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Tata Carole et moi

Chapitre 1

Premier contact

Inceste
Mon histoire avec ma tante commença l’année de mes 19 ans. Une fois mon bac en poche, je devais partir faire mes études dans le sud de la France et à défaut d’avoir trouvé un logement, ma tante Carole qui vivait seule m’a proposé de venir habiter chez elle, ce que j’acceptai avec plaisir. Mais ce que je ne savais pas, c’est que cette décision allait m’amener vers une version de moi-même que je ne pensais jamais découvrir et dont je ne sais pas encore aujourd’hui si elle m’épanouit ou me contrarie.
Je connaissais très peu ma tante (c’est le moins que l’on puisse dire), mais avait l’habitude de la voir tous les ans au repas de noël où je ne lui parlais pas beaucoup, préférant rester avec mes cousins. Un mois avant la rentrée, j’arrivais donc chez elle, c’était une femme de 50 ans d’environ 1m75 dont les cheveux (étant un mélange de brun clair et brun foncé) arrivaient au niveau de ses épaules. Elle m’ouvrit la porte et m’accueillit en disant avec une voix étrangement malicieuse :
— Hello mon chéri !
Puis, alors que je pensais qu’elle se penchait pour me faire la bise, elle prit mes joues entre ses mains puis me fit un rapide bisou sur la bouche.
— Tu sais Max, tata est très contente de t’avoir avec elle, mais comme je te loge gratuitement, j’ai dit à ta mère que tu devras m’aider et feras tout ce que je te dis pour compenser, on est d’accord ?— Oui tata, avec plaisir.
Elle me fit une petite tape sur la joue et répliqua :
— C’est bien, je sens qu’on va passer une belle année toi et moi !
Très rapidement, une routine s’installa, elle était très autoritaire et me sollicitait en permanence pour effectuer les tâches ménagères de la maison, je n’avais littéralement aucun répit ou moment pour moi. La plupart des gens auraient protesté, mais étant de nature introvertie et très timide, je m’exécutais sans rien dire. Le plus troublant est que malgré le fait que ces tâches étaient pénibles, je prenais tout de même une certaine forme de plaisir à les faire et il commençait à se passer à l’intérieur de moi quelque chose d’étrange. Même si au début, je ne voulais pas l’admettre... j’ai honte de le dire, mais j’ai très vite commencé à avoir de l’attirance pour ma tante. Son look de femme mature de 50 ans avec ses robes Desigual démodés m’excitait, tout comme son caractère dominant. Elle m’utilisait comme son objet à tout faire et prenait un mesquin plaisir à me traiter comme de la merde en m’obligeant à répéter les mêmes taches encore et encore.
Le plus vicieux est que pendant ce temps-là, elle restait assise sur le canapé à m’observer. J’avais d’ailleurs remarqué qu’elle ne portait pas de culotte et avec le recul, il est même possible qu’elle ait fait exprès d’écarter les jambes pour que je le remarque. Une fois le soir venu, elle avait l’habitude de sortir pour ne rentrer que tard dans la nuit, elle était sans doute de garde dans les refuges de migrants avec lesquels elle collabore. Ma chambre était à côté de la sienne et quand elle ne sortait pas, elle passait ses soirées à se donner du plaisir, entendre ses cris et couinements de jouissance était mon moment préféré de la journée, j’avais même pris l’habitude de me branler en l’écoutant et en repensant à elle quand elle me donnait des ordres. Mais après chaque éjaculation, un sentiment de honte m’emplissait, c’était tout de même ma tante... ce qui ne m’empêchait pas de recommencer.
Un soir, alors que j’étais allé boire un coup au salon, je me rendis compte que la porte de sa chambre n’était pas fermée et que des sons de clapotis mêlés à d’épars gémissements en provenaient. Que devais-je faire ? Retourner dans ma chambre ? Sans doute ! Je n’allais quand même pas épier ma tante... je passais mon temps à me dire que ce n’était pas saint, mais elle avait un pouvoir obsessionnel sur moi et la tentation était si grande que je ne pus pas résister. Au moment même où je passai un œil par-delà la légère ouverture de la porte, mon pénis se dressa de son entièreté venant me gêner, serré dans mon pantalon. Elle était là, nue et allongée sur son lit à tapoter frénétiquement sur sa large et baveuse vulve de quinquagénaire, j’étais envouté par son corps, ses seins mi-fermes mi-tombants, sa peau n’était pas ridée, mais avait un aspect granuleux ou légèrement tacheté qui témoignait de son âge, elle était bien loin des filles lissées que j’avais pu fréquenter.
Pris dans ma bulle d’excitation, je sortis ma bite et commençai à me branler en l’observant, très vite, je ne pus plus me contrôler et émis de petits couinements, ce qu’elle ne mit pas longtemps à remarquer. Elle me dit alors, la voix essoufflée, sur un ton suave et autoritaire :
— Hummm je vois que mon neveu et aussi pervers que sa tata ! Je te fais de l’effet ?
J’étais profondément embarrassé et incapable de sortir le moindre son de ma bouche.
— Ne sois pas impoli, réponds à ma question ou je dirais à ta mère que tu n’as pas été sage. Ça t’excite quand je frotte ma main sur ma chatte bien humide ? — Je... je suis désolé... je vais retourner dans ma chambre... pardon...— Je sais que tu crèves d’envie de me rejoindre petit cochon, sois pas timide, viens là ! Tata va pas te manger, puis ça restera entre nous, tu sais.
Fébrile, je me mis alors à quatre pattes sur le lit devant elle, puis elle me prit par le menton et me dit, son visage quasiment collé au mien :
— Tu veux goûter à la vieille chatte à tata ?— Oui.— Hummm bien.
Elle s’allongea sur le dos, écarta les jambes, me prit par les cheveux et amena ma tête juste devant sa vulve. J’étais nez à nez avec sa magnifique chatte et surpris par la forte odeur qui s’en dégageait, je fis une légère grimace.
— Bah alors qu’est-ce que t’attends pour fourrer ta tête dedans ? — Ça sent fort... — Tu es trop habitué aux petites étudiantes qui passent tellement de temps à se récurer la vulve qu’elles ne font que la fragiliser... alors oui ça sent la femme, la vraie ! Mais coquin comme tu es, tu vas vite en devenir accroc tu verras !
Elle me plaqua la tête contre sa chatte, ma bouche était trempée par sa mouille et je me mis alors à lui renifler le vagin à plein poumon, ressentant une montée d’excitation à chaque inspiration, comme si l’odeur de son sexe était aphrodisiaque.
— Ah tu vois je te l’avais dit ! On dirait un chien enragé... mais je sens rien bouge-toi ! Allez vas-y merde, lèche, lape, aspire, crache, utilise ta langue ! Je sens rien putain...
J’étais désemparé, je faisais pourtant comme d’habitude, je la sentais s’agiter, son ton devenait agressif, mais je ne savais pas quoi faire de plus, j’étais comme bloqué.
— Bon va y avoir du boulot à ce niveau-là hein ! Maintenant, baise-moi !— Sans capote ? lui répondis-je.— Tu rigoles ? On est en famille après tout !
J’étais trop excité pour refuser et me sentais de toute façon incapable de m’opposer à ses ordres. Je pris mon pénis et l’insérai délicatement en elle alors qu’elle était toujours sur le dos. Je me mis à faire de doux mouvements de va-et-vient réguliers. Elle me regardait dans les yeux avec un regard foudroyant et purement sexuel, je n’avais jamais vu ma tante comme ça, mais cela m’excitait tout particulièrement.
— Putain, mais tu sais pas baiser ou quoi ? Allezzzzz ! Défonce-moi putain ! Tape dans le fond ! Remplis-moi le ventre avec ta bite ! Je sens rien là !
Excité par ses complaintes et son ton dominant, je sentis mon sperme monter en moi et sortis vite de sa chatte pour éjaculer sur ses draps dans des petits cris saccadés et aigus.
— Déjà ? J’y crois pas, mon neveu est un incapable au lit... tu vas me le payer ça, c’est certain, je vais bien m’occuper de toi petite merde. Moi qui comptais passer une bonne soirée. Et regarde, t’as dégueulassé mes draps ! Va te coucher, je veux plus te voir ce soir.
Je partis donc la tête baissée dans ma chambre où je mis des heures à m’endormir, pensant au corps de ma tante, à sa chatte, je le revoyais en train de me demander de la baiser, en train de me traiter d’incapable... elle occupait désormais l’intégralité de mes pensées.
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