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Tata Patricia donne le meilleur d'elle même.

Chapitre 1

Let it be, my god.

Hétéro
Évoquer des aventures sexuelles impliquant le cercle familial titille ma pudeur, pourtant, au terme d’une prescription de près de trente années de silence total, je m’autorise aujourd’hui à vous parler de ma tante Patricia, « Tata Patricia ». Remémorer ce moment, c’est émouvant et excitant à la fois.En abusant souvent de l’absence de son mari, j’ai un peu côtoyé en tête à tête cette chère tante. En vain. Jamais mon courage n’a été à la hauteur pour lui avouer ma flamme. Disons que Patricia non plus, elle n’a pas ouvert son cœur à mes timides tentatives.Sachez-le tous, aujourd’hui je me lâche ! Alain a toujours bandé pour Patricia, il faut que ça se sache ! Crions-le sur les toits ! En présence de Patricia, une émotion paralysante me martyrisait comme un jeune puceau à la veille d’être déniaisé. Je n’en démords pas, seuls les attributs accordés aux déesses asiatiques qualifient cette jeune femme. C’est juste un petit bout de fille brune, aux longs cheveux de jais. Ses yeux sombres, effilés en amande, illuminent un visage de porcelaine. Sa bouche ourlée d’un rouge carmin dévoile une sensualité à faire se pâmer un amateur de gâteries buccales.Son corps, on le devine, est à l’avenant, même si sa discrétion naturelle ne l’autorise pas à porter des vêtements trop ouverts. Sa démarche naturelle de chat délicat surprend, elle est si discrète. Elle joue beaucoup de ses origines asiatiques présupposées. Ses parfums nous offrent un discret bouquet de senteurs du soleil levant. Je pourrais en ajouter à l’infini, tellement je la désire. Patricia parle très peu, je ne sais presque rien d’elle, je dois beaucoup mon excitation à un excès d’imagination, un trop-plein de fantasmes.Dix années se sont écoulées sous ces augures maléfiques : Patricia avec son militaire de mari d’un côté, Alain, malmené par ses idées salaces, de l’autre. Voilà le tableau ! Quelques ragots m’ont laissé comprendre que le bonheur n’avait pas frappé à la porte de son ménage depuis longtemps. Un point, c’est tout !En fin d’année, à un mois de Noël, une bonne nouvelle arrive enfin : Papy Alexandre est décédé. Patricia sera forcément présente aux obsèques, Alexandre est son beau-père. D’où qu’elle vienne, je suis convaincu qu’elle sera là le jour-dit. Il faut que tu sois là, Patricia, je t’attends, tu le sais... Enfin, non, tu ne le sais pas... À quand la date des funérailles, bon Dieu ?Le vendredi suivant, sur le parvis de la petite église charentaise, quelques dizaines de personnes attendent le convoi funéraire sous un crachin persistant. Des voitures ralentissent, elles s’arrêtent en déversant des grappes d’anciens qu’une trop longue marche épuiserait.Une main légère effleure mon épaule.— Ah ! Tata Patricia !— Je t’ai fait peur, cher Alain, tu es tout pâle, je parie que tu ne t’attendais pas à me voir aujourd’hui ?— Si... Bien sûr... Enfin, non... Je ne savais pas, mais je pensais...— Ne me dis pas que tu pensais à moi ?— Souvent... Tu sais... Peut-être aujourd’hui, un peu plus...— Bon, respire Alain, fais-moi plutôt une place sous ton parapluie.— Tu es seule ?— Jack est en mission, il n’a pas pu venir, alors je le remplace... Une dernière fois.— Pourquoi, une dernière fois ?— Nous nous séparons. Il est enfin d’accord. Le divorce sera prononcé dans trois semaines. On peut se faire la bise ? Ça fait un bout, notre dernière rencontre ?— Trois ans et deux mois... Enfin, à peu près...— Ne me dis pas que tu as compté les jours ! Tu n’as que ça à faire dans ta vie ? Dit-elle dans un éclat de rire ?Le camion des pompes-funèbres se gare devant le lieu de culte, accueillit par le prêtre et la famille.Patricia rayonne malgré le temps maussade. Pourquoi je la tiens encore par les épaules, trop près de moi, durant cette conversation ? Pourquoi j’en suis à la neuvième bise ? Pourquoi Patricia n’éprouve aucune gêne dans cette situation ?— Tu as vraiment l’air heureux de me retrouver, lance-telle.
— Doublement, doublement heureux ! Vu ce que tu viens de m’annoncer...— En quoi ça peut te concerner ?— Oh ! Ils sont tous entrés à l’église, viens, on va se faire remarquer...En effet, aucun membre de la famille n’ignorera notre retard. Le couinement de la porte sur son chambranle d’un autre âge a fait se retourner toute la chagrine assemblée. Nous nous calons debout sur le bas-côté, appuyés à une pile de granit froid. Patricia reste près de moi, engoncée dans un imperméable trop grand emprunté à sa sœur.Sont-ce les circonstances funestes, ou un simple appel à la consolation ? Le regard de Patricia, empli de larmes, me fait fondre. Par compassion naturelle, ou pour toute autre raison, j’enserre ses épaules et y reste posé. Personne ne peut nous observer. Elle laisse mollement pendre son bras. Sa main effleure ma cuisse.Pourquoi ce miracle se révèle-t-il maintenant ? Ces lieux sont bien propices aux manifestations divines, mais quand même ! Sûrement par inattention, je me tourne d’un quart vers elle. Le bout de ses doigts chatouille ma verge à travers le tissu du jean. La chaleur ne la surprend pas. Elle persiste. Je bande. Je bande pour elle et Patricia le sait, enfin.Son visage reste de glace, le regard baissé sur les textes sacrés. Qui pourrait imaginer mon tourment ? Patricia pianote maintenant sur ma flûte, juste avec les ongles. Une caresse subtile, sans innocence aucune. Un préambule attentif et précis. Je perds la boussole. Tant pis, Patricia connaît le chemin. Elle s’en prend à la fermeture de la braguette.Le prêtre accueille le défunt et propose à l’assistance d’allumer des cierges symbolisant l’espoir lié à la foi.Patricia tient, au creux de sa main, un cierge allumé juste pour elle. Elle le coulisse de haut en bas, de long en large... Sans un mot. Elle œuvre en dévote. Est-elle venue pour ça ? M’attend-elle autant que je l’espérais ? Elle m’entoure les couilles de ses doigts effilés et les tire vers le bas, que j’aime ça ! Pas autant qu’elle le voudrait, mon pantalon trop serré l’en empêche. Mais qu’importe. Elle a carrément sorti l’objet à l’air libre, le secoue de plus en plus vivement, tant, que son sac à main lui échappe. Il s’étale au sol, grand ouvert. Célébrant la liturgie de la parole, la voix du prêtre, amplifiée par les haut-parleurs, couvre le fracas de nos ébats. Que les rituels sacrés ont du bon parfois ! Le Président du Club de Foot annonce à l’encan tout le bien qu’il pense de son défunt trésorier, rigoureux, réactif et prévoyant.Au moment où le maître des lieux invite l’assemblée à se signer, Patricia tombe à genoux, adossée à la pile. Fébrile, elle ramasse ses affaires personnelles de la main gauche, les enfourne dans sa besace Louis-Vuitton. Sa main droite demeure accrochée à moi. Ma tige devient son piton de survie. Face à mon sexe cramoisi de congestion, Patricia lève son regard vers moi. Dans l’espoir d’une éventuelle approbation ? Voire d’un encouragement ?Elle n’attend pas ma réponse. La prieure à genoux pose délicatement le bout de sa langue à l’entrée de mon méat. La léchouille me parcoure du prépuce au gland, longeant le frein si sensible. Elle me tient solidement les boules. En les tirant entre mes cuisses elle libère à nu la tête du champignon. Gloutonne, Patricia se met à me pomper. Je défaille...Des années... Et des années... Combien de fois ai-je rêvé de baiser cette bouche si sensuelle, d’y fourrer mon sexe et d’y gicler tout mon foutre. Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi ici ?Maintenant, une certitude prend forme en moi : ma chère Tata n’a pas imaginé ce stratagème juste depuis ce matin, elle est venue me chercher. Elle attendait aussi ce moment incroyable.Futée, ou experte, Patricia sait identifier les prémices d’une éjaculation précoce. Lorsque je me sens prêt à lâcher ma semence, sa bouche, sa langue ou sa main trouvent le moyen de me stopper. Une vraie torture... Ô combien savoureuse. Au bout de cinq minutes de cette stimulation sans équivoque, je n’y tiens plus. Sans m’en rendre compte, j’ai les avant-bras appuyés sur le pilier et les yeux au ciel.Cette fois, elle ne m’aura pas, je vais enfin envoyer du lourd. Vas-y Tata Patricia. Pompe-moi ! Oui, suce-moi bien ! Oui, comme ça ! Oui, oui... Aïe !!! Aïe !!! Putain ! Elle m’a mordu le gland ! Par réflexe, je retire ma bite de sa bouche carnivore. Patricia affiche un large sourire. Elle se relève en réinstallant son sac à main et ses vêtements. Je remonte ma fermeture éclair.Le prêtre berce l’encensoir de long en large, pour le plus grand confort de l’âme du défunt. Après quoi, il annonce la diffusion de quelques morceaux de musique dont Papy Alexandre était friand, choisis par la famille. Annie Cordy et Patrick Sébastien sont de la fête.Je dois l’avouer : « Tata Yoyo » et « Les Sardines » suivies du « Petit Bonhomme en Mousse », ça a de la gueule !— J’ai envie d’un café, me susurre Patricia.— Moi aussi, réponds-je, en faux jeton, vu que ma seule envie c’est de baiser avec Tata. Tu retournes avec ta sœur ?— Non, elle n’est pas restée. Je comptais sur une bonne âme pour le retour. Tu pourrais ?Je lui glisse dans l’oreille, à mots feutrés, quand même un peu embrouillés :— Ah oui, ça, je te veux bien Patricia. Te ramener, pour sûr. Encore mieux, en passant chez moi. Je te servirai une bonne tasse de café bien chaud !Elle acquiesce. Pour le café... Ou pour le reste ? Va savoir !Le défilé autour du cercueil de tous les participants à l’office est bien entamé lorsque nous reprenons nos esprits. Après l’aspersion d’eau bénite, nous retournons à notre discrète cachette. Nous y échangeons un mélange de propos tendres et charnels. Patricia ne m’a pas seulement préparé à l’assaut final, elle s’est hissée sans peine à la hauteur de mon désir. Sur ce sujet, nous ne sommes plus qu’un. Uniques. Un couple sans obstacle, prêt à s’unir dans l’amour et la sensualité.Les serviteurs de Dieu sonnent le glas à la sortie du cercueil sur le parvis. Nous entendons aussitôt les voitures démarrer à la suite du fourgon funéraire vers le petit cimetière bordé de cyprès, le long de la nationale. Le bedeau, ou peut-être un enfant de chœur, est venu fermer la porte de l’édifice à double tour. Nous voilà seuls. Nous célébrons cette aubaine d’une tendre pelle, embrasée aux feux de notre impatience. Je m’efforce de dominer, dans ce premier baiser, une fougue qui pourrait m’asphyxier. Je joue la détente et l’élégance d’un grand garçon.— Patricia, que s’est-il passé tout à l’heure ? J’allais venir et tu m’as repoussé. Tu joues avec mes nerfs, je crève d’envie de toi.— Bel Alain, tu as bien dit « envie de toi », donc tu veux partager cet instant, n’est-ce-pas ? Tu n’es plus à te branler sur une de mes photos cachées entre les livres de ta bibliothèque. Nous sommes ensemble, tout va bien Alain, explorons donc les lieux, personne n’en saura rien.À droite du chœur de l’église, vers le fond, une porte dérobée entrouverte accède au presbytère où résidait le prêtre autrefois, lorsque chaque église pouvait compter sur le sien.Dans ce local de la taille d’un studio, les meubles sont recouverts de draps blancs les abritant de la poussière. Patricia découvre le lit d’une seule envolée de la housse protectrice. Son énergique efficacité déclenche un fou rire spontané à l’unisson. Nous rions ensemble jusqu’au moment où sa dernière pièce de vêtement roule au sol.Patricia est nue devant moi. Quelle merveille ! Bien au-delà de mes rêves les plus explicites. En ce lieu, c’est l’apparition d’une madone qui m’éclaire, la pureté de toutes les saintes qui m’éblouit. Je suis scotché sur place. À ma tête, elle comprend mon embarras. Je m’approche pour l’étreindre simplement. Tout son corps dégage ce parfum exotique goûté tout à l’heure sur sa joue. Ses doigts délicats débouclent ma ceinture pour descendre mon pantalon. Lorsqu’elle veut me l’ôter, le boxer reste accroché à ma solide branche. Sa main, glissant le long de mon chibre dressé en conquérant, le libère. Patricia ouvre le lit, elle s’allonge sans mégoter sur les draps pourtant oublieux de leur dernière lessive. Le contraste de cette perle éclatante, déployée sur la couche douteuse, transcende cet instant érotique. Le reste de mes vêtements s’envole par magie.Patricia pivote à demi en travers du lit, elle pose les pieds au sol en restant étendue. Elle ouvre ses jambes et m’offre à contempler une vulve de jeune fille, tout épilée. Ses mains, jointes en offrande, m’invitent à prendre place entre ses cuisses. J’exhausse sa prière, à genoux, les lèvres séchées d’impatience, la gorge serrée, à quelques centimètres de cet abricot nacré au bas duquel d’une légère fissure coule un miel de désir. Ma princesse d’un jour rapproche son bassin d’un léger déhanché. J’embrasse le calice, le sexe de Patricia. Ma langue glisse dans l’aine puis revient le long des grandes lèvres. Une saveur de mangue fraîche inonde ma bouche. Son toucher rappelle aussi ce fruit des tropiques.Je tiens Patricia par les hanches et la broute maintenant avec l’entrain d’un agneau juste mis au pré. Au contact de son clito, ses mains sur mon crâne marquent la mesure. Plus j’en donne, plus elle en redemande. Elle jouit sans bruit. Son corps est soulevé de brèves, mais intenses secousses. Ensuite, ma bouche remonte naturellement vers ses tétons jusque-là un peu négligés. Nos prémices les ont transformés en bourgeons prêts à éclore. Je les tète un à un, tout en doigtant généreusement ma partenaire. Sa mouille emplit ma main à chaque pénétration de mes deux doigts dans sa grotte. Dans une danse exaltée, les mouvements de son bassin amplifient mon impulsion, Patricia se saisit de ma tête à deux mains.Elle me décoche une intense langue fourrée, mimant à s’y tromper l’entrée espérée d’une bite dans le sexe d’une femme. Joignant mon geste à cette franche invitation, je pose ma queue à l’entrée de sa vulve. En poussant sur mes fesses, elle s’embroche de plein gré. Je ne sais plus si c’est bon. J’ignore si c’est savoureux. Je n’ai qu’une idée, bousculer Patricia jusqu’à lui envoyer mon foutre aux tréfonds de l’intimité. — Viens, viens... Me dit-elle, avec une tendresse presque maternelle. Ô combien compatissante.Ouf ! Sauvé ! Pour une fois, je ne passerai pas pour un goujat. Je m’engage aux limites du fond de l’abîme, je me sens aussitôt partir. Je fuse à m’évanouir. Je gicle d’un coup, ces dix longues années d’attente et d’espérance. Les parois de son vagin étroit palpitent sous ma décharge virile. Quand je crois que c’est fini, un va-et-vient supplémentaire suffit à expulser une nouvelle rasade de jute bouillante, encore... Encore...J’éclate en sanglots.Assis au bord de la couche infâme, je ne peux plus contenir mes larmes. Je pleure tout le chagrin retenu de ces fois où elle m’a échappée. Patricia ne peut pas comprendre. Je ne veux pas lui expliquer. Enfin, je crois...— Tu m’attendais, Alain. Je le sais, je l’ai toujours su. Jusqu’à maintenant, ce n’était pas possible, Jacky m’aurait tuée. Tu sais bien qu’il est d’une rare violence. Il ne m’a jamais rien épargné. Je peux te le dire, moi aussi, je me suis godé une paire de fois en pensant à toi. Dans mes rêves, tu m’as déjà fait subir tous les outrages possibles. Avec le temps, tu es devenu mon amant préféré. Discret et efficace, continue-t-elle en s’esclaffant.En parlant, Patricia me branle en douceur pour soutenir une érection très moyenne. Malgré tout, sa persévérance est payante, en moins de dix minutes, la gaillarde réanime la chose, relance le débat en quelque sorte.— Aurais-tu encore la force de m’enculer, après cette séance houleuse ? Si ça te dit, n’hésite surtout pas ! Regarde, me dit-elle en se retournant sur le plumard.Son fessier est à croquer, un derrière d’adolescent, bien musclé, agrémenté de quelques coquineries. Un tatouage discret. Une simple guirlande de petites feuilles descend du bas de l’omoplate, en courbe, jusqu’au lobe droit de son postérieur. Ensuite, l’ornement disparaît vers l’orifice. Quand Patricia s’installe en levrette, je crois apercevoir le dessin d’une marguerite autour de sa rosette anale. Non, en fait, il s’agit d’une inscription. Un koan(1) prometteur : “Let it be, my god”. (2)Surpris, je balbutie :— Pourquoi... Pourquoi en anglais ?— Réservé aux initiés, me répond la tatouée. Viens, prends-moi sans ménagement.Je pénètre une nouvelle fois Patricia. Pour d’autres délices. Pour d’autres jouissances. Je glisse entre ses fesses veloutées, elle me serre terriblement. J’aimerais être beaucoup plus apaisé. Le souhaite-t-elle vraiment ? Je la malmène en brute furieuse, lui claque les couilles sur la vulve à chaque envoi. La sodomisée, s’exprime enfin :— Défonce-moi ! Je prends un pied... Je prends un pied... Mon cul est béni par ta pine de feu. Fous-moi, jusqu’au cœur, viens, envoie tout ce qu’il te reste...Tant d’encouragements mènent vite à ma perte. Je m’entends brailler en éjaculant :— Patricia, Patricia, mon amour...Nous sommes affalés, rassasiés de douceurs, assouvis dans nos tensions, emplis d’un nouvel espoir. L’angélus a sonné depuis longtemps, le soleil d’automne, en se couchant, nous a plongés dans la pénombre. Le moment est venu de nous éclipser par la fenêtre du presbytère, refermée avec grande difficulté depuis l’extérieur.(1) le koan est une phrase paradoxale, destinée à nous faire réaliser les limites de notre logique(2) “Laisse faire, mon Dieu.”
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