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Ma tantine Victoire

Chapitre 2

Inceste
Après ce délicieux intermède qui suivit notre jouissance, elle me regarda : ses yeux étaient brillants comme si elle venait de pleurer et je lui en fis la remarque :— Mais non mon chéri, c’est simplement le bonheur, si tu savais. Il y a tellement longtemps que je n’ai plus touché un homme et cela me manque terriblement. Depuis le décès de ton oncle, il y a plus de dix ans, je suis bien obligée de me satisfaire seule et n’ai jamais connu d’autres amants que lui. Il faut dire qu’il savait si bien s’occuper de moi…Mais soudain une ombre passa sur son visage et son regard se fit grave.— Tu sais, ce que l’on a fait est interdit, et c’est même un péché mortel, mon Dieu ! Surtout n’en parle à personne. Je la rassurai, et posai à nouveau ma bouche sur la sienne pour un long baiser auquel elle répondit ardemment.— Tantine, je veux que tu m’apprennes tout de l’amour, c’est si bon, et il y a longtemps que je te regarde. Je t’ai même espionnée lorsque tu te déshabillais dans ta chambre et t’ai vue pratiquement nue— Oh non ! Coquin que tu es, dit-il elle rougissant, quand et qu’est-ce que tu as fait alors ?— C’était avant-hier soir, je suis allé sur le balcon qui donne sur ta fenêtre et t’ai observée par les persiennes de tes volets. Je t’ai vue en culotte et tes gros seins nus, puis tu as disparu de ma vision lorsque tu es allée vers ton lit. J’ai alors filé dans ma chambre et je me suis longuement masturbé en pensant fortement à toi…Malgré sa surprise, je vis que j’avais fait mouche et que cela lui plaisait de savoir qu’un jeune homme comme moi s’intéressait à son corps de femme âgée. Elle reprit délicatement ma queue dans sa main droite qu’elle fit lentement aller et venir ; je ressentais gonfler ma verge qui devint bientôt toute dure.— Oh, mais le voilà qui bande à nouveau, le petit cochon. Décidemment tu es déjà insatiable ! Lève-toi et reste en face de moi, je vais te donner du plaisir !Je me mis donc debout, et elle en profita pour enlever sa culotte. Sa blouse était maintenant complètement déboutonnée et elle m’apparaissait nue de la tête aux pieds. Je vis alors sa belle chatte encore très poilue et un peu grise, ornée d’une belle fente dont les lèvres trempées de sa mouille s’écartaient. Elle me tira doucement par la bite et je vins entre ses cuisses écartées. De sa main gauche, elle soupesa et souleva un des ses seins lourds et tombants et, de son autre main, commença un lent frottement de mon gland sur son téton bandé. Les doigts de ses deux mains allaient tantôt de mon gland à mes couilles, puis à ses tétons qu’elle agaçait en les pinçant. Elle s’assit très en avant sur le divan de sorte que l’une de mes cuisses touchait maintenant les lèvres de sa chatte. Elle frottait celles-ci contre ma cuisse tout en ouvrant et refermant ses jambes comme un ciseau et j’adorais sentir sa mouille dégouliner vers mon genou. Je me penchai et appuyai mes deux mains sur ses épaules pour pouvoir bien la regarder faire. Son regard était comme hypnotisé, fixé sur ses mains, ses seins et ma bite, sa bouche était entrouverte, et elle passait le bout de sa langue sur ses lèvres. Un peu de salive coulait à la commissure de sa bouche et je baissai un peu la tête pour la lécher. Sa langue s’enroula autour de la mienne, et la bouche toujours entrouverte elle se mit à râler fortement en m’embrassant.— Oh tantine ! Je viens, je vais juter…Elle recula sa tête et regarda à nouveau le spectacle de la branlette merveilleuse qu’elle me faisait. Sa main allait maintenant à toute vitesse et elle en profita pour glisser l’autre main entre ses cuisses où je la vis s’enfiler promptement deux doigts dans sa chatte dégoulinante, qu’elle branla au même rythme. Ma cuisse était toujours contre sa fente et je sentais bien cette main qui s’activait de plus en plus vite. Soudain, je sentis ses cuisses me serrer comme dans un étau.— Viens, gicle ! gicle, maintenant ! maintenant, hurla-t-elleVivement, elle se recula un peu et dirigea mes longs jets de sperme sur ses seins et sur sa gorge, puis elle engouffra ma queue entre ses lèvres et me téta, avalant les dernières gouttes de ma jouissance. D’une main qu’elle passa derrière moi elle m’attira contre sa poitrine où elle me fit me frotter, mon sexe et mon ventre contre ses seins alors que de l’autre main elle répandait ma jute entre nos deux corps trempés. Jamais, dans mes plus chaudes masturbations je n’avais imaginé situation érotique aussi torride. Je m’assis sur le divan à côté d’elle et la pris dans mes bras; Nous étions les deux trempés de sueur, rapidement nos bouches se soudèrent et sa langue emplit ma bouche. Je descendis ma main à son sexe trempé et introduisis mes doigts dans son vagin, pour les ressortir et les amener à nos bouches qui s’écartèrent très légèrement de manière à ce qui nous puissions en sucer ensemble le jus de sa jouissance. C’était pour moi un goût délicieux que je découvrais pour la première fois, et c’est sans doute ce qui a fait que toute ma vie durant, la plus belle chose qu’une amante ait pu m’offrir, c’est de donner à ma bouche ce cadeau merveilleux suintant de son sexe.Mais j’étais encore loin de toutes les découvertes dans lesquelles Tantine m’a emmené durant ces vacances torrides…
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