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Un taxi voyeur

Chapitre 4

initiation au dogging

Voyeur / Exhibition
Le samedi arrive vite, la seule différence avec un départ pour le travail et mon sac d’habits supplémentaires, la tenue prévue pour cette nouvelle expérience.
Je me vide l’esprit toute la journée en accordant 100% de mon attention à mes tâches professionnelles, échangeant avec mes collègues et pensionnaires. Mais quand 17 heures arrivent, une boule d’appréhension me noue le ventre, quelle idée j’ai eue d’accepter ce nouveau rendez-vous. Donc machinalement, je me dirige vers le vestiaire et ouvre mon casier, je sors mon sac avec ma tenue pour le soir et récupère mon téléphone. Histoire de ne pas baisser la pression, Michel m’a envoyé déjà deux messages dans la journée. Le dernier en date et pour être sûr que je ne le lâche pas au dernier moment, pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais mon petit démon interne me pousse à y aller.
Je retire mon horrible tenue de travail, et sors mes habits plus féminins du sac en commençant par les bas, cela surprend mes collègues présentes dans le vestiaire, elles n’ont pas l’habitude de me voir porter une tenue aussi féminine après notre journée de travail, l’une d’elles me sort :
— Eh bien Lydia, tu te fais belle pour qui comme ça ? Tu as pris un amant ?
Une autre en rajoute une couche.
— Oui, on ne t’a jamais vu aussi sexy depuis 10 ans, toi si sage, je ne sais qui t’a fait changer comme ça !!
Je ne peux m’empêcher de rougir, mais réponds sans leur laisser le temps de lancer d’autres suppositions sur ma vie privée.
— Non, les filles, je n’ai pas d’amant, on se fait juste une soirée en amoureux avec mon homme, mais je ne repasse pas à la maison, voilà tout !
J’espère les avoir convaincus par ce petit mensonge.
La première, Fabienne semble me croire
— Il en a de la chance ton mari, faire autant d’effort après 10 ans de mariage, il doit valoir le coup !!
Nous rions toutes les trois de bon cœur, puis je continue à m’habiller sans aucune nouvelle remarque désobligeante, mais plutôt flatteuse sur l’ensemble de ma tenue. Fabienne, toujours aussi curieuse :
— Tu nous raconteras demain ta soirée Lydia, j’espère, avec mon homme, la routine a pris le dessus, il ne me regarde plus.

C’est vrai qu’elle s’est un peu laissé aller sur son poids, mais deux enfants et un manque flagrant d’activité sont aussi passés par là.
— OK les filles, je vous laisse, je suis attendue !!!
Me voilà au volant de ma voiture, direction le lieu de rendez-vous que Michel m’a fixé, qui comme convenu entre nous n’est pas le lieu ou doit se passer la rencontre avec « ses amis ».
Les kilomètres me permettent de me vider la tête après cette journée de travail, et j’arrive détendue et sans appréhension sur le parking où le taxi est déjà stationné.
Il reconnaît ma voiture, et je suis à peine garée que Gérard sort de son véhicule pour m’accueillir. Il est toujours aussi sûr de lui et ravi de m’avoir convaincue de nous revoir pour cette nouvelle expérience.
Il ouvre ma portière, habitude professionnelle, et m’invite à sortir
— Alors Lydia, on ne fait pas la bise à son chauffeur de taxi favori ?
Difficile de refuser son invitation, je me lève et il me fait la bise comme si nous étions de vieux amis. Il a des gestes familiers avec moi sans pour autant être trop déplacé, enfin pour le moment.
— Mes copains ont hâte de te voir, et ils vont pas être déçus, tu es splendide dans cette tenue, je parie que t’a pas mis de lingerie !
Une nouvelle fois, il me prend de court et sait me déstabiliser
— Ah oui, qu’est-ce qui vous faire croire que je n’en porte pas ?— Mon petit doigt, pour ce que tu vas faire tout à l’heure, tu n’en as pas besoin !— Je vois où vous voulez en venir vieux pervers, il faut que je vous le prouve c’est ça ?— Je ne dis pas non, d’ailleurs rien qu’à y penser, je bande déjà ! Tu sais l’effet que tu me procures Lydia.— Eh bien, vous verrez ça plus tard, je vous ai fait honneur en portant vos bas qui sont de belle facture.— Oui, je ne suis pas moqué de toi, alors si tu veux être reconnaissante, prouve-moi que t’as mis ou non ta lingerie.— Alors vous !— Oui, je ne fais que regarder promis, vas-y, tu vas pas recommencer à faire ta mijaurée.— Eh bien, quitte à vous décevoir, j’ai mis des dessous, mais hors de question de les dévoiler ici en public.— OK comme tu veux, alors je t’emmène comme prévu à moins que je ne te fasse peur ma belle ?— Non, vous ne m’impressionnez pas, je prends mon sac et je vous suis !
Michel me laisse donc récupérer mon manteau et mon sac, je verrouille ma voiture et le rejoins dans son taxi. Je retrouve le siège de notre première aventure, mais plus aucune trace de nos débordements.
— En route ma belle, les copains doivent déjà être sur place, maintenant que nous sommes que tous les deux, tu peux me montrer ce que tu portes en dessous ma belle ?— Et si je dis non, vous me laissez au bord de la route ?— Je vous mets au défi de trouver la couleur de ma lingerie, si vous trouvez, vous aurez le droit de voir sinon, vous n’en aurez pas la primeur.— Ah t’es toujours aussi joueuse ma belle !— Bon, tu n’es pas du genre à n’avoir qu’une tenue donc c’est pas la même que la dernière fois sauf donc je dis blanc ou écru.
Me voilà prise à mon propre piège, bien sûr je pourrai lui mentir, mais il va vite s’en rendre compte, et puis dans moins d’une demi-heure d’autres hommes verront aussi ma lingerie.
— Eh bien, c’est votre jour de chance Michel, vous avez trouvé, je dirai même une chance de cocu, mais vous n’êtes plus marié !— J’espère qu’elle va durer, j’ai parié avec mon ami Gérard que tu me suceras ce soir.— Dites donc vieux pervers, j’ai fixé les règles pour ce soir, et cette gâterie n’en fait pas partie, c’est clair ?— Allez, je te charrie, mais qui ne tente rien n’a rien, bon tu me montres ou je me sers ?— Encore une remarque de ce genre et je pars, compris ?— Arrêtez-vous là !!! Merci.— Prends pas la mouche ma belle, on est là pour prendre du plaisir, pas se prendre la tête.
Michel néanmoins gare son véhicule sur une place de parking et stoppe son moteur, le visage un peu déconfit, car il pense que je vais vraiment le planter là. Je détache ma ceinture, il semble résigné, mais au lieu d’ouvrir la portière, je remonte doucement ma jupe.
Michel jubile à nouveau et retrouve son sourire enjôleur
— Tu m’as fait peur ma belle, j’ai bien cru que je t’avais fâchée pour de bon, belle culotte en tout cas, et le haut ?
Sans un mot, mais avec un regard qui en dit long, je dégrafe mon chemisier qui laisse apparaître la dentelle de ma lingerie et la naissance de mes seins.
— Voilà, je tiens parole, donc si vous ou une autre personne me manquez de respect ou me forcez, je stoppe tout !— Message reçu ma chérie !— Au fait, je continue mais n’oubliez pas de m’arrêter juste avant le lieu que je mette mon loup.— Ah ben tu peux c’est à deux minutes. Mais avant de repartir, je peux te prendre en photos pour mes potes qui nous attendent ?— Oui, ça fait partie du jeu de ce soir non ? Mais avec mon loup.
Mon cœur s’emballe, j’essaie de garder mon calme et pose ce masque vénitien sur mon visage, cela ne couvre que mes yeux, mais il me rassure.
Michel prend des photos du haut de mes cuisses, du décolleté et les envoie à son ami Gérard.
Je réajuste ma jupe et le chemisier le temps que nous arrivions
Je découvre avec une certaine stupeur que je connais le lieu, ce parking un peu en retrait est le long d’un canal et d’une piste cyclable que j’utilise régulièrement, j’étais loin de me douter que le soir, cela devenait un lieu d’exhibition.
Michel stoppe son véhicule proche de trois autres voitures, cinq hommes sont présents, certains se connaissent et discutent, d’autres attendent patiemment, enfin sûrement les yeux rivés sur leurs smartphones à mater des vidéos. Mon chauffeur me regarde avec envie :
— Allez à toi de jouer, je te laisse dans la voiture, tu fais ce qui tu veux à partir de maintenant, regarde, il y a déjà des bites de sorties pour toi !!!
Oui, deux des protagonistes ont effectivement baissé leurs pantalons, et tiennent leur pénis d’une main en commençant à se masturber. Mon taxi lui se dirige vers une personne qu’il semble bien connaître, Gérard, je suppose, il a son téléphone à la main, je mettrai ma main à couper qu’il mate les photos qu’il lui a envoyées. Les deux hommes se parlent, Michel fier de lui et conquérant :
— Salut mon Gégé, j’ai réussi à la décider, mais c’était pas gagné, elle a failli me planter en route, mais tu as vu, j’ai su rattraper ça !— Oui, c’est un putain de beau p’tit lot cette meuf, depuis que tu m’as parlé d’elle, j’attends de la voir en vrai et de la toucher cette salope.— Au fait, elle suce ? Tu m’as garanti qu’elle en meurt d’envie.— Bon sur le coup, on va la jouer fine, elle a du répondant, mais c’en sera que meilleur si tu lui colles ta bite dans sa bouche de suceuse !!— T’as bien raison, elle va l’aimer la bite à Gégé !
Je ne sais pas trop quoi faire dans la voiture, laissée seule sur mon siège. Les deux premiers exhibitionnistes se masturbent franchement de l’autre côté de la vitre, rejoints par les autres qui ne font que mater, seuls Gérard et Michel restent un peu en retrait. La sensation est étrange de voir des inconnus sortir leur sexe devant moi pour, semble-t-il, pour me rendre hommage.
Michel et son ami décident de revenir vers le taxi, tout en discutant, puis il ouvre la portière côté conducteur.
— Alors tu fais quoi Lydia, t’es devenue timide tout d’un coup ? Montre un peu tes charmes à tes admirateurs !— Oui bon, je n’ai pas l’habitude de ce genre de situation et vous m’avez plantée là, seule dans la voiture.— Déjà, montre-leur en vrai ce que m’a dévoilé en route ma belle !
Joignant le geste à la parole, je remonte ma jupe pour dévoiler le haut de mes bas et mon string, puis dégrafe franchement mon chemisier cette fois, pour une vue imprenable sur ma poitrine et jouant le jeu, je passe ma langue sur mes lèvres lascivement. Le résultat ne se fait pas attendre, cette fois, mes quatre voyeurs sont collés à la vitre chacun en train de se masturber.
Je me prends moi aussi au jeu, je décide donc d’enlever mon string et dévoiler son sexe lisse, puis libère mon sein droit, le plus proche de la vitre, j’entends les hommes ahaner à l’extérieur. J’ai aussi retiré mes escarpins par respect pour le tableau de bord, et pose ma jambe gauche sur celui-ci. A mon tour, je commence à me caresser une main sur mon sexe, l’autre sur mon téton libre.
Puis je prends une décision qui me surprend moi-même, je déverrouille le véhicule et ouvre la porte ; les voyeurs en sont ravis et n’ont jamais été aussi proches. Dans l’encadrement, le plus téméraire ou le plus pressé s’avance, son sexe en main. J’approche ma main droite pour lui caresser les bourses qui sont aussi de sortie, il semble aimer, et presque au bord de la jouissance, le voyant au bord de l’orgasme, je remonte mon ventre dénudé vers son sexe, il comprend rapidement et une giclée de sperme vient atterrir sur ma peau ; il lâche encore quelques gouttes dans ma main et laisse sa place au suivant.
Son sexe est fièrement dressé, il se montre un plus entreprenant et moi aussi, je le laisse donc caresser mes seins et libérer le second, pendant que je commence à le masturber en lui caressant ses bourses avec mes deux mains. L’excitation monte des deux côtés, j’augmente les mouvements sur son membre, mes seins deviennent de plus en plus sensibles et il en joue, le plaisir envahit mon corps. Mais je ne suis pas la première à atteindre l’orgasme ; il lâche son jus à son tour et je le recueille au creux de ma main gauche, plus épais et consistant que le premier. Ses sens assouvis il s’éclipse et cette fois, j’ai le droit à deux hommes et quatre mains sur mon corps pour le remplacer. Je me libère un peu plus et les jambes ouvertes, je commence à m’occuper de mon clitoris, mon autre main étant autour d’un nouveau sexe à masturber.
Le second ose poser sa main gauche sur mon sexe, je le laisse faire pour le moment. Celui que je masturbe titille à son tour mes deux tétons érigés et de plus en plus durs, je commence à gémir à mon tour. Je sais pourquoi à ce moment j’ai accepté la proposition de Michel, cette situation devient de plus en plus excitante. Je vois les deux hommes se parler, celui qui s’occupait de mon minou se décale pour laisser plus de champ à celui que je masturbe. Il me demande presque maladroitement :
— Je peux jouir sur vos seins ? Ils sont magnifiques !
Au point où j’en suis, j’ai les deux mains poisseuses, le ventre déjà recouvert.
— Faites-vous plaisir, mais visez juste !!!
Ayant moyennement confiance, c’est moi qui dirige son gland vers mes seins tout en astiquant sa verge, je n’avais pas envie d’en recevoir sur le visage.
Il ne tarde pas non plus à éjaculer sur mes seins, juste un petit filet bien moins important que les deux précédents, presque décevant, mais il me remercie.
Le quatrième qui s’était éclipsé revient rapidement, et ose à nouveau poser sa main sur mon sexe, qui lui s’est bien humidifié, je remets rapidement moi aussi ma main droite pour lui faire comprendre que je veux garder le contrôle. A son tour, je m’occupe de sa verge qui me semble plus volumineuse que les précédentes, et plus large sans être hors normes. Il m’apporte en plus autant de plaisir que je semble lui en donner, il est sûr de lui et ses gestes sont doux et précis, mais dans un dernier moment de lucidité, je repousse sa main, sans avoir un sentiment de culpabilité, je n’ai pas encore envie de jouir. Il dirige sa verge vers mon bas-ventre qui a encore les traces d’un premier hommage. Il ne tarde pas à jouir, mais pas uniquement sur mon ventre, il y a aussi de belles traces sur l’intérieur de ma jupe que j’avais retroussée.
Voilà, je me retrouve seule sur le siège, j’en profite pour essuyer les traces de liquide séminal recouvrant ma peau à l’aide de lingettes.
Ma solitude ne dure pas, car Michel pointe le bout de son nez suivi de près par Gérard. Tous les deux, à l’instar des quatre hommes qui les ont précédés ont leurs sexes sortis, mais ils me paraissent presque ridicules après celui que je viens de soulager, leur embonpoint augmentant le contraste.
Michel m’invite alors à sortir de son taxi :
— Viens ma belle Lydia, on va bien s’occuper de toi avec mon pote, tu l’as mérité !
Je me réajuste avant de me lever, mais je reçois un regard désapprobateur des deux hommes. Me voilà debout, Michel se cale derrière moi et Gérard se place en face de moi, mon corps réagit au moindre de leurs attouchements.
Mon taxi ayant glissé une main entre mes cuisses, je le laisse explorer mon jardin intime, et son ami palpe mes seins en s’attardant sur mes tétons qui pointent comme jamais.
— Humm ta peau est si douce, j’en rêvais depuis la première fois !— Tes seins aussi ma belle ! répond à son tour Gérard.
Le plaisir monte en moi, j’ai le sexe de chacun dans mes mains, c’est la première fois que je masturbe deux hommes simultanément.
Mais ma position n’est pas très confortable.
— Messieurs, ça ne vous dérange pas que m’installe sur la banquette arrière ? Je ne suis pas trop à l’aise dans cette position.— Allez on ne peut pas te refuser ça, Gérard on la laisse alors ?— Oui mon pote !
Je réintègre donc l’intérieur du taxi, mais je prends une position assez obscène, les cuisses écartées, les fesses en arrière, mes petits seins libres sous moi.
Je sens rapidement une main entre mes cuisses de plus en plus humide, toujours celle de Michel, qui explore mon jardin des délices.
Il sait y faire, ses doigts sont agiles, et n’oublie pas de caresser mon clitoris, aux gémissements que j’émets, il sait qu’il m’apporte du plaisir, le sexe de Gérard est proche de moi, ma main gauche se pose dessus et continue à le branler pour son plus grand plaisir.
Je sens mon sexe couler, mon corps parle pour moi.
Mais je fais comprendre aux deux hommes que je veux à nouveau changer de position, Michel retire sa main.
Je suis maintenant sur la banquette en face d’eux, les jambes ouvertes sans aucune pudeur, mes seins blancs toujours à l’air libre.
— Allez, donnez-moi, vos sexes que je vous soulage, vous n’avez pas encore joui. — Et toi aussi Lydia, t’inquiète pas, on va aussi te donner du plaisir, hein Gérard ?— Humm oui Michel.
Il a du mal à répondre, car j’ai de nouveau son sexe en main le masturbant. Michel dégrafe son pantalon et libère sa verge qui n’attendait que ça. Je la prends de ma main libre et le masturbe à son tour. Lui aussi reprend ses caresses entre mes cuisses, Gérard passant ses mains sur mes petits seins avec mes tétons bien érigés et de plus en plus sensibles. Je suis très réceptive à leurs attentions sur mon corps.
Gérard demande au taxi : - A mon tour de la doigter, laisse-moi la place Michel, c’est à mon tour.
— OK mon pote, je te la laisse ; elle est très accueillante et trempée la salope !!
J’ai bien entendu les propos grossiers, mais la situation fait que je ne réplique pas comme je l’aurai fait en temps normal.
Rapidement, chacun a pris la place de l’autre, je reprends mes branlettes sur leurs deux sexes, Gérard passe rapidement de deux à trois doigts dans mon vagin, son ami ne lui avait pas menti, et mes seins, surtout le droit.
J’accélère les mouvements sur leurs membres ; presque calée sur le rythme de Gérard, une douce chaleur m’envahit, je vais jouir sous les caresses de presque inconnus.
Les caresses expertes de Gérard me font tellement de bien que mon bassin se soulève, l’orgasme monte en moi, mais je sens que Michel va me précéder, à ses grognements qu’il ne va pas tarder à prendre son plaisir.
J’ai toujours les deux sexes en mains, et je sens soudain du sperme arriver sur mon cou, et sur mon sein droit, Michel vient d’éjaculer dans un long râle, j’ai aussi un peu de son jus sur ma main, il s’éloigne,
Le chauffeur s’enhardit, ses caresses sont encore plus poussées, et rapproche son sexe de ma bouche en espérant que je l’avale, son gland frottant mon menton et mes joues, mon visage devient luisant, mais mes lèvres ne s’ouvrent pas, je résiste aux désirs de Michel. Tout en continuant à le branler, je dirige son membre plus bas vers ma poitrine et ma seconde main étant libre, je lui malaxe ses testicules.
J’ai de plus en plus de mal à retenir le plaisir qui m’envahit, ce que Michel ne manque pas de remarquer, mais lui aussi est proche de la jouissance. Malgré tout, mon orgasme arrive, je pousse un long râle et tout mon corps vibre sous le regard satisfait du taxi.
Je n’ai pas pour autant lâché sa verge, et je la sens se raidir et il éjacule lui aussi sur mes seins.
Assez satisfait de lui, il étale les giclées de sperme sur ma peau, je le laisse faire.
— Alors Lydia, tu as l’air d’avoir aimé ça ma belle ?— T’as pas envie de continuer ?
En effet, mes cris ont attiré d’autres voyeurs et trois nouveaux hommes se sont rapprochés du véhicule.
— Non, je crois que je vais en rester là, j’ai eu ma dose de plaisir pour ce soir messieurs - Vous avez entendu les mecs, faudra revenir, je ne doute pas que Madame voudra remettre ça rapidement !!
Les nouveaux protagonistes semblent déçus, l’un d’eux semble demander une chose en sourdine à Michel.
— Je sais pas, je vais lui demander !!— Lydia, ma belle, ces messieurs voudraient te prendre en photos sur la banquette de mon taxi, comme ça, ils pourront te rendre hommage via leur téléphone, t’as vu comme eux aussi bandent fort pour toi !
Je ne peux pas le contredire, leurs érections sont bien franches, j’en suis à neuf verges ce soir, je commence à comprendre le plaisir des filles en gangbang...
— OK vite fait, et après on part.— Je n’en attendais pas moins de toi, je sais que tu aimes t’exhiber !!!
Ne prêtant pas trop attention à la dernière remarque, je m’allonge sur la banquette du taxi avec une vue imprenable pour les mateurs sur mon intimité. Ma position me permet de caresser mes seins qui luisent encore du jus des précédents hommes.
Les smartphones filment et flashent sans discontinuité, je vais être une « célébrité » sur certains sites pornos dès ce soir...
Je joue le jeu deux minutes, mais je commence à avoir froid et la nuit tombe. Prenant une pose plus sage, je recouvre ma poitrine et annonce la fin de cette prolongation. Je sors pour réajuster ma jupe et mettre ma veste sous les regards de Michel et des voyeurs.
— Michel, on peut y aller maintenant ?— Oui ma belle, prends place, j’arrive.
Je monte donc à la place passagère, je suis toute poisseuse, ayant oublié de prendre des lingettes pour me rafraîchir, mais je ne regrette pas ce qui vient d’arriver. Mon chauffeur arrive, nous partons, l’obscurité est bien prononcée, j’aperçois encore quelques hommes autour d’une autre voiture stationnée. Estimant être assez loin, je retire mon masque et le range dans mon sac à main où il rejoint le string que je n’ai pas remis, à quoi bon. Je ne parle pas sur le retour, Michel fait un monologue jusqu’au moment de retrouver mon véhicule. Il a tout de même droit à une bise avant de se séparer. Me voilà seule, je n’ai qu’une envie, rentrer prendre une douche, et sûrement donner du plaisir à mon homme, il aura droit aux caresses buccales que j’ai refusées ce soir à tous les voyeurs !!
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