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Ma Tante, ma sugar-mummy

Chapitre 1

Inceste
Avant de commencer cette histoire, il faut que je vous parle de ma tante. Une vraie gamine bien qu’elle ait quarante-trois ans. Une femme spontanée pouvant passer du chaud au froid très rapidement. Une femme profitant de la vie : célibataire et sans enfant bien que je pensais qu’elle me considérait comme le sien. Ma tante, Astrid, était très tactile. Nous ne nous voyions pas souvent, mais lorsqu’elle me voyait elle me saluait d’un long câlin et d’un « Popol » affectueux (je m’appelle Paul), tout cela me valait les moqueries de mes deux grands frères qui recevaient une embrassade de « bonhomme » d’après eux.
Physiquement, ma tante est très belle (si ce n’était pas le cas, cette histoire n’aurait pas vu le jour), elle avait un visage assez fin et des cheveux bruns qui étaient lisses en partant du haut, mais arrivé à la moitié ils se bouclaient. Elle était un peu plus grande que moi et était même la plus grande de la famille (mon père l’appelle parfois « Un mètre quatre-vingts » et elle se contente de lui sourire quand nous sommes dans la même pièce qu’eux, mais quand ils sont seuls j’entends parfois « merci douze centimètres », en racontant aujourd’hui cette histoire je comprends pourquoi...). Contrairement à ceux de ma mère, les seins de ma tante n’étaient pas tombés avec l’âge, ils étaient fermes avec les tétons visant le septième ciel. Ayant des origines asiatiques (très peu) elle était plutôt fine et avait la peau légèrement bronzée. Je n’arrivais jamais à percevoir ses fesses donc je ne peux pas vous en dire plus là-dessus (pour le moment).
25 JANVIER 2019 :
Aujourd’hui, je ne suis pas allé en cours, depuis quelques années j’avais pris l’habitude de m’accorder un jour de repos le jour de mon anniversaire, mes frères m’ont dit plus tôt dans la journée que j’aurais besoin pour la soirée de mes dix-huit ans. Je suis sur le canapé du salon à regarder une série Netflix, j’entends quelqu’un monter les escaliers menant au sous-sol. Mon frère Nathan me rejoint dans le canapé en criant « Eighteen bro ! » puis dit plus calmement :
— Mec, c’est plus une soirée qu’on organise, c’est une dinguerie.— Ah ouais ? Je verrai ça ce soir, mais j’compte sur vous, lui répondis-je.— Bien sûr, par contre maman a invité tante Astrid puisque c’est ta marraine.— Ça va je l’aime bien moi.— OK donc pas de problème, me dit-il avant de retourner au sous-sol.
Je regardai des séries tout le reste de la journée, puis la soirée vint. Comme me l’avait promis Nathan, la soirée était géniale, de l’alcool, de grosses enceintes et des amis. Ma tante était déjà là depuis un moment (elle m’avait salué comme d’habitude). J’attentais une autre femme, Éloïse, celle dont j’étais amoureux. Une femme rousse aux yeux verts dotée de belles formes, une femme rare. Elle arriva enfin et m’emmena à part dans ma chambre. Elle s’assit sur mon lit et m’assit à côté d’elle, « Joyeux anniversaire, commença-t-elle. Je voulais vraiment attendre ce jour pour te dire que je t’aimais. » Je lui avouai que ses sentiments étaient réciproques et on s’embrassa, rien de plus.
La soirée continua et arriva à sa fin, mes invités rentrèrent chez eux sauf ma tante qui restait dormir une nuit. J’étais déçu de ne pas être allé plus loin avec Éloïse, je me masturbais dans ma chambre devant une vidéo qui s’appelait « Stepson fucks his asian stepmom » (une de mes vidéos préférées que j’avais l’habitude de regarder). Je m’arrêtai, car j’avais entendu le sol grincer puis on ouvrit ma porte (heureusement que j’ai des réflexes) : c’était ma tante. Astrid entra dans ma chambre, nous discutâmes de la soirée puis je l’invitai à s’asseoir sur mon lit (chose que je regrettai juste après, car il y avait une tache due à ma transpiration, mais elle ne sembla pas la remarquer), nous continuions la discussion quand elle éternua, je pris ma couverture et la couvris (je remerciai ma mère de l’avoir lavée le jour même), ma tante prit la couverture et mit une partie sur moi pour nous envelopper d’un cocon de chaleur.
— Neveu, sais-tu garder un secret ? me demanda ma tante.— Oui bien sûr.— Tu sais bien que je n’ai pas d’enfant et ça me manque, dit-elle en regardant le plafond.— Tu pourrais toujours en faire.
Ma tante me regarda dans les yeux, c’était la première fois que j’y faisais attention, le brun de ses yeux était très sombre. Elle me sourit.
— Si tu savais comment ça fait mal d’accoucher tu ne voudrais pas en faire non plus. Et puis un enfant c’est comme un investissement, tu en fais un pour le bonheur et tu l’élèves jusqu’à ce qu’il grandisse en espérant qu’il ne dérive pas dans des choses dangereuses pour lui. (Elle soupira.) Non moi ce que je veux c’est un enfant déjà grand et beau, un enfant comme toi.— Comme moi ? demandais-je perturbé, mais content de servir d’exemple.— Non, en vérité j’aimerais que ce soit toi.
J’étais surpris de ce qu’elle me proposait, mais elle développa son idée : elle se comporterait comme une mère uniquement sur l’aspect financier, je pourrais aller chez elle quand je le voudrais et elle se réservait le droit de nous réserver des voyages si cela me plaisait, mais surtout, nous aurions des relations sexuelles régulières ; Astrid serait ma « Sugar Mummy ». Si j’acceptais son offre, nous commencerions dès maintenant. Cela me fit réfléchir puisque je n’avais pas pu le faire avec Éloïse et j’en avais réellement envie.
— Je suis puceau, dis-je.— Ça ne me dérange pas, mais peut-être que tu préfères faire ta première fois avec ton amie, me dit-elle.— Non, dis-je. Je voudrais le faire avec une femme ayant de l’expérience, mais je ne suis pas sûr que tu auras ton plaisir.
Elle me rassura et me dit que je n’aurais pas une vie sexuelle si développée avec une femme de mon âge. Nous discutâmes encore puis, convaincu, j’acceptai sa proposition. « Passons au pacte, dit-elle. Déshabille-toi. »
Elle retira la couverture et la mit par terre. Nous nous déshabillâmes puis nous allongeâmes côte à côte sur le lit. « Mets-toi dos à moi. » dit-elle sans me laisser le temps de réfléchir. Je m’exécutai. Elle se colla à mon dos et me prit dans ses bras. Je ressentais la chaleur de son corps et la douceur de sa poitrine dans mon dos. J’eus une érection très rapidement. Nous restâmes dans cette position peu de temps, puis elle m’embrassa le cou. Elle me faisait de courts baisers, quelques suçons, et parfois me léchait le cou ; cela me faisait frissonner.Elle demanda de me retourner (chose que je fis avec plaisir). Je l’embrassai, car mon envie de la pénétrer montait rapidement. Elle me mit sur le dos et se déplaça jusqu’à ma verge ; elle la lécha puis la mit en bouche pour me faire la plus belle fellation de ma vie. Elle fit des va-et-vient lents puis accéléra petit à petit. Je jouis bien trop rapidement pour une première fois. Nous échangeâmes quelques mots et un dernier baiser, puis nous habillâmes. Avant de partir, elle me chuchota « Regarde ton compte... » Je regardai mon compte qui était passé de zéro à mille cinq cents euros.

Merci d’avoir lu. Ayant peu d’expérience sexuelle, je voulais m’entraîner à écrire de la fiction. Ne me jugez pas sur la partie érotique, car je suis conscient qu’elle est ratée. En revanche je serais curieux d’avoir des retours sur le reste.Merci d’avance.
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