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"Tatie" Annick

Chapitre 9

Folies

Hétéro
Après la douche, nous nous habillons pour descendre prendre le petit-déjeuner. Annick demande :
— Tu veux que je remette le porte-jarretelles ?
Je souris :
— Pas plus que le soutien-gorge et le string.
Elle me regarde avec un sourire coquin :
— Sous cette robe, c’est parfaitement envisageable.
Robe et talons sont les seuls vêtements d’Annick alors que nous entrons dans l’ascenseur. Je prends évidemment un malin plaisir à soulever sa robe et nous rions. À table, Annick profite de la longueur de la nappe pour remonter la robe suffisamment haut pour que j’aperçoive sa chatte. Se penchant en avant sur la table, elle me permet aussi de voir son sein gauche. Je bande et elle ne se fait pas prier pour me caresser discrètement.
Nos caresses et provocations nous font un peu expédier la fin du petit-déjeuner. Alors que je bande fort, Annick me prend la main :
— On y va ?— On peut juste attendre une minute ?— J’aimerais y aller maintenant et que, peut-être, quelqu’un te voit bander.— L’idée t’excite ?— Beaucoup.
Je me lève, le pantalon déformé par mon érection. La traversée du restaurant se passe dans la discrétion, mais alors que nous arrivons vers les ascenseurs, en sortent trois jeunes femmes qui me dévisagent des pieds à la tête avant d’éclater de rire, une fois derrière nous. Avant que les portes ne se referment sur nous, Annick me roule une pelle formidable alors que le groupe de filles se retourne vers nous.
Dans la chambre, nous baisons immédiatement devant le miroir de l’entrée de la chambre. Annick a les mains de part et d’autre et je la prends par-derrière alors que nous sommes habillés. Alors que je vais et viens en elle, Annick demande :

— Laquelle te plaisait le plus ?— La petite brune à la peau mate avec le carré.— J’aurais pu le parier.— Pourquoi ?— Petit chemisier vert pastel assorti à ses yeux, pantalon moulant, la seule qui était maquillée et qui portait des bijoux. Une belle paire de seins, un cul rebondi. De loin, la plus féminine.— Tu as vu tout ça ?— Oui, et toi aussi, hypocrite !
Nous rions. Puis elle ajoute :
— Un petit quelque chose de Giovanna, même si ma fille est plus grande et qu’elle a plus de poitrine.
Avant que je ne réponde, Annick me repousse et s’agenouille pour me sucer. C’est excessivement bon. Elle se relève pour retourner à quatre pattes sur le lit. Elle sait comme j’aime la baiser habillée dans cette position. Annick vient ensuite à califourchon sur moi, position dont elle raffole également. Pendant qu’elle me chevauche, elle se prépare à me recevoir dans son cul.
Quelques minutes plus, tard, ma bite passe de son vagin à son cul en un claquement de doigts. Annick est aux anges.
— Je veux baiser toute la journée. Du sexe encore et encore. Te prendre dans la bouche, ma chatte et mon cul.— Je ne sais pas si je vais suivre le rythme.— Je ne veux pas que tu jouisses, juste que tu sois en moi.— Wow ! Oh oui !
Annick va et vient sur moi, et petit à petit, j’accompagne son mouvement jusqu’à une inversion des mouvements : elle cesse ses allers-retours tandis que je martèle son fion. Yeux dans les yeux, elle demande :
— Plus vite, mon amour !
J’obéis avec plaisir. Elle poursuit :
— Tu me baises si bien, si fort... Tu... Tu me défonces !— J’adore te sodomiser.— Mmmh...
Je la prends désormais avec beaucoup de vigueur :
— J’adore enculer ma femme.— Oooh ! Oui ! Défonce-moi, Florent ! Défonce le gros cul de ta femme !
Annick gémit, halète et ajoute :
— Tu fais de moi une... une...
Elle murmure :
— Une salope.— T’es une putain de salope, Annick !
Cet échange de mots grossiers électrise une Annick déjà survolée. Elle se lâche complètement :
— Oh oui ! Je suis ta salope, Florent ! Encule ta femme, encule ta grosse pute !
Le coup de grâce pour moi : au moment où j’explose en elle, je la fais rasseoir profondément sur ma queue. Annick crie puis elle se masturbe très vivement et jouit puissamment quelques instants plus tard. Elle l’affale sur moi :
— Je suis folle de toi.
Nous restons sur le lit jusqu’au dernier moment. Annick ne remet pas de dessous pour rentrer et exhibe sa chatte dans la voiture. Je la caresse en douceur.
Nous arrivons avant midi. Je pénètre Annick dans l’ascenseur, comme nous en avions discuté quinze jours plus tôt, puis deux allers-retours sur le palier de sa porte avant une vingtaine de brutaux coups de reins dans le hall d’entrée. Le ton est donné. Annick déjeune assise sur moi, empalée sur ma queue, puis elle me suce en mangeant une boule vanille. L’après-midi est un enchaînement de pénétrations, de baises dans toutes les pièces de l’appartement, notamment une demi-douzaine de pénétrations pendant que nous regardons un film.
Je ne passe pas par son cul, endolori par la violence du rapport de l’hôtel. Annick réclame néanmoins que je le lèche à plusieurs reprises. Je ne jouis qu’une autre fois, en fin de journée, après un rapport d’une longueur délicieuse que nous terminons trempés de sueur. Annick, la maîtresse des rapports extrêmes. À 18h, lorsque je m’en vais, Annick estime que je l’ai pénétrée “entre vingt-cinq et vingt-huit fois” durant l’après-midi. Elle n’a pas compté les fellations, pas plus que les cunnilingus et les anulingus. Comme ma bite, sa chatte est en feu, au sens propre, comme au figuré.
Le lendemain matin, à la saveur exquise du souvenir de la veille se mêle d’un arrière-goût malsain. Il est beaucoup trop agréable de coucher avec Annick et cela devient de facto un réel danger pour la suite. Je fais part à Annick de mon sentiment. Elle me dit qu’elle masque autant que possible, mais qu’elle ressent la même chose. Il n’est plus possible de continuer, même à petites doses, car nous en sommes incapables. Notre relation est un feu ardent et nous ne pouvons nous contenter de peu. Ensemble, nous ne pouvons faire autrement que baiser, baiser et baiser encore.
Nous prenons la décision, extrêmement douloureuse, de ne plus nous voir, de ne plus nous contacter. Annick restera une parenthèse sublime dans ma découverte de la sexualité. Brisée, elle m’envoie ce dernier message : "Comment faire sans toi ? Comment faire sans nous ?"
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