Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 61 J'aime
  • 1 Commentaire

Tatie Marcelle

Chapitre 1

Inceste
L’amie de Tatie Marcelle
Nous sommes dans l’une de ces vieilles maisons de ville comme il en existait dans le temps dans les petites villes de province. Marcelle, la propriétaire est une vieille dame accorte de 75 ans, les cheveux blancs, tirés en chignon dégagent son visage où tout sourit, les yeux, la bouche … Marcelle n’a plus de dents et ne porte son dentier que pour les repas qu’elle prend généralement seule. Son appartement occupe le premier étage de la maison avec une salle à manger richement meublée et soigneusement ornée de tableaux choisis. Une pendule ancienne marque le temps. La cuisine à laquelle on accède par un couloir est vaste et propre mais on dirait que les ustensiles sont d’une autre époque, y compris le frigo et la gazinière. La chambre au grand lit est protégée par un crucifix. Il n’y a pas de salle de bain et les toilette sont au beau milieu du premier étage et du rez de chaussée.
Marcelle est seule par choix, sa voisine et locataire, Lucienne, au rez de chaussée pourrait lui tenir compagnie mais elle ne le souhaite pas.
L’arrière de la maison comporte encore un lavoir en pierre, à droite de la porte le la cave, un jardinet bien entretenu et une chambre avec lavabo et pot de chambre.
Je suis arrivé un matin, vers dix heures dans l’espoir de squatter chez cette vieille tante. J’hérite de la chambre du jardin et d’une invitation à déjeuner. Elle a sorti des albums photos que je feuillette tandis qu’elle s’active dans la cuisine en sortant de temps à autres toute joyeuse pour me faire un bisou et voir ou j’en suis des photos. Son doigt pointe un vieux cliché jauni et elle dit ‘ Il était beau ton oncle, quelle prestance avec sa moustache et son beau costume! ‘.
Malgré tous ses efforts je n’aime pas le repas mais je fais semblant. Elle a débouché une bouteille de vin de sa réserve et n’a bu qu’un verre, j’ai englouti le reste.
Après déjeuner, elle passe dans la chambre et je la vois dans la grande glace. Elle ôte sa blouse de nylon et la voici en slip et soutien gorge, elle enfile une combinaison à fines bretelles et je me régale de la chair que je peux voir. Puis elle enfile un joli chemisier aux boutons nacrés, une jupe bleue foncée, une veste toute aussi bleue puis ajuste des bas chaussettes couleur chair et finie avec un carré de soie. La voici attendrissante avec ses chaussons. Elle trottine vers son placard à chaussures et revient radieuse dans la salle pour s’asseoir et se chausser de ces souliers blancs de vieille dame, pas très hauts et découpés au bout avec une lanière large au talon. Puis, elle me regarde ‘ Allons mon grand, le parc nous attend! ‘. Nous sortons tous deux, elle me tient le bras, très fière.
Au parc elle trottine toujours et salue ses connaissances, leur lance ‘ c’est mon neveux, le petit fils de ma sœur! ‘. Les compliments pleuvent, les mamies me boivent des yeux et je sens l’envie, la jalousie chez les vieilles dames, une pointe de respect chez les vieux beaux, la queue en berne qui, parfois les accompagnent.
On se pose avec les copines de tatie, un cercle se crée et la conversation s’anime d’autant que tatie informe l’audience que je suis de droite, du côté du président, que je le rencontre souvent ( c’est une grosse connerie – pour les rencontres -).
Je suis une star et je brille de milles feux que ma tantine m’a accroché.
Deux heures plus tard, je suis las de ces conneries, je me penche vers l’oreille de ma tante et lui glisse ‘ si on se casse pas tout de suite, je vais baffer une de tes copines! ‘. Elle rit et annonce: ‘ mon neveux a des tas de choses à faire et nous devons passer à la pâtisserie pour le dîner, excusez nous. ‘.
Nous voilà sur le retour tatie Marcelle se tourne vers moi: ‘ Paul, tu as été parfait ! ‘.
J’ai droit à un gâteau, une boîte de bonbons et la plupart des magasins qu’elle fréquente. C’est toujours la même chose, son neveu, de Paris, très brillant …

Nous rentrons chez Tatie vers 6 h et je profite pour déballer mes bagage dans ma chambre, caler ma clef 3 G et regarder mes messages sur le web. Puis je passe des coups de fils de mon portable et m’aperçois qu’il est déjà 8 h. Tatie me téléphone en me demandant si je dîne avec elle. Je lui répond que non, j’ai prévu de sortir en ville.
Un dîner expédié et deux bières dans un bar proche de la gare ou la moyenne d’âge doit être 20 ans.
J’en ai marre, je rentre.
Je tente de faire le moins de bruit possible mais Lucienne m’a entendu et me propose une petite liqueur chez elle.
Lucienne est une petite bonne femme du même âge que Tatie, elle est maquillée, avec beaucoup trop de fond de teint et un rouge à lèvre très rouge. Elle est en peignoir de soie avec des mules plates et elle a gardé ses chaussettes ou son collant.
Je m’installe dans la salle à manger vieillotte meublée un peu comme celle de ma tante. J’ai droit à un petit verre de Pineau.
Lucienne s’est installée dans un fauteuil et un pan de son peignoir est écarté. Je vois sa jambe jusqu’à mi cuisse, elle a des mi-bas couleur chair et au dessus, sa peau est très blanche avec des veines très bleues.
Je n’aime pas les vins cuits et je fais durer. Lucienne m’explique sa solitude, l’absence d’homme dans sa vie depuis très longtemps, ses croisières sur des bateaux de vieux … Puis la conversation bifurque sur l’homosexualité qui devient réalité pour une femme seule, moche, qui ne sait pas draguer les mecs.
Je m’insurge en disant que c’est pas une raison, que pleins de mecs manquent cruellement de sexe …
Lucienne a négligemment changé de position, les deux pans de son peignoir sont ouverts sur sa culotte en coton et le haut s’ouvre sur la naissance de ses seins.
Bon, je fais quoi? Je me casse ou je la baise?
Je fais le faux ‘ Lucienne, votre peignoir est ouvert, je ne peux m’empêcher de regarder! ‘. Elle a un grand sourire ‘ Et si je l’avais fait exprès? ‘.
Faut que je m’adapte … ‘ C’est le cas? ‘. ‘ Vas savoir jeune homme! ‘.
Pour le savoir il n’y a qu’une solution: ‘ Bon, si c’est le cas, je veux tout voir! ‘. Elle tourne rouge pivoine, se lève et ouvre son peignoir.
Ses seins sont tenus dans un soutien gorge et le haut est recouvert d’une mini combinaison. Le bas est exposé en culotte de coton blanc, bas chaussette et les mules.
‘ Voilà! ‘ m’assène Lucienne.
Bon, faut trouver un truc pour sortir de cette merde … Je carbure sec mais ne trouve rien d’intelligent, je me lance et lui demande comment elle est nue.Le peignoir glisse au sol, c’est comme dans un film érotique. Puis la combinaison tombe au sol, au passage j’ai vu les aisselles poilues. Enfin, sans quitter les mules, le slip est dégagé et le sexe poivre et sel, peu fourni apparaît. Reste les bas chaussette et les mules.
Je fixe Lucienne ‘ J’ai très envie de vous Lucienn! ‘. Elle n’ose pas bouger, elle est dans un état second ou ses efforts pour arriver là, la bloquent littéralement. ‘ Je m’approche doucement et glisse un doigt sur un sein puis caresse le ventre de ma main, glisse sur le replis du ventre et frôle le pubis tout doux. Je me glisse près de son oreille et murmure ‘ Tu veux qu’on fasse des bébés? ‘. Elle rigole, appuie sur ma main en écartant ses jambes et me répond ‘ Plus si affinités? ‘.
J’ai peur de la casser mais je suis au taquet, je la tourne sans brusquer, tombe à genoux et tandis qu’elle se cambre tends ma langue entre ses cuisses glissant du sexe à l’anus. Elle se cambre un peu plus et le bout de ma langue atteint son bouton ou je m’attarde. L’odeur n’est pas forte, juste légère, un rien entêtante et la situation me procure beaucoup de plaisir. Avec une jeune, je me serais redressé pour la prendre sans ménagement, là, je continue ma caresse écartant doucement les fesses pour me repaître de son anus d’ou dépassent des hémorroïdes. Je m’interrompt un instant et assène ‘ Je vais faire rentrer tes hémorroïdes d’ou elles viennent ‘. Le temps me semble long, elle tarde à me mouiller la bouche puis, elle suinte avant de dégouliner.
‘ S’il te plaît, Paul, ça fait si longtemps, prends moi, profite de la vieille! ‘.
Je me redresse, lui prend la main, la fait tourner comme pour un rock, me plaque contre elle et l’embrasse à pleine bouche en bandant comme un âne. Elle se pâme, s’abandonne, je sens ma cuisse mouillée … ‘ Dans le lit, s’il te plaît! ‘.
Tout va vite, elle perd une mule en basculant sur le lit et je suis sur elle tout habillé à l’embrasser comme si ma vie en dépendait. Elle ne remue pas beaucoup mais mes doigts perçoivent son sexe trempé.
Je me redresse, m’écarte du lit et ôte mes vêtements, ses cuisses sont largement ouvertes, elle dégage sa mule restante et ôte ses bas chaussette en me regardant. Lorsque je suis nu elle sourit ‘ tu es bien fichu mon cochon! ‘. Je me vautre sur elle et tente de la pénétrer. C’est pas simple, son sexe résiste, pourtant elle a envie … Je glisse entre ses jambes pour mouiller encore et encore l’entrée de mon plaisir, puis, comme je ne tiens plus beaucoup, je remonte et force pour me ficher en elle. C’est dingue comme je peine, son sexe me fait l’effet d’un anus vierge, je le lui dit en forçant comme un malade jusqu’à me planter dans son ventre. La situation est inconfortable, je ne coulisse pas du tout dans son sexe, je me retire puis reprend la pénétration. Au bout de quatre fois ça glisse bien et je la baise doucement en glissant ma bouche près de son oreille ‘ Lucienne, je vais te faire un enfant, tu me sens? Moi je sens ton vagin qui me serre, laisse toi aller, je veux t’empaler jusqu’à ce que mes couilles dégueulent de ta mouille … Comme tu es belle! ‘ … Elle a la bouche grande ouverte, me regarde dans les yeux puis ses mains se crispent. Le bassin n’a pas suivi mais elle frissonne et comme je suis au taquet, je lui saisi les hanches et la pilonne comme un dingue pour me déverser en elle. Je n’ai même pas regardé son visage en jouissant, les yeux clos je voyais les bleus de ses cuisses, les mules …
Nous avons fait une longue pose puis elle m’a embrassé délicatement en disant ‘ Tu me prendrais dans ton lit pour la nuit? ‘.
Nous sortons discrètement, elle a enfilé ses mules et son peignoir pour traverser le court espace extérieur qui amène à ma chambre.
La chambre sent la lavande, elle glisse sous les draps préparés par tante Marcelle. J’ai traversé à poil avec mes frusques à la main. J’ai une furieuse envie de pisser, je ressors et me libère dans le jardin.
Lorsque je reviens, elle est offerte, les bras très hauts sur l’oreiller faisant étalage de ses aisselles fournies. Son sexe est offert, il baille encore largement et suite à notre jouissance suinte délicatement. Ses pieds que je n’avais même pas regardé sont menus, un peu déformés au niveau du gros orteil avec de la corne au talon.
Je bande de nouveau et lui fait savoir la suite des réjouissances: ‘ Je vais te bourrer le cul Lucienne! ‘. Sans se démonter elle choppe les deux oreillers , les empiles, pose son ventre un peu mou dessus et écarte ses fesses. ‘ Je vais te rentrer les hémorroïdes jusqu’aux oreilles ma belle! ‘. Elle couine ‘ Traite moi de vioque, dis moi que je suis moche et laide que je pendouille de partout … Aie! ‘. Je me suis planté dans son anus, d’un coup, en force et je pénètre doucement mais régulièrement.
Comme pour son vagin, je sors et rentre plusieurs fois avant que le conduit soit assez lubrifié et qu’une auréole jaunâtre ne se dessine autour de mon gland. Puis je l’entreprend en force en lui disant qu’elle est un puit à merde, une vieille peau et que je vais lui exploser le cul pour qu’elle ne puisse plus aller chier sans penser à moi, j’en remet une louche, ‘ vieille truie, t’es un garage à bittes, tu as du te faire engrosser par tous les ânes du coin, la prochaine fois je te ferais prendre par un chien, ou un cochon, c’est tout ce que tu mérites! ‘ Je ne me contrôle plus et me vide totalement les couilles dans son fion. Je reste collé jusqu’à débander, puis je sors lui maculant le cul de foutre et d’excréments. Je me lève, gaule une serviette et lui jette. Elle s’essuie de derrière, putain comme j’aime cet instant ou les femmes n’ont plus aucune pudeur, ou, comme elle se chient dessus elles sont pratiquement la propriété de leurs prédateurs.
Lucienne se lève, se dirige vers le pot, s’assoie sur les rebords larges et vide ses intestins tourmentés. Je m’approche et présente mon sexe mou devant sa bouche, elle suçote, vaincue, annihilée.
L’odeur est forte, je ne déteste pas, elle se torche puis se recouche.
Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre jusqu’au petit matin.
Vers six heures, elle s’est levée discrètement, à fait un petit pipi dans le pot puis sans bruit est retournée chez elle.
C’est à sept heures que Marcelle est arrivée avec mon petit déjeuner. J’étais couvert jusqu’à la gorge avec drap et couverture. Elle a eu un grand sourire puis m’a expliqué qu’elle ne dormait pas beaucoup et qu’elle savait que cette nuit j’avais ‘ honoré ‘ Lucienne.
J’étais un peu honteux mais elle me passa la main dans les cheveux puis me dit ‘ Fais toi beau, je t’emmène au restaurant. ‘ Avant de sortir elle prit l’anse du pot de chambre pour aller le vider dans les toilettes.
La journée pouvait commencer.
./
Diffuse en direct !
Regarder son live