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"Tatie" Annick

Chapitre 7

Get a job !

Hétéro
Mon réveil le lendemain matin est très curieux. J’ai l’impression d’avoir dormi et rêvé durant plusieurs jours. Il me faut une nouvelle douche tant j’ai sué durant la nuit. Je prends ensuite un café et file au travail. J’envoie un mail à mon client pour lui proposer la candidature d’Annick et l’informe de sa disponibilité pour effectuer un essai. A 9h, une photo du visage souriant d’Annick me confirme que mon week-end n’a pas été rêvé. Le message accompagnant la photo est parfaitement explicite : “La plus heureuse des femmes a un peu mal au cul”. J’éclate de rire, tout seul dans mon bureau.
La réponse de l’hôtel est plus rapide que je l’imaginais. Dès 13h, le DRH me fait part de son intérêt pour le dossier d’Annick et me propose des dates d’entretien durant la semaine. Annick accepte celui du lendemain matin. Tout se passe bien.
Mardi midi, Annick m’appelle à la sortie de son rendez-vous. Elle est enthousiaste :
— Ça s’est super bien passé, j’ai senti un vrai intérêt. Ils étaient trois, un collaborateur RH et deux du marketing. Ils me proposent une journée d’essai la semaine prochaine, je suis trop contente !— C’est génial. Le DRH ne devrait pas tarder à m’appeler pour débriefer.— J’aimerais t’inviter au restaurant pour tout ce que tu fais pour moi.— Je te l’ai dit, Annick, j’accepterai lorsque tu auras signé ton contrat. — OK, OK. Est-ce qu’on se voit cette semaine ?— Qu’en penses-tu ?— Je pense que ça n’est pas raisonnable.— Je regrette de penser la même chose.
Nous en restons là. Le DRH m’appelle dans l’après-midi, enthousiasmé par Annick. Journée d’essai confirmée pour le mardi quatre mai, soit la semaine prochaine. Le reste de la semaine passe rapidement. J’ai beaucoup de rendez-vous professionnels et mon week-end est occupé par ma formation, un match et un dimanche en famille. Annick et moi échangeons des messages quotidiens et quelques photos de vie. Annick profite désormais plus librement de son temps.
Le lundi trois, veille de sa journée d’essai, nous nous appelons en fin de journée. Annick est détendue et consciente de ce qui l’attend. Cela me rassure. Elle me dit qu’elle me rappellera le lendemain pour me raconter sa journée.
Mardi quatre mai, jour J pour Annick. A 7h du matin, je reçois deux photos d’Annick, en dessous et en “dessus”. Elle a choisi de mettre un chemisier violet en satin, une jupe crayon noir et des talons. Dessous, un bel ensemble noir composé d’un soutien-gorge et d’un tanga. Et jolie surprise, Annick porte des bas autofixants. Je réponds :
— Quelle élégance ! Tu es magnifique et... très excitante.
Annick relance :
— T’as envie de me baiser ?— Comme un fou.
A midi, je reçois un nouveau message d’Annick, satisfaite du déroulement de la journée. Elle va manger avec l’équipe du marketing. A 17h30, elle me laisse un autre message :
— La journée a été très positive. Je suis crevée et en nage. Il a fait beaucoup plus chaud que prévu. Je vais prendre la voiture et rentrer.
Je lui réponds :
— Je suis heureux que ça se soit bien passé et j’espère une réponse positive du DRH. Je t’appelle dans un moment.
Annick m’appâte :
— Si tu veux passer, je suis à la maison dès 18h.— Je n’ai pas beaucoup de temps ce soir...
Elle m’achève :
— J’ai aussi envie que ça soit court et intense.
J’accélère mes préparatifs pour l’entraînement. Mon sac est prêt et je file. J’arrive en même temps qu’Annick devant son immeuble. Je me gare à l’extérieur et je vais l’attendre devant l’allée. Annick vient m’ouvrir. Elle est très belle. Nous nous embrassons une fois que nous sommes dans l’ascenseur. Un baiser de cinq étages.
Notre baiser se poursuit sur le pas de sa porte. Je la pelote sur son palier, Annick est aussi excitée qu’inquiète :
— Mes voisins... Ils peuvent sortir d’un moment à l’autre.— Ils nous regardent peut-être même par l’œil-de-bœuf.— Entre ! J’ai envie de toi sur le lit.
Elle abandonne son sac et sa veste au milieu du hall d’entrée et nous filons dans la chambre. Baisers fougueux, caresses, Annick retire mon t-shirt, me déboutonne. Mais je l’arrête. J’ouvre sa jupe et je la fais glisser à terre. Je m’agenouille devant elle et approche mon visage de son tanga. J’inspire profondément. La violence de l’odeur est aphrodisiaque. Je dis :
— Assieds-toi...— Non, Florent. N’y pense même pas...— Un jour béni.— Ça me gêne beaucoup...
Je lèche son tanga, Annick souffle :
— J’en meurs d’envie, mais là, c’est trop.— Si c’est trop, je ne le ferai pas.
Annick s’assied puis s’allonge sur le lit en écartant les jambes. Son tanga est humide et l’odeur fantastique. Je le lèche, ainsi que l’aine d’Annick. Je fais un peu durer le plaisir avant de retirer la fine étoffe. Effluves puissance mille. Sa chatte sent incroyablement fort et incroyablement bon. Je me délecte de ce mélange de transpiration et d’urine, et de ses pertes blanches. J’écarte largement ses lèvres et plonge littéralement le visage dans sa vulve. Je n’ai jamais léché une chatte aussi savoureuse. Cela me rend fou. Je descends ensuite à son petit trou et le fouille également de ma langue.
Annick gémit, dit “non”, dit “oui”, dit “encore”. Elle jouit et me demande de monter sur le lit. Nous poursuivons en 69 et Annick gémit la bouche pleine.
— Baise-moi, Florent, je n’en peux plus !
Je prends Annick en levrette, fort et vite, que ça soit “court et intense”. Et ça l’est. Annick jouit une seconde fois au moment où mon orgasme se déverse en elle.
Avant que je ne parte, Annick me dit :
— Tu aimes beaucoup trop me baiser en levrette quand je suis en tailleur.
Je ris, c’est exactement ça. Nous nous embrassons derrière la porte d’entrée. Je quémande :
— Fais-moi encore goûter ta chatte.
Elle sourit et se penche légèrement pour se doigter avant de me glisser son majeur dans la bouche. Divin.
— À bientôt, mon ange...
Je m’en vais.
Le week-end suivant, Annick et moi décidons de ne pas nous voir même si cette décision est difficile à respecter.
Le lundi dix mai, le DRH m’appelle en fin de matinée pour me confirmer qu’il souhaite engager Annick. Je l’appelle dans la foulée :
— J’ai une super nouvelle pour toi : c’est tout bon pour le job, tu commences le premier juin !
À ma grande surprise, aucun éclat de voix, aucune manifestation de joie. Le silence. J’insiste :
— Annick, tu as entendu ? Ils te veulent !— Je vais refuser, Florent.— Hein ?— Je suis vraiment désolée, mais mercredi passé, j’ai eu un autre entretien avec essai vendredi. Et ils m’ont appelée ce matin et... et j’ai accepté.
Je suis sur le cul. Je n’en reviens pas.
— Je ne t’en veux pas d’avoir choisi l’autre job, mais j’aurais aimé être au courant.— Je m’excuse. C’est dans un autre domaine d’activité. Le travail est plus dans mes compétences, l’horaire me convient mieux, j’ai la possibilité d’effectuer un à deux jours de télétravail par semaine, ils m’offrent l’abonnement pour les transports en commun et le salaire est supérieur de 700 francs par mois.— Il n’y a pas photo, effectivement. — Tu es fâché ?— Pas fâché, non. Mais contrarié. — Je m’en veux.— Allez, invite-moi au resto pour te faire pardonner et j’oublie tout. Je m’occupe du client. Il va falloir que je trouve une perle rare pour rattraper le coup. — Je suis certaine que tu vas trouver. Mercredi soir, tu es disponible ? C’est férié le jeudi.— Ça me va très bien.— Tu passes me chercher à 19h ?— Ça marche.
Je rappelle mon client en début d’après-midi et l’informe qu’Annick a trouvé un autre emploi entre-temps. Il rit et dit que c’est le jeu. Par chance, un très bon dossier arrive sur la plateforme de recrutement durant l’après-midi. Le DRH aime le profil. Rendez-vous fixé. Je suis ravi d’avoir retourné la situation en une demi-journée.
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