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"Tatie" Annick

Chapitre 3

Brûlant retour

Hétéro
Nous montons chez elle. Annick amène deux verres d’eau et nous nous installons dans le canapé. Nous buvons quelques gorgées.
— Je ne vais pas te cacher que je suis terriblement gênée d’avoir eu cette attitude et d’avoir fait ce que nous avons fait, car je t’ai toujours considéré comme un neveu et c’est très perturbant. — Je n’ai pas compris ce qui nous arrivait.
Annick sourit.
— Ce qu’il nous est arrivé, Florent, c’est une alchimie. Une attirance rare et sauvage. Notre baiser a tout déclenché. — J’ai déjà éprouvé beaucoup de désir, mais pas comme ça. — C’est incontrôlable, presque ensorcelant, et...
Elle marque une pause.
— ... et je ne vais pas te cacher non plus que j’ai pris un plaisir fou et que cette perte de contrôle est une bénédiction. Florent, je vais être crue, mais je n’ai pas été baisée ainsi.— On est dans la merde alors. Depuis que tu m’as repris la main sur le chemin du retour, je ne pense qu’à recommencer.
Elle sourit. Elle se penche vers moi et nous nous embrassons. Annick caresse mon entrejambe.
— Sors ton sexe...
Je me déboutonne et baisse mon pantalon. Annick prend doucement mon sexe en main.
— Mamma mia... J’avais bien senti que c’était très gros !
Elle se penche et commence à me sucer plus tranquillement que sur le barrage. Je caresse ses cheveux, je suis aux anges, elle suce divinement bien.

Quelques instants plus tard, elle se redresse, me repousse dans le canapé et vient à califourchon sur moi. Elle remonte sa jupe et s’empale sur ma queue.
— Tu me fais mouiller comme une folle alors que je suis sèche depuis des années.
Elle commence ses va-et-vient et c’est absolument divin. Le dos droit, Annick déboutonne son chemisier, dégrafe son soutien-gorge et sa poitrine apparaît. Certes, ses seins sont tombants, mais ils gardent un volume assez étonnant. Annick s’est penchée sur moi, elle glisse sur mon sexe, ses seins dansent devant mon visage. Je me lance et les lèche, les tète, les mordille. Annick gémit bruyamment puis elle jouit soudain, tout en douceur, mais longuement. Son regard change. Elle se redresse et se lance dans un sautillement qui me rend fou. Le canapé est idéal et il ne me faut que quelques secondes pour inonder à nouveau son vagin. Elle s’affale sur moi :
— Je crois qu’on est dans la merde, oui !
Quelques instants plus tard, Annick se redresse et nous nous levons en veillant à ne pas tacher le canapé. À la salle de bains, elle se déshabille devant moi et je me remets à bander. Elle sourit :
— Ça me flatte et ça me surprend que tu sois déjà au garde à vous, comme j’ai été surprise que tu jouisses à nouveau sur le canapé. J’ai perdu cette habitude depuis longtemps.
Je ris tandis qu’elle entre dans la douche.
À la cuisine, en l’attendant, je mets de l’eau à bouillir. Annick arrive vêtue d’un peignoir de satin rouge. Elle sort quelques biscuits pour accompagner nos tisanes. Nous papotons librement, de sa situation en Sicile, de moi, de Giovanna. Et de nous. Nous partageons nos sensations. Annick dit :
— Il y a le côté plaisir. Il y a quatre ans que je n’avais pas eu de rapports et j’ai l’impression que c’est la première fois. Surtout dans ces conditions, car sur le canapé non plus. Ça faisait très, très longtemps. Et puis cette folle intensité, ce comportement, ce n’est pas moi...
Elle boit une gorgée de tisane.
— Et il y a le côté que je vais appeler malsain. Je te considère comme un neveu. Tu es certes adulte, mais ça me perturbe beaucoup.— Je comprends que ça soit compliqué.— Et toi ? Je me demande comment tu me perçois désormais.— Ce soir, j’ai eu une sorte de flash lorsque tu as retiré ton trench en arrivant. Je t’ai vue différemment.— À cause de la tenue ?— Oui. J’ai vu la femme derrière la tante. Je t’ai dit que tu étais très belle. Tu étais maquillée, ta poitrine marquait subtilement le tissu du chemisier, la jupe te faisait une taille étroite, qui contrastait avec la largeur de tes hanches, tes fesses rebondies emplissaient parfaitement la jupe et tes talons galbaient tes mollets. — Tu as vu tout ça... Là où je désespère du pouvoir de l’attraction terrestre sur ma poitrine et des réserves qui semblent ne s’accumuler que dans mes fesses !
Je ris.
— Ton excellent choix de soutien-gorge a su contrecarrer le pouvoir terrestre et...— Et... ?— Et je pense que tu as pu constater au barrage l’effet produit sur moi par ton cul.— Mmmh... Il m’a semblé que tu as vite été le caresser, n’est-ce pas ? — Oui...— Tu as aimé mon gros cul et j’ai aimé ta grosse bite.
Annick éclate de rire et rougit.
— J’ai honte d’être aussi grossière, mais ça me plaît beaucoup de le formuler ainsi !
Je ris également.
— Comment vois-tu la suite ?— Je ne sais pas. C’est trop tôt, trop frais. Je n’ai pas envie d’y penser.
Il n’est pas loin de minuit lorsque nous débarrassons la table. Annick est devant l’évier, je viens derrière elle et l’enserre dans mes bras. Elle dit une nouvelle fois :
— Tu n’imagines pas à quel point ça fait du bien de parler à un homme à l’écoute, attentionné, préoccupé par ma personne.
Je souris, car au même instant, ces quelques secondes contre ses fesses me font “réagir”. Annick sourit et ajoute :
— ... et qui ne semble pas insensible à mon charme vieillissant !
Elle rit en poussant doucement ses fesses en arrière.
— Mmmmh, ça me rappelle quelque chose cette position...
Elle relève son peignoir, dénude son cul orné d’une culotte en dentelles rouge également. Je frémis :
— Je raffole de ton gros cul.
Annick se redresse et se tourne en souriant. Elle passe les mains autour de mon cou tandis que je dénoue son peignoir et écarte les pans. Posant les mains sur ses seins, je la pelote, elle gémit doucement. Ses mains glissent de mon cou à mon entrejambe. Elle sort ma bite, me masturbe avant de s’agenouiller devant moi. Nouvelle fellation, lente, profonde, douce.
Annick se relève ensuite. Nous retournons au salon et elle me suce à nouveau, assise sur le canapé tandis que je suis debout. Alors qu’elle ralentit le mouvement, je la pousse au fond du canapé et m’agenouille devant elle. J’écarte ses jambes et entame un cunnilingus sur son sexe touffu. Ma langue glisse dans son intimité et excite son clitoris. Annick gémit bruyamment et m’exhorte à continuer. Elle jouit. Je la regarde reprendre ses esprits, c’est émouvant.
Quelques instants plus tard, elle prend mon sexe et le dirige dans le sien. Je m’allonge sur elle en la pénétrant. Je vais et viens en douceur, nous nous embrassons passionnément, puis je me redresse en attirant Annick à moi. Lotus. Position incroyablement érotique. Baiser intense, profond, comme la pénétration. Annick est électrisée, toutes mes caresses la font frémir. Elle jouit une seconde fois.
— Viens avec moi...
Je suis très excité. Annick ondule des hanches plus qu’elle ne va-et-vient. L’effet est sublime et je ne tarde pas à jouir à mon tour. Simultanément, Annick est traversée de son troisième orgasme. Elle me serre fort dans ses bras puis pose sa tête sur mon épaule.
— Vingt-cinq ans de mariage m’ont fait oublier le plaisir... Tu me réconcilies avec l’amour physique.
Nous restons quelques minutes enlacés avant que je ne me rhabille.
— Merci pour cette incroyable soirée, Florent. La vie ne m’avait pas réservé de telles surprises depuis des années. Mais cela valait largement l’attente. J’aimerais t’offrir quelque chose pour te remercier pour ton aide, pour le travail.— Quand tu auras été engagée.— J’y tiens, Florent. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
Je souris.— Que tu sois heureuse ?
— C’est chou, mais ça ne vaut pas !Nous rions.
— Je ne veux rien, Annick. Je t’accompagne dans ce moment délicat de ta vie. Ça me fait plaisir d’être présent pour toi, de pouvoir t’aider.— Tu fais comme s’il ne s’était rien passé ce soir...
Je souris.
— La seule chose que je désirerais n’est pas raisonnable.— Je vois. Dis-le.— J’aimerais refaire ce genre de soirée. Sortir ensemble, se séduire, se tenter, que tu t’habilles comme cet après-midi, et...
Je dois rougir un peu avant de terminer ma phrase.
— Et te donner du plaisir si tu le souhaites.
Annick m’embrasse tendrement.
— J’en prends bonne note, alors.
Nous nous embrassons et je m’en vais avant d’avoir à nouveau envie d’elle. Je regrette de ne pas pouvoir rester, comme Annick me l’a proposé, mais j’ai une formation demain matin et un match l’après-midi. Nous convenons que nous nous appellerons en cours de journée.
Je rentre au ralenti. Je m’arrête même pour me pincer. Je suis arrivé pour parler d’un job à une “tante” et je rentre en l’ayant baisée trois fois après une soirée irréelle. Je suis impatient de la revoir. Je prends une douche rapide et m’endors paisiblement.
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