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"Tatie" Annick

Chapitre 4

Des risques calculés

Hétéro
Samedi matin, je peine à me concentrer pendant ma formation. Je dois vraiment faire des efforts considérables pour suivre. Je ne pense qu’aux rapports de la veille avec Annick. J’ai des flashs puissants de son cul sur le barrage, de ses seins sur le canapé...
Je n’en reviens toujours pas de ce que nous avons fait. A 11h, alors que le cours vient de se terminer, je rallume mon téléphone et reçois deux photos d’Annick : sur la première, elle porte un autre chemisier blanc, plus étroit que celui de la veille, avec une jupe de tailleur bleu ciel et des talons blancs ; sur la seconde, une robe verte foncée, simple, très “business woman” et des talons noirs. Les photos sont accompagnées par ce message : “J’ai fait des recherches fructueuses dans mes armoires”. Je renvoie un smiley avec des cœurs dans les yeux. Une minute plus tard, Annick écrit : “Je vais en ville faire quelques achats vestimentaires. Si je ne devais prendre qu’un seul article, lequel choisirais-tu ?”. Ni une ni deux, j’indique l’article qui m’excite tant, celui que je rêve de voir porter par ma partenaire : “Un porte-jarretelles”. Sa réponse : un smiley clin d’œil.
J’ai un peu plus de facilité à me concentrer sur mon match de football. Il faut dire que la rencontre est serrée et réclame toute mon attention. Nous l’emportons 2-1 et je marque le premier but, ce qui ne m’arrive pas souvent. Vers 17h, j’appelle Annick. Elle est chez elle. Je lui demande :
— Ton programme ce soir ?— Je vais manger chez une amie. Et toi ?— Je sors avec des copains.— Tu penses faire tard ?— Je ne sais pas, ça dépendra de la soirée. Et toi ?— Nous sommes quatre et nous avons beaucoup de choses à nous raconter, mais je pense rentrer vers minuit.— Tu veux qu’on se voit ?
Je l’entends inspirer profondément dans le téléphone.
— On ne devrait pas, mais j’en ai très envie.— Demain ou tu aimerais qu’on rentre ensemble ?— Oh ! Je ne pensais pas que tu me proposerais cela.— Tu en as envie ?— Ardemment.
L’adverbe choisi me fait sourire.
— Alors on garde nos téléphones pour savoir à quelle heure et où on se retrouve.

Ma soirée est sympa, mais pas inoubliable. Nous allons manger une pizza en ville puis nous nous installons dans un bar où nous refaisons le monde en reluquant les jeunes femmes qui passent à proximité de notre table. Je préférerais largement être en train de baiser Annick et je me retiens de lui écrire. Mais je ne rate pas son message à 23h22. Elle ne va pas tarder à partir et demande ce qu’il en est de mon côté. Je lui propose de nous retrouver au coteau de Bernex pour regarder les étoiles et profiter de la nuit claire. “Bonne idée. À minuit ?”. “OK”.
Je reste encore quelques minutes avec mes potes avant de les quitter. D’ailleurs tout le monde rentre à ce moment-là. Je monte tranquillement au coteau. Au parking, la voiture d’Annick n’est pas encore là. Elle arrive cinq minutes plus tard. Seuls dans la nuit, nous nous embrassons à pleine bouche.
— Tu es magnifique, Annick.— Tu m’as manqué, Florent.— Toi aussi, ma belle.
J’aide Annick à gravir les derniers mètres du coteau. En haut, nous déroulons une couverture à un emplacement discret avec vue sur les lumières de Genève. Annick s’installe entre mes jambes, tandis que je suis assis, adossé à un arbre.
— La vue est splendide. Merci d’avoir pensé à ça.
Baisers. Je dis à nouveau à Annick à quel point elle est élégante et belle. Je caresse sa poitrine et glisse ma main dans son décolleté. Je la pelote. Elle gémit doucement.
Annick se redresse ensuite et nous nous embrassons de plus belle. Ma main remonte sa robe et glisse entre ses jambes, sur son collant à travers lequel je sens sa chatte brûlante.
— Si j’avais su, je n’aurais pas mis de collants.— Ou bien pas de culotte...— J’aurais pu, oui... Ou mettre des bas. Je pense que tu aurais aimé, n’est-ce pas ?— Terriblement.
Je relève la robe d’Annick et passe la main dans le collant et la culotte. La belle gémit :
— J’ai l’impression d’avoir seize ans et de vivre mes premiers émois.
Son sexe est trempé, je la doigte et la masturbe. Annick gémit de plus belle. Elle murmure :
— J’ai envie de te sucer.
Elle se tourne et s’agenouille entre mes jambes. Elle me déboutonne, sort mon sexe et commence à le sucer. Tandis qu’elle s’active sur ma queue, les ombres passent non loin de nous. En ce samedi soir d’une douceur printanière, nous ne sommes pas les seuls à avoir choisi ce lieu pour nous retrouver. Annick revient s’asseoir entre mes jambes et je l’invite à tendre l’oreille. Après quelques minutes, quelques gémissements étouffés. Nous distinguons rapidement quatre provenances différentes. Je provoque :
— Tu veux participer à la symphonie ?— Je préfère te faire un concert solo à la maison.
Je ris. Nous nous levons et descendons prudemment jusqu’à la voiture. Annick me dit de la suivre en voiture et au parking souterrain, car il y a une place Visiteurs intérieure.
Après m’être garé, je retrouve Annick à sa voiture à l’autre bout du parking. Nous nous embrassons. Annick me rappelle la discrétion. Je provoque :
— Je crois que j’ai envie de voir ton cul ici.— Ce n’est pas raisonnable, Florent.— Tu étais raisonnable à seize ans ?
Annick rit. Puis elle se tourne et soulève sa robe.
— Mmmh... Il me tardait...
Je m’agenouille alors derrière elle et renifle son cul et sa chatte à la manière d’un chien. Annick gémit et écarte les jambes lorsque je lèche sa chatte à travers le collant. Je remonte mes mains à ses hanches et attrape le haut du collant pour le descendre lentement :
— Non, Florent, pas là, c’est trop dangereux !— À cette heure-ci, tu es sûre ?
J’entraîne la culotte en chemin et descends le tout à mi-cuisses. Suffisamment bas pour que je puisse lécher cette chatte détrempée. Annick gémit et redemande ma langue sur ses grandes lèvres. Lorsque je me redresse, elle fait mine de remonter son collant, mais je l’arrête. Elle se tourne. Sa bouche dit non, ses yeux disent oui. Je ris :
— Soit tu remontes ton collant tout de suite, soit tu te tournes. — Au moindre bruit, tu te retires, OK ?— Promis.
Je glisse ma queue lentement dans le vagin d’Annick.
— Oh mon Dieu ! Cette grosse bite...
Mais après quelques secondes, la porte d’entrée du parking se met brutalement en action. Je me retire d’un coup et nous passons rapidement derrière la voiture d’Annick. Nous nous baissons et attendons l’entrée de la voiture, une grosse berline noire.
— C’est le locataire du quatrième. Son parking est de l’autre côté, vers ta voiture.
Alors que la voiture tourne effectivement à l’opposé de notre direction, je viens derrière Annick et frotte mon sexe dur contre son cul. Je murmure :
— Tu as envie ?— Tu es fou !
Puis, un instant plus tard :
— Prends-moi...
Je la pénètre à nouveau, doucement. Le moteur s’arrête, les portes s’ouvrent, nous entendons les voix, les discussions. Je vais et viens lentement jusqu’à ce que les voix disparaissent et que la porte d’accès à l’allée se referme. Je me retire, Annick se tourne :
— Mon cœur bat à trois cent mille !!
Nous nous embrassons :
— Tu restes avec moi, cette nuit ?— J’en ai bien peur.
Elle rit.
Elle remonte son collant, ajuste sa robe, tandis que je rhabille également. Dans l’ascenseur qui nous mène au cinquième étage, je caresse Annick :
— Et ici, tu aimerais ?— Oui, mais c’est impossible.— Pourquoi ?— C’est trop court, non ?— Là, par exemple, tu es prête à me recevoir à nouveau, si tu n’avais rien eu sous ta robe, ça aurait été possible.— Mon Dieu, oui...
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