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"Tatie" Annick

Chapitre 5

Complicité

Hétéro
Nous entrons chez elle et allons directement dans la chambre. Annick me suce tout en douceur et m’attire sur le lit. Elle me déshabille, se déshabille et vient à califourchon sur moi. L’excitation procurée par notre rapport dans le parking est toujours présente. Empalée sur mon sexe, Annick va-et-vient en profondeur et dit :
— J’aimerais que tu restes jusqu’à dimanche soir... Que l’on étire ce merveilleux week-end jusqu’au bout... Que l’on couche ensemble encore...
Elle rit :
— Je ne sais pas si je pourrais suivre ton rythme, mais j’ai beaucoup d’envies... Tu as soufflé les braises, rallumé la flamme et je suis brûlante, tu sais...
Elle gémit et ajoute :
— Tu me combles de plaisir... Tu ravives le désir... Tu me redonnes goût au sexe... Tu refais de moi une femme... Je veux te combler aussi... Faire briller tes yeux... Te faire perdre la tête... Que tu me désires autant que je te désire...
Annick s’enfonce profondément sur ma bite :
— Oh oui ! J’ai des désirs fous lorsque je couche avec toi, insensés, inédits, torrides, je me fais peur...— Libère-toi !— Dis-moi ce que tu désires maintenant.— Te prendre en levrette, j’en meurs d’envie.— Mmmh ! Toujours mon cul.— Oh oui !
Annick s’assied alors à côté de moi et nous nous embrassons. Je descends du lit et la belle se met à quatre pattes. Légèrement cambrée, elle me regarde en souriant. Je fais le tour du lit, viens derrière elle. Son auguste cul ouvert, les lèvres de sa chatte luisantes de mouille, son anus excitant. Je m’agenouille derrière elle et me masturbe quelques instants en la matant. Annick dit :
— Viens le prendre, il est à toi.
Je m’approche et la pénètre en douceur. Je pose les mains sur ses hanches et entame des allers-retours. Annick ronronne et gémit :
— Tu es tellement large en moi ! Dis-moi que tu aimes me prendre comme ça.— Je n’attendais que ça depuis le barrage. Baiser ton gros cul en levrette !— Il est à toi, je suis à toi !
J’augmente petit à petit la vigueur de mes mouvements de hanches qui commencent à claquer contre le cul d’Annick. Puis la vitesse. Annick gémit puis halète. Je la prends brutalement et sa résistance cède à mesure que mon excitation monte. Annick mélange les “Oui”, les “Encore”, les “Mon Dieu” puis elle ne dit plus rien, semblant partie dans une dimension parallèle. J’explose en elle et nous nous affalons sur le lit. Annick semble également à bout de souffle. Elle tourne la tête vers moi, m’embrasse avec passion et dit :
— J’ai dû attendre 48 ans pour qu’un homme daigne me baiser comme j’ai toujours rêvé de l’être. Embrasse-moi encore, mon Amour.
Des baisers et des larmes. De joie et de plaisir. Annick est bouleversée par notre ébat, par l’intensité du plaisir. Les émotions se bousculent en elle.
Après un court passage par la salle de bains, nous nous couchons nus et Annick s’endort paisiblement dans mes bras.
Vers 3h du matin, Annick se lève pour aller aux toilettes. Cela me réveille. Quand elle revient au lit, elle m’embrasse puis se tourne, les fesses contre mon bas-ventre. Je commence à bander, Annick le sent. Je glisse mon sexe entre ses jambes. Elle gémit. Elle se penche alors en avant, ouvre le tiroir de la table de chevet puis elle me badigeonne le sexe de lubrifiant :
— Impossible que tu viennes sans.
En cuillères, je la pénètre et nous baisons dans un semi-sommeil, sans autre mot que des gémissements. Je me rendors dès l’éjaculation, toujours en elle.
Dimanche matin, je me réveille à 9h30 et je suis seul dans le lit. Je me lève et je vais à la salle de bains me passer la tête sous l’eau. Annick m’a préparé une brosse à dents. Je reviens ensuite dans la chambre et ouvre les stores ainsi que la fenêtre. Annick toque à la porte :
— Je peux entrer ?
Elle pousse la porte et je la découvre dans la lumière du soleil qui inonde l’appartement : elle est maquillée et vêtue d’un long peignoir de soie vert d’eau. Elle porte des talons et ses jambes sont gainées de nylon. Nous nous embrassons longuement puis Annick se recule et dénoue le peignoir sur un délicieux ensemble de lingerie blanche en dentelles :
— Je n’avais plus de telle lingerie dans mon armoire, alors je me suis offert cela hier. J’espère que ça te plaît.— Tu... Tu es... sublime.
Je bégaye, Annick rit et rougit. Nous nous embrassons à nouveau et elle fait tomber le peignoir avant de se tourner, le string est une ficelle. Je laisse échapper un gémissement de plaisir en regardant ses fesses.
— Que voulait dire ce "mmmh" ?— Que ton très joli fessier est encore plus excitant orné de si beaux atours.
Elle rit.
— On me l’a déjà dit avec moins de délicatesse.
Annick s’accroupit et prend en bouche mon sexe qui n’attendait que cela. Elle me suce en me jetant parfois de petits coups d’œil coquins.
Nous passons ensuite sur le lit et nos baisers nous enflamment. Je caresse le sexe d’Annick à travers son string avant de descendre entre ses jambes. Lorsque je retire le string, j’ai la confirmation de ce que je me doutais en la caressant : son sexe est complètement rasé. Je souris. Annick dit :
— Je me doutais que ça te ferait plaisir.
Je m’occupe très longuement de sa chatte. Annick gémit, en redemande, me guide, tempère mes ardeurs, jouit. Elle m’exhorte ensuite à venir en elle. Je ne sais pas si cela est dû au fait d’avoir joui à deux reprises dans la nuit, mais je mets beaucoup de temps à jouir à nouveau. Cette endurance comble une Annick aussi brûlante que sensuelle qui multiplie les orgasmes. Le mien est d’une intensité phénoménale. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir. Un sourire béat barre mon visage durant plusieurs minutes. Annick dit en riant :
— J’ai cru que tu ne jouirais jamais et que notre rapport durerait toujours !— Pas pour te déplaire apparemment.— Pas vraiment, non. C’est si nouveau pour moi.— Ah oui ?— Tu n’as pas remarqué ? Tu m’as pénétrée durant plus de vingt minutes, presque non-stop. C’est incroyable, je n’avais jamais eu un rapport aussi long.— J’avais du plaisir, mais pas envie de jouir. C’était très agréable.— Je ne te le fais pas dire. Surtout que tu m’avais déjà rendue folle avec la langue et tes doigts avant.— Tu as aimé ?— Tu recommences quand tu veux ! Là aussi, jamais un homme n’avait pris autant de temps pour s’occuper de mon sexe. Est-ce parce que je me suis rasée ?— Non, j’adore faire ça. Et si ça m’a énormément plu que tu te rases entièrement, une belle touffe peut également beaucoup m’exciter.
Annick m’embrasse :
— Tu es un homme surprenant. Et drôlement doué pour les choses du sexe.
Nous éclatons de rire. Je dis ensuite :
— Ça me touche beaucoup que tu aies mis un porte-jarretelles. Tu es la première femme que je vois en porter.— C’est vrai ? Alors ça me fait d’autant plus plaisir de l’avoir acheté. Il y a des années que je n’en avais plus.— Tu en portais ?— Hier, j’ai essayé de me rappeler la dernière fois que ça m’est arrivé et je pense que c’était avant mon mariage. J’en portais dans l’intimité et il m’était arrivé d’en porter deux ou trois fois pour des occasions, mais c’était très rare. Ça m’a fait bizarre ce matin quand j’ai rattaché les bas, ça m’a renvoyé très loin dans le passé.— Je suis un peu gêné que tu l’aies acheté juste pour moi.— J’avais envie de te faire plaisir et ça n’a pas de prix. — Quand même...— J’avais aussi besoin de me racheter un peu de lingerie, c’était l’occasion.— L’ensemble est magnifique.— Le string ficelle n’était pas vraiment mon truc, mais il convient beaucoup mieux que la culotte qui était proposée. — Tu n’aimes pas ?— A vrai dire, c’est mon premier.
Je souris et énumère :
— Premier string ficelle, premier porte-jarretelles depuis des lustres, premier long cunni, premier long rapport...— Premier sexe glabre aussi, mon cher.
Son sourire se fige brutalement et les larmes coulent sur les joues d’Annick :
— Tu bouleverses tout mon être, toute mon existence et j’ai envie de te plaire, follement. Tout ceci n’est rien par rapport à ce que tu m’apportes, Florent. Je te l’ai dit, je ne me reconnais pas, mais je me sens incroyablement bien.
Nous nous embrassons avec passion avant de nous enlacer longuement sur le lit.
Nous traînons dans la chambre, sur le lit. Annick a retiré ses parures et nous papotons en nous embrassant :
— As-tu envie que je te masse, Annick ?— Oh, en voilà une belle idée ! Je dois avoir de l’huile d’amande douce à la salle de bains. Je vais aller voir.— Non, reste, j’y vais. Dis-moi où elle se trouve.— Dans l’armoire centrale, je crois.
Je trouve l’huile à l’endroit indiqué et reviens dans la chambre. Quand bien même le soleil a disparu au-dehors, le corps nu d’Annick allongé sur le lit est de toute beauté. Je remonte sur le lit tandis qu’Annick se couche sur le ventre. Je masse longuement ses épaules tendues, son dos, ses lombaires, avant de m’occuper de ses pieds, ses mollets puis ses cuisses. Alors que je dépose quelques gouttes sur ses fesses, Annick rit :
— Tu as gardé le meilleur pour la fin ?
Nous rions. Je pétris son cul, dont la fermeté prouve qu’Annick est une femme active. Elle écarte doucement les jambes et mon massage se fait plus coquin en descendant sur sa vulve sur laquelle j’effectue plusieurs caresses circulaires. Je remonte ensuite à son anus sur lequel j’appuie doucement.
Remettant de l’huile, je reviens à son entrejambe et Annick écarte désormais largement ses jambes. Je masse quelques minutes sa vulve avant de venir titiller son anus avec mon majeur. Annick a les yeux clos et elle sourit. Je doigte légèrement son petit trou, glissant une phalange. Elle dit :
— Continue, mais fais doucement.
J’écoute et poursuis mon massage. Je suis patient, à l’écoute de son corps, de ses réactions. Son anus se dilate lentement. Après un bon quart d’heure, j’ai trois doigts dans le cul d’Annick et ils ne sont pas à l’étroit. Elle dit :
— Je crois que tu peux essayer de glisser ton sexe, mais tout doux...
Nous nous mettons en cuillères. Je bande comme un taureau, surexcité à l’idée de la sodomiser. Mon sexe pénètre son cul. Juste le gland. Annick encaisse.
— T’es gros...
Après quelques instants, elle m’invite à de courts va-et-vient. Je suis complètement à son écoute et la laisse me guider. Hors de question de la brusquer. Il faut plusieurs minutes à Annick pour se sentir à l’aise. Elle me rassure totalement avec un :
— Je ne me souvenais pas que c’était si bon...
Ces mots ont alors un effet très excitant sur moi et quelques instants plus tard, je jouis. Je me retire. Annick reste dans la position avant de se tourner vers moi avec un large sourire.
— Quand j’étais plus jeune, j’aimais bien ça de temps en temps. — Jeune comment ?— Oh, quand j’avais ton âge !
Nous rions.
— Je ne l’ai pratiqué qu’avec Sandro. C’est moi qui lui avais proposé, je voulais essayer, par curiosité. J’aimais bien, mais Sandro n’en raffolait pas. Et autant te dire que la dernière doit remonter à avant la naissance de Giovanna.— J’ai été initié à la préparation par une ex qui adorait. — Tu as été très doux, tu as pris le temps, c’était très agréable.
Nous nous embrassons.
— Faire l’amour avec toi est merveilleux, Florent.
Nouveau baiser. Elle ajoute :
— Cela va être compliqué à gérer pour moi. Ce plaisir à mon âge, c’est inespéré et c’est vraiment regrettable que ça soit avec toi, une personne bien trop proche. J’aimerais que tu puisses venir de temps en temps, mais je ne veux pas y prendre goût non plus. Qu’en penses-tu ?— Je sais que je vais avoir envie de te voir, envie de toi. Mais comme tu l’as dit, nous sommes trop proches. Mais hormis ce lien “familial”, la différence d’âge ne te gêne pas ?— Jusqu’à vendredi après-midi, j’aurais ri au nez d’une personne qui m’aurait dit que j’allais sortir avec un homme de vingt ans. Aujourd’hui, je révise ma position.— Tu t’afficherais avec moi ?
Elle hésite.
— Je ne sais pas si je suis capable d’assumer cette position de “cougar”. A voir... Et toi ? La différence d’âge ? Sortir avec une vieille ?— Je n’aimerais pas que ça pose un problème à “la vieille en question”. De mon côté, il est clair que les activités de couple ne seraient pas les mêmes qu’avec une femme de mon âge, mais je pense que ça me conviendrait parfaitement. — Mais je n’ai pas la fraîcheur des filles de ton âge, ni même le corps. — Tu as d’autres atouts. L’élégance, l’expérience. Tu te connais, tu connais ton corps, tu sais te donner du plaisir et en donner à ton partenaire. Tu assumes tes formes, aussi. Et puis j’aime ta peau, tes seins lourds, tes tétons longs, ton cul large et ta chatte odorante.— Oh ! Tu me m’avais pas dit pour mon sexe !— Je découvre cela. J’aime son odeur et son goût marqués, ça m’excite énormément. Peu fréquent chez les nanas de mon âge qui n’assument pas leur odeur intime, je trouve.— Peut-être bien. En tout cas, ça me touche que tu apprécies tout cela chez moi.
Nous nous embrassons.
Nous nous levons. Je n’ai encore rien mangé depuis le matin et je meurs de faim. Annick prépare une copieuse salade que nous mangeons en papotant. De retour au lit vers 14h, nous nous endormons après quelques baisers.
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