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"Tatie" Annick

Chapitre 6

Annick se lâche

Hétéro
Au réveil, Annick me suce plusieurs minutes, jouant avec mon sexe. Elle vient m’embrasser à califourchon sur moi et glisse mon sexe en elle. Elle dit :
— J’ai envie de te faire une surprise. Tu me laisses quelques minutes ?— Mais très volontiers !— Alors, ferme les yeux ! Tu ne les ouvres pas tant que je ne te le dis pas. Et ne triche pas !
Je passe la tête sous la couette pour lui montrer que je respecte le deal. Je l’entends fouiller dans son armoire. Elle dit alors :
— Je vais à la salle de bains, je reviens tout de suite, tu peux sortir la tête.
Je l’attends un petit quart d’heure en surfant sur mon smartphone.
Annick toque à la porte de la salle de bains :
— J’arrive.
Elle apparaît et mes connexions cérébrales grillent d’un coup. Montée sur de hauts talons noirs, Annick porte un chemisier blanc en tulle transparent sous lequel elle n’a pas mis de soutien-gorge. En bas, une jupe en cuir noire. Aux jambes, des bas blancs opaques. Elle fait le tour du lit pour venir vers moi, m’embrasse, se tourne. Les jarretelles marquent à travers le cuir de la jupe.
— Je te plais ?— Putain...— Pas vraiment ce look-là, mais pourquoi pas une fois, oui, si tu veux.
Elle sourit. Elle se penche sur ma queue et dépose du rouge à lèvres en l’embrassant, puis elle la prend en bouche. Elle me suce divinement bien, tout en variation. Puis elle se lève et se tourne :
— Tu ne veux pas m’aider à défaire ma jupe ?

Je me lève à mon tour et embrasse sa nuque. Je passe mes mains sous ses bras et la pelote. Annick gémit et avance de deux pas pour se retrouver face au mur. Elle me jette un coup d’œil par-dessus son épaule et me demande à nouveau :
— Un bouton pression et la fermeture Éclair.
J’obéis et fais glisser la jupe le long de ses jambes, dévoilant le porte-jarretelles et l’absence de string.
— Je crois que tu peux me prendre directement.
Son sexe est complètement lubrifié et je glisse rapidement en elle. Je peux directement aller et venir à un bon rythme et Annick semble beaucoup apprécier.
— Oh oui ! Oui ! Ouiiii !
J’accélère et elle gémit de plus belle.
— C’est bon ! Oui ! Oui ! Oui ! Encore !
J’aimerais ralentir, varier, mais Annick a d’autres projets.
— Vas-y ! Oui ! Prends-moi ! Prends mon gros cul !
Coups de reins brutaux :
— Ha ! Ho ! Putain ! Oui ! Baise-moi, baise-moi, baise-moi !
Les gémissements d’Annick sont très bruyants et elle semble surexcitée d’être prise ainsi. Je sens que je suis bientôt à bout. Mes derniers coups de reins. Et soudain, j’attrape Annick par les cheveux et l’oblige à s’agenouiller devant moi. Je me masturbe devant elle et le regard qu’elle me jette est celui d’un défi. Ma bite crache deux jets de sperme épais sur son visage avant qu’Annick ne recommence à me sucer comme une damnée et n’aspire le reste de ma semence.
Agenouillée devant moi, elle sourit. Je lui tends la main et l’aide à se relever. Nous nous embrassons à pleine bouche.
— J’ai beaucoup aimé cette petite soumission finale.— Ça m’a pris d’un coup, comme si j’avais senti que tu étais prête. — Je crois que je suis prête à tout avec toi.
Elle m’embrasse à nouveau :
— Et j’adore que tu me prennes aussi durement.— Ça t’a manqué ?— Je ne peux pas dire cela, car je ne connaissais pas. Mais j’aurais aimé le découvrir plus tôt.
Je souris :
— Tu peux compter sur moi !
Elle rit :
— Oh ça, je n’en doute pas une seule seconde !
En allant à la salle de bains, elle me raconte une anecdote d’un ex qui avait joui sur son visage sans le faire exprès pendant qu’elle le suçait. Il s’en était platement excusé alors qu’elle en avait beaucoup ri.
Je vais ensuite faire chauffer de l’eau pour un thé et nous allons au salon regarder un film, nus sous une couette. Annick est assise entre mes jambes. Elle murmure :
— Je me sens tellement bien avec toi.
Il n’est pas loin de 19 heures lorsque le film se termine. Annick lève la tête et nous nous embrassons.
— Je n’ai pas envie que tu partes.— Penses-tu qu’il y aura d’autres dimanches comme celui-ci ?— Je ne sais pas. Mon cœur et mon corps aimeraient qu’il y en ait d’autres. Ma raison pense qu’il est préférable de ne pas entrer dans un engrenage dangereux dont il pourrait être très douloureux de sortir.— Nous ne prendrions pas autant de plaisir si nos sentiments n’étaient pas engagés. Difficile de composer sans la souffrance.
Nouveau baiser. Annick se tourne et pose la tête sur mon torse. L’instant est tendre, empli d’amour. Elle murmure :
— Si nous ne nous connaissions pas, t’engagerais-tu avec moi ?— Sans hésiter. Pour une heure, un jour, une semaine, un mois, un an, dix ans, peu importe la durée : j’aimerais vivre notre histoire.— Ça me fait un bien fou d’entendre ces mots, Florent.
Le baiser qui suit est passionné, long et profond. Un baiser d’un couple follement amoureux. Et bien évidemment, je me remets à bander. Annick le sent, contre son ventre. Elle rit :
— Un baiser et ça repart !— J’ai envie de toi.
Elle sourit :
— Quatre rapports en une journée, tu veux me tuer ou quoi ?
Je la cherche :
— J’en doute, tu aimes tellement le sexe.— J’assume ma libido depuis 48 heures après 48 ans de frustration.
Baiser un peu obscène. Elle ajoute :
— J’ai très envie de toi aussi.
Elle embrasse mon torse, lèche puis mordille mon téton droit :
— Viens ! Allons dans la chambre.
Sur le lit nu, nos corps s’emmêlent, nos bouches s’aimantent, nos langues se lient entre elles, à nos peaux, à nos sexes. Notre premier 69 est merveilleux. Ma langue glisse le long de la vulve d’Annick, fouille son vagin. Sa bouche va-et-vient autour de mon sexe, gobe mes testicules. Enhardi et excité, je me délecte de son anus, poussant ma langue à s’introduire dans l’étroit orifice. Annick m’attire ensuite sur elle et glisse mon sexe dans le sien. C’est sublime, presque magique.
Annick se retrouve ensuite sur moi. Ses hanches s’enfoncent loin sur mon sexe. La belle gémit :
— Ton sexe est parfait, vraiment parfait.
Je remonte sur le lit pour m’adosser au mur. Toujours profondément empalée sur moi, Annick redouble d’excitation quand je commence à lécher ses seins. Je réunis ses seins pour exciter simultanément ses tétons. Je les tète, les mordille, les aspire. Dans le même temps, mon majeur titille puis s’introduit dans son anus. Annick n’en peut plus :
— Encore ! Encore comme ça ! Ooooh mon Dieu...
Son orgasme est prodigieux d’intensité et de longueur. Son corps se tend violemment et le plaisir se prolonge dans ses courts mouvements de hanches. Cela dure plusieurs dizaines de secondes. Elle semble en transe.
Quand elle revient à elle, Annick m’embrasse et dit :
— J’aimerais que tu reviennes dans mon cul.
Je n’en crois pas mes oreilles, mais Annick est déjà en train d’ouvrir le tube de lubrifiant. Son sexe toujours sur le mien, elle doigte son petit trou pour le dilater. La manœuvre est bien plus courte que le matin. Je la laisse faire. Elle se relève, m’invite à m’allonger puis elle badigeonne mon sexe avant de le poser contre son anus et de pousser doucement. Le gland franchit l’entrée. Annick souffle. Je sens qu’elle s’enfonce de plus en plus sur ma bite. Au deux tiers de mon sexe, elle commence à aller et venir. Je suis aux anges. Les yeux clos, Annick gémit doucement. Après quelques minutes, elle s’enfonce aisément jusqu’à la hampe. Ses va-et-vient sont plus vifs, plus longs, elle gémit et halète. Elle rouvre les yeux et demande :
— Viens derrière moi...
Elle se met à quatre pattes et, après avoir remis du lubrifiant, je positionne mon sexe contre son anus. Je pousse à peine pour qu’il y entre à nouveau. Je reprends les mouvements en m’adaptant au rythme qui était celui d’Annick lorsqu’elle était sur moi. À son écoute aussi. Elle dit :
— Oui, comme ça, oui ! Jusqu’au fond !
Je vais plus loin, mes hanches heurtent son cul. Annick gémit. Un peu après, elle dit :
— Un peu plus vite...
J’accélère progressivement. Annick semble de plus en plus excitée. Je n’ai jamais fait de si rapides va-et-vient en sodomie. J’évite de heurter son cul alors que j’accélère, mais je le touche à deux reprises, un peu involontairement. Ça claque et ça surexcite Annick :
— Oui ! Oui ! Encore !
Je souffle :
— Brutalement ?— Oui ! Plus fort !
Je défonce littéralement le cul d’Annick, qui s’envole :
— Putain, oui ! C’est comme ça que je veux être prise !
Je la pilonne aussi vite et aussi fort que je le peux. Je n’en reviens pas de ce que je fais. Annick halète, crie. Elle semble prendre un pied extraordinaire. J’explose en elle et reste quelques instants planté dans son arrière-train. Dernier shoot d’excitation, je me retire en tenant ses fesses écartées pour cette vue extrême de son anus dilaté, dont le diamètre est comparable à celui d’une balle de ping-pong.
Annick se couche sur le lit et je m’allonge à ses côtés. Elle me regarde d’un air étrange et dit :
— Comment tu fais ? Comment tu fais pour me combler à ce point ?
Une demi-heure plus tard, dans ma voiture, je suis comme hébété. Je me gare devant chez moi et vais marcher un peu dans la fraîcheur du soir. J’essaye de penser à ce qu’il vient de se passer. J’inspire l’air frais. Je souris. Je ne sais pas s’il y aura une suite à cette relation, mais ce que j’ai vécu ce week-end restera à jamais gravé dans ma mémoire. Je rentre, je prends une douche. Je n’ai pas faim. Je m’endors, heureux et comblé.
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