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Chapitre 2

Divers
Le plus énervant dans un wagon c’est la personne qui parle fort au téléphone et qui se fout totalement des autres. Le sentiment de frustration est double, à la fois on se dit que cette personne se croit vraiment seule au monde et à la fois on est rendu à un rang insignifiant. Mais aujourd’hui, cette même situation arrangeait Juliette. En face d’elle, il y avait sa cible et quelques rangs plus loin une femme qui racontait sa vie au téléphone. Ca incommodait tout le monde dans le wagon et surtout, ça lui permettait de créer un lien avec sa cible, par des regards entendus et complices. Elle allait même s’en servir pour engager la conversation.      - Ca arrive souvent ? lui demanda-t-elle.      - A chaque fois…      - Vous prenez le train régulièrement ?      - Deux fois par semaine.

 Juliette lui sourit. Il était assez bel homme, la quarantaine, type homme d’affaires, elle aimait bien sa paire de lunettes surtout et le projet d’architecture qu’il avait surement dans sa mallette. Elle s’était habillée strict mais sexy, un tailleur noir dont la veste était ouverte sur une chemise blanche et dont le profond décolleté laissait deviner un soutien gorge blanc en dentelles qui avait du mal à tenir ses seins. Sa chemise était assez près du corps pour donner l’impression qu’elle allait se déchirer sous la pression de sa poitrine. Sa jupe laissait apparaître le liseré des bas à chaque fois qu’elle bougeait les fesses et elle les bougeait souvent. Elle ne savait pas encore si elle aurait les documents aujourd’hui ou s’il s’agissait simplement d’une première approche. L’avenir le dirait, en tout cas elle avait initié la conversation et marqué un point. Elle voyait bien dans ses yeux qu’il était attiré par ses formes et heureusement…      - Vous vous arrêtez à Lyon ? lui demanda-t-il      - Oui, je vais voir une amie, j’espère qu’on ne va pas arriver trop tard, je ne connais pas la ville. De nuit, c’est plus difficile.      - On a une demie heure de retard, je pense.      - Aïe, dit-elle en affichant son plus beau sourire.
Elle se pencha pour prendre son portable dans le sac à ses pieds et lui donner la possibilité de mater ses seins un peu plus. Il avait du mal à déglutir, elle pouvait continuer…      - Vous travaillez à Paris ?      - Oui, mais j’habite Lyon, c’est pour ça que je prends le train deux fois par semaine.      - Vous habitez Lyon ? Alors vous pourrez me conseiller…      - Avec plaisir. Vous allez où ?      - A Gerland.      - Oh ce n’est pas très loin, mais c’est compliqué. Vous comptez y aller comment ?      - En bus… Je n’ai pas trop les moyens de prendre un taxi…      - Je peux vous y emmener si vous voulez…     - Oh c’est gentil… Avec plaisir oui, mais je ne voudrais pas vous déranger, ni vous causer d’ennuis, imaginez que votre femme nous voit.     - Impossible, elle est en vacances avec mes enfants pour une semaine encore et puis je ne fais rien de mal…


 Ca, c’était l’aubaine… Elle devait changer ses plans… Elle s’excusa, se leva et alla aux toilettes pour appeler Alexandre et lui demander de la rappeler dans 2 minutes.Quand il le fit elle était revenue à sa place. Elle décrocha et parla toute seule, Alex était habitué à ça aussi.       - Comment ? Non, c’est pas possible… Oh je suis vraiment désolée pour toi. Oui… Oui… Ne t’en fais pas… Non… Je vais me débrouiller… Oui… je trouverais bien… Allez… Bon courage…

 Et elle raccrocha. Elle n’attendit que quelques secondes pour que la cible lui demande :      - Des ennuis ?      - Oui, ma copine vient de perdre sa mère et elle part tout de suite pour l’Auvergne…      - Celle chez qui vous deviez aller ?      - Ben oui…      - Qu’est ce que vous allez faire ?    - Je ne sais pas trop, je n’ai pas eu le temps de réfléchir… J’imagine que je vais devoir reprendre le train dans l’autre sens.      - Impossible, il n’y en a pas avant demain…      - Et bien, ce point est réglé, il ne me reste plus que l’hôtel pour cette nuit…

 Voilà, la ligne était lancée, il fallait être patiente et ne pas trop en faire surtout… Elle prit son air soucieux, regarda son portable comme s’il allait lui donner une solution et puis elle mit son nez à la fenêtre contemplant le paysage, tout en le surveillant du coin de l’œil, il l’observait toujours. Elle n’attendit même pas dix minutes… Merci le décolleté…      - J’aurais bien une solution pour vous, mais j’ai peur que vous le preniez mal…      - C’est-à-dire ?    - Eh bien je me disais que vous pourriez peut-être dormir chez moi cette nuit, ça vous éviterait une dépense inutile…      - Vous êtes sérieux ???      - Oui.      - Avec plaisir alors, vous êtes sur que ça ne vous dérange pas ???      - Pas le moins du monde…      - Je vous promets que je me ferais toute petite…      - Ne vous inquiétez pas.

 Ils discutèrent de choses et d’autres pendant le reste du trajet. Arrivés à Lyon Part Dieu, ils marchèrent dix minutes avant de rejoindre l’appartement de la cible, Renaud… Il était 21 heures. Il prépara la chambre d’amis pendant qu’elle prenait une bonne douche et ils s’installèrent à table pour grignoter. Après avoir pris un café, ils fumèrent une cigarette dans le salon. Juliette avait gardé son tailleur noir et s’arrangeait pour qu’il ait tout loisir de voir ses attributs féminins. Manifestement, la cible était plus qu’intéressé mais ne savait pas comment l’aborder, il fallait l’aider un peu.      - Tout va bien ? lui demanda-t-elle. Vous avez l’air tendu…      - Non ça va.    - Je suis vraiment désolé de vous envahir. Vous auriez certainement préféré vous retrouver tranquillement chez vous après une bonne semaine de travail.   - Oh, vous ne m’embêtez pas du tout, bien au contraire, vous êtes d’une compagnie agréable. C’est vrai que les vendredis soir sont toujours plus fatigants que les autres, entre la semaine de boulot et le trajet en train…     - Allez, vous me faîtes peine, je vais vous masser les épaules, ça va vous faire du bien vous verrez…     - Avec plaisir.

 Elle se leva, passa derrière lui et entrepris de lui masser le cou et les épaules.       - Enlevez donc votre chemise, que je puisse sentir les points de tension.

 Il s’exécuta en lui demandant où elle avait appris à si bien masser. Juliette sourit en se disant que, vu la remarque bateau et bidon, le poisson était ferré. Elle accentua son massage au niveau des épaules et fit descendre ses mains sur ses pectoraux.      - Vous, vous entretenez votre corps, le complimenta-t-elle.      - J’essaie en tout cas. Il semblerait que vous aussi…      - Pourquoi dîtes vous ça ?      - Quand vous vous mettez contre moi, je sens que votre chair est ferme…      - J’essaie aussi, répondit-elle. C’est pas toujours simple pour une femme.      - Pourquoi ?     - C’est pas évident de maintenir une peau ferme, on a pas les mêmes muscles. Prenez les seins, par exemple, vous il vous suffit de muscler vos pectoraux, nous c’est moins évident, ils peuvent tomber ou trop durcir ou ne pas réagir du tout.      - C’est si compliqué que ça ?      - C’est pas simple…      - Ils n’ont pas l’air d’avoir de soucis les vôtres.     - Oh, ne vous y fiez pas…     - Ah bon ?     - Tenez je vais vous montrer.

 Elle dégrafa son chemisier, l’enleva et fit tomber son soutien gorge.      - Regardez, ils ne tiennent pas assez, si je fais le test du stylo, il ne réussira pas…

 Renaud avait les yeux fixés sur la superbe poitrine qui pointait vers son visage. Il eut un peu de mal à articuler…      - Le test du stylo ?     - Vous ne connaissez pas ? Vous prenez un stylo et vous le mettez sous le sein, là. S’ il ne tombe pas, c’est que les seins eux tombent.      - Ils ne sont pas assez fermes ?    - Ils peuvent être fermes et tomber quand même, vous voyez bien que c’est compliqué. Mais si vous dîtes que mes seins ne sont pas fermes, on ne va pas être copains, je me donne assez de mal… Touchez vous verrez…

 Renaud tendit la main et toucha un mamelon, il était ferme à souhait et même le téton pointait. Il allait toucher l’autre quand la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Juliette se rhabilla précipitamment en lui demandant s’il attendait quelqu’un, il répondit par la négative, intrigué. Il se dirigea vers la porte et l’ouvrit. Juliette était restée sur le canapé en espérant que ce n’était qu’un contretemps qui n’allait pas trop bouleverser ses plans.

 Il revint dans le salon, accompagné d’un couple dont la femme était sublime, une blonde plantureuse avec une poitrine énorme et un corps de mannequin enfermé dans une robe blanche. L’homme faisait playboy avec une chemise blanche ouverte sur une chaîne en or et des poils virils. Son pantalon noir lui moulait les fesses à merveille.      - Mathilde, je vous présente Bernard et Ingrid, un couple d’amis. Bernard, Ingrid, je vous présente Mathilde, une SDF momentanée.

Juliette éclata de rire en serrant la main des nouveaux venus. Mathilde, c’était le prénom  d’emprunt de la mission…      - Enchantée, dit-elle. Renaud m’a gentiment proposé de m’héberger pour la nuit, le temps de reprendre le train…      - Oui, il nous a expliqué, répondit Bernard. J’aurais fait pareil.

 Il la dévisageait de bas en haut et en détail. Juliette remarqua que la femme faisait de même avec un certain appétit dans le regard.      - Asseyez vous, je vais ouvrir une bouteille, dit Renaud en partant vers la cuisine, suivi par Bernard.

Les deux femmes restèrent dans le salon.      - Vous avez eu des ennuis ? demanda Ingrid.      - Oh oui, je venais voir une amie, mais sa mère vient de mourir, je ne savais pas où aller…   - Renaud a bien fait… J’espère que notre visite n’est pas mal venue, vous devez être éreintée.      - Oh non, pas le moins du monde, nous avons bu un bon café réparateur.

 Les hommes revinrent avec verres et bouteille. Juliette se demandait encore combien de temps ils allaient rester.  Ils parlèrent de chose et d’autre pendant un moment. Juliette sentait les regards de tout le monde inspecter son corps, elle surprit même des coups d’œil complices entre les trois amis.       - Et si on se faisait un petit jeu ? demanda Bernard.

 Renaud expliqua à Juliette-Mathilde qu’ils aimaient bien les jeux de société et qu’ils y jouaient régulièrement.      - Aucun problème, répondit-elle. Par contre, il faudra peut-être que vous m’appreniez la règle.      - Vous connaissez le trivial pursuit ?      - Oh oui…      - C’est juste qu’on a un peu changé les règles ?      - C’est-à-dire ?     - C’est pas énorme, lui expliqua Ingrid. A chaque case, le voisin de droite pose la question, si la personne répond juste, elle a le droit de donner un gage.     - A qui ?     - A qui elle veut.     - Quel genre de gage ?    - N’importe quel genre, renchérit Bernard et Juliette comprit rapidement le sens de sa répartie, mais elle décida de continuer à faire l’ingénue, ça avait l’air de les exciter.     - Et on peut refuser le gage ?    - Trois fois chacun par partie, répondit Ingrid, mais bon ne t’inquiètes pas il n’y a rien de dangereux, c’est juste pour pimenter le jeu et on rigole bien parfois, en fonction des gages. Ca te dit ?     - Oui, pourquoi pas.

 Renaud se leva, alla chercher le jeu et l’étala sur la table. Juliette connaissait cette version, elle y avait déjà joué plus d’une fois. Les pions furent distribués rapidement et Ingrid lança le premier dé. La question portait sur l’histoire et elle fut incapable d’y répondre. Par contre, le suivant, Renaud, lui répondit juste et Juliette attendit avec impatience le premier gage, juste pour voir.      - Alors ? le questionna Bernard.      - Et bien, il faut qu’Ingrid m’embrasse sur la bouche.      - Oh, il nous fait le coup à chaque fois…     - Ben quoi j’adore ça…

 Juliette les interrompit.       - C’est quoi embrasser sur la bouche, juste un smack ou c’est rouler un patin ?       - Mathilde n’a pas tort, Renaud, il faut préciser la demande.       - On va commencer par un smack.

 Ingrid fit le tour de la table et déposa un baiser sur la bouche de Renaud.      - Voilà grand fou.      - Ca commence petit aujourd’hui, remarqua Bernard.    - C’est vous qui le dites, renchérit Juliette. Moi je pensais que vos gages, c’était faire le tour de la table à cloche pied, par exemple.      - Ca c’est bon pour les enfants, on est des adultes. Par contre, si ça te choque on arrête le jeu, bien sur.      - Oh non il m’en faut plus. Allez c’est à moi…
 Elle fit rouler le dé et tomba sur une case cinéma. Elle connaissait la réponse mais préféra ne rien dire, elle voulait les laisser se dévoiler. Bernard, lui, répondit juste.       - Alors ? questionna Renaud.      - J’hésite, répondit le playboy.    - Oula, c’est bien la première fois que ça t’arrive ça, enchaine Ingrid, c’est la dame qui t’intimide ?     - Peut être oui…    - Oh non, sérieusement, ne vous inquiétez pas pour moi, je suis une grande fille, le rassura Juliette.    - Ok, alors le gage est pour vous Mathilde. Enlevez donc votre chemise et restez en soutien gorge.

 Mathilde-Juliette s’exécuta. Elle jeta la chemise derrière elle d’un grand mouvement ample, réajusta son soutien gorge sous ses seins et apprécia les trois regards sur sa poitrine généreuse. Le tour revint à Ingrid qui ne trouva pas la réponse tout comme Renaud, deux coups pour rien. Mathilde-Juliette en était presque désolée et se rendit compte que le jeu allait être passionnant, en tout cas plein de suspens. La question qui lui fut posée était simple, elle hésita un moment et ne répondit pas. Elle prendrait la main plus tard, pour leur donner le coup de grâce.  Bernard répondit juste et Juliette se demanda si elle allait encore être la cible de son gage, mais il se tourna vers sa femme.      - A toi, ma chérie, en soutien gorge.      - Ok

 Ingrid s’exécuta et exhiba vite un joli soutien rouge qui laissait presque tout le sein visible, ne soutenant que le galbe. Ainsi donc, le couple semblait avoir prévu le coup avant de venir, se dit Juliette. Son hôte n’était certainement pas au courant et elle était juste la cerise sur le gâteau. Et quand Bernard lui demanda encore si tout ça ne la choquait pas, elle pensa qu’il commençait à l’énerver à la prendre pour une sainte nitouche, elle en était pas à sa première vision de paire de seins.

 Quand Ingrid répondit juste à sa question, Juliette fut curieuse de connaitre la teneur du gage. Sa surprise se mua en vite en déception quand la blonde demanda à son homme d’enlever sa chemise et de rester torse nu. Petits joueurs… En plus, à ce rythme là, ça pouvait durer des heures… En fait, ils jouaient aux couples libérés mais si ça trouve ils se contentaient de touche pipi, de baisers furtifs et de nudité. A la prochaine question, elle décida qu’elle prendrait la main, pour accélérer le tout, tester leurs limites, histoire de rigoler mais surtout de les épuiser et avoir accès au plan.

 Renaud répondit à sa question et demanda à Ingrid d’enlever complètement sa robe. Ils eurent droit à un mini strip tease et à une vue complète du string rouge assorti, grâce au tour que l’intéressée fit sur elle-même. Okay, c’était à elle maintenant, question jaune, histoire, date de la bataille d’Austerlitz, 2 Décembre 1805, très bien. Ils étaient là tous les trois à la regarder avec un petit sourire genre elle va nous demander de faire le tour du salon en se touchant le nez. Elle regarda Renaud.      - Enlève tout…      - C’est-à-dire…      - Les vêtements, le slip, tout…

 Ingrid éclata de rire.      - Et ben, au moins c’est du rapide… C’est bon ça… Allez, Renaud, à poil…

 L’intéressé s’exécuta un peu interloqué, il avait du s’attendre à enlever la chemise, puis la chaussette droite puis la gauche… A 6h du matin ils y seraient encore et Juliette n’avait pas le temps. Il se retrouva nu, le sexe en demi érection, ni bien dur, ni tout mou.

 La personne suivante à répondre juste fut Bernard et il demanda à Juliette de se déshabiller entièrement avec un regard et un sourire qui faisait penser à une vengeance… Le pauvre… Elle se leva et se mit en tenue d’Eve, le plus sensuellement possible, histoire de bien les exciter et pour que le jeu prenne une tournure plus porno, plus rapidement.

 Vint le tour de Renaud qui demanda à Ingrid de faire de même et Mathilde-Juliette apprécia la superbe plastique de la blonde. Des seins charnus haut et ferme avec de superbes auréoles brunes et des tétons longs, déjà tendus. La seule déception fut de voir la chatte complètement rasée, Juliette aurait bien aimé savoir si c’était une fausse blonde et dans tous les cas elle aimait bien voir une petite démarcation entre la foufoune et le pubis. Voilà, maintenant ils étaient tous les quatre nus, les choses sérieuses pouvaient commencer et c’est Ingrid qui répondit juste à la question suivante. Elle avait l’œil frivole et semblaient bien plus excité que les deux mâles.      - Mathilde, suce Bernard s’il te plait.      - Avec plaisir.

 Les deux hommes se regardèrent comme s’ils ne pensaient pas que leur jeu allait prendre cette tournure avec une étrangère, ils semblaient ravis. Mathilde-Juliette s’installa à genoux entre les jambes du mari d’Ingrid et entreprit de réveiller son membre flasque en le prenant immédiatement dans la bouche et en excitant le gland avec sa langue. Le pénis prit rapidement un air majestueux et dur et son propriétaire commençait même à haleter quand elle l’enfouit dans sa gorge. Elle arrêta assez rapidement, une éjaculation à ce stade de la soirée serait complètement inutile, casserait l’ambiance et mettrait à mal sa mission.      - Et ben dis donc… murmura Bernard.

 Mathilde-Juliette nota le regard envieux de Renaud et le sourire aux anges d’Ingrid qui devait se dire que la soirée allait être bien plus palpitante que toutes celles auxquelles elle avait participé jusqu’ici. Après ça, les deux hommes ne trouvèrent pas la réponse ou firent semblant histoire de laisser la main à Mathilde qui ne se gêna pas pour remporter la main.        - Ingrid, lève toi et mets les mains sur la table. Renaud, veux tu bien la prendre en levrette ?

 Ingrid éclata de rire tandis que les deux hommes se regardaient étonnés. Juliette enchaina.        - Tu veux prendre un joker ?       - Non, non.      - Bernard, tu y vois un inconvénient ? continua Juliette.      - Euh, non…

Ingrid applaudit des deux mains et s’installa dans la position demandée. Renaud passa  derrière, tata d’une main la chatte de la blonde pour en vérifier l’humidité. Ce devait être suffisamment lubrifié parce qu’il introduisit son sexe directement et commença à mettre des coups de boutoirs qui semblait ravir l’allemande. Juliette jeta un coup d’œil à Bernard et constata qu’il se caressait le sexe, elle l’aurait bien aidé mais ce n’était pas encore le moment.  Il fallait les fatiguer…

 Elle mit d’elle-même un terme à la copulation en cours et tout le monde se rassit. Quand vint le tour d’Ingrid de bien répondre à la question, Mathilde-Juliette espéra qu’elle fit preuve d’imagination et qu’elle ne lui demande pas de faire la même chose. Et décidément cette fille lui plaisait…       - Mathilde, allonge toi sur le dos sur le canapé et tiens bien tes jambes écartées, Bernard baise là… Au fait, il peut y avoir plusieurs personnes dans le gage ?

Ils se regardèrent et Juliette intervint rapidement.       - Je ne connais pas encore toutes les règles mais j’ai envie de dire, pourquoi pas ?       - Ok, alors tu suceras Renaud en même temps.

Ils s’installèrent comme Ingrid l’avait ordonné et Bernard engouffra son sexe dans la chatte bien humide de Juliette pendant qu’elle prit celui de Renaud dans sa bouche. Celui-ci lui demanda si tout allait bien alors elle arrêta de le pomper pour lui dire qu’elle s’amusait comme une petite folle.       - Putain c’est bon, émit Bernard d’une voix un peu timide et Juliette profita de l’occasion pour mettre un peu de piment.       - Elle est bonne ma chatte, vas y défonce là, bourre moi comme une chienne…

Elle sentit la queue se raidir encore plus dans son vagin. Pas de surprise ça marchait à chaque fois… Du coin de l’œil, elle regardait Ingrid qui s’était levé de sa chaise et rapprochée d’eux et inspectait tout dans les détails.
 Puis, les tours se succédèrent, chacun cherchant à répondre juste pour pouvoir assouvir ses fantasmes. Mathilde-Juliette regrettait juste de ne pas être surprise par les demandes de chacun, sucer deux bites en même temps, lécher la chatte d’Ingrid ou se faire lécher par elle pendant que Renaud la prenait en levrette, sucer Bernard qui léchait la chatte d’Ingrid qui suçait Renaud… Rien de passionnant… Rien d’inhabituel… Les positions s’inter changeaient mais pour Juliette c’était assez bon enfant. En même temps, elle n’était pas là pour s’amuser…

 La première sodomie déclencha une petite gêne chez les messieurs. C’est Ingrid qui demanda ce gage pour Mathilde. « Renaud, prends la dans le cul » avait-elle dit. Puis elle avait rajouté tout bas « enfin, si Mathilde est d’accord ». Celle-ci avait souri, s’était installé sur le canapé à quatre pattes, la joue collée contre le cuir, exhibant son anus impeccablement épilé, le trou presque déjà dilaté. Renaud s’approcha intimidé, hésita devant son anus, elle fut presque obligé de l’attirer pour qu’il l’encule enfin. C’était bon. De toute façon elle avait toujours aimé ça. Se sentir chienne, salope, ça l’excitait beaucoup plus que les positions touche pipi d’avant.

Ca a déclenché la deuxième partie du jeu. Les gages, après, tournèrent tous autour de la sodomie. Ingrid s’est pris tour à tour la bite de Renaud, puis celle de Bernard. Et puis les positions ont recommencé, Ingrid suçant Bernard en se faisant enculer par Renaud qui se faisait lécher les couilles par Juliette. Aucun des deux ne jouirent, elle faisait attention à ce que les positions ne durent pas trop longtemps. Ce devait être le point d’orgue la sodomie, le moment où tous finiraient sur le canapé à jouir comme des bêtes et à s’endormir… puisque manifestement les deux allaient dormir ici vu l’heure tardive. Mais Juliette avait une autre idée en tête, amusante cette fois ci…

 De retour à table, elle prit bien soin de resservir tout le monde en vin… Et quand son tour arriva, elle se concentra, répondit juste à la question et se vengea…       - C’était bon, messieurs, de nous enculer ?       - Putain un peu mon neveu…       - C’était bon de se faire sucer ?       - Oui, mais tu veux en venir où ? demanda Renaud.       - Vous savez ce que c’est de sucer une bite ?       - Ben non…       - Alors mon gage… Renaud va sucer la queue de Bernard…

 Il y eut un petit flottement.       - Certainement pas…       - Et pourquoi ?       - Ben …       - On a bien sucé vos queues nous…       - Ben nous on vous a léché…      - Ben nous on s’est léché toutes les deux aussi, répliqua Ingrid. Mathilde a raison, on vous a sucé, c’est à vous maintenant.

 Ils ne répondirent rien parce qu’il n’y avait rien à répondre.      - Je refuse, dit Renaud. J’ai le droit, on a droit à trois refus.      - Ben je te le demanderais trois fois… Faudra bien que tu y passes…

 Juliette ne voulait pas le brusquer, il fallait que la soirée se termine comme prévu avec des éjaculations, alors elle marchanda.       - Si tu le suces, je vous laisserais me faire une double pénétration pendant que je lècherais Ingrid… Allez, pour me faire plaisir, je vous ai tout permis, ma bouche, mon cul, ma chatte, mes seins. Je vous ai bouffé la bite, les couilles et même le cul…

Renaud réfléchit encore un peu, interrogea Bernard du regard qui haussa les épaules.       - Ok. Va t’allonger sur le canapé.

Il s’installa entre ses jambes, prit la queue dans sa main et branla timidement son ami. Les deux femmes s’étaient rapprochées et contemplaient la scène. Quand Renaud prit le sexe dans sa bouche, il eut une petite moue de dégoût et puis au fur et à mesure du pompage, les filles s’aperçurent qu’il y mettait de l’ardeur et même de l’application. Il lécha le mat, taquina le prépuce, flatta les bourses de ses mains et Juliette dû mettre un terme rapidement à cette nouveauté de peur qu’il n’envoie tout son foutre dans la bouche de son collègue.

 Bien sur, Bernard eut droit lui aussi de sucer Renaud dès qu’Ingrid prit la main et tous deux avouèrent que ce n’était pas si désagréable que ça et que c’était plaisant de savoir ce que les filles ressentaient. Et Juliette se dit qu’au niveau découvertes ce n’était pas fini, car dès son tour arrivé, elle demanda à Renaud de sodomiser Bernard… Même refus, même marchandage, même chantage et finalement, Bernard s’installa sur le canapé. La seule concession que firent les filles fut de leur permettre d’enduire son anus de vaseline et quand la queue de Renaud le pénétra, Bernard fit une petite grimace. Cette fois ci les filles firent plus que contempler, elles participèrent activement.

 D’abord, voyant qu’Ingrid se masturbait en les regardant faire, Mathilde lui lécha l’anus, déclenchant des râles de plaisir. Puis Ingrid lécha les testicules de Renaud pendant qu’il enculait Bernard et Mathilde entreprit de sucer ce dernier. Plus de partie, plus réponses, plus de gages, ils échangèrent les positions des deux hommes après avoir enduit l’anus de Renaud de vaseline et pendant qu’il se faisait sodomiser, il prit Ingrid dans le cul. Ils vibraient à l’unisson, les coups de boutoir de Bernard se répercutant dans les fesses d’Ingrid. Pendant ce temps, Mathilde massait les couilles de l’un, léchait celles de l’autre, titillait le clito de l’une, léchait l’anus de l’autre… Après quelques minutes elle se retrouva comme promis chevauchant Bernard, se faisant enculer par Renaud et léchant la chatte d’Ingrid, un véritable exercice de contorsionniste.

 Les deux filles finirent à genoux, la bouche ouverte tandis que les hommes se branlaient vigoureusement et quelques secondes après, ils les aspergèrent de sperme en de longues saccades interminables… Mathilde avala délicieusement la chaude semence et encouragea Ingrid à essayer. En bonne écolière obéissante, elle ingurgita et alla même jusqu’à nettoyer le sexe des deux hommes qu’elle laissa plus propres que jamais.

 Cinq minutes après, ils dormaient tous les quatre sur le canapé. Une heure après, Juliette se levait pour aller aux toilettes. Au retour, après avoir écouté la régularité des respirations de ses trois compagnons de jeu, elle fit un détour par la chambre de Renaud, sortit les documents recherchés, les prit en photos et remit le tout à sa place. 

Bonne journée, elle avait même joui deux fois…   
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