme augmente la vitesse et la puissance des coups de martinet. Son corps se tend comme un arc et dans un dernier hurlement telle une poupée de chiffon elle s’affale la tête sur l’épaule, évanouie. Simplement retenue par le gode planté dans son rectum. Alors l’homme sort un sexe monstrueux et se branle, éjaculant sur le visage et les seins d’Odile.
Il se passe un long moment avant que Odile ne revienne à elle.
— Tu es vraiment une grosse salope, je vais te garder à ma disposition trois jours.— Il faut demander l’accord au directeur, ce n’est pas moi qui décide.
Quelques instants plus tard, le directeur donne son accord pour la mise à disposition d’Odile au client et cette dernière accepte.
— Demain midi, je te retrouve ma chienne, maintenant suce-moi avant mon départ.
Odile avale sa queue comme morte de faim, sentant son plaisir arriver, l’homme se retire de sa bouche et éjacule sur ses seins et son visage.
— Ne bouge pas, ton directeur arrive.
Un quart d’heure plus tard, j’entends une voiture arriver lorsque je termine ma deuxième masturbation, j’en ai mal à la queue de bander. Le directeur reste bouche bée devant le spectacle offert par Odile, le cul déformé par la taille du gode, les pinces plantées dans les tétons avec des traces sanguinolentes qui en coulent et le visage couvert de sperme.
— Je suis désolée madame Mercier, je ne pensais pas qu’il vous ferait subir tout cela, vous avez dû souffrir atrocement ?— J’ai effectivement souffert, mais la jouissance a été beaucoup plus forte et j’adore souffrir pour jouir, maintenant aidez-moi à me relever et profiter de ma chatte qui attend sa ration de sperme.
Et c’est reparti pour une nouvelle jouissance de ma tante, et lorsque son directeur se vide les couilles en elle, elle demande :
— Remplissez-moi la chatte avec votre bras comme l’autre jour.
Ma tante jouit encore plusieurs fois à chaque fois que l’avant-bras de son directeur s’enfonce en elle.
— Êtes-vous sûre pour demain d’être la chose du client ?— Bien sûr, je respecte ma parole et maintenant donnez-moi votre queue raide à sucer.
Je reste un long moment allongé sur le dos, regardant le ciel, n’osant pas bouger avant le départ de ma tante qui range ses jouets, prends une douche et ressort habillée en femme responsable d’un poste à responsabilité. Je suis sidéré de son avidité sexuelle, de voir que la douleur lui donne encore plus de plaisir et j’imagine mille scénarios lorsqu’elle sera ma chienne.
Le lendemain lorsque j’arrive, elle est déjà présente intégralement nue, portant seulement des chaussures, bien sûr elle se masturbe plusieurs fois et se doigte aussi le cul.
— A genoux chienne et suce-moi sans les mains, juste avec ta bouche !
Ma tante s’est empressée d’obéir, soumise comme une petite chienne bien obéissante, elle lèche, suce, gobe la queue raide. L’homme lui saisit la tête et se sert de sa bouche comme d’une chatte, il l’enfonce au plus profond de sa gorge lui maintenant la tête un instant puis relâche sa prise. Odile déglutit, un important filet de bave va de sa bouche au sol. L’homme ne jouit pas et cesse ses pénétrations buccales.
— Allonge-toi sur la table pour que je remplisse ta chatte !
Odile obéit aussitôt allongée sur la table les fesses aux bords et elle tient ses jambes relevées entre ses mains pour présenter sa chatte luisante de mouille.
— Tu mouilles comme une truie en chaleur.
L’homme plonge sa queue au fond de la chatte d’Odile qui commence à jouir aussitôt. Ses cris de plaisirs augmentent lorsqu’elle sent les pulsions qui annoncent l’arrivée du sperme dans sa chatte. L’homme se retire et remplace sa queue par sa main qui s’enfonce sans résistance. Encouragé par la jouissance de sa partenaire, il pousse et enfonce son bras de plus en plus loin. Odile pousse des hurlements de plaisir et tire davantage sur ses jambes pour mieux s’offrir. Lorsque sa main bute au plus profond de son utérus, il ouvre ses doigts et les remue, ce qui provoque une mise en transe du corps d’Odile qui est secoué de tremblements et d’une syncope.
Lorsqu’elle reprend un peu ses esprits, l’homme retire son bras avec un bruit de succion et un flot de cyprine s’écoule. Il fait alors entrer ses deux mains collées l’une contre l’autre et il s’en sert comme d’un piston les enfonçant alternativement de plus en plus profond. La chatte d’Odile s’ouvre de plus en plus et pour finir un avant-bras enfoncé à moitié et l’autre plus que le poignet. Je suis ébahi par la souplesse de sa chatte et l’incroyable ouverture qui absorbe presque deux avant-bras.
L’homme entre à l’intérieur de la maison et ressort avec une bouteille de champagne, ma tante n’a pas bougé, toujours cuisses ouvertes et jambes retenues par ses mains. L’homme secoue la bouteille et retire le muselet, le bouchon lui saute dans la main et il plonge la bouteille dans la chatte de ma tante et l’enfonce rapidement entièrement. Le champagne secoué gicle avec force percutant les chairs internes de sa chatte. Les hurlements d’Odile nous indiquent que sa jouissance est intense et l’homme maintient la bouteille tant que dure sa jouissance.

Le lendemain, il la fait prendre position jambes écartées le buste posé sur la table. Ses seins semblent être un coussin sous son torse. Il lui investit le cul et la possède gaillardement, bien sûr ma tante jouit. Après son éjaculation, il introduit sa main puis son avant-bras dans le cul d’Odile, la fistant, encouragé par les hurlements de jouissances.
Comme hier, il ouvre une bouteille de champagne et lui introduit entière dans son cul et le champagne se répand. Cette salope jouit de toutes les façons et accepte tout, j’imagine déjà ce que je lui ferais subir.
— Ne bouge pas, ton directeur arrive !— Madame Mercier, votre dévouement est exemplaire et permet à la banque de recevoir des dépôts importants de ce client.— Donnez-moi votre queue à sucer et remplissez-moi la bouche de votre foutre.
Comme morte de faim, elle lui dévore la queue l’avalant jusqu’aux couilles et se régale du sperme que la queue de son directeur lui crache au fond de la gorge.
— Madame Mercier, pour votre participation un peu spéciale, vous allez être nommée DRH régionale et j’ai reçu l’autorisation que vous restiez à mon agence.— Merci monsieur le directeur, je reste votre chienne entière jours et nuits.— Pour fêter votre promotion, j’organise une petite réception ici vendredi soir, mais il serait bien qu’une autre femme vous accompagne.— Ne vous inquiétez pas, je connais une femme parfaite pour cette soirée, elle est plus jeune que moi et désire devenir aussi salope que moi.— Reposez-vous jusqu’à vendredi, je vous demande d’être présente pour dix-sept heures pour recevoir le traiteur et je sais que vous serez parfaite avec votre amie pour cette soirée.
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