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Je me tape toutes les filles de ma classe

Chapitre 3

Trash
   Mathilde restait face à la porte de ma chambre, honteuse et tremblotante, comme si la raison pour laquelle cette attardée de 21 ans était venue me voir se passait de commentaires. Je voyais dans ses yeux bleus aussi clair que l’azur que ma promise n’était pas venue chercher à s’incruster dans mon humble logis pour réviser la table du 9, mais plutôt celle - moins honorable mais davantage réservée aux jeune filles de son âge - du 69.
   Toujours en première année de BTS à 21 ans, Mathilde puait la honte d’être une incapable, la frustration de ne pouvoir obtenir le moindre diplôme et, comme si cela ne suffisait pas, elle était trop laide pour sucer le moindre professeur en vue d’augmenter péniblement sa moyenne catastrophique. 
   Figurez-vous un gnome difforme d’un mètre cinquante, la tête en forme de pastèque ( grosse et allongée ), les cheveux sales et gras revêtus d’un serre-tête bleu ou noir selon son humeur. Un front large et des dents de lapin encadraient ses lunettes, derrière lesquelles - Dieu ne peut décidément pas se fourvoyer sur tout - des yeux bleus clairs et magnifiques semblaient refléter le désespoir propre aux filles ayant conscience de leur propre laideur. Des seins de taille moyenne, en forme de poire, s’abritaient derrière un éternel débardeur Mickey maousse qu’elle avait sans doute emprunté à sa petite soeur, faute d’argent ( car non contente d’être idiote et hideuse, ma chérie était pauvre : pas de quoi partir du bon pied dans la vie, je vous l’accorde... ) ; sa culotte de cheval proéminente ne faisait qu’accentuer l’effet ’’ bouée de sauvetage ’’, laquelle n’a visiblement pas réussi à la tirer du naufrage Titanicesque que fût sa scolarité, au cours de laquelle ma petite putain s’est pris tant d’icebergs dans le cul de la part de chiens de la casse et autres pourceaux laids en chaleur qu’une bonne douche froide n’aurait pu que les faire fondre. Ses bras, plus proches du jambon entier d’Aoste que de l’asperge somalienne, étaient pétris de vergetures, comme si ma grosse truie favorite avait accouché par le coude d’un hypothétique quasimodo - à la différence près que n’est pas Esmeralda qui veut. En revanche, le Seigneur lui fît un cul formidable, source de compensation pour cette fille qui n’aurait même pas pu obtenir le 3ème prix de beauté dans un hameau de vieilles de 15 habitants sans ces deux fesses dont certaines de ses congénères du même sexe faisaient intérieurement des crises de jalousie. Deux énormes pastèques juteuses collées côte à côte rembourraient l’arrière de son jean. Un régal pour les yeux. Inutile de décrire ses jambes et ses pieds : d’une banalité affligeante, ces derniers ne collaient pas avec le reste de son corps, comme si un savant fou s’était amusé à couper en deux un thon et une fille normale avant de recoller les deux morceaux pour en faire une sorte de patate aux jambes d’allumettes.
   Mathilde m’interrompit dans mes pensées vaguement salaces :
   " - Dis-voir, Théophile, t’as pas un ou deux sucres pour mettre dans mon café ? J’en ai plus dans ma chambre !... "
   Etonné qu’une fille pénètre dans ma chambre pour des broutilles de bas étage, je consentis à ouvrir la porte de mon placard pour en extirper la boîte de 200 unités.
   " - T’en veux un ?... Deux ? ... lui fis-je en la regardant droit dans les yeux, de mon air sûr de moi et dominateur qu’appréciaient tant les filles de mon âge. 
    - Deux, s’il-te-plaît. Après, je ne t’embête plus, me lâcha-t-elle avec un petit sourire malicieux dont l’effet ne tarda pas à se faire sentir. "
   Je bandais. Elle savait que je bandais. Je savais qu’elle savait que je bandais. Elle savait que je savais qu’elle savait que je bandais.
   Ni gênée ni effarouchée par le ballon de chair qui ne cessait de gonfler dans mon slip kangourou, Mathilde, commença à se passer les doigts sur les lèvres. Ses petits tétons tous durs pointaient insolemment en ma direction, de sorte que je me sentais visé par ces deux ogives dignes des plus grandes heures de Verdun. Tenant un morceau de sucre dans ma main, je m’approchais d’elle lentement mais sûrement. Nous fûmes face à face, comme deux amants heureux. Je glissai le morceau de sucre dans son soutien-gorge. Mes mains tremblantes effleuraient ses seins, avant de les caresser, puis de les étreindre amoureusement avec la même vigueur qu’un crève-la-faim empoignerait avec ferveur la première miche de pain qu’il aurait reçu tombé du ciel. Lentement, je fis glisser le sucre sur son dos. Avec mon autre main, j’essuyais les perles de bave qui coulaient de sa bouche onctueuse avant de m’en servir pour humidifier le petit morceau de sucre alors posé sur son dos. C’est alors que je cassa volontairement le sucre sur son dos, le cadavre du carré de sucre baveux réduit à l’état de poudre et de grumeaux s’étalant dans son débardeur sale. 
   " - Tu as pourtant l’habitude qu’on te casse du sucre sur le dos, ma petite Mathilde, alors ne te plains pas... ’’
   Mathilde me gifla. Elle s’assit sur mon lit, et se mit à pleurer. Je mis mon bras autour de ses épaules, et lui fis un câlin afin de la réconforter.
   " - Tu sais... snif... bégaya-t-elle entre deux secousses de larmes... C’est pas facile d’être laide...

   - Je n’en pense pas moins, tu sais... lui rétorquai-je.
   - Pour toi qui es beau, musclé, bien foutu, bien habillé, ça doit être tellement plus facile d’être aimé...
   - C’est vrai. Toutes les filles sont à mes pieds, lui fis-je avec un petit sourire en coin. Pour me faire pardonner, je vais faire tout ce que tu voudras pendant une heure. Tout. Sans exception.
   - C’est vrai ?... me lança-t-elle, les yeux écarquillés, pétris de bonheur. 
   - Oui. Mais juste une heure, hein, pas plus. 
   - Ok. Lèche mon visage, et avale mes larmes !... On verra si tu es un mec bien ou juste un de ces menteurs qui te promettent la lune et ne tiennent jamais leurs promesses !... "
   De ma langue agile et râpeuse, je me délectais de la quinzaine de larmes qui perlaient le long de son visage rougi par la peine. Ses larmes étaient salées, et me firent l’impression d’avoir bu la tasse dans un océan de malheur. Ses joues, humidifiées par ma bave, je les essuyais avec piété du revers de ma main, comme un dévot du Christ caressant le Saint-Suaire.
   " - J’ai dis TOUT le visage !... me gueula-t-elle aux oreilles.  ’’
   Je vis, de son nez aplati par la disgrâce, un petit filet de morve s’échapper, coulant, descendant le long de sa bouche comme un cours d’eau de son ruisseau. J’enfonçais alors le bout de ma langue dans sa narine droite pour en extraire la précieuse liqueur. Tel un Indiana Jones des temps modernes, je m’aventurais au fond de cette inépuisable mine afin d’en extraire cet or gluant que ma maîtresse me demandait de ramener. Eut état de mon visage défait par la honte et par la laideur de la mine d’extraction du pétrole verdâtre, j’avais davantage l’air d’un pauvre hère des Hauts-de-France terrassé par l’ardeur du travail au sein des Corons que d’un Conquistador espagnol fier de charger sur sa chaloupe des lingots d’or arrachés aux aztèques à la force de l’épée. Un haut-le-coeur me saisit. L’une de ces crottes de nez était plutôt dure; à son encolure trônait fièrement un caillot de sang coagulé - sans doute la petite avait-elle, en cette fin d’été, saigné du nez pour cause de trop forte chaleur - et ce fût ce caillot infâme qui faillit faire éclore de ma bouche asséchée une gerbe de fleurs multicolores et malodorantes. Par pudeur, je me retins, et avala l’arme du crime que j’aurais pu commettre et qui aurait pu me coûter un drap et des excuses plus plates que les seins de la femme de notre actuel président.
   " - C’est bien !... Brave toutou !... Tu as tout nettoyé, et tout avalé !... 
     - Que puis-je encore faire pour vous, très chère maîtresse ?... lui abjurai-je d’un regard de chien battu. Il nous reste encore 50 minutes avant que je ne me libère de votre emprise.... 
   - Mets-toi par terre, et ouvre la bouche !... ’’
   J’obéis consciencieusement à ma dulcinée. Ne prenant même pas la peine d’ôter son jean, Mathilde se pissa dessus. Des deux côtés de ses jambes, le bleu argenté de son blue jean prenait une teinte foncée. Je réceptionnais dans ma bouche quelques gouttes au passage, mais l’essentiel de sa production de soda brûlant était répandu sur le sol. 
   " - Lèche le sol !... Jusqu’à la dernière goutte !... Et qu’il n’en reste plus une !... Tu rendra le sol sec en le frottant avec ton pantalon !... "
   Je me mis à la tâche avec entrain. Je lapais le sol à grandes gorgées; sa pisse avait un goût acide et sucré à la fois. Cinq bonnes minutes plus tard, le sol était presque sec; je me mis donc à la tâche de le rendre sec en ôtant mon pantalon comme ma déesse laide me l’avait exigé, et d’essuyer le sol avec ma serpillière rica lewis à 45 euros. Une fois le sol sec et mon jean souillé par les résidus de pisse, Mathilde assit son cul trempé sur mon visage posé au sol. 
   Elle péta. Bruyamment. Cette odeur m’était insupportable. Je tentais de me dégager de son emprise lorsque ma pétasse péteuse ligota mes bras avec le drap tout neuf de mon lit d’internat. Tout affriolé par cette nouvelle situation, mon pénis hypertrophié se mit à devenir aussi dur qu’une barre de fer. Le destin voulut que ce fut à ce moment-là que j’étais en mesure d’affirmer péremptoirement que ne ressentis jamais dans ma vie un besoin si aigu de me masturber, et que - le hasard ( que j’ai forcé ) faisant parfois mal les choses contrairement à ce qu’énonçait jusqu’alors le dicton populaire -je n’étais, à ce moment précis, pas capable de me masturber à l’aide de mes mains, celles-ci étant liées par mon drap de lit !... 
   Pendant que je souffrais le martyr de l’érotomane impuissant, Mathilde venait de chier dans sa culotte. Celles-ci pesaient et ballottaient contre la paroi de son jean que j’avais collé à la bouche, et déjà des gouttelettes de pisses mêlées à de la merde esquissaient des rigoles le long de mes joues. Je priais le bon Dieu pour qu’une de ces gouttes ne pénètrent pas dans ma bouche. Suffoquant, la respiration bloquée par le cul massif de ma grosse vache 100 % franc-comtoise, je criais contre son cul pour qu’elle se retire. Ce qu’elle fit.
   " - Assez joué esclave. Il nous reste 20 minutes avant que je ne te rende ta liberté. Tu as bien dit que tu ferais tout ce que je voudrais ?...
   - Oui. 
   - Promis ? 
   - Je te le jure, maîtresse. 
   - Alors fous-moi enceinte. 
   - Mais... Je ne veux pas payer de pension alimentaire !...
   -  Tu oses te rebeller, salopard ?... Qui t’as dit que je t’en réclamerais une ?... Si mes parents me demandent, je dirais que c’est avec un inconnu, pas avec toi, pauvre con !... D’ailleurs, pour te punir d’avoir douté de moi, je vais te punir très très très fort... "
   Je craignais le pire...
   Mathilde enleva son jean, et me le fis porter, après avoir détaché les liens qui retenaient mes bras. J’avais beau avoir sa merde au cul, j’avais enfin retrouvé ma dignité. Saisissant ma ceinture ornée d’une tête-de-mort, Mathilde me fouetta le jean plein de sa merde. J’en éprouvais une immense douleur, mais j’avais encore une trique d’enfer. Reposant ma ceinture, Mathilde me donna une vingtaine de paires de baffes d’affilées, alternées par des crachats dans la bouche et au visage. Puis elle passa aux coups de pieds dans le ventre et dans les couilles pendant cinq minutes épouvantables, durant lesquelles ma tortionnaire proféra un tombereau d’insanités, lesquels amplifiaient mon sentiment de honte et de culpabilité quand à la somme de perversions que j’étais contre mon gré contraint d’accomplir en sa présence.
   " - T’es dégueulasse, Théophile !... Tu te crois beau, mais je peux te dire que de l’intérieur, t’es sacrément pourri !... Si tes parents te voyaient, que penseraient-ils de toi ? Tu pues la merde et la pisse !... Maintenant, féconde-moi, objet sexuel, et plus vite que ça !... Comme ça, au moins, je pourrais devenir mère célibataire et arrêter ces études que je ne supporte déjà plus !... Je trouverais toujours un pigeon pour s’occuper de moi et du chiourme !... "
   J’étais enfin motivé pour innonder sa chatte de mon sperme fertile. J’avais compris son plan. Je ne risquais rien. Et qui savait si, un jour où l’autre, j’allais recroiser ma Mathilde avec un rejeton dont l’apparence serait similaire à nos deux portraits croisés ?...
   Ecartant sa chatte de dessous ses grosses fesses pleines de merde, l’instinct du lévrier devant sa levrette fit place dans mon esprit tourmenté, et ce fut sans préliminaires, à la dure, à la hussarde, que j’enfonçais ma viennoiserie fondante dans son fourneau à pâtisserie.
   Je mourrais déjà d’envie de lâcher la purée, comme un enfant honteux se pissant dessus sous les yeux de sa maman. 
   " - ooooooooooooooooooooh OUI !!! Théophile, vas-y, lâche tout, lâche tout !!!!! Je veux que tu ne te retiennes pas !!!
   - Pipiiiiiii ! Pipiiiiii ! hurlais-je, les yeux exorbités, le pubis bouillonnant, mes couilles en ébulition.
   - Quoi ????? cria-t-elle ? "
   - Rien, la rassurais-je en tremblant, au bord de l’orgasme. Speeeeeeeeerme ! Speeeeeeeerme ! "
   Je me déversais en elle. Mon foutre en éruption insémina la laideronne. Un orgasme surpuissant me saisit. C’était la première fois de ma vie que j’éjaculais dans la chatte d’une fille sans capote. 
   Par sadisme inconscient ou par envie pressante, je pissais dans sa chatte.
   " - Mais qu’est-ce que tu fous, putain ? ça t’as pas suffi de me spermer dans la chatte, faut encore que tu pisses dedans ? ...
    - Comme ça, fis-je d’un rire amusé, on pourra dire que ton fils aura été fini à la pisse !... M’esclaffais-je.
   - Et tu trouves ça drôle ? me courrouça-t-elle.
   - Oui, lui répondis-je en la regardant droit dans les yeux, juste pour la foutre mal à l’aise. "
   L’heure de soumission avec la grosse Mathilde ayant pris fin, je la lui fis savoir, et lui rendis son jean maculé de sa propre merde que je posais au fond d’un sac hermétique. Avec du papier toilette, j’essuyais mon cul et celui de Mathilde avant de jeter lesdites feuilles séchées au fond des toilettes. Après avoir tiré la chasse, je me fis couler un grand bain, dans lequel moi et Mathilde nous nous savonnâmes respectivement. Une fois séchés et la pièce nettoyée, je lui offris un vieux jean à moi dix fois trop grand pour elle, tandis qu’elle remplissait l’air de ma chambre avec du sent-bon à la camomille et au gingembre, pour masquer l’odeur de notre forfait.
   Avant d’ouvrir la porte pour repartir dans sa chambre ( et jeter discrètement son jean à la poubelle au passage... ), ma coquine fraîchement enceinte m’adressa ces quelques mots :
   " - Au fait, je suis stérile. Tu n’auras donc pas de fils caché ou je ne sais quoi. Comme quoi, les mecs, on peut vraiment leur faire faire n’importe quoi... "
   Le vague à l’âme, un peu déçu d’apprendre que je n’aurais pas de fils caché, je lui exprimais mon vague mécontentement sans plus de conviction en lui lançant :
 " - Du coup, c’est toi qui es finie à la pisse... "
Amusée, elle me targua d’un " merci " propres aux femelles blessées cachant leur désarroi par un  sourire frustré, et referma la porte derrière moi; tandis que, m’allongeant pour de bon sur mon lit de fortune, je tombais raide mort dans les bras de Morphée.

   
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