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Je me tape toutes les filles de ma classe

Chapitre 4

Trash
Le lendemain je me réveillai aux aurores. Ma guitare à quatre manches était éclairée par les rayons mordorés d’un soleil cuisant, me rappelant que la dernière nuit avait été pour moi et ma troisième dulcinée d’un soir un festival immarcescible d’orgasmes fulgurants. Mon radio-réveil indiquait 5 heures pétantes. Et c’est en faisant le lien entre le mot « pétantes » de « 5 heures pétantes » que je me décidais à péter. Soulevant ma couverture à bras-le-corps, j’émis une tirade anale semi-foireuse à mi-chemin entre un mauvais Carla Bruni et le dernier concerto pour vents de Boulez sous amphétamines. L’odeur pestilentielle dégagée par mon pet finit par envahir toute la pièce, traversant la bouche d’aération, se répandant sournoisement à travers les parois vitrées teintées de buée de Julie, ma voisine d’en face.
Je ne fus donc guère étonné de recevoir à ma porte trois coups brefs, succincts et saccadés, émis par trois doigts aussi volubiles que fragiles. Nul doute n’était plus alors permis. Il s’agissait bien de doigts de femme. Des doigts nimbés de stupre et de volupté avaient donc toqué à mon huis.
— Une seconde ma jolie ! Je remets mon slip kangourou, et je viens à toi !
Nu comme Tarzan, mon slip kangourou à motifs léopard était encore posé sur la clenche de ma porte. C’est donc dans mon plus simple appareil que je décidais à me présenter auprès de cette jeune impudente qui avait eu l’audace de me déranger alors que la journée n’avait démarré que depuis cinq petites heures. J’ouvris la porte.
C’était Julie.
Figurez-vous une jeune fille démodée, porteuse d’un embonpoint certain, plus proche d’un Bibendum que de Selena Gomez. Des cheveux bruns teints d’un mauvais blond à la mode prolo du liddl, redressés d’un chouchou noir de chez Jennifer, ou d’un quelconque marché aux puces dominical. Ajoutez à cela un regard bovin, de ceux qui semblent voir défiler les trains dix fois par jour tout en broutant de l’herbe, cernés de sourcils épilés à l’emporte-pièce un soir de désœuvrement. Quelques boutons d’acné, témoins d’une mauvaise hygiène de vie liés à un tabagisme forcené, et une bouche fraîchement enduite de baume à lèvres labello compléteront le tableau, ou plutôt la croûte, qui constituait le visage de ma pauvre Julie. Ajoutez à cela un haut de pyjama kiabi aux motifs pokemon, et un pantalon de pyjama d’un blanc immaculé, et vous vous ferez une idée relativement précise de la jeune étudiante défraîchie à laquelle j’avais affaire.
Ses petits petons nus et ridés, dont chaque ongle était verni de blanc comme ceux de toute fonctionnaire quadragénaire de catégorie c, ajoutaient à son dénuement, tant physique qu’intellectuel, une once de misère. Heureusement, ma jolie Julie était pourvue d’une paire de loches colossale, capable de nourrir l’Éthiopie tout entière d’un seul jet spontané. Ses tétons pointus, dardant leur corolle turgescente, dardaient en ma direction d’un air provocant.
— Tu aurais pu t’habiller au moins ! me fit-elle d’un ton enjoué.
Mon dard hypertrophié s’était dressé involontairement à la vue de cette femelle en rut. Un trou est un trou, un homme reste un homme, un homme dans un trou reste un homme dans un trou, de la même manière qu’un trou percé d’un homme reste un trou percé d’un homme, et comme elle en avait trois, la somme totale des positions géographiquement réalisables ne me laissait pas de marbre.
— Je venais te taxer une clope ! se justifia-t-elle. — Ca tombe bien, lui rétorquai-je, d’un air égrillard. J’ai un gros cigare à te faire goûter ma cochonne.
Je saisis par le chignon cette jeune imprudente après avoir refermé la porte de ma chambre derrière moi, et portais sa bouche assoiffée de foutre sur mon Corona calibre 12.
— M... Mmmmph... Mais je... pleurnicha-t-elle. — Plus de glouglou, moins de blabla !

Et le silence se fit. Elle gobait tout. On aurait dit qu’elle n’avait pas mangé depuis trois jours. La chanson on est foutus, on mange trop d’Alain Souchon me trottina dans la tête. C’était un spectacle désolant pour moi de me faire sucer par une grosse avec cet air entraînant de variétoche seventies dans la tête. Pendant que les trombones, les cuivres et le chant du père Souchon me trottinaient dans la tête sur un rythme de 80 battements par minute, Julie, elle, se nourrissait de ma verge en cadençant sa grosse tête à 60 battements par minute. Afin que les mouvements de va-et-vient de sa gorge profonde correspondent au rythme de la chanson que j’avais dans la tête, je décidais alors de saisir ses cheveux par touffes entières, et de faire correspondre sa cadence d’avec ma chansonnette.
— Aaaaïe !... Tu... Gloups... Me... Fais... Gloups... mmmph... Mal ! chouina-t-elle.
T’as de la chance que j’aie pas en tête la valse à mille temps, de Brel, quoique... lui fis-je. Quoique...
Et je me mis à lui susurrer à l’oreille, en démarrant une nouvelle chanson :
— Au premier temps... De la pi-peuh.
Puis nous passâmes au deuxième temps, puis au troisième, au dixième, etc. Jusqu’à ce que je parvienne, à 200 battements par minute au millième temps de la valse. Possédé, hurlant, tremblant, pris en proie à des contorsions d’épileptique, je lui perçais les tympans, elle, me dégorgeant le poireau à la vitesse de l’éclair, moi, me faisant pomper à toute allure, le frein sur le point de se rompre, ma comparse de dégueuler :
— Une pipe à MILLE TEMPS !!! Une PIPE A MILLE AAAAA AAAA AHH JE VAIS TOUT LAAAAAAAACHER !!!!
Et je finis par lâcher un torrent de foutre entre ses amygdales. Elle était sur le point de tout recracher, la bougresse. Je saisis ses deux lèvres, et la force à avaler ma liqueur de vie.
Elle déglutit bruyamment, poussant un haut-le-cœur, et finit par roter.
Une odeur putrescente de chips et de coca sortit de son cloaque. Je rebandais.
— Quoi ? Tu bandes encore ? Une bonne pipe ne t’a pas suffi ?
En guise de réponse, je lui tripotai les seins. Sa grosse paire de seins. Ses deux ogives nucléaires. Et je les léchai. Les mordillai. Crachai dessus. Ravalai ma salive. Tentai d’en faire sortir du lait. En vain.
— Je vois que Monsieur aime bien mes nibards ? me fit-elle d’un air maternel.
Je saisis mon pénis, dégrafai son soutien-gorge, et m’en fis un bâillon contre mon nez. Je respirai son parfum de sous-tif, je m’en imbibai, tel un amant éploré, tandis que je croquai à pleines dents son sein gauche, puis son sein droit.
— Aaaaaaaaaaaie !!!
La respiration haletante, à deux doigts de l’asphyxie, je plongeai ma bouche de plus en plus bas, jusqu’à son pantalon de pyjama. Une petite touffe de poils pubiens dépassait de ses bourrelets de grosse truie. Elle mouillait. La température de sa grosse chatte d’obèse devait bien dépasser les 45 degrés. Otant de mon visage le soutien-gorge qui m’étouffait en plus de me donner l’air d’un con fini, je respirais à nouveau. Sa vieille vulve puait. Une infection. J’aimais ça.
Me relevant d’un coup, je saisis sur ma table de nuit une tablette de chocolat. La découpant en petits morceaux, je l’enfonçai dans son vagin.
— Mais qu’est-ce que tu fous mon bébé ? qu’elle me fit.
Je frottai consciencieusement la paroi de sa chatte avec mon chocolat lindt à 15 euros la tablette, et imbibai ces divins carrés de mouille et de pertes blanches. Mon carré de chocolat était recouvert de traces blanches et de poils pubiens. Je l’engloutis avec volupté.
— Mais t’es dégueulasse !
Je n’en avais plus rien à faire. Julie eut beau faire semblant de se débattre avec la fausse pudeur qu’ont toutes les femmes honteuses de se livrer à d’obscènes pratiques, ma chérie d’un soir n’eut pas le courage de m’empêcher de lui enfoncer un par un une dizaine de carrés de chocolats dans son trou à vie.
— AAAAAAAaie !!! Ca fait maaaaal !!! — Pousse ma jolie ! J’avale tout pendant que ça fond ! Ta chatte est un véritable four micro-ondes tellement que t’es en chaleur !
Et elle lâcha tout, d’un coup. J’avais du chocolat plein la bouche.
— Fais-moi goûter !
Je m’approchai de sa bouche, et y cracha sans une once de vergogne son chocolat de chatte. Elle régurgita tout sur mon visage. Tout. Le chocolat, les pertes blanches, les poils pubiens, mais également les chips en fin de digestion et le coca bien acide qui me brûlait les yeux. J’étais aux anges.
— Oups ! Désolé mon bichon, ça va ?
A peine eut-elle fini ces mots qu’elle vint me laper le visage, comme la petite chienne qu’elle était, pour ôter de ma face souillée son résidu gastrique multicolore. Je ne saurais pas dire combien de temps ma petite cochonne mit à nettoyer mon visage. Peut-être cinq minutes, peut-être dix, peut-être vingt, seul Dieu (qu’il me pardonne) le sait. Je sentais son haleine chaude et puante près de mes narines, et cela me faisait du bien, beaucoup de bien. Je n’eus même pas besoin de me toucher pour tout éjaculer. C’était comme un avant-goût d’orgasme féminin. Pour la première fois de ma vie, je me sentais femme. J’ai joui sans me toucher.
— Bah dis donc, t’as fait un gros pipi sur toi ! me dit-elle d’un air attendri. — C’est pas du pipi, c’est du sperme, lui rétorquai-je. — Bah dis donc, t’as fait un gros sperme-sperme sur toi ! me fit-elle, comme si elle n’avait pas compris.
Désireux de voir jusqu’où allait sa bêtise, je lui fis :
— En fait, c’est pas du sperme, c’est du coca-cola. — Bah dis donc, t’as fait un gros coca-cola-coca-cola sur toi !
J’eus envie de l’assommer d’un dictionnaire, la page comique de répétition sur la gueule, mais je me retins.
— Je suppose qu’après deux éjaculations en moins d’une heure, me sermonna-t-elle, tu n’as plus trop envie de bander.
Ma bite lui donna tort.
Sans me demander mon avis, ma souillonne s’empala dessus. Par-derrière. Dans le cul. J’n’étais pas prêt.
— Ca rentre comme dans du beurre, ma jolie, lui fis-je. Tu te fous des trucs dans le cul pour préparer le terrain, ou ça se passe comment ?
Elle n’eut pas le temps de me répondre que j’eus déjà un semblant d’explication.
Je sentais contre mon gland un objet lourd et métallique. Je sortis mon gland merdeux de son cul béant. Autour de ma bite était enlacée, tel un serpent autour de sa proie... une montre. Elle indiquait sept heures vingt-huit. J’avais cours à huit heures aujourd’hui.
Je me levai sans lui demander plus d’explication, lui remis sa montre dans l’anus, et lui indiquais la sortie.
— Et ma clope ? me fit-elle, avec des yeux de merlan frit.
J’extirpais une Marlboro de mon paquet de 30, et la lui enfonça dans l’anus, avant de la rhabiller, et de le faire sortir de ma chambre manu militari après lui avoir donné une petite tape sur les fesses.
— Dans moins de 30 minutes on a cours, alors magne-toi ma grosse !
Je me lavai, me rhabilla, et sortis de mon humble logis pour me rendre à mon cours de Génie industriel.
A suivre, donc...
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