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"Tatie" Annick

Chapitre 8

Pardon, mode d'emploi

Hétéro
Le mercredi, comme convenu, je passe chercher Annick vers 19h. Elle n’a pas fini de se préparer et me fait attendre au salon. Elle a pris soin de cacher sa tenue sous son peignoir. Elle se présente peu après dans une sublime robe bleue marine mi-longue, évasée, au décolleté en V du plus bel effet. Je me lève et Annick doit certainement remarquer mon trouble. Un sourire illumine son visage. Un simple pashmina lui couvre les épaules, il faut dire que la soirée s’annonce douce.
Baiser intense dans le hall d’entrée au terme duquel le sourire d’Annick s’est fait plus coquin. La belle s’agenouille, sort ma bite et me suce ardemment. Je m’attends à une fellation brève, juste pour le plaisir, mais celle-ci dure agréablement si bien que je sens monter l’excitation jusqu’à son extrémité. Je le dis à Annick qui ne bronche pas. Au moment où je vais jouir, elle ralentit la cadence et avale ensuite le fruit de sa fellation. Elle se relève en riant. Nouveau baiser. Nous partons.
Dans la voiture, elle m’avoue qu’elle n’a avalé qu’une dizaine de fois dans sa vie. Je lui réponds que je suis flatté et elle rit.
Annick m’emmène en ville dans un restaurant gastronomique qui lui a été vivement conseillé par l’une de ses amies. Et c’est absolument succulent. Elle me dit se sentir bien et soulagée d’avoir retrouvé un emploi. Je lui dis qu’il ne lui reste finalement plus qu’à rencontrer quelqu’un. Elle sourit malicieusement :
— Peut-être que c’est déjà le cas.
J’entre dans son jeu.
— Ah oui ? Parle-moi un peu de lui.— Un très bel homme, grand, mince, qui est d’une bienveillance sans borne à mon égard. Je me sens reine quand je suis avec lui. Il a des yeux magnifiques, des mains et des doigts fins avec lesquels il me prodigue des caresses qui me font frissonner. Une bouche ourlée qui embrasse divinement bien, une langue habile, excitante et agréablement intrusive. Et puis...— Oui ?
Regard de braise d’Annick
— Et puis il a une belle grosse queue et il me baise comme un Dieu. Avec lui, pour la première fois de ma vie, je m’autorise à être moi-même, car tout est très naturel, évident. J’ai des envies folles lorsque je suis avec lui comme... comme de lui montrer ma chatte au restaurant.
Elle baisse les yeux. Je fais tomber mon couteau. Sous la table, Annick a les jambes largement écartées et tient son string décalé. Son doigt glisse dans sa fente avant que je ne me redresse. Je lèche son doigt au milieu du restaurant. Annick est aux anges.
Au dessert, je lui demande son string et Annick va le quitter aux toilettes pour me le donner. Il est humide et odorant. J’adore.
En quittant le restaurant, nous faisons un détour par le bord du lac pour profiter de la douceur de la soirée. Il y a beaucoup de monde et nous regrettons de ne pas pouvoir nous prendre la main. Nous revenons à la voiture. Alors que je vais sortir du parking, Annick dit :

— Prends à droite.— Ce n’est pas le chemin le plus court. — Ce n’est pas grave.
J’obéis. Annick indique plusieurs directions qui ne sont pas du tout celles de son appartement. Nous partons plutôt à l’opposé. Elle m’indique un parking souterrain et j’y entre sans comprendre. Nous nous garons, Annick est toute contente de son plan. Quand nous sortons de l’ascenseur, je comprends, car nous sommes face au Klingberg Hôtel dont Annick m’avait déjà parlé. Je souris.
— On avait dit un resto.— TU avais dit un resto ! Moi, je devais me faire pardonner.
Nous nous embrassons.
— Je suis très heureux d’être avec toi, ma belle.
Nous entrons dans l’hôtel. À la réception, Annick annonce :
— Une réservation au nom de Florent Giraud.
La réservation étant à mon nom, je réponds à différentes questions de la réceptionniste. Celle-ci demande :
— Puis-je avoir le nom de Madame ?— Annick Giraud, mon épouse.
J’ai répondu avec un naturel désarmant. Annick me regarde, visiblement émue. Je signe un document et prends la clé de la chambre. La réceptionniste nous retient :
— Vous devez signer également, Madame Giraud.
Annick s’exécute et nous nous dirigeons, main dans la main, vers les ascenseurs. Annick a les larmes aux yeux :
— Je suis tellement touchée que tu m’aies présentée comme ta femme.
Nous entrons, les portes se referment. Annick m’embrasse.
— Tu es toujours surprenant, toujours émouvant.
Nous prenons possession de la chambre. Annick me bande les yeux quelques instants, je l’entends déplacer des choses dans la chambre. Elle m’installe ensuite dans un fauteuil et met de la musique. Lorsqu’elle me permet de retirer mon bandeau, elle est face à moi, à environ trois mètres. Elle se lance dans un strip-tease aussi touchant que brûlant. Elle retire rapidement sa robe pour me dévoiler sa parure blanche avec le porte-jarretelles. Elle vient frotter ses fesses contre mon bas-ventre, se caresse les seins, se doigte. Elle me fait sucer ses seins. Après avoir retiré son string, elle me le fait lécher. Juste devant moi, retournée, elle se penche en avant, m’invitant à lécher son cul. Elle y glisse ensuite son majeur et me le met dans la bouche. Annick se lâche et j’adore ça.
Plus tard, notre rapport est multiple : parce qu’il commence dans la salle de bains, se poursuit sur le fauteuil avant d’arriver au lit ; parce qu’il est tendre, doux, amoureux, intense, frénétique, brûlant, torride, hard ; parce qu’il est silencieux et bruyant ; parce qu’il est buccal, vaginal et anal. Nous prenons un pied formidable. Certainement le rapport le plus complet que je n’ai jamais eu. Nous le terminons tous les deux en sueur. La douche, à deux, est bien méritée. Nous nous endormons comme des bébés.
Le jeudi matin, je suis réveillé par une sensation de frais sur ma bite : Annick me badigeonne de sexe de lubrifiant et à peine ai-je les yeux ouverts qu’elle vient s’empaler sur mon sexe.
— Impossible de résister à une telle érection !
Elle prend son pied alors que j’émerge tout juste de la nuit, les yeux encore collés. Annick, elle, semble déjà en pleine forme si j’en juge par la façon dont elle s’agite sur mon corps. Je marmonne :
— Même position, dos à moi, tu peux ?— Jamais faite, mais je peux essayer.
Annick peine quelque peu à glisser mon sexe en elle, elle a peur de me faire mal. Lorsqu’elle y parvient, un vrai plaisir que de voir son cul danser devant mes yeux. Annick n’est pas dupe :
— Je sais ce que tu voulais voir.
Elle ralentit la cadence et écarte ses fesses, dévoilant largement son petit trou luisant. Alors qu’Annick me regarde par-dessus son épaule, je glisse le bout de mon index dans son cul et le lèche. En tirant légèrement ses cuisses vers moi, je la provoque :
— Donne-moi ton cul...
Annick se redresse, sort mon sexe et recule. Elle vient s’asseoir sur mon visage et frotte sa chatte tout contre. Ma bouche est ivre de sa mouille, ma langue ne sait plus où lécher, mon nez glisse dans sa vulve puis Annick me fait lécher son cul quelques instants avant de se mettre à quatre pattes dans le lit. Je me redresse, m’étire en matant cette prodigieuse croupe qui ne demande qu’à être prise. La levrette est sublime et nous prenons tous les deux un plaisir rare à pratiquer cette position. Comme Annick en raffole désormais, je termine en la pilonnant rudement.
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