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Tata Carole et moi

Chapitre 2

La journée où ma sexualité bascula

Inceste
La toute première tâche que je devais m’assurer d’effectuer le matin avant que ma tante se lève était de nettoyer les toilettes pour qu’elles soient étincelantes quand elle s’y rend en se levant. Mais après la soirée que je venais de passer, étant trop occupé à me remémorer l’odeur de sa chatte, j’avais complètement oublié de le faire le lendemain matin. Alors que j’étais assis sur le canapé, je la vis sortir des toilettes et s’approcher de moi d’une manière déterminée. Elle me prit par l’oreille et m’amena en me tenant par celle-ci jusque devant la cuvette des toilettes où elle me dit sévèrement en la pointant du doigt :
— Tu te fous de ma gueule ? C’est ça que t’appelles nettoyer ? Les chiottes sont infectes !
Elle s’accroupit et leva sa jupe, ce qui me fit détourner mon regard.
— Arrête de jouer aux innocents après ce qu’il s’est passé hier soir... tu vas regarder tata pisser sur le carrelage puis le récurer et le faire briller !
La situation était improbable, dérangeante et grisante à la fois, jamais je n’aurais pensé voir ma tante uriner devant moi, j’étais humilié et elle sentait que j’aimais ça. Elle se mit à pisser, laissant une petite flaque au sol, puis s’assit sur les chiottes, les jambes écartées. Je n’arrivais pas à détourner mon regard de sa chatte, depuis hier soir, je ne pensais plus qu’au moment où je pourrais de nouveau plonger mon nez dedans.
— Bah alors ! Nettoie ou je te fais lécher ma pisse !
Je me mis alors à nettoyer minutieusement sa pisse, à quatre pattes, tandis qu’elle me regardait en se touchant la chatte, assise sur les chiottes. Excité par la situation, mon pénis se dressait de nouveau dans mon pantalon et quand je me mis à genoux après avoir fini de récurer le sol, elle ne manqua pas de le remarquer et me dit en s’enfonçant des doigts dans le vagin :
— T’es un vrai petit vicieux ! Ça t’excite de voir ta tante s’enfoncer des doigts, assise sur ses chiottes ? — Oui tata, je ferais tout pour pouvoir renifler et sentir l’odeur de votre chatte encore une fois.
Sa vulve baveuse était juste là, devant ma tête, et elle continuait de rentrer et sortir ses doigts désormais trempés dans son vagin. J’essayai alors d’approcher mon visage de sa chatte, mais elle me repoussa immédiatement, en posant délicatement la pointe de son talon noir sur mon front pour me faire reculer et dit :
— Tu m’as entendue te dire que tu pouvais me lécher la chatte ?— Non tata...
Elle enleva délicatement les deux doigts trempés qu’elle avait dans sa chatte.
— Tu as bien nettoyé le sol, ça mérite une petite récompense. Ouvre la bouche, tu vas goûter la vieille et humide chatte à tata !

Toujours genoux à terre devant elle, j’ouvris la bouche en grand et elle m’enfonça ses deux doigts imbibés de mouille dans celle-ci en faisant de lents mouvements de va-et-vient. C’était délicieux, je n’avais rarement pris autant de plaisir dans ma vie qu’en suçant et aspirant ses doigts pour y extraire son suave et goûteux liquide intérieur.
— Hummm c’est bien, elle est bonne la chatte à tata Carole hein ? Suce bien mes doigts, pense à toutes les bites qui sont venues déposer leurs odeurs en moi, aux litres de foutre qui ont parcouru mes parois ! Tu as vraiment de la chance d’avoir une tata comme moi, petit veinard !
Après un certain temps, elle retira ses doigts de ma bouche. J’étais autant exalté par le goût de sa mouille que je l’avais été par l’odeur de sa vulve. C’était trop, je ne pouvais plus résister, elle m’obsédait et l’excitation devenait insoutenable. Je tentai donc une deuxième fois de m’approcher de son sexe. Elle agrippa alors violemment mes cheveux avec une de ses mains et maintint mon visage tout proche de sa chatte sans que je puisse la lécher.
— C’est pas vrai, t’es vraiment un acharné... tu penses vraiment mériter de me baiser après ta pitoyable performance d’hier soir ?— Je t’en supplie tata ! — Tu ne sais même pas vraiment qui je suis... tu serais prêt à faire quoi pour ma chatte ?— Tout ce que vous voulez.— Ah oui vraiment ? Nous verrons ça demain, j’ai invité ta cousine Jade à venir boire un verre à 14h. Aujourd’hui, je ne veux plus te voir, fiche le camp !
Ses paroles étaient très intrigantes et je ne voyais pas vraiment quel était le rapport avec ma cousine. J’attendis le lendemain avec impatience, toujours enivré par les souvenirs gustatifs et olfactifs que ma tante m’avait laissés.
Le lendemain, comme prévu, la porte sonna à 14h. J’étais tranquillement assis sur l’un des canapés du salon quand ma tante descendit les escaliers pour venir ouvrir la porte. Dès que je la vis, une sensation de chaleur vint s’emparer de moi. Elle s’était changée et était dans une tenue de cougar vulgaire et sexy à la fois. Elle portait des talons noirs et des collants filet noirs qui laissaient une ouverture au niveau de son cul et de sa chatte qui étaient à l’air libre, sans culotte. Pour ce qui est de son haut, elle portait une fine veste proche du corps en simili croco noir. J’étais excité et perturbé... pourquoi s’était-elle habillée comme ça pour accueillir ma cousine ? Mais surtout sa propre fille ! Elle ouvrit la porte et Jade entra. C’était une jeune et grande femme de 25 ans aux cheveux blonds qui lui arrivaient en dessous de la poitrine. Elle portait des grandes bottes rose vif qui lui arrivaient en dessous des genoux et un long manteau rose pâle. Ma tante l’accueillit :
— Ah tu es toujours aussi belle ma fille, ça faisait longtemps ! Donne-moi ta veste et assieds-toi en face de ton cousin.
Jade enleva sa veste et je fus de nouveau choqué, bien que je me mis à bander instantanément. Sous sa veste, elle ne portait pas de bas, mais uniquement une culotte en dentelle rose vif et un haut transparent noir moulant laissant voir sa pulpeuse et ferme poitrine. Elle s’assit en face de moi pendant que ma tante entama la conversation en allant dans la cuisine :
— Hum waw j’adore ta tenue, ça te va vraiment bien. Je reconnais bien ma coquine de fille !— Merci ! Tu sais quand j’ai lu ce que tu avais fait avec Max, ça ne m’a même pas étonnée plus que ça venant de toi.— Tu me connais, au plus le sexe est à la limite du malsain au plus je le trouve meilleur.— Comme tous ceux qui aiment réellement le sexe ! Regarde t’as qu’à voir, à chaque fois qu’on va en club, les mecs se tournent plus vers les cougars comme toi maman que vers les petites jeunes aseptisées.
Ma tante vint s’asseoir à côté de ma cousine en lui donnant une coupe de champagne tandis que j’écoutais leur conversation, dans l’incompréhension.
— Et voilà le champagne, dit ma tante.— Pas de coupe pour lui ?— Il en boira quand ça sera un homme.— Il a 19 ans pourtant non ?— Oui, mais un homme un vrai sait s’occuper d’une femme, il a passé trop de temps avec ses petites étudiantes angéliques.— Il sait pas baiser ?— C’est un incapable, il se la joue romantique à pas vouloir y aller à fond. On dirait une larve, il est incapable de prendre les choses en main... c’est pas ça que j’appelle un homme.— Romantique ? Haha, les vraies femmes aiment être traitées comme des chiennes, il faut être un animal, brutal, cru ! Il tient pas de nous en tout cas, dommage il est plutôt mignon...— Ah non, mais c’est parfait... j’ai jamais vu une lope comme lui ! Tu l’aurais vue hier matin en train me supplier à genoux le nez à 2 centimètres de ma chatte dans les chiottes. Il m’a promis qu’il ferait tout et n’importe quoi pour ne serait-ce que la ressentir encore une fois !— Ah je croix que je vois où tu veux en venir maman, vicieuse comme tu es, ça ne m’étonnerait même pas. Il est sage comme une image en tout cas. Tu n’as rien à dire mon Max ?
J’étais choqué, déboussolé et bouillonnant de voir le lien sexuel présent entre ma cousine et sa mère. Je répondis alors à Jade d’une voix fébrile :
— Heu non... enfin je suis un peu perturbé, je ne comprends pas...
Jade répondit alors :
— Ta tante t’a pas expliqué ?— Je pensais qu’il l’avait deviné, mais visiblementn il est encore plus novice et crédule que je le pensais ma fille... c’est simple Max, ta cousine et moi sommes de vraies petites salopes ! On va souvent en club ensemble et sommes très connues dans le milieu libertin. En même temps, il faut avouer qu’une mère et sa fille qui jouent les vides couilles ensemble; c’est pas vraiment courant et ça en excite plus d’un. D’ailleurs, je vois que tu bandes encore ma petite pédale ! C’est ta cousine qui t’excite ? — Oui tata, lui répondis-je.— Alors, sors ta bite et branle-toi devant elle !
Je m’exécutai alors sans rien dire, sortis mon pénis et me mis à ma masturber en regardant ma cousine, qui dit en passant sa main dans sa culotte :
— Humm t’as raison, il est bien docile, il s’exécute sans rien dire. Toi qui as toujours voulu avoir une soumise maman ! Vas-y branle bien ta petite bite pendant que je me touche là humm...
Ses paroles m’excitaient et je me masturbais de plus en plus vite. La situation était encore une fois trop grisante, je sentis mon sperme monter le long de ma verge et éjaculai en poussant des petits râles aigus.
— Oh oui je suis trempée putain on dirait un puceau ! Je peux le nettoyer ? dit Jade.— Fais-toi plaisir ma fille, répondit Carole.
Jade vint à genoux devant moi et se mit à lécher la moindre goutte de sperme présente sur ma bite, mes couilles, mes jambes et mon ventre, me provoquant des spasmes de plaisir. Pendant qu’elle me léchait, elle me malaxait les testicules et me foudroyait d’un regard pénétrant avec ses yeux bleus. Je me croyais dans un rêve ou un porno, mais non, c’était bien la réalité. Ma cousine aspirait mon jus sous les yeux de sa mère.
— Hummm qu’est-ce qu’il est bon ton sperme, me dit-elle entre deux coups de langue.
Une fois terminée, elle revint s’asseoir en face de moi, la bouche collante de mon sperme. Ma tante se plaça à côté de moi et me dit autoritairement :
— T’as aimé ? Parce que c’était la dernière fois que tu éjaculais jusqu’à ce que je t’y autorise à nouveau espèce d’incapable. Et d’ailleurs, j’ai une surprise pour toi.— C’est quoi ? lui répondis-je.
Elle prit la grosse boîte se trouvant sur la table, l’ouvrit, en sortit un objet et me dit :
— C’est une cage de chasteté.— Je veux pas mettre ça...— Tu veux pas revoir ma chatte ? Je t’excite pas c’est ça ?— Si, je ferais tout pour la renifler encore une fois.— Bien, alors tu vas mettre ça sur ta petite bite de puceau et si tu es sage et quand je serai de bonne humeur, je te libérerai peut-être.
Elle plaça la cage de chasteté sur mon pénis et ferma son cadenas à clef. Elle replongea ensuite sa main dans la boîte et en sortit un fin collier en cuir noir avec devant un os en argent avec « Max » gravé dessus et relié à une laisse en métal. Elle m’attacha le collier autour du cou et me dit :
— A partir de maintenant, tu es ma lope, ma soumise, ma petite pute et tu vas m’accompagner me regarder me faire baiser par tout le monde et par tous les trous bien sagement, sans pouvoir rien faire, comme un bon petit toutou à sa tata !— La pute à black et sa chienne, j’adore ! dit Jade.— La pute à black ? répondis-je. — Quand elle est pas avec moi, ta nouvelle maîtresse ne baise qu’avec des blacks, elle est connue dans tous les foyers d’immigrés de la région. Pas vrai maman ?— Oui, j’adore me faire défoncer par plusieurs blacks bien montés, sentir leur odeur animale, me faire agripper par leurs mains puissantes, les sentir vider leur colère en moi, les entendre me parler dans une langue inconnue et qu’ils me traitent comme un objet. Et ce soir ma lopette, tu vas venir avec moi me regarder faire ma pute à black, sans pouvoir rien faire !
Le collier et la cage de chasteté attachés à moi, je me sentais humilié, mais dans le fond heureux de l’être. Ma vie sexuelle venait de prendre un tout autre tournant. Je n’en étais plus le maître. J’étais désormais le soumis (ou plutôt comme elle aimait si bien le dire "la soumise") de ma tante et lui appartenait tout entier. Au plus, la soirée approchait au plus excitation et appréhension se mêlaient. Je ne savais ni à quoi m’attendre, ni comment j’allais réagir. Ce qui était certain, c’est qu’à partir de maintenant, ma vie ne serait plus jamais la même et que cette soirée allait profondément me changer...
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